Université "Viticulture et agroécologie" 2/2
Ver de Terre Production s'invite à Paysages in Marciac 2020 ! 😍🍃
Et pour cette nouvelle édition mixée présentiel/visio, on vous propose aujourd’hui une journée consacrée à la viticulture et à l'agroécologie :
9H-10H : « Les cépages résistants » – Lilian Baucher
10H-11H : « La taille douce » – François Dal, Marceau Bourdarias, Davy Chodjaï
11H-12H30 : « Vitiforesterie » – Alain Canet, Hervé Covès, Marceau Bourdarias
14H30-15H30 : Introduction par Konrad Schreiber et Karl Todeschini (vigneron)
15H30-16H : « Les couverts semés » – François Dargelos (vigneron)
16H-16H30 : « Les couverts spontannés » – Christian Gourgourio
16H30-17H : « Les couverts se mesurent » – Stephan Reinig (responsable technique chez Estandon Vignerons)
Avec la collaboration d'Arbre & Paysage 32.
Retrouvez tout le programme par ici 👋 https://paysages-in-marciac.fr/programmation/
Transcriptions
Transcriptions
la montagne à l'autre bout du monde sous
toutes les latitudes derrière la chaîne
youtube vous pouvez agir poser vos
questions faire vos suggestions
nous repartons pour une après-midi de
discussion des changes de propositions
de vérification de contre indications
qui sait nous verrons en tout cas on
passe après une phase d' approche un peu
théorique mais mais peut-être pas tant
Afficher la suite
que ça mais peut-être pas tant que ça
finalement avec les ingrédients de
l'agroécologie puisqu'il y passe de
l'air il passe de l'eau dans nos
parcelles sur chacun de nos mètres
carrés il ya du sol il ya de la
biodiversité est ce que ça se respecte
est ce que ça se produit du carbone de
l'azoté tous les éléments minéraux et
nutritifs on va regarder d'un peu plus
près ce qui se passe sur le terrain on a
la chance d'avoir une palette incroyable
encore ici à paysage in marciac cet
après midi mais sans plus tarder je
donne la parole à marceau borde alias
merci merci d'avoir accepté de passer
cet après-midi de sieste avec nous il va
falloir être dynamique à l'écouté on
n'espère pas vous endormir on sait
qu'après un far breton
c'est toujours un peu plus difficile on
accueille aujourd'hui qu'un taux défini
qui va parler avec conrad shreiber un
peu qu'il va parler de l'histoire de
rencontre et ça tombe bien parce qu'ils
vont parler du sol principalement on a
une après midi donc qui est dédiée aux
travaux que l'on peut faire sur le sol à
la fertilité du sol en viticulture et
donc on va on a fait venir deux des
viticulteurs qui vont nous parler de
leur expérience de leur cheminement vers
fertilité est une auto fertilité pour
certains voir comment on peut construire
et puis rendre efficace une vie grâce à
la fertilité du sol
alors pour ça on a pris un grand témoin
même s'il n'est pas très grand comme ça
de visu en fait il est vraiment immense
on a bien sûr fait venir conrad
schreiber qui nous a tous beaucoup
inspiré beaucoup fait permis de changer
notre regard changer notre regard à la
fertilité et changer notre regard à la
culture et puis ouvert sur ouvert les
yeux sur sur cette vision agro
écologiques des sols donc je la remercie
déjà et puis ben sans plus attendre du
coup je vous passe la parole moi ce que
j'aimerais c'est entendre toi karl quel
est ton histoire avec avec avec cette
fertilité des sols avec ce regard là sur
l'agroécologie dans son vignoble
présente toi d'abord dit nous qui tue et
qu'est-ce que tu es ce que qu'est ce que
tu fais dans la vie mon petit carla
bonjour à tous merci merci de
l'invitation
merci de nous laisser une petite un
petit moment de des changes public pour
le coût sera pas privé suit la couronne
donc moi je suis car le tour des skinny
je suis vigneron à saint-émilion à
castillon sur deux aoc on est je suis la
troisième génération sur une propriété
qui a il ya quelques particularités
notamment la plus belle c'est d'être
familiale la deuxième d'être sur un
terroir
mon grand père a voulu riche diversifié
naturellement je dis bien naturellement
on parle de d'agroforesterie ce matin de
betty foresterie et s'aimer mais
n'oublions jamais que la nature
naturellement c'est quelque chose assez
bizarre de dire la nature naturellement
mais ça devient tellement
des fois un peu prononcé mais je nous
allons faire quelque chose un terrain de
jeu j'aime beaucoup la plaie terrain de
jeu parce que moi c'est vraiment comme
ça que je prends mon métier et je pense
que c'est comme ça qu'on peut d'ailleurs
arriver à des productions de raisin et
du coût de production de vin qui
deviennent après relativement peut-être
plus riches c'est pas donc voilà donc on
exploite deux propriétés d'une trentaine
d'hectares sur chacune sur à cheval sur
saint-émilion saint-aignan rue et sur
est sûr question donc je travaille mon
frère on a repris l'exploitation 2008
c'est une taille qui peut sembler très
importantes c'est vrai pour pour notre
appellation donc qui pourrait être un
frein à notre stratégie de production
car clairement nous sommes 100% sur des
mineures et d'une agriculture biologique
certifiée
après quinze ans où je me suis dit j'ai
un agent par la table tout à l'heure
pendant pendant 10 12 ans j'ai pas voulu
on n'a pas voulu aller à la
certification parce que parce que pour
moi c'était le dernier de mes soucis en
définitif c'était de d'abord de se
convainc qu'on allait réussir dans cette
voie là et ensuite on faisait une partie
administrative / / / des audits voilà
qui viennent ponctuer un petit peu vous
voyez la certification de production
sans être trop long ce cheminement
depuis 2008
c'est un peu concrétisée si je peux dire
ça le 6 juin
quand au détour d'un mail reçu par mon
conseil de mon syndicat viticole
j'ai reçu un mail en me disant voilà le
6 juin vient à saint-émilion conrad
accompagné de monsieur pouvait
s'accompagner de monsieur kahn est
accompagné de monsieur bourdarias je me
suis dit c'est très intéressant mais mon
nom en plein creux vide on peut pas
faire des réunions moi je je je suis pas
encore passés au youtube un peu j'aime
tellement ça excusez moi je veux y
mettre et promis à partir de demain
et du coup j'ai contacté la personne qui
s'occupait de sa donc qu'ici dans la
salle et qui a organisé une rencontre
avec conrad avec harvey et ensuite nous
ont rejoints monsieur godard ya c est
monsieur connaissent et monsieur cas des
parents et franchement je peux vous
garantir une chose il s'est passé
quelque chose
c'est pour ça que tu es là aujourd'hui
il ya eu le boucle c'est bouclé ce jour
là parce que j'ai écouté même si comme
moi de jeu d'erreurs d à peu près à peu
près je sais pas l'équivalent d'une
semaine en cumulé sur youtube et même ma
femme me disais mais qu'est ce qui fait
j écoute c'est tellement passionnant je
peux pas couper là mais ça je pense
qu'on a tous vécu voilà quand je vois
les revers devant moi les sourires je
pense qu'on est tous passés par là un
moment donné un de vie des agriculteurs
est en fait il est arrivé au delà du de
la rencontre qui elle même était très
très intéressante et brillante
c'est surtout il s'est passé quelque
chose et et à chaque fois qu'il disait
qui parlait donc dans ma propriété dans
le coeur du réacteur et parler et ses
arguments me venait en fait convaincre
cette stratégie que nous avions choisi à
mon frère
voilà c'était quelque chose d'assez
assez fort et puis ensuite on a là on a
on a du coup échangé parce que
l'avantagé à conrad ce qui ne l'est pas
sur sur son savoir c'est qu'il avait
changé avec
avec les personnes qui ont une
expérience et et puis voilà on sait on
s'est auto on à échanger des expériences
étaient extrêmement extrêmement brillant
et après la fin d'un tour de ville avec
tous les 5 et les autres invités que
j'avais convié c'était extrêmement
brillant donc voilà d'où un peu
l'origine donc vous savez tous
maintenant vous savez tout ou alors le
plus surprenant pour moi c'est que
j'arrive chez karl
bon je vais l'appeler comme ça au
château mangot que je ne connais pas mon
premier métier c'est absolument pas la
vigne est donc le travail c'était
l'agronomie généralistes pour remettre
des sols vivants au tpiy là tu arrives
et puis quand il ya plein de questions
les invités en plein de questions et et
puis quelque chose de bizarre ce produit
parce que quand tu visites vignoble dit
mais il fait déjà tout ce que l'on dit
depuis beaucoup plus longtemps qu'on l'a
mis sur verre de thé reproduction ou
ailleurs c'est cette thématique là est
donc là te dis tiens c'est bizarre il ya
qu'un des vignerons qui mine de rien ont
beaucoup avancé où finalement la lutte
biologique et intégrée elle est possible
il faut plus faire grand chose
il a il écoute les consignes se
documente même ils travaillent eux mêmes
et on voit arriver de vraies ruptures et
c'est une satisfaction énorme parce que
tu te rends compte que la diffusion du
savoir
elle permet à chacun de prendre des
morceaux de capter du savoir faire et de
construire son propre vignoble et là
tout d'un coup il ya quelqu'un qui l'a
fait quasi tout seul avec le bon sens
paysan avec son projet le projet de ce
matin c'est à dire faire un vignoble à
son image et c est pire adapté
tranquillement dans la gestion une étape
et une opiniâtre et là tout d'un coup on
voit qu'on vignoble couvert avec des
plantes des litières qui se décompose et
c est ben ya peu de problèmes et nous on
arrive le 6 juin en plein
2010 ou là dans le vignoble bordelais à
dire que la cc feu c'est le feu quoi
et puis tu vois une vie nous il n'y a
pas le feu et là tu es un petit peu
surpris et c'est intéressant
et moi j'ai besoin de comprendre ce qui
s'est passé oui
conrad auto dit j'ai bien compris ce qui
s'est passé et on regardera déjà c'est
compliqué non mais ce qu'on fait oui ce
qu'on fait ce qu'on fait c'est ce que tu
tu essayes de véhicules et quand tu as
quand tu parles de transmettre le savoir
mais voilà c'est avoir une plante qui
est qui est bien alors ça c'est très peu
de choses à dire mais une plante qui vit
bien
alors à travers tout ce qu'on a parlé ce
matin à travers la taille à travers le
tout la partie le les gestes au
quotidien de l'ensemble de mes équipes
c'est à dire réfléchir à avoir un sol
qui a erré de façon naturelle de ne plus
travailler le sol de de continuer à
garder ce petit chêne qui vient de
pousser ici naturellement à le tutorial
eux mais pas prêt pour qu'ils deviennent
et qui comme enfin il ya tout ce
cheminement là
tout ce cheminement aussi sur la partie
fertile parce que moi j'avais trois gros
problème quand je suis arrivé en 2008
sur l'exploitation familiale
si je dois enfin il ya toujours beaucoup
de problèmes mais dans notre métier
d'agriculteur de viticulteurs et
beaucoup de soucis mais il y avait trois
majeurs c'était un une fertilité qui
pour moi était à 10 % de son potentiel
aujourd'hui je peux considérer qu'on est
peut-être à 60 70 il nous reste encore
une marge importante
il y en avait un seul qui était très
beau mais absolument pour moi plus
vraiment passé vivent donc là il a fallu
relancer cette fertilité cette vie du
sol ça c'était le point numéro un
le deuxième ça induisent et 7 se peut de
fertilité une ergonomie de très faible
qualité donc des plantes qui ne qui
n'était pas bien qui qui végète qui ont
chaud premiers coups de soleil qui ont
soif au premier coup de soleil qui
produisent des raisins peut-être bon
mais déséquilibré avait des rapports
pellicule juin inexistant ou on se
retrouve avec de la pellicule et des
pépins et ne goûte une intéressante
parce que trop concentré on se retrouve
avec des vignes qu'on des fois beaucoup
de réseaux mais parce faye
ça c'est un concept c'est particulier et
au final en fait avec des vignes
déséquilibré donc ça c'était le point 2
et le troisième point c'était un
quelque part une vigne qui n'a pas
d'aveux pas de futur ehpad à venir donc
vu qu'on est sur une plante pérenne on
est sur des pour péter familiale avec on
n'a pas des capitaux extérieurs qui
arrivent pour venir boucher un trou
sillonnant donc très clairement voilà
c'était l'outil de production qui était
en train de quêter très beau sur ces
endroits mais sur notre endroit d'été un
peu fertile il avait conscience de ses
héros et de l'hérault et j'ai oublié de
dire ça et tout à fait j'oubliais le
troisième point une érosion qui était
marqué parce qu'on est là ne joue pas
d'une propriété qui est composé de 34
hectares avec 90 m de dénivelé à peu
près 10% de plateau à 100 mètres
d'altitude dans ce qui est très au point
chez nous des coteaux exposés sud
extrêmement peu fertile argile blanche
argileux sous-sol argileux grise et
ensuite des pieds de corte mais c'est
des plateaux à 40 mètres on sait pas
vraiment des pieds de corte en tant que
tel mais je les appelle pied de coq
parce que c'est quand même eux qui
reçoivent les sédiments un forcément par
gravité et qui était plus jolie mais qui
à l'arrivée avait toujours cette
dimension un peu plus fraîche que
c'était des argiles à 100% du calcaire
de façon anecdotique donc une vie un peu
plus facile sur les sur le bas mais sûr
les eaux et sur les coteaux vraiment un
gros travail à faire et le travail a été
de de rendre toutes les parcelles de
façon homogène arrêter ces surfaces très
peu fertile qui faisait des bonzaïs qui
ne relancer cette vie du sol et a
aujourd'hui oui on a réussi je pense en
partie on va encore
du travail engagé est ce que il ya eu un
ordre des pratiques oui parce que
justement ça ça va être
je pense que ce que tu va raconter c'est
ce qui attend tous les vignobles
français sans exception et c'est pour ça
on a décidé avec marceau alain de
collaborer sur un projet qui s'appelle
label vignes de faire monter le savoir
faire des vignerons de le montrer et on
pense que la totalité du vignoble devra
de près ou de loin réfléchir ce que tu
vas peut-être racontez là ce qui est un
ordre de d'organisation du travail pour
arriver à quelque chose que comment
j'arrive le 6 juin
je peux qualifier tiens on a les
premières bases correctement installé
pour rentrer dans la lutte biologique
intégrée
ce qui est fou c'est que quand on arrive
le 6 juin aussi tout le monde plantes
les tracteurs partout dans toutes les
villes ça sur des terrains avec peu de
pente et donc tout le monde glisse
certains arrache des ceps de vigne pour
sortir les tracteurs et là on arrive
c'est karl avec des pentes qui des fois
vaut mieux que je pense 1818 et carly
nous dit ah ben moi je suis arrivé à
traiter partout j'étais premier étonné
je suis arrivé à traiter par tous et
pour nous ça c'était comme entendre tout
d'un coup l'incarnation vrai de notre
nos intuitions parce que ben on en
envoie des vignobles où il ya du travail
comme ça et puis et on voit des
vignobles où il y a un sacré avancement
mais souvent ces plats et là de passer
du temps avec des viticulteurs qui
disent on a du mal à traiter c'est très
compliqué tout beaucoup d'arrivées dans
des pentes avec de l'enherbement laisser
développer ou découvert laisser
développer et de voir qu'on peut passer
traités dans les moments où le sol est
censé pas être important pour nous ça ça
si vous voulez ça ça nous renforce dans
notre posture ça valide
ça valide des parce que bien dix ans
bienfaisant moi je suis toujours été
traité de dupe à notre philosophie mais
je pense que c'est prenable et ducasse
ionel mais d'abord on fait après andy et
moi j'ai toujours été dans cette
stratégie là mon frère aussi
même en termes de politiques de marchés
de de commercialisation c'est la même
chose d'abord on fait après on apprend
discute alors pour te répondre
conrad pour moi il ya une chose alors
j'ai eu une rencontre c'est avec un
monsieur qui s'appelle jean-pierre
cousinié qui est pour moi en agronomie à
quelqu'un qui m'a vraiment au tout début
dans les années 2007-2008
je suis rentré ça pour votre famille
elle qui m'a vraiment débloquer
certaines quelque chose où il m'a dit
ton sol il faut qu'on leur donne une vie
faut qu'on lui redonne vraiment un
capital que ta plante sera d'ailleurs
explorer pour aller capitaliser sur des
réserves et du coup on est parti sur une
stratégie très simple c'était de de
s'approvisionner le plus le mieux
possible avec des fumier composté sur
des élevages locaux le plus possible
donc là c'est le match qui était située
en dordogne pour le coup sûr des
élevages bio évidemment qu poster donc
ça veut dire d immobiliser ferme des des
ressources financières pour pouvoir
acheter les fumiers en moins dans les
fers composter avoir un bon rapport avec
l'agriculteur pour que il te laisse pas
12 km de ficelle tous les mètres cubes
c'est un petit détail mais qui peut
permettre de réaliser qu amd
on est tous passés à tous vécu ce et
ensuite de dalé pendre et là c'est
compliqué parce que pendre dans les
coteaux après vendanges au mois
d'octobre novembre on peut avoir des
grosses pluies
on est dans l'argile et on veut pas trop
tassés noah revient aussi que ces textes
et ensuite positionné découvert
positionner des semis ça c'est ça c'est
ça c'est la clé je pense
et là-dessus au départ on est partis
avec des autos début j'étais un peu
moins calés sur le sujet et on est
partis sur des mélanges de céréales et
est une légumineuse l'on faisait 1-1
seigle orge ou and have one on peut
importe est ensuite derrière une petite
veste qui facilite c'est donc 2 3
graines
et ça ça dure et ça a duré 3 4 ans et et
déjà on s'est aperçu qu'on avait on
commençait à toucher un point essentiel
en avait appuyé sur un bouton ce jour là
vraiment appuyer sur un bouton et on a
commencé à voir les sols changé mais
j'étais encore dans une un peu dans ce
qu'on vous apprend à l'école
malheureusement c'est à dire que pour
faire un bon somme il faut d'abord
passer les griffes
il faut avoir des tracts il faut passer
les glyphes faut passer un petit coup de
l'hers et puis ensuite il faut il faut
se met enfin bon c'est le contraire de
ce que je suis aujourd'hui
pour la petite histoire calme et très
clairement envoyé qu'on avait des semis
qui était beau envoyer qu'on avait des
semis qui poussait alors qu'on avait dit
des de l'herbe qui ne poussait pas
naturellement
alors là je me suis dit effectivement
mais qui est positionné des fumiers mes
semis sont positionnés sur des fumiers
donc c'est beaucoup plus riches
pour masseube ans de se développer sur
cette terre et ce fumier
au lieu de se développer sur laurent
d'enherbement naturel juste à côté
qui n'a pas en fumée donc là tu valides
un deuxième point tu te dis ok d'accord
d'augmenter la qualité nutritive
en définitive pour pour mes semis de ce
substrat de ce sol qui a des millions
d'années donc déjà je tapis sur un
deuxième bouton et après c'est parti
comme ça donc ça veut dire que quelque
part le fait d'apprendre à semer oui de
faire pousser une plante grasse à une
fertilisation qu'il a est un composé de
philippe thauvin tu remarques que la
naturalité c'est à dire ceux là où tu
fais rien ça ne pousse pas absolument la
ja et donc l'actuel notion vie la vie là
tu touches à la vie ces terres que tu
elle la vit un rang sur deux bons très
bien donc là elle après tu fais 100 %
évidemment ça coûte deux fois plus cher
c'est deux fois plus compliqué mais tu
as eu mais 100% après tu te dis
maintenant je vais peut-être pas pour
traiter quand même parce que le problème
c'est que le premier traitement toujours
avant le 1er mai le week-end de
pentecôte où c'est là où tu pourras la
première contamination de mieux une fois
sur deux parce que tu as oublié de tu
t'es dit attendre il fait beau oui mais
sauf que tu es la première contamination
les yeux de millions sont peut-être murs
etc etc enfin bon au final
tu te dis bon mais tant pis parce que si
à la rigueur j'ai relance il avait du
sol
je me débrouille aura traité et quand tu
es en bio tu traites pas quand tu veux
tu traites quand tu dois donc c'est
quand même un point qu'il faut j'ai
mobile est très clairement là ça a été
une étape fondamentale pour moi dans les
années 2014 2015 ou là j'ai vraiment bon
mais j'avais ces quatre années de
d'expérience avec ses échecs ses
réussites des endroits on avait ce mais
trop tard des endroits où le sol était
trop compact même pour pouvoir se met où
on n'a ni fier sur des semis et moi pour
moi un beau smith est pas un semis un
semis qui fait 12 cm qui est certes
sortie mais qui s'arrêtait là pour moi
un smith un semis qui voit là minimum un
mètre cinquante de m à la fin il faut
vraiment se voit quelque chose qui soit
très intéressant et au départ jetons des
comme beaucoup et peu après je me suis
aperçu que l'on pouvait faire autrement
et depuis les années 2014 2015 donc on
le sent % de nos semis couvert en gros
le 100 % durant qui est en herbe est
donc serein en armement spontanée
naturelle et on a un seul qui est
extrêmement payet si vous venez
aujourd'hui vous verrez un sol qui a
jauni parce qu'on a vraiment peu d'eau
actuellement ça c'est un gros un gros
sujet mais qui est payé donc du coup tu
as gardé de conduite naturelle qui
roulait vite et que tu changes alors ça
c'est ma ça c'est ma question qui me
taraude et jeu que je t'ai poser
d'ailleurs la fois haute est venue est
ce que vaut mieux faire trois ans de
semis dans le même temps et ensuite
capitalisé du coup et ensuite basculer
sur l'autre rond pendant trois ans ainsi
de suite voulu le faire tous les deux
ans chaque rang ou est-ce que vous ne
faire une année là une année l'autre
alors il ya des parcelles où on n'a pas
le choix parce qu on crée on a beaucoup
de contre pente donc les tracteurs pour
des raisons de sécurité ont obligé de
rebâtir en aplat donc le tout petit coup
de disques voilà en surface pour
vraiment essayé de remettre de la terre
sur le côté bat pour éviter que le
tracteur partent à la renverse donc ça
c'est pour des raisons de sécurité mais
ça représente même pas 15 % à surface et
pour le reste je suis parti sur l'option
de mettre trois ans travaillé trois ans
dans le même fond et puis on verra on va
faire des analyses moi je suis très je
suis pour une viticulture de précisions
donc ça pour de l'à-peu-près donc il
faut analyser pour comprendre et
suffisamment ça c'est la première étape
donc tu démarres avec découvert le reste
alors qu'est ce que tu appelles le reste
parce que le reste il est le reste on a
fait venir d'autres viticulteurs
l'idée c'est pas de soutien tous les
verts du dea karl aujourd'hui mais c'est
bien sûr de susciter les changes est
donc peut-être que ce que ce que je
proposerai c'est que on parle avec les
deux autres viticulteurs et en fasse
intervenir les deux autres viticulteurs
de cet après-midi françois dargelos qui
a un local de l'étape et qui aussi
enseigne c'est ses semis et donc il ya
sa propre manière de voir les choses et
un autre viticulteur que ici qui
s'appelle christian goriot qui
travaillent principalement d'ailleurs
avec avec la flore spontanée et donc
j'aimerais que peut-être on écoute ses
deux viticulteurs et l'expérience deux
viticulteurs est comme ça après on
pourra peut-être lancer un espèce de
débat est posé des questions à ces trois
personnages et moi j'aimerais je
trouvais ça assez assez savoureux de
pouvoir regarder trois regards
différents mais laisser ces regards la
s'exprimer sans que l'on cherche à
répondre à toutes les questions
donc on va on va j'ai invité françois
jeunes invités françois à venir si je
vous fous pas dehors mais mais c'est je
pense c'est pour donner un petit peu de
peps et faire en sorte qu'après on plus
arriver à construire un truc à troyes où
on lance un débat collectif à ok t'es
pas obligé de t'asseoir maman françois
que tu fais comme tu le sens trois
micros à conrad paraît il assez parlé
oui bonjour alors dans le manger une
présentation à présentation si joseph à
l'asmo côté françois françois lapointe
alors du coup dont je devais parler de
couverts végétaux alors j'en parle tout
le temps des couverts végétaux donc
volontairement je vais parler d'autre
chose mais je vais quand même introduire
par les couverts végétaux parce que les
couverts végétaux pour moi c'est devenu
une routine donc
rêvant d'introduire les couverts
végétaux moi j'aimerais bien que tu
plutôt introduisent d'abord il ya quand
même deux cents personnes qui te
regardent sur le net et qui ne te
connaissent pas si ils me connaissent
alors du coup me présenter ça me gêne
parce que ça me met une casquette
j'aimerais pas avoir deux casquettes
donc je suis viticulteurs hayoz ici à 45
d'ici en gascogne je travaille avec le
château du tariquet je suis formateur en
viticulture au cfppa du gers
je suis formateur pour vers de terre
production parfois sur des formations
courtes auprès des viticulteurs
je fais le relais de mars et au parfois
aussi sur sur la taille douce un donc je
fais plein de choses mais je reste quand
même 100% beatty et je vais vous
présenter
du coup ce que je fais en routine en
routine chez moi donc mais pratiquant
routine
évidemment c'est découvert ça fait une
quinzaine d'années que je fais découvert
un rang sur deux céréales légumineuses
les semis après vendanges et une
destruction à la faucheuse
ça c'est ce que je fais en routine
depuis une quinzaine d'années avec tous
les bénéfices que ça
un mât matières organiques qui a qui a
pris un point en une dizaine d'années
j'ai moi une batteuse ou moins d'érosion
au moins de lessivage
voilà je crois qu'on connaît maintenant
bien les avantages découvert gédéas sont
assimilables qui ont monté
voilà j'ai une vie biologique qui a
monté mais je reste quand même un bloqué
à un certain moment alors je crois que
olivier était encore là et ça être
olivier qui a été le déclencheur à la
même journée que l'année dernière
aujourd'hui la journée viticulture qui
m'a dit françois maintenant il faut que
tu passe la vitesse supérieure et il
faut que tu m'aides quelque chose qui
envoie un peu plus qui envoie du lourd
donc
il ya que le bois etc le brf donc voilà
bon après je connais toutes les
présentations de conrad on se connaît
aussi depuis un petit moment et à force
d'échangés d'échangés d'échanger et de
se faire cultiver la tête
ben on a envie de mettre la vitesse
supérieure donc je vais me alors ça
c'est pour ça que je dis en routine et
que je vais je vais aller au delà des
couverts végétaux et des couverts
végétaux resteront et seront voilà
autant il faut tailler la vigne autant
il faut faire des couverts végétaux sont
là pour moi c'est quelque chose qui fait
partie du métier de faire des couverts
végétaux et de semer quelque chose comme
lee conrad et c'est vrai qu'on aurait
appris en tant que viticulteur à semer
alors que ça va pas le faire alors et du
coup les problèmes persistants bien que
je fasse des couverts végétaux c'est
l'hydro morphy c'est une activité
biologique qui est trop orienté
bactéries anaérobies c'est les
tassements c'est la fossilisation et
c'est une matière organique carbonées
bien trop faible alors évidemment si je
suis hydromorphes ben je suis forcément
anaérobie si je suis tassé je suis
forcément en aérobie aussi là-bas il ya
tout qui se lit si j'ai pas d'activité
biologique je fais plutôt du charles
wang plutôt faire du carbone donc on a
tout tout est lié et ça les couverts
végétaux bien que j'en fasse depuis une
quinzaine d'années ça ne solutionne pas
ce problème est peut-être qu'on n'y
arrivera jamais à le solliciter ce
problème parce qu'en ligne
il ya quelque chose que
on ne se passera jamais ces passages et
passage et passage et repassage
voilà et en bio encore plus parce que
quand il faut y aller il faut y aller
quel que soient les conditions
climatiques
s'il faut aller positionner 400 g de
clients vous n'avez pas le choix il faut
y aller et avait laissé sur un plutôt
faible par contre au niveau carbonée
j'ai pas du tout ça ça marche pas bien
je suis asphyxié a l'air las et je suis
gorgé d'eau alors l'ol chat solaire donc
ça va de pair j'ai une activité
biologique aérobie mais plutôt faible
alors que j'en ai une en aérobie plutôt
plus fortes
donc ça c'est vraiment les plantes qui
me l'a dit quand je fais une un bios
indications sur toute une année
c'est ce qui ressort tout le temps et
d'année en d'année c'est toujours les
mêmes problèmes
par contre j'ai pas de lessivage j'ai
peu des régions j'ai de la nitrification
par mes pratiques parce que je travaille
un peu encore mais seul un enfant sur
deux j'ai des péages qui sont
équilibrées mais j'ai pas de calcium ça
c'est le limon sableux il en a pas et
pas de calcaire donc du coup j'ai aucune
plante qui manie que j'ai du calcium est
bien vu que j'ai excès d'eau pas d'air
en aérobie qu'est ce que je fais mon
matière organique vers la tendance à se
fossiliser et pas être du tout active
donc je me suis posé la question donc la
cccd diapos de simon de vers de terre
voilà c'était suite à des interventions
sur les t de compost oxygénée ou bains
où vit la vigne quelle est sa zone de
confort donc sa zone de confort a b c le
rapport champignons bactéries qui est
pardon
qui est de 5 champignon pour une
bactérie puisque la vigne elle vit
plutôt en lisière de forêt donc je pense
que alain hilda suffisamment alain
gouverner ils ont suffisamment expliqué
lavigne avait les arbres donc on se
retrouve avec un rapport aux bactéries
de 500 millions pour une bactérie alors
qu'on est plutôt un pour un
dans nos sols avec les couverts donc si
je veux plus de champignons c'était
c'était aller sur sur le bois voilà les
champignons qui est vous m'amenez
peut-être un système d'unification de
minéralisation et de nutrition qui va
être plus adapté à la ville parce que
malheureusement je pense que la vigne
maintenant on la conduit comme une
grande culture et chaque année on refait
des pratiques d'une année sur l'autre là
comme si on se met maïs l'avignon le
faire à court terme on en parlait encore
à midi sur sur la façon d'être
viticulteurs qu'on a transformé un
viticulteur plutôt à court terme donc
pour avoir des champignons mais j'ai
qu'une solution c'est aller chercher du
bois
on l'a donc avec quelle source et
comment alors j'ai pris plus tôt les
grands moyens industriels grappin cooper
broyeur à plaquettes
voilà et ça c'est une bordure de
parcelle bordure du ruisseau où j'ai
bois-blancs rôle noisetiers charme
voilà qui sont pas entretenues depuis
des dizaines d'années et du coup simon
ruisseau et puis j'ai quinze mètres
d'arbres qui ont poussé naturellement
j'ai dit me tiens je vais nettoyer mais
bordure du ruisseau et faire du bois
voilà donc je me suis retrouvé cette
année avec 100 tonnes de bois 300 cubes
de brf au bord de mes parcelles en temps
et maintenant comment je vais l'étendre
dans ma vigne parce que c'était la
difficulté s'il fait un peu comme toi
j'ai dit j'ai fait et après je verrai
après voilà mais bon j'avais quand même
peu réfléchi évidemment mais bon c'est
en plus c'est une parcelle où je devais
plantes et donc il fallait que le bois
ou le mans je le sorte mais bref donc ça
donne ce type de bois s'était alors
c'est pas de la plaquette c'est un peu
plus gros que la plaquette
le broyeur il pouvait faire des calibres
différents donc j'ai fait un essai sur
du gros manseng avec deux modalités
alors je suis pas arrivé à 100 tonnes
olivier je suis désolé j'ai fait 160
cubes soit 48 tonnes sur 30 à 60 cube
sur 18 en assurant sur 30 à rossi et il
ya un témoin évidemment les précédents
bcv toujours mais couverts voilà par
contre j'ai un peu par peur j'ai quand
même sur fertiliser dans le mans je
mettais une tonnes de fientes en routine
et là j'en ai mis deux tons 4 donc ça
fait quand même quatre unités d'azoté pk
72 et 60 donc je suis quand même sur les
parties à s'élever en sachant qu'un
gascogne on cherche plutôt à faire sans
hectos que 50 donc avec quoi j'ai fait
j'ai pris une pailleuse que j'ai rajouté
des fourragères je les monte dans ma
pailleuse j'arrive à mettre à six mètres
cubes
j'ai un autre avantage aussi je suis
plantaire 2 mètre 80 donc je peux
utiliser on l'a encore dit ce matin que
la largeur des vignes permettait
d'utiliser quand même du matériel
peut-être un peu plus conséquent pour
faire des ces pratiques là avec l'idée
de porter des volumes assez important
donc bon alors c'est c'est toujours très
industrielle et on sort de la traction
animale là on est plutôt les gros moyens
avec des gros mots ni des gros parce que
ça prend beaucoup de volume et ça pèse
pas beaucoup le brf
donc voilà il faut il faut il faut
porter il faut on adhérents l'ont en
gascogne en a plutôt des rangs de 300
mètres donc vous imaginez bien que vous
êtes rentré dans votre rang que vous
avez suivi des six mètres cubes il faut
sortir du rang revenir chargées repartir
dans leurs rangs pour reprendre vous
êtes comme qu'on fait du fumier plein
champ ça fait des choses qui sont
toujours toujours un peu industriels et
voilà ce que ça donne après à l'épandage
donc là on est sur le volume de 160 cube
donc là il y avait le couvert j'ai
choisi de mettre j'ai pas mis dans le
rouge dans le couvert j'ai mis dans
l'autre
l'autre rang je suis passé tout les
rangs alors mes premières observations
puisque ça ça a été fait début mars 2020
donc mes premières observations
c'est le retour des épis g en vigne
c'est vraiment la variété de vers de
terre en espèces de vers de terre que
l'on a peu ou pas parce que le tassement
et le roulage fait que et les pratiques
fait qu'on a peu d'épis g et le retour
des champignons hervé je pense que tu es
content de cette photo mais c'est ça
c'est assez bizarre parce que le
champignon en vigne on le vois pas à
part sur les sept morts peut-être et
encore que mais au sol c'est très rare
qu'on voit des champignons donc là
l'effet bois il et il est vraiment où je
me retrouve avec des bois avec beaucoup
de mycélium des variétés de champignons
alors je suis pas du tout c'est pas du
tout bon de savoir donc je ne peux pas
vous dire qu'est ce que c'est comme
champignons mais bref
en tout cas il ya des choses qui
changent et qui apparaissent et c'est
vraiment assez immédiat
donc ça c'est vraiment ma première
observation sur la vie biologique que ça
crée entre le brs et le sol j'ai choisi
de ne pas incorporer évidemment il a été
juste posé au sol
et si un rang sur deux où il a été mené
mais il est vraiment juste à peine en
surface
alors quand on fait des essais et
souvent qu'on présente là on parle
jamais de coups donc du coup là on va
parler de coups parce que c'est des
choses qui sont quand même importante et
je suis viticulteurs la couple débardage
le broyage ça représente et 3000 euros
alors c'est 3000 euros pour 300 cubain
on est d'accord
donc ça fait 8 euros 50 mètres cubes et
pour répandre à peu près ce que j'ai
calculé ça correspondait à 2 euros car
le mètre cube dans un cadre de l'essai
ça représenterait un investissement de
1744 euros à l'hectare
si je si je voulais vraiment mettre ses
160 mètres cubes ses 58 tonnes donc tu
imagines olivier si je voulais mettre
100 tonnes
voilà c'est 100 tonnes on le fait sur un
échec mais ont peut-être que le faire de
façon en routine sur votre surface ça
devient une des choses qui sont assez
assez colossal alors après pour en avoir
discuté avec simon il faut quand même
aussi dire que ce volume voulait
investissez sur de nombreuses années
c'est à dire que je vais pas remettre 50
tonnes tous les ans je vais peut-être y
revenir que dans cinq ans dans trois ans
dans sept ans donc si je le ramène parce
que dans l'agriculture on a l'habitude
un peu d'investir et de répartir la
charge
donc je peux le ramener sur cinq ans
donc la 160 mètres cubes ça ferait 348
euros l'hectare donc c'est un peu plus
un peu plus raisonnable sachant que
c'est des choses quand même assez élevé
j'ai fait alors sur 300 kg j'avais cet
essai à faire mais j'ai aussi fait un
essai plutôt en routine ou que je vais
plutôt suivre sur de façon régulière sur
cinq hectares où là j'ai choisi de
mettre 40 mètres cubes ce qui correspond
à peu près à 90 euros d'investissements
par an répartis sur cinq ans et sur
cette pratique en routine je vais
essayer de dimanche dynamiser ma vie du
sol supplémentaire en faisant des tas de
compost et éventuellement de la
fissuration parce qu'il ya quelque chose
qu'on enlèvera jamais c'est le tassement
mécanique et le passage fréquent hamiti
culture fait que ray vous tassez vous
tassez vous tassez vous tassez et pour
en sortir moi si je plante des radis
chinois sur de la route
ça a beau être le meilleur perforateur
leur a dit shin ans sur une route il
faut pas un trou les fissurations ladd
ont dû percer avec un outil à dans la
fin août il adore l'idée n'est pas de
bouleverser le sol c'est vraiment un
outil qui parle dans agri sem qui lève
le sol qui leur posent et qui crée de la
fissuration mécanique
évidemment je vais y mettre des plantes
pour maintenir cette fissuration et
peut-être que sur les 1 premier cm maxi
25 cm où il ya plus tôt l'activité
biologique aérobie et ramené de l'air
aussi et c'est peut-être dû à mon rôle
donc en conclusion bon mon coup je
trouve qu'il est assez maîtrisée parce
que la production l industriel local
ce que j'ai rien acheté à part de la
prestation l'épandage en ligne large
c'est possible avec du matériel maison
je la veste pailleuse parce que j'avais
tenté déjà d'essayer dépendre de la
paille
aussi plutôt que du bois donc j'étais
entre les deux le brf donc provoque
l'apparition de champignons des épis g
et une autre phone
pour l'instant j'ai aucun effet sur la
vigne bon il est assez récent et c'est
une culture pérenne la vie n'y allez pas
quand même sensible à la fin d'azoté
immédiatement donc c'était ça il est
suivi par laure gauthier d'heuliez v ou
là les premiers résultats qu'on a sur la
zot dans les feuilles sur les pétioles à
où les rendements pour l'instant il n'y
a aucun effet entre le témoin où il ya
zéro et les deux modalités arbres et
paysages donc va suivre aussi avec mme
champagne va suivre aussi cet essai est
dans trois ans ou donne deux ans je
crois à peu près j'aurais une analyse du
ratio bactéries champignons plus les
nématodes du sol qui me diront vert
rouge et orienter mon saut lui donc çà
çà çà s'est les analyses qui ont été
faites par dijon et qu'ils vont être
répétée par le biais de ce projet voilà
merci super c'est bien que tu nous es
c'est bien qu'ils nous aient tiré vers
autre chose
oui c'était volontaire parce que j'en ai
marre de présenter les couleurs du tours
fc cheikh de pardon en avait marre aussi
saisie c'est bien ce regard sur les
rêves c'est intéressant et puis c'est
aussi intéressant entendre que la
première année il n'y a pas grand chose
qui se passe et les deux petits
champignons qu'on pouvait voir son
échantillon qui sont strictement
saprophytes et donc qu'ils attaquent la
dégradation de ces matières ligneuses
qui sont des matières très dur à digérer
donc le système va se mettre en marche
sans tarder quand le bois qu'on vend
sera à interagir avec le sol est là pour
l'instant c'est en dos et que le début
en fait normalement tu devrais arriver à
faire quelque chose donc en fait là
olivier de demande d'augmenter la taille
de ta batterie en fait venir il parle il
pourrait répondre
il est là donc c'est tu te rappelles et
olivier de cet échange qu'on avait ou
non mais c'est comme ça normalement je
cherche et on passe quelques semaines ou
quelques mois
eca pouvoir monter ce protocole spécial
après il faut voir déjà voir ce que ça
va donner
il faut le faire à 10 et puis ça va être
sans doute aussi différents 100 tonnes
c'est parce que si on veut booster
complètement mettre une aidante a pris
parce que c'est aussi sur des sols qui
sont capables de digérer assez
rapidement si on partait d'un sol
complètement la neige il faut peut-être
chez marc est doucement ça pourrait être
le conseil de dire me blase moi j'aimais
soit qu'ils sont à force de faire
découvrir effectivement j'ai des
potentiels azotés et j'ai des sols qui
tourne vite et bien
effectivement peut-être trop vite donc
du coup c'est pour ça que j'ai besoin de
travailler sur sur la paille ou sur le
bois mais oui je peux me le permettre
alors tu as été déclencheur aussi par
par ta remarque je pense que la langue
il a été déclencheur aussi en me disant
mais françois il faut y aller là parce
que c'est ccc pas imaginable que
quelqu'un fasse on essaie sur cinq
hectares avec des volumes comme ça bon
là sur les 160 occupe il n'y a pas cinq
hectares donc oui
il faut y aller c'est la même chose
qu'on a discuté ce matin avec les
hybrides sais pas si il est là encore
lilian voilà il a dit aussi qu'il
fallait y aller donc forcé sur la taille
aussi françois sur la taille mais ça j'y
suis déjà visual et oui mais c'est tout
ça c'est intéressant parce que c'est de
ça dont on parle c'est ça dont on
parlait avec avec carlo 6 e et puis
c'est cette idée de pages blanches
d'hervé en fait il y aller c'est
accepter que l'on puisse remplir cette
page et c'est vrai que ces essais brf là
il y en a d'autres à d'autres endroits
qui sont faits mais ce qui est très
intéressant c'est qu'il l'ait fait après
avoir re stimuler la vie biologique de
ses sols en fait c'est ça qui est
intéressant et c'est un peu de ça dont
j'aurais aimé que tu que tu que tu parle
vite fait quoi mais cette idée de
batterie que l'on recharge
ça c'est très intéressant cette manière
de l'attentât de présenter les choses
olivier parce que ça c'est des images
qui nous permettent de comprendre
pourquoi tu tu aimes tu nous parles du
red box avec autant de complexité
d'habitude et et les efforts que tu fais
pour nous le rendre digeste et ce jardin
c'est là ils sont là parce que on arrive
à commencer à digérer ces idées là c'est
une manière de fonctionner là c'est la
même chose avec conrad et et carl
finalement peut-être je vois je vois des
questions je ressens à des questions
j'aurais des mains qui se lèvent mais je
préférerais que on a jusqu'au bout du
processus et qu'on fasse venir christian
parce que christian c'est encore il a
une autre posture et un autre gars il
vient de
une autre manière de faire la
viticulture fait pas vraiment dans
l'absolu mais plutôt un autre parcours
en fait et le parcours de christian je
pense que nous que nous nous aider à
poser des questions encore plus
pertinente à la fin c'est pour ça qu'on
mange de la merde je comprends pas trop
ce que j'ai essayé c'est compliqué parce
que c'est pas et tu les as pas produit
les le bois tu étais allé le chercher
extérieur pour faire tomber c est ça
c'est ce dont on vous parlait ce matin
si on a des trognes c'est quand le
produit in situ c'est de ça dont on
parle quand on parle de diversité
d'agroforesterie s'est aussi produit à
l'institut la fertilité de vos sols
christian oui bah écoutez moi c'est
enfin un juge juste puisqu'on me
demander de témoigner je témoigne moi
j'ai un parcours un peu différent
même si je travaille dans le milieu
viticole depuis de nombreuses années je
suis vignerons depuis peu de temps
1 voilà parce qu'avant j'étais je suis
toujours conseiller viticole dont
j'étais conseiller dans une cave
coopérative et en 2015 je me suis
installé sur trois hectares et demi donc
au début
et petit à petit j'ai agrandi mont
vignoble pour arriver maintenant à 11
hectares on était sur des vignes qui
était déjà en bio mais qui étaient
travaillées classiquement donc en fait
les gens on travaillait avec un
chaussage déchaussage et du jota
derrière après c'était pas des sols qui
était mort mais c'était quand même des
sols traditionnement sur travailler et
moi j'avais mes convictions de deux
vignerons fin de conseillers pardon mais
j'avais une problématique parce que je
suis parti vraiment de rien j'ai juste
pris trois hectares et demi de vigne
j'avais pas de matériel par récupérer le
matériel donc je voulais arrêter cette
manière de travailler
je voulais trouver une autre méthode
d'entretien durant avec l'intérêt et je
voulais bien sûr maintenir la fertilité
à un bon niveau de production
après j'avais un autre constat mais j'ai
repris la pluviométrie de cette année
mais qu'on constate tous et que à
bordeaux en tout cas sur le bordelais on
se finit par avoir de saison une période
très humide et une période très sèche et
c'était aussi ça qui m'a fait un peu
évolué dans quelle quelle méthode trouvé
pour justement essayer d'amortir ses
excès et puis bah voilà au départ
j'avais mais vera mantero matériel donc
les premières années enfin les deux
premières années la première année
surtout ça a été empruntée du matériel à
mes voisins et et voilà et quand vous
empruntez du matériel à au voisin vous
le faites de manière un peu
parcimonieuse vous n'avez pas envie de
déranger donc vous essayer de limiter
vos interventions
voilà donc ce n'était pas non plus dans
le garrec a plein de bateaux c'est qu'il
va y aller qui intervient dès qui peut
dès qu'il veut c'était un peu ce qui
explique ma démarche est un peu mon
évolution
alors ça c'est les vignes quand j'ai
commencé alors comme vous voyez on est
sur des vignes à 150 des vignes basse et
là c'était quand je les ai récupérées
après la taille que les avait taillé
on avait explosion de luzerne alexandrie
ce qui prouve quand même que le sol
était quand même pas mort j'ai même vu
dans les essais y en a qui essayait de
l'implanter sous laurent pour que ça
reste bon mois elle m'avait un peu
envahi donc voilà donc la première année
j'ai fait j'ai fait j'ai parer au plus
vite et de manière un petit peu avec ce
que je pouvais faire et ça a été de la
tonte tonte intégral bon après
franchement alors l'historique de la
parcelle c'est une parcelle qui a 60 70
ans et qui a été tu es sûr carrière
carrière de pierres et de sous il y
avait une champignonnière donc pendant
des années on a apporté du fumier de
champignons ce qui explique aussi que on
a sur un sol qui est quand même pas qui
était quand même assez dynamique voilà
ça c'est la deuxième année donc bien un
peu comme comme carl je suis parti sur
des semis donc voila un petit coup de
j'avais dû passer un petit coup de
retard en n'essayant pas papa descendre
trop profond et voilà et puis j'avais
semé alors semer à la volée en ça a été
fait de manière très simple voyez ça
avait plutôt bien marché avec de la
céréale et
et du poids ça c'était en 2016 2016
voilà après derrière un peu comme carl
j'étais arrivé à tondre mon ton drôme
ont couvert et puis bah finalement je
trouvais ça dommage d'arriver à tondre
en permanence donc c'est vrai que petit
à petit j'ai évolué et puis surtout ce
qui me plaisait c'était de voir ce
qu'ils proposent est naturellement au
printemps avec on avait beaucoup
d'espèces linta trophy nitrates au fil
une grotte une belle diversité et je me
suis dit c'est dommage de ne pas
profiter de ça voilà c'était un petit
peu le le fil conducteur
donc j'ai commencé toujours dans la dans
l'idée d'arrêter d'emprunter du matériel
à mes voisins et ne pas investir dans du
matériel
j'ai arrêter de broyer mais serment donc
ça a été une première étape
voilà je les ai laissés au début j'avais
parlé avec un collègue qui faisait ça
depuis quelques années mais qu'il y
avait des vignes avec une vigueur qui
était quand même moindre que les miennes
donc j'étais un peu inquiète savoir si
salem gêné pour travailler et finalement
ça gêne nullement au travail notamment
au passage des outils en débutant en
début de saison il ya juste sur les
cabernets sauvignons parfois j'ai des
problèmes aux jambes au parc des bois je
les en roule
voilà mais après les merlots sont très
ravis très rapidement pris dans l'herbe
et et voilà et j'ai constaté qu'au bout
de deux ans on avait une complète
dégradation du bois il disparaissait
complètement et totalement ça pourrait
bien le bois de merlot du coup un vrai
bois de merlot ça marche bien ce que
longtemps c'est que c'est un peu plus
long souvent être le cabernet avec des
bois un peu plus tanniques ça c'est plus
difficile c'est beaucoup plus voilà 2017
j'ai aussi je continue à mes semis de
céréales cessé d'alterner un fond sur
deux mois je me posais pas la question
de faire trois ans j'étais parti à
alterner et j'avais fait aussi des
mélanges mais un front tous les fonds
sur 8 de mélange t-ball ce don qui sont
un mélange de plusieurs variétés il ya
des crucifères des légumineuses et
aromatiques un peu à 17,17 glanant dans
les langes oui tu dises une quarantaine
car il ya tout outil sort pas et puis
très rapidement en fait tu tourne vers
la légumineuse parce que c'est quasiment
et quelques fleurs qui restent qui
restent et puis petit à petit et ben je
me suis lâché notamment par rapport au
regard de mes collègues vignerons s'y
retrouve qu'il ya pas mal d'air donc
j'ai arrêté de tomber rang et de tomber
tourniaire on est tournée on va falloir
qu'on m'explique pourquoi en est on
outre l'esthétique et avoir un green à
la maison mais moi c'est quelque chose
que j'ai arrêté ça évite du gasoil et et
du temps et pareil pour les rend donc
j'ai commencé en 2018 avec des résultats
satisfaisants terme de paillage je suis
une photo il y avait encore des restes
de semis on voyait pas mal de paille par
contre 18 c'est une année importante en
termes d'humidité moi je me suis je me
suis pris une belle une belle allumé en
milieu et je me suis posé la question
est-ce que c'est lié au fait que j'ai
pas tondu que j'ai laissé les rebeu
autres voilà beaucoup de questions de
remise en question par rapport à ça et
je me suis dit soit pas bornée peut-être
qu'à un moment donné il faut que tu
lâches et que tu tombes
plutôt que de laisser pousser l'herbe et
finalement j'ai continué 2009 a été une
année tranquille en terme de pression
bien maladie donc voilà j'ai pas fait de
ce mythe et real en dix-neuf j'en ai pas
fait en deux en en cette année et j'ai
laissé les repousser
j'ai arrêté de tomber voilà il n'y a pas
grand monde qui avait pas pris une
calotte en 2018 en même temps oui ou non
les côtes de blaye après forcément tu te
prends tu te poses la question parce que
quand tu vois que tu as de l'herbe un
peu et je suis conseiller viticole donc
on te dis qu'il faut que l'air circule
qu'il faut pas étiez d'accumulation
d'humidité
il ya tout ça est donc ton truc tu te
dis je me suis planté
et puis après ben deuxième campagne s'en
sont détournés adhérents trois passages
de roues l'ofag a voilà et puis cette
année ça c'est sur le semi vol faux en
2019
voilà j'ai aussi alors je sais pas si ça
va marcher mais c'est juste je sais pas
si la moi je crois que les vidéos ils
ont pas été ça c'était le paillage en
fin 2019
on avait vraiment un paillage qui était
chouette
avec une vigne c'est dommage la vidéo
est pas en place grave
et puis cette année donc on a on a
continué dans la continuité avec un seul
passage de roue l'ofac à début juillet
l'herbe est vraiment s'est couché
facilement à merde je reviens en arrière
voilà donc là en fait j'avais deux types
enherbement naturelle naturelle
or pas trop mais il ya quand même une
belle diversité en termes de en termes
de flore on a on n'a pas une majorité de
graminées on a on a un peu de l'api cri
de la carotte quelques lignes lumineuses
qui sortent et puis un peu de graminées
voilà et puis sur l'autre dû pas mal de
planta aussi j'ai déjà vu apparaître
aussi qui était dans mes tournées armée
qui remonte dans les rangs du lin du lin
bleu qui est assez sympathique
après en plus en terme de visuels et
puis sur laurent qui était en mélange
wolf on n'est plus sûr des sondés
luzerne et alors ce que j'aime bien
c'est que en fait ça fleurit tout au
long de la saison avec différentes
espèces c'est ce que je trouve que il
est super facile à rouler voilà et puis
voilà ça c'est le avant et après roulage
sur la partie qui était enherbement
naturel
donc une fois que ces murs ça se trouve
plutôt bien et puis on a un joli
paillage maintenant des vignes qui
souffrent pas pour l'instant un
rendement
devra être couvert alors moi je suis sur
des bases de 50 textos mais aussi fait
passer ces gens qui sont soignés sur la
partie taillez conduite ouais ouais
ouais ouais enfin les tailles ça fait
depuis direct en 2016 que j'ai mis en
place une taille une taille ont une
taille douce et puis je renie pas mes
vignes depuis alors j'ai commencé en
2016 sur la moitié du mois at-il
parcelles et maintenant j'ai les 11
hectares depuis 2018 qui sont tressés 11
ha tu le sais mais moi ce qui m'a
convaincu pour juste faire un petit
aparté même si c'est pas le sujet du
jour
j'avais vu des vidéos sur le très sage
et je m'étais dit tiens ça me parle
parce que moi rogner ça me ça me
stressait prendre la rogneuse c'était
affreux
donc au delà de ça j'ai quand même parce
qu'il ya quand même une réalité un faux
faux faux pas non mais on reste
viticulteurs donc comme une réalité
d'organisation de travail donc j'avais
commencé moitié rogner moitié pas rogner
j'ai vérifié les deux séparément et le
résultat en cubes analytiquement il y
avait aucun aucune différence mais en
finesse de tana je sais pas qui c'est
qui en parlait ce matin clairement ab
c'était françois dalle françois dalle en
finesse de tannage y retrouver vraiment
une finesse
ouais moi ça m'a convaincu direct ça
c'est ce qu'on entend c'est assez eu
tout le monde est assez unanimes pour
dire ça que je ne peux pas de retour on
m'avait dit éventuellement
sur l'acidité il n'y a pas de différend
sur les degrés non il reste élevé on a
peut-être la même chose mais pas rangée
de la même manière parfois bon merci
super aussi c'est s étaient riches parce
que c'était encore encore une autre
posture une autre manière de voir les
choses finalement on a eu un viticulteur
qui s'est mis à être formateur on a eu
un informateur que ces milliers de
viticulteurs et puis on a un viticulteur
qui a été bien inspiré bien formés et on
a on a donc un panel de regard sur ces
sur cette approche là des sols de la
fertilité des sols et des couverts
végétaux pour relancer la fertilité des
sols
il nous manquerait peut-être quelqu'un
qui travaille vraiment dans le sud de la
france dans des conditions un peu aride
et dans avec avec des difficultés liées
à l'eau je prends conscience de ça en
vaut le 10 ans pour une prochaine fois
on vous fera venir des gens qui font des
couverts et qui qui arrive à avoir des
vignes pas trop stressé par la
concurrence hydrique
malgré la sécheresse parce que ça c'est
très intéressant c'est un des freins que
certaines personnes peuvent rencontrer
c'est un peu beaucoup un peu plus rare
de le constater sur sur des gens qui
travaillent dans la partie sud-ouest en
fait on a un petit peu plus de
pliométrie carré je pense je pense que
c'est le principal blocage pour les pour
les personnes pour les vignerons de se
dire j'ai on a une concurrence physique
qui augmente donc j'arrête je ne fais
plus de semis et je travaille mais seul
et je pense que c'est là qu'on a réussi
à vaincre cette peur là on peut aller
plus loin et là dessus vous avez je
pense vous qui voyez beaucoup de monde
des messages à faire passer
on peut réussir à combattre une
contrainte
même si je sais que c'est le combat de
faim pas un combat mais si c'est un
quelque chose que vous travaillez
beaucoup mais c'est vraiment un blocage
que je ressens que je vois dans la
discussion à mes amis qui assez flagrant
quoi alors maintenant ça tombe bien
parce que je suis un peu sans doute
décalé parce que on a en fait prévu
quelqu'un qui va parler découvert
dans le sud de la france est quelqu'un
qui a encore un autre regard parce qu
une autre posture
j'ai pas fait venir stefan mais stefan
s'il te plaît est ce que tu peux venir
parce que cet effort va nous présenter
aussi un regard qui l'a par rapport à
des essais qui qu'il fait et qu'il mène
avec les vignerons qui le suit c'était
fin est ce que tu peux présenter un peu
d'abord d'abord quelle est ta place ton
rôle est aussi les essais que tu as fait
je sais que tu veux nous parler du gel
mais en fait j'aurais aimé si t'es pas
faits interviennent tout de suite c'est
parce que j'avais cette idée gel dans la
tête et et sam a gelé la capacité à
comprendre que oui c'est vrai que tu
était sacrément dans le sud et que tu
allais pouvoir nous éclairer aussi sur
la manière de gérer l'eau parce que
stéphan a fait des essais de couverts et
il a fait des mesures l'année dernière
où il ya eu des grosses problématique de
gel là où il suit ses viticulteurs mais
c'est une petite présentation
ah oui d'accord bmg j'ai une clé je n'ai
pas si elle est
ok arrivée au quai
donc effectivement je suis stefan heinig
responsable technique chez alstom
coopérative en provence vous verrez au
fond mais j'ai plus de questions que de
réponses et je suis ravi qu'on me donne
le micro je vais pouvoir me soulager un
an vous transmettez mes questions
peut-être vous allez m'aider à y
répondre
effectivement quand on parle couvert
couvert des sols couverture des sols au
fond un vigneron la première question
s'il se dit oh là je risque de la
sécheresse je risque duel de 30 hommes
et donc je travaille mais sol énormément
je veux pas inquiet des aides
parce que mon herbe vam évaporé de l'eau
et il va me faire du stress hydrique et
au fond on s'est dit ben oui non je sais
pas qu'est ce qui se passe et pour ça
c'est dit ben il faut mettre des
capteurs il faut faire des mesures pour
véritablement savoir de façon analytique
c'est que ce qui se passe
et donc je veux je vais vous faire un
peu le compte rendu de nos premiers
travaux alors pardon mais ils sont
relativement récents puisque fait on a
créé un groupe qui s'appelle sol vivant
dans le cadre d'un cluster rodez
provence et donc je suis un peu le
le porte-parole de ce groupe dans lequel
auront on retrouve donc racine et saper
le cabinet d'agronomie provençal et
l'institut coopératif du vin
on a monté un groupe de travail dans
lequel on essaie de de mettre en commun
nos questions pas mettre en commun des
outils de façon à essayer d'apporter des
réponses
alors l'objectif c'est de créer du lien
entre les techniciens et les agronomes
de façon à partager des réponses et
peut-être essayer de 10 trouver
une forme de d'assurance aussi et
effectivement si on passe à la diapo
suivante on s'est posé des questions du
effectivement on s'est posé la question
du risque de gel de printemps
la question de la température des
soldats n'étaient effectivement la
question principale par dont on va se
laisser aller c'est très bien là où la
question du stress hydrique
alors en fait pour essayer de répondre
on a mis en place donc on a mis en place
donc des parcelles expérimentales avec
des bandes d'une modalité juste à côté
des bandes avec une autre modalité et on
a analysé le le rang du milieu qui est
donc bordée de part et d'autre de la de
la modalité on est parti sur découvert
sur découvert ce mais compte tenu que
les couverts naturelles ne sont pas
suffisamment régulier ne sont pas
suffisamment haut pour répondre à notre
objectif alors températures par rapport
au risque de gel vous diront on a mis
des des capteurs des capteurs
enregistreurs voilà et on a regardé ce
qui se passait alors
on a eu la chance ou la malchance cette
année tout dépend comment on le on le
voit d'avoir plusieurs séries de gel
alors mis sept ans à ses tendances à
passer effectivement que ce changement
climatique que l'on voit finalement en
provence on le vit de plein fouet parce
que finalement on n'a pas d'hiver ou
très très peu
on a un printemps particulièrement doux
et un mois de février voire limite très
chaud qui fait qu'au fond la vigne
commença à des bourrées ou doigt en
classe sont phénomène de débourrement
dès le mois de février qui fait qu' on
on a des débourrement qui commence début
mars mi mars
moi depuis que je fais ce métier de
technicien ça fait une vingtaine
d'années
aux usa on a gagné quasiment trois
semaines de débourrement et quinze jours
de sueur et aux niches maintenant pas
loin de trois semaines de débourrement
ce qui fait que en fait nos vignes qui
débourse courant courant mars
on a à chaque fois il n'y période de
deux 2 froide mi-avril qui nous met
dedans
avant on pouvait mettre des cabernets
des cépages tardifs qui nous éviter ce
froid maintenant cesser ces cépages
tardifs et ben ils déboursent fait mars
début avril
et donc quand on a du froid fin avril de
bain ils sont déjà sortis donc cette
stratégie de mettre des cépages tardifs
ne marche plus alors on a ici on avait
une parcelle
on avait une parcelle de de féverole ça
c'est une première mesure qu'on a fait
donc c'était fin mars scénario de gel de
gel le jeu de jolis noir on a sur rome
on a on a broyé la féverole sur un autre
rôle à rouler un autre vin on a
travaillé et il y avait un vent où on a
laissé en herbe et la féverole donc qui
était sûr après m 1 m 30 de large et
elle faisait 50 cm d'eau et donc on
constate donc dans cette nuit dans sept
nuits de gel que bon le le le plus froid
c'est le sait la modalité roulait alors
ça nous a pas trop surpris parce que
dans la bibliographie on voit que le
quand on roule le couvert le finalement
7 ce roulage gêne le le le rayonnement
du sol est en fait ce qui va temporiser
le refroidissement c'est ce c'est ce sol
qui a magasiné de l'énergie dans la
journée et qui va le restituer donc en
fait on voit bien que ceux couverts ou
les freine le ce
ce rayonnement après donc on voit que la
modalité broyé et la modalité travailler
c'est rigoureusement identiques et la
modalité en art brb et ben se se détache
nettement du reste avec plusieurs degrés
de d'écart alors très sincère aux mains
pour être honnête j'avais pensé vous
mettre les vous présenter les courbes
sans les valeurs parce que j'ai pas
forcément l'avis qu'on retienne les
valeurs parce que c'est un instant donné
c'est sur une parcelle est à la limite
les parcelles les valeurs nous vos
connaissances ce qu'on voit c'est que
ici
la version 1 rb est nettement moins
froide que les autres que les autres
versions
alors dans l'explication si vous voulez
je pense que logiquement on comprendra
c'est assez facilement que dans cette
danse est jolie noir ont finalement
c'est top c'est une masse d'air froide
qui vient sur cette parcelle 7,7
féveroles empêche le froid de défendre à
travers le couvert et elle fait un peu
comme quand même comme un plat forme qui
qui qui va empêcher le froid descendant
là on était sur une température humide
effectivement parce que on avait eu
quelques quelques brumes quelques années
non là c'est une température à l'instant
t mais c'est une température mesurée et
température de l'air qu'est ce que tu
appelles température humide carle
de gel à bordeaux en france être plus
qu'embêté le parlent par le sujet on
installe actuellement des capteurs donc
on travaille sur des températures mais
des température humide et ses terres
qu'on travaille à des capteurs qui ont
une sonde qui baigne donc dans un
réceptacle avait de l'eau et qui nous
permet d'être beaucoup plus précis parce
qu'on prend en compte les mutations
levant tous les paramètres
ça se rapproche de la température
ressentie c'est beaucoup plus
intéressant pour déclencher des moyens
que la température sèche donc c'est pour
ça je posais la question si on était sur
un capteur une sonde de température
humide ou sèche par rapport à par
rapport à ce que tu décris on est plutôt
sur l'état mais un tueur sèche
c'est pour ça que au fond d'un autre
dans notre présentation on s'attache
plus à à vérifier les écarts est selon
les modalités que sur les voleurs à
temps
c'est qu'il veut faire une mise à jour
alors ici on est sûr sur une
problématique de gel de jeu les loges
température au niveau du cordon
c'est à dire qu'on a posés descendre au
niveau du corps d'homme on a ici une
modalité travailler et au dessus une
modalité en herbe et donc on voit j'ai
possédé sont donc à 60 cm de haut au
milieu de rome parce qu'effectivement je
n'avais pas de deux couverts dans le
rang ce qui ce qui nous intéressait
c'était de voir dans une modalité
enherbées en totalité ce qui se passait
et là on a mis une sonde à 60 cm de haut
niveau du cordon dans un an
de part et d'autre qui était énervé ce
qui fait que on a ici à peu près de part
et d'autre 80 cm enherbé et on constate
effectivement que la la sonde
elle n'est pas dans le couvert et donc
elle est quand même au dessus et on a un
écart assez assez important de de
température alors disons que là ce
résultat un peu nous nous interpelle
alors on a consulté à droite à gauche
les hypothèses comment on peut expliquer
que on a un tel ou tel écart parce que
là on n'est pas dans une zone qui donne
le couvert alors on a émis l'hypothèse
que que ceux couverts en l'absence de
deux de la nuit donc en l'absence de
rayonnement
finalement il respire ceux couverts il
dégageait du gaz carbonique et ce gaz
carbonique agit comme un gaz à effet de
serre puisque c'est un gaz à effet de
serre et il va réfléchir les infrarouges
et du sol qui fait que ce sol
var se refroidir moins vite il va
permettre d'arriver au petit matin
encore en ayant de l'énergie par rapport
à un sol qui serait totalement nue et et
quand on a un refroidissement finalement
cette énergie est perdu dans dans
finalement dans l'atmosphère et au petit
matin il ya plus d'énergie et ce qu'on
voit c'est qu'effectivement depuis
depuis le depuis le matin on a une une
descendre une descente très régulière et
de la presse que découvre presque
parallèle au alors effectivement le
travail qui est acquis à faire là c'est
effectivement c'est de vérifier ça c'est
de continuer à faire des mesures pour le
confirmer ou l'infirmer
ce conte ce qu'on a essayé de faire
aussi ces deux puisque en fait comité
tout à l'heure on a eu plusieurs séries
de de froid
on a mis mon ami dé descendre dans les
mêmes conditions
ici dans un cercle qui était pas qu'il
n'était pas vraiment épais alors on a on
a un cinglé pareil ici qui fait 50 cm
d'eau de la même hauteur que le que le
couvert précédent qui faisait aussi 50
cm de haut la différence entre les deux
ici c'est que la voyez s'il ya un lièvre
qui passe le lièvre on va le voir courir
et que tout à l'heure le mélange était
épais danse et on a été vraiment pas
dans la même configuration et on voit
qu'ici
finalement on a pas d'écart entre entre
la modalité enherbé et la modalité
travailler
finalement selon les heures c'est plus
ou moins froid et donc ce qui ce qui
nous fait dire pardon dans notre diapo
on a on a on a remis de son nom dans la
main parcelles on a mis des sols mais
cette fois ci avec a eu des défendent à
20 cm de hauteur du sol et on voit qu'on
retrouve ici les mêmes ont finalement le
même constat que des sondes à 60 cm de
haut
ce qui nous fait dire que par rapport à
cette mentalité là la différence c'est
la densité du couvert ici et au fond on
se dit est ce que est ce que finalement
on ne peut pas avoir une moins grande
sensibilité au froid
sans parler de protection mais par
rapport à un couvert qui serait danse et
aujourd'hui ce les les essaims qu'on va
mettre en place donc au mois d'août
c'est des scénarios où on va avoir
découvert danse pour vérifier
l'hypothèse de dudu de cette sensibilité
au froid
si on regarde maintenant les
températures au niveau du cordon
toujours dans cette ce scénario de deux
jaunes et blanches mais selon le monde
de l'intérim
ça veut dire que là on a mis des
descendants dans le cordon entre deux
rangs qui sont en herbe et danses et de
rang qui somme de travail et donc on
voit que entre la modalité travailler et
la modalité en herbe et aux formes
on a des températures voisines
alors je dis pas qu'à la marge voyez ici
la modalité travail est légèrement
supérieure jeu
là c'est un peu l'un vers ce je vais pas
dire que à la marche quand on a des
températures gélives à -2 degrés on sait
que la vigne va geler
on peut commencer à avoir du gel à moins
d'un an et demi jusqu'à moins de 3 tout
dépend de l'humidité du sol si si on a
une eu une température humide à moyen et
demi on va commencer à voir des dégâts
si on a une température sèche
on va commencer à voir des gars à moins
3 selon la profondeur du sol selon la
couleur il ya d'autres paramètres et
donc effectivement on peut dire à la
marge
cet écart là ça peut justifier des
dégâts ou de moins gros dégâts toujours
est il que dans les valeurs absolues au
niveau du haut niveau du cordon
quand on a deux un terrain à travailler
et 2 un terrain en herbe et il semble
que globalement il n'y a pas de creuser
car ici la même le le même constat sur
sur notre seigle entre un rang
travailler et le rang qui était en herbe
et au fond on est sur des sur des
courbes relativement comparables ce qui
nous fait dire que finalement ce qu'on
nous disait attention
l'internement augmente le risque de
froid jésus pardon mais je sais pas c
ces indicateurs la montre que c'est pas
aussi aussi évident que ça j'ai envie de
dire que effectivement canton quand on
en herbe les rangs et contre l'entente
on désherbe l'europe et qu'on laisse en
herbe est l'intérêt
j'ai tendance à penser que
si on met des descendent au niveau du
cordon
il ya de grandes chances pour que le
cordon soit plus gélif pas ce qu'il peut
se passer selon l'orientation des des
rangs des corridors de froid à
l'intérieur durant et et là quelques
dixièmes qui font qu'ils peuvent faire
la différence maintenant ce qu on se
concocte les essais qu'on va mettre en
place
afghans c'est un énervement presque
totale j'ai envie de dire parce que là
il ya une moins grande sensibilité
on l'a vu c'est sûr découvert qui couvre
tout le rang ou alors je ne sais pas si
il faudra aller juge a su jusqu'à se met
sous le rond parce que la presse ait
d'autres contraintes de mécanisation
c'est le smi c'est le travail du sol ou
le ou la destruction de cette herbe mais
pour en avoir parlé avec des lignes
rondes chez nous qui ont été gelés en
2016 et qui ont été gelés en 2010 est
qu'ils ont vraiment échappé au gel de
2019 et qui ont frisé le gel de 2020
aujourd'hui ils en sont à se dire tant
pis pour l'herbe
ce qui compte c'est aujourd'hui que je
ramasse des réserves et j'ai envie de
dire
la technologie permettent les
expérimentations
on trouvera toujours un moyen de gérer
ces termes
dès lors que on arrive à récolter des
réserves parce que je crois que l'enjeu
c'est véritablement de maintenir la
production
parce que il ya des structures qui
peuvent être mises à mal par déjà le
répétitif
sans compter que on a derrière après le
gel
on va avoir du stress hydrique qui peu
derrière réduire la production
donc il ya un véritable intérêt à
essayer de trouver des solutions parce
que derrière sondés dans des structures
des entreprises qui peuvent au goût du
doubs avoir des gros problèmes de de
pérennité comme ça quand tu parles de ça
avoir découvert au dessus de la plante
sa part est des fois pas facile à
arriver à
aller faire ses couverts et cette
densité aussi avoir une densité
suffisante pour que l'air passe pas à
travers tout ça me fait penser aux
jeunes plants toi je me dis les jeunes
plants qui quand il gèle c'est
rédhibitoire des fois un objet de
replanter là par contre ça c'est facile
c'est d'avoir couvert qui dépasse les
jeunes plants sur sur une plantation
d'automne par exemple ça me semblerait
un regard intéressant à développer
j'avais peut-être penser à ta question
je ne sais pas effectivement quand on a
eu quand on a travaillé ce sujet moi le
premier je me suis dit mais messi sait
qu'on aura avec qui nous a qui nous
veulent parler un peu de ce que cette
idée de 2,2 de sensibilité ou de moins
grande sensibilité par rapport aux
couverts je me suis dit mais mais jamais
on aura un couvert au mois d'avril qui
va faire plus de 60
surtout en provence a fessé 5 il pleut
pas quand c'est qu'on peut semer on
pourra jamais avoir découvert est
important c'est pas possible je vous
montre des photos de prix de l'année
dernière là on a un mélange à base de
lait sera dit
avoine fourragères navette on est à un
mètre soixante dix au moins on est début
avril
ici on voit une vigne avec une féveroles
dont on dépasse a clairement la vigne
alors là je vous ai mis là
la photo de la parcelle
le prix au milieu leur a dit me
dépassant et et j'ai eu plaisir à voir
que là dedans c'était un silence
d'abeilles c'était fallait voir le
nombre d'abeilles qui avait donc j'ai
déjà envie de dire que affirmant avoir
découvert aussi élevé je dirais pas que
c'est impossible parce que les photos
montrent que que saleh par contre
effectivement je pense que c'est pas
possible partout
tout dépend effectivement du précédent
de la fertilité du sol
effectivement si on a un seul compact ou
un sol peu fertile effectivement on
n'aura pas ça c'est fou hein toutes ces
fleurs là on se dit que c'est un
véritable aspirateur à biodiversité du
coup parce que si on imagine qu avant il
y avait que les fossés les talus avec la
gestion différenciée qui faisait les
fleurs il y avait plus que ça finalement
quand un viticulteur se met à faire ça
sur cinq hectares ils triplent le volume
de fleurs et le volume de fleurs à
butiner en une seule année sur une
commune
vous imaginez l'impact vous pouvez voir
en tant que gris culteurs sur à faire ce
genre de pratique là c'est vraiment
c'est vraiment hyper forains on pense
réchauffement climatique mais il faut
penser de l'université si on regarde la
vie qu est ce que ça se réchauffe on
s'en fout en fait donc là il ya pour moi
c'est hyper hyper puissants de ces
images là merci je vais vous donner une
anecdote on a ça dans d'autres parcelles
en fait le comme le printemps a été très
très sec et très favorable aux insectes
on a des miellés inimaginable avec une
grosse grosse production de miel et des
ruches en très très bon état
curieusement
donc ça c'est constater par toucher tous
les agriculteurs qui travaillent ces
sujets là c'est tout de suite c'est
tombé alors le le le constat que j'ai pu
faire également c'est que tout le monde
en provence il faut être hyper réactif
et on s'est rendu compte que on s'est
rendu compte de l'intérêt a semée de
bonheurs ceux couverts là il a été semé
fin août et les couverts qui ont été
semées fin septembre après les vendanges
fin septembre début octobre
on était sur des couverts de 40 à 50 cm
de haut et avec avec eux aussi une moins
bonne densité ça ça a été pour moi c'est
révélateur et l'autre l'autre grosse
surprise c'est que quand on a semé
en août le couvert était dehors trois
jours après et quand le vigneron m'a dit
mais vient voir mon couvert il est
dehors
je n'ai pas cru mais ça fait trois jours
que tu as mais non c est en fait trois
jours après on voyait les les sillons de
smith était effectivement en provence on
a la chance d'avoir de la chaleur
effectivement si si on a une pluie 20 mm
d'eau
ça pousse tout seul très vite et donc
mais pour arriver à ça effectivement il
ya un bon repas je vais pas des trop
prendre de temps mais mais il ya une
vraie question aussi à se poser sur
comment je sème et comment je prépare le
sol parce que donc c'est aussi parler
avait dix vignerons qui historiquement
voulait faire de l'année armements il
avait passé dix hectares il allait
passer de la rotative
il avait fait des semis préparation de
semis et ayant consommé
ils ont fait la prépération de smic
parce qu'il a plu et après ils ont mis
la graine et le fait de préparer la
terre finalement ça a séché le sol
domi la graine et y'a rien qui a poussé
sa queue en fait on part sur du semis
direct parce que je me dis que
effectivement en provence il faut
pouvoir être hyper réactif d'autant que
là pour avoir ces chaleurs là c'est au
moment des vendanges où c'est la période
des vendanges et il faut pouvoir être
réactif par rapport à la pluie s'il
tombe de 20 mm il faut il faut avoir le
saut mariani quoi parce que il faut pas
non plus que la graine poussins et que
derrière on est un mois 2 sec et que la
graine trouve le sec et ne pousse pas si
c'est moi je raisonne un peu ce semi un
peu comme le mieux c'est-à-dire que
quand on va semer
il faut se dire qu'elle est la météo des
15 prochains jours
j'y vais j'y vais pas c'est quoi le
risque c'est comme me douce il tombe une
pluie que derrière on a du mistral de la
chaleur ont le risque midi où il est
relativement faible
par contre derrière si si si on a une
pluie que derrière on a quinze jours
depuis là si on n'est pas parti dans les
timbres on en est déjà mort et je pense
que ce semi là en fait c'est un peu
comme ça qu'il faut le raisonner et et
se dire j'ai 20 mm de pluie je sais me
danser dans ce sol qui ferait parce que
comme une fois en province on est comme
on peut avoir de la chaleur la nuit et
le jour au mois d'août en septembre
début septembre mais dès lors qu'on
arrive sur le la fin septembre le début
octobre
on a des grosses d'appliquer le
thermique avec de la chaleur dans la
journée et du froid la nuit qui fait
qu'au fond la la graine a du mal à
germer et on a aussi de deux grosses
pertes de graines et là ça touche ça
touche à un intérêt économique
c'est que c'est qu'effectivement quand
on va semer un septembre on peut se dire
je vais mettre 10 15 kg
à l'hectare de graines parce que tout va
pousser et quand on va semer en octobre
on va dire là je vais je vais mettre 25
voire 30 kilos parce que je vais avoir
un échec important
les températures soldes d'été j'arrive à
ta question
on a mis des capteurs on a mis des
sondes et on a regardé ce qui se passait
donc là on est sur des mesures sur le
mois de juin
et hop je ris voilà donc ici on a le la
vignes enherbées et et la vigne pingre
ou les envoyer ici on a on a roulé le
couvert il ce couvert il n'est pas
entièrement morts ici on voit les trois
rangs notoriété moins énervé alors
effectivement on est on est très mal
équipé un roulage découvert parce que en
fait en provence c'est sonné le début
des découverts ce qui fait qu'on roule
un peu avec les moyens du bord donc le
couvert il n'est pas totalement mort
mais on voit qu'il a pris quand même un
sérieux coup sur la tête
on voit que entre donc là vous avez
différents jouerai un jour deux jours
trois jours entre le sur cette parcelle
là entre le sol travaillé et le sol dont
la modalité rouler on a ici
3° de d'écart et est donc on voit que
c'est ici ce sont des courbes totalement
reproductible on a envie souvent d'avoir
des courbes comme ça quand on fait de
l'expérimentation c'est
alors ici j'ai une autre une autre
parcelle ou ici la modalité rouler et
ici la modalité travailler et donc on a
sur cette parcelle là on a cinq degrés
d'écart entre les entre les deux
ici le précise que les la somme dont les
amis dans les cinq premiers centimètres
ce qu'on nous a dit que le sait dans les
cinq premiers d'entre entre les 5 et 10
premiers centimètres
que se passait les choses alors on a on
a impliqué c'est aussi cinq premiers
centimètres dans le couvent et ou dans
le sol dans le sol donc une autre une
autre modalité alors on s'est dit entre
han sol couvert sur le temps du et
insolent travailler c'est qu'est ce qui
se passe quand on voit que sur cette
modalité là on a entre 5 et 6 degrés
d'écart et donc ici on a la modalité est
couvert ici la modalité tombe on attendu
mais il est repoussé un peu d'herbe mais
on voit ici là la crevasse et qui montre
que on est calme serein sur un sol sur
un sol brut et là on a travaillé le sol
donc on voit ici que l'on a donc une
différence entre 5 et 6 degrés avec le
sol couverts qui apparaît encore une
fois
plus frais que un sol tendu où un sol
travailler le sol couverts il a été
roulé avec les moyens du bord alors
alors je vous ai pas mis toutes les
cours toutes les mesures que j'ai faite
parce que j'ai fait tourner on a à peu
près une dizaine de parcelles
expérimentales
j'ai fait tourner les thermomètres
j'aurais pu vous mettre les dix autres
on retrouve chaque fois le sol travaillé
plus chaud avec des écarts entre 2 et 5
degrés j'avais une remarque là ce stade
là qui va avec le travail que nous
montre hervé covès en fait c'est très
intéressant puisqu'on voit que le solde
qui est couvert globalement il garde une
plage de température entre les 22 et 26
degrés pour faire simple et donc
l'optimum de la biologie c'est 25° c à
60 d'humidité
donc on voit bien que la plante elle
envie de réguler quelque chose qui va
vers son optimum c'est très très très
curieux c'est très intéressant ça vaut
le coup d'être continuer je pense il
impacte sur les racines mais l'appel sur
la scène de la vie ont fait on fait
l'hypothèse très simple que la biologie
va alimenter toute la phase de nutrition
de la vigne sur sa deuxième croissance
wall a des besoins énormes et donc plus
elle sera régulée en température plus
elle aura à manger mieux ça se fera
parce que quand on voit ses courbes là
on se dit entre 2 à 5 degrés d'écart est
ce que c'est
important est ce que c'est significatif
parce qu'en l'état 5° moi ça me parle
pas les 5 degrés j'imagine que 5 degrés
à 35
c'est plus confortable que que à 20 mai
mais est ce que est ce que l'impact au
niveau de la biologie du sol du
fonctionnement du sol est-ce que c'est
significatif et sur l'évapotranspiration
en fait c'est ça qui nous pose question
en fait savoir est ce que on conserve
l'eau dans le sol ou est ce qu'elle est
mobilisé en fait c'est ça qui est
difficile à savoir en fait alors si tu
est excellent parce que tu tu m'amènes
aux prochaines étapes et je précise
on n'a rien préparé alors ici on a une
on a une modalité déchets verts on avait
un vigneron qui a répandu des déchets
verts et on a fait le même travail
donc on a ici une différence de 8 degrés
début juin
alors au début je vais vous n'avez pas
quand même les les fortes chaleurs que
le même énorme bon on verra en août si
l'occasion de me reposer les sondes mais
déjà on avait 8 degrés des cartes pour
le vigneron ici il avait honnêtement
chargé en déchets verts et là on est sur
du 3 4 cm d'épaisseur mais j'ai tendance
à j'ai tendance à penser que que
l'interminable injuste alors on me
disait que aujourd'hui il avait
découvert élevé j'ai tendance à penser
que avec des couverts pailleux élevé on
peut s'approcher de sa faune et nous
avez idée de de fer d'essayer de faire
le lien entre le lait la hauteur du
couvert et le le gain en température
mais bon c'est pas évident parce qu'au
fond on a aujourd'hui des les couverts
qu'on a mis en place en août l'année
dernière s'est découvert à base de ves
davoine et de radis et on voit que ce
qui a fait finalement le match qu'on a
aujourd'hui sur nos parcelles c'est la
baisse qui a bien couvert le sol
sauf que je suis un peu frustré parce
que je m'attendais à avoir une une une
épaisseur plus importante et je me dis
peut que peut-être on peut avoir des
gains supérieurs avec peut-être plus
d'avoir le plus de paille on isole des
maisons avec la paille et donc c'est sûr
que si tu horizontale is this it is it
est pas ils sont aplaties elles sont
beaucoup plus efficaces pourraient
l'imiter évapotranspiration et limiter
la perte thermique même que si elles
sont verticales ccc la chimie la
physique basique on a un essai sur deux
là on avait la féverole qui c'était
extrêmement bien moi je suis un enfant
de la ferme et de un petit peu ce
intéressant et on un des plus beaux pays
mais c'était dans une des parcelles
qu'on avait on est ensemble
ou quand tu grattes un peu une
faverolles bien couché c'est à dire avec
un rouleau qui va la mener de façon
parallèle auront donc horizontale point
tu retrouves les kanaks avaient très
bien pousser mais maintenant des canes
d'un semis je parle d'un semis au 10
octobre dernier la plane encore bien
dure bien droite en pleine décomposition
plein de champignons donc c'est très
intéressant tout à fait j'ai pas mis la
photo car est pris à la can et je vois
qu'il est qu'il est au fond mais quand
il est venu chez nous début début
juillet la le le 2 le 2 juillet on était
un homme un projet de l'agroforesterie
et puis il avait une parcelle de 2 x
lavoine oui c'était j'étais très émue et
donc on a en a on a écarté la folle
avoine et avec le même comme ça il a il
a pris la terre hors déjà j'étais
surpris de voir combien cette terre elle
est aimable et on est arrivé à faire un
bout d'aile le 2 juillet alors qu'il
n'avait pas plus calmes depuis depuis
trois semaines au moins on est arrivé à
faire un boudin sous la folle avoine
avec une terre de surface alors qu'à
côté on pouvait pas planter une pioche
mais ça montre quand même que ça montre
quand même que au moment où on se pose
la question de du stress hydrique où on
cherche à à investir des millions pour
dire comment je vais amener l'eau faire
des forages
il ya avant d'en arriver à ça il ya
peut-être un moyen de limiter le besoin
sont sympas et demande encore donc c'est
que voilà une conclusion de ce que de
cette affaire de température donc il
apparaît que un couvert peut agir sur le
sol entre 2 et 6 degrés selon je peins
selon l'épaisseur du coup là j'ai
d'autres des lions que je suis qui ont
mesuré 12 degrés sur b découvert à base
de graminées spontanée dans des régions
un peu comme etienne c'était dans les
pyrénées orientales 12 degrés de
différence entre un sol complètement à
nu par contre et un sol couverte 2 à 5
cm aussi oui oui ça sert à rien de
regarder en surface un peu c'est sans
doute toute façon s'il y a 6 à 30 en
surface c'est qu'il ya beaucoup à 5 cm
bien merci stefan 7,8 tu voulais tu vois
tu voulais parler de prestige et je
termine offrira bien rapidement puisque
qu'on laisse un petit peu de place à
l'interaction est une question j'espère
vous êtes chauds êtes chaud non ça on
n'a pas constaté ça pouvait si on
réfléchissait ci et ça refroidit le sol
la question c'est quel hiver il a fait
on se pose toujours des questions de
manière très étroite
quel est ton seul quelle est sa capacité
à avoir gardé la température de froid ou
de show de l'hiver qu'il a fait donc si
tu en sol il est très froid et que ton
air et très chaud ça va accélérer le
débourrement mais citons sollicite pas
refroidi et qui a été protégé en plus
par une couche de paille
il va mettre plus de temps à se
réchauffer ça va accélérer le
débourrement s'il est très chaud et que
tu découvres et que donsol monte en
température en même temps que l'air ça
va retarder le débourrement cette
différence de température entre la
température du sol la température de
l'air impact super fort sur
sur la précocité de débourrement et donc
on peut pas l'isoler de la saisonnalité
et des caractéristiques de conductivité
thermique et de des sols en fait en
termes de coût vers où j'ai observé une
petite faim peut aussi apporter une
micro micro micro éléments de réponse
le premier passage d'intercel par contre
hui on s'aperçut quand on avait vraiment
forcément 407 au preneur route donc de
l'hiver forcément l'air chaud les
premières chaud vous savez ces journées
printanières qui monte à 28
o o 15 15 avril viennent forcément pas
cet air chaud entre les sims et
fissuration conakry et forcément on
accélère parce qu'ils des caves aion jeu
qu'on appelle des crayonnés
alors là c'est encore plus flagrant où
je connais des parcelles / / /
saint-émilion avec des propriétés qui
travaille ou pas mal des propriétés qui
décale bayonne comme on faisait mon
grand-père avec des laîches de 31 cm où
tu passes sur la route tu vois à baisser
si des bourrées et l'amour et celle ci n
est pas des bourgs et le soler faire
venir
donc oui la ja mais sur le couvert en
lui même je n'ai pas observé par contre
ça évite de jeu les sages que je peux
vous en parler sourire ça évite
sacrément de jeu les cons un couvert qui
sut qui au dessus de 30 cm de nos
bourgeon sanef et isolant ça évite à
l'air de se stocker l'air froid continue
etc etc
et si on a une et on bloque l'air enfin
presque
en effet c'est un peu comme en fait au
départ quand on s'est posé cette
question du gel
on avait sept féveroles qui faisait 50
cm de haut et on a dit qu'elle conseille
on doit apporter aux vignerons et là on
a mis une seconde à 20 cm du sol en
disant ma faveur en effet 50 je veux
savoir ce qui se passe à l'intérieur
et pour comparer les modalités en fait
on a mis toute l'essonne à 20
centimètres pour être dans les mêmes
conditions
ensuite donc ça c'est le dans le
scénario gel divers et ensuite on a mis
d'autres sondes
le lendemain sur l'année mais on a eu un
autre épisode de gelée blanche sur
d'autres parcelles on hamida des sondes
à haut niveau du cordon et à 20
centimètres pour voir ce qui se passait
en fait mais effectivement dans le cas
de dans le scénario de l'âge les noirs
effectivement je pense qu'il faut avoir
découvert qui dépasse le cordon dans le
cadre dans le cas d'une gelée blanche
il apparaît que c'est pas nécessaire
mais par contre ce qui est indispensable
c'est d'avoir tous leurs en herbe et un
pour être clair c'est ça si vous en
herbes et l'intérêt est que vous
désherber que vous travaillez le rend ça
ne marche pas ce dont je suis sûr c'est
que ce site ce scénario de rang
travailler ou désherber ça ne marche pas
dans la dame
dans le dans la réduction du risque
devient elle même si vous avez un un
terrain en herbe et ça c'est clair
je dirai à la limite presque
il faudrait faire l inverse il faudrait
en herbe et le rang et travailler le
terrain
par contre se pose de la question après
comment on organise les traitements
comment on travaille on sue c'est ça la
question mais j'ai tendance à penser que
c'est ce qui prime c'est de ramasser les
raisins et après on verra on verra quand
justement ont travaillé en r d les faits
me gallix on parle énormément d'eux et
non on n'a pas sonné on n'a pas fait ça
on n'a pas fait ça parce que on est
parti dans l'idée d'un r b tous les
rangs
ce serait plutôt défavorable ce cas
plutôt défavorable parce que je connais
pas beaucoup de gens qui ont cavaillon
non désherber si lyon était demandée
gerber se dire que si l'herbe aller au
delà de la vie ça marcherait mais du
coup on a pu noter les puisque ça sert à
quoi de belleherbe dans l'entrepôt
donc la question c'est est-ce que s'est
noyé dans le végétal ou est-ce que ça ne
l'est pas et le fait de faire des
contrastes comme l'air froid c'est une
masse qui a tendance à descendre et à
ceux stockés dans les creux là le risque
est plus important des cons on a nos
vignes qui sont dans un creux en fait
dans une zone basse pour eux je peux
vous répondre peut-être par retour
d'expérience quand on a fait un cercle
d'échangés autour de ces de cet opéra
tueur il ya un vigneron qui nous
expliquait qu' il était énervé un rang
sur deux dans le moment du gel il y là
il a été gelé à 5% alors que son voisin
qui était qui était travaillée lille
avait rien il était une jolie
il était moins joli il ya un expert qui
est si vous voulez vous renseigner sur
ce monsieur qui est vraiment très
brillant c'est jean-françois berthomieu
qu'il connaît de la cmg l'association du
pour la climatologie de moyenne et haute
garonne qui a fait des études très très
très très poussées sur le gel non a fait
intervenir dans le cadre du conseil
viticole saint-émilion esponda il ya
quinze jours au niveau de la grêle au
niveau du gel et au niveau alors que je
parle de l'aca docteur en physique donc
c'est vraiment intéressant de comprendre
comment se constitue
on parle pas d impact 1 on parle pas de
qu'est ce qu'on fait après la réalité
ramer pour comprendre comment une plante
peut geler les différents des trois
types de gel les systèmes de lutte qui
peuvent exister et puis après tout la
partie drik aussi et ça monsieur qui
répond à toutes ces questions là
justement
qui ont ils analysaient les flux les
flux d'air dans les parcelles
si on est sur les rangs se met en rang
sadi naturellement 1re enfin 100%
désherber et c'est la création de et qui
permettent de bloquer l'air sur une
pente en bloc que l'air en sectorisant
enfin on peut organiser la circulation
d'air très clairement
donc voilà pour ceux qui voudraient se
se renseigner il reste personne
extrêmement brillant c'est jean-françois
d'hubert thoumieux brt à chaud une amie
se unix c'est un préalable à
l'implantation de d'agroforesterie de ce
regard là on l'a vu en 2017
toutes les parcelles avec des bosquets
en bas elle avait gelé jusqu'au niveau
de la canopée des box et des bosquets
alors que celles qui avaient simplement
des sur le côté où s'était ouvert en bas
je n'avais pas joué du tout donc on peut
aussi accélérer la circulation d'air et
comme tu dis la freiner en fait c'est ce
que l'on appelle dans nos aménagements
agro forestiers du bioclimatisme en fait
on cherche à comprendre comment
influencer sur le microclimat de la
parcelle en se protégeant de ce qui nous
agressent et en favorisant ce qui nous
protège
il ya olivier une question
après avoir respiré senti que la nuit ça
sera plus à posséder ce processus qui
réchauffe ses exothermique la
respiration cellulaire
jean françois lisée aussi il ya les
fêtes de fives un peu la température
extérieure mais il ya aussi sont dans le
vent a tiré sur la capacité de résister
de la plante si si les jeunes feuilles
ou un brick du zèle dont elles vont
mieux su forcer épopée ratures ça dans
mon sens de d'avoir des réserves dans la
plante
alors non on n'a pas fixé
d'investigation là par contre elles
seront prévues l'année prochaine on va
mesurer le le le gaz carbonique dans les
couverts justement pour essayer de voir
s'il se passe quelque chose pour
terminer sur le sur le stress hydrique
on a fait des mesures à la cham
impression pour évaluer donc le le
ressenti de la plante
voilà donc ici on a un certain nombre de
parcelles
on en connaît on a six parcelles
voilà on a six parcelles donc avec des
modalités rouler des modalités travail
et donc les deux premiers donc ça c'est
la parcelle 1 2 3 4 5 6 les deux
premiers bâton
donc c'est les mesures faites en juin
les deux autres c'est les mesures faites
en juillet donc le premier bâton en vert
plus foncé c'est le leur où les deux
jeunes donc le travail et de juin ici
c'est le roulé 2 juil
ici le travail et de juillet et ainsi de
suite
1 c'est bon donc on a pour chacune des
parcelles on a les mesures de juin les
mesures de juillet ici en fait cette
courbe se battant là il faut le
rapprocher de ce bâton la haie et voir
et voir l'évolution des deux donc entre
la deûle à allah on voit que dans on a
baissé un stress hydrique sur cette
parcelle du thoronet sur l'énervement
rouler et là on a également baissé entre
juin et juillet donc ce que l'on
constate ici donc c'est que on a cette
parcelle cette parcelle
cette parcelle également et c2 qui qui
montre que sur ces deux premières
mesures de juin et juillet sur les sols
travaillé on a plus de stress hydrique
que sur les modalités rouler
nrb rouler avec ici comme des des
différences des différences selon
probablement les cépages alors sur cette
parcelle là la particularité c'est que
donc ici on avait donc un couvert en
roux 1 rbds et et le vigneron il voulait
faire propre en fait parce que quand on
a un couvert comme ça qui a été roulée
très tôt il pousse des les amarantes ils
poussent eux des eyrieux ross ces salles
on sait que c'est ça la et est donc le
vigneron il voulait faire propre et il a
passé le broyeur
sauf qu'un passant le broyeur il a il a
mis son sort la nuit et il a il a enlevé
tout le match qu'il avait fait ce qui ce
qui me fait dire que là on a un écart
qui est qui et qui est timide
j'aimerais rajouter un petit quelque
chose auquel on oublie trop souvent
c'est que on peut on n'est pas obligé de
le poser gyrobroyeur on peut on peut le
tenir à 30 cm on n'est pas obligé de
tondre même avec les tondeuses
intercepte on peut tondre à 10
centimètres sous la baguette
ce qu'il faut c'est que ça aille pas
dedans et la plante est ce qu'on porte
complètement différemment quand on fait
ça de toute façon on le sait très bien
par exemple en paysage quand on tond si
vous tombez à 3 cm et si vous tombez à 7
cm vous multiplier par cinq la
biodiversité c'est quand même pas rien
ça veut dire que utiliser votre trois
points et votre non pas comme un truc
aux rough mais quand même un truc que
vous pouvez régler parce que c'est le
cas vous n'êtes pas obligé de l'opposé
c'est le problème des moutons on peut
pas les régler
s'il faut les pousser
c'est justement c'est justement ce qui
nous explique c'est que pour régler le
mouton il faut lui mettre un chien au
cul et les vaches celle avantages des
vaches c'est que les vaches rh pas parce
qu'elle vous arrache avec la langue et
donc c'est ce que on a appris hier c'est
qu'une vache quand tellement elle
arrache avec la langue
et quand el harrach avec la langue
gallèse 13 cm et 13 cm c'est
parfaitement ce qu'il faut pour que la
graminée puisse repartir
elle n'est pas comme la vache elle a
envie de manger encore avec vous il faut
mettre des déroutes vol de 13 cm 0
minimum je crois que c'est la dernière
diapos ici on a on a une comparaison
donc sur entre un rang qui est qu' un
couvert qui est qu'ils aient roulé et un
couvent est et en rendre ou qu'ils aient
travaillé sur un côté et en herbes et
les arbitres de l'autre côté donc un
grand travail et d'un côté tendu de
l'autre et là on a un rang qui est roulé
des deux côtés sur un plantier et sur
une parcelle de cas merci
donc on voit que toutes les deux sont
proches du stress un stress faible mais
que le zoo le plat de mariage je suis
aussi surpris de ce résultat parce que
je m'attendais pas à avoir un écart
seulement sur un rer a sur le non pardon
c'est celle-là je pense la dernière
diapos ici on a une modalité avec les
déchets verts et sans déchets verts
donc on a la mesure on retrouve la
mesure au 2 juin
donc ça c'est avec déchets verts la
mesure où deux jeunes amants de la
mesure 2 juillet ici c'est donc c'est
avec déchets verts et sans déchets verts
et on voit que donc les trois parcelles
marc le le la meilleure résistance à la
sécheresse avec les cheveux avec
notamment une parcelle qui réagit fort
là c'est la syrah bon il faut voir que
là on est sur un sol sur un coteau
plutôt caillouteuse donc un sol plutôt
défavorable à la syrah on sait que la
syrah elle est très sensible à la
sécheresse donc ce qui fait que ça
marche fort
le le senso et les rôles sont un peu
moins stressant ce qui est on voit que
là il ya donc il ya un effet ces pages
important
[Applaudissements]
on met en marche s'il a démontré jeu
quand un désherbage total
d'interventions qui stresse eric plus
parce que vous savez que le choix qu'ont
su y ait eu eric debard cet effet si
c'est physiologique la tension allait
générer par les failles et donc pas par
le sol donc je suis permet de revenir
simplement que le sol c'est comme une
éponge et que dans + coût d'un plan des
lgv aspiré dans ce volet vont vous à
dire si le sol il est très essentielle
ment il contient encore plus d'eau et
donc la plante a besoin de moi je n'ai
l'intention pour respirer hôtel un seul
sait que dans ce sens là qu'il faut voir
le la chose mais l'intention cellule
tension qui est continu fait qu'il y ait
eu inhérentes à la plante et qui n'a qu'
un rapport simplement avec donc
l'hygrométrie du sol
saab on sait que plaisent plus le sol
sec plus la plante aspire fort pour
aspirer pour âgées approuvée bonnes
soldes donc ça ça vient confirmer ce
qu'on a commencé à observer avec alain
canet quand on a initié le programme à
gros on a fait des tests avec un destin
les ricains porosité du sol et combien
elle contient d'eau donc la quantité
d'eau contenue dans la porosité du sol
et bien les sols couverts en 3d côte à
côte sur le couvert sont venus voilà
pour pas en même temps pour pas faux
c'est trop les mesures et donc des sols
couverts nous ont donné toujours
beaucoup plus d'eau que les sols nus
donc il ya beaucoup plus d'eau dans un
sol
r alors que à l'oeil comme ça c'est pas
enfin c'est observe çà de vision ou même
avec une bêche ou comme ça c'est pas
évident parfois même les sols couverts
ils apparaissent plus sec que les sols
nus mais à la mesure
on a toujours eu un delta positif avec
des centres ouverts n'en faisait couvert
vivant parce qu'on était dans des
campagnes de mesure donc tu vas chez le
paysan télé tu fais avec ce que tu as en
fait tu cherches un endroit où il ya un
sol nu et à côté avec des plantes c'est
tout ce qu'on cherchait il ya une
problématique quand on mesure l'humidité
du sol et que cette humidité du sol sur
un sol couverts et vivant si elle est
vivante elle est mobilisée cette
humidité du sol elle est mobilisée par
le vivant
je suis pas sûr que les sondés arrive à
trouver l'eau qui a coincé dans vers de
terre en fait tu pas sûr qu'elle arrive
à trouver l'eau qui a coincé dans le
carabe qui est fait pour justement est
étanche et donc c'est pas évident moi je
pense qu'il faudrait analyser des poids
de matière en fait pour savoir
exactement ce que contient seul à ce
moment là il faudrait prendre le sol les
deux seuls et puis les faire sécher
totalement et je vais voir ce qu'il en
est ce qu il reste donc faire sécher le
ver de terre avec bien sûr sinon sinon à
mon avis à mon avis c'est compliqué de
regarder ça avec juste des mesures comme
ça quand on quand on parle d'écologie en
fait
hong kong multiplient tellement les
facteurs que c'est pas facile d'analyser
ces résultats tu me donnes est a raison
de dire au début la que t'as pas envie
de donner les les températures c'est
plutôt des principes
parce que c'est compliqué les
températures tout de suite vous
induisent nous des réactions disant
moins 10 par jean cros - dit mais moi je
pensais qu'il y avait moins 10 alors que
vous voyez que c'est multitude de
facteurs qui rentrent en jeu quoi c'est
ça la vision d'abord écologie qui nous
intéresse c'est que
c'est pas une chose qu'il faut faire
c'est l'ensemble des systèmes qu'ils
font et qui crée la résilience et ce ne
sera pas mesurable plus vous allez
rentrer dans l'agro écologie - ce sera
mesurable parce que plus ce sera
complexe et c'est ce qui fait que ça et
fonctionnel c'est que c'est complexe
mais utiliser ces personnalités par
l'église adventiste
le problème c'est qu'une fleuve sur
l'anus est restée très effet plus on
paie dans le sens il a fait mieux
exercer un droit pour être objectif là
la problématique du sud c'est que ils
sont tellement de problématiques de
stress hydrique
ils veulent absolument que toute l'eau
qui tombe sur le sol au printemps se
retrouve à être utilisé seulement par la
ligne et donc c'est peut-être
fonctionnel à court terme avec un seul à
nu ça doit l'être
c'est à dire qu'avec un seul à nu la
moindre concurrence va poser problème
puisque le sort n'a pas de capacité à
garder l'eau et donc ça veut dire que le
plus difficile dans un endroit qui est
très aride
c'est pas tant de trouver la solution on
l'a la solution c'est de d'aller jusqu'à
la solution est là la grande difficulté
ça va être de construire un sol qui
fonctionne et si on a un seul qui
fonctionne pas
probablement que le coup de retard à
tort est indispensable c'est ça qui est
paradoxal et c'est ça qui complique la
manière dont on a à se positionner par
rapport à cette sortie de cette sortie
de crise là et enfin je dis ça parce
qu'il ya tout le sud de la france qui
qui parle de ça en fait et qui dit mais
non mais on peut pas se permettre
je n'imagine même pas qu'on puisse se
permettre d'avoir des sols
couvert au mois d'avril ils ont laissé
en fait c'est les essais qui ont été
fait parce qu'il ya des échecs qui ont
été faits notamment par un groupe
attaché au civam dans le 66 et les
essais qui ont été faits une année où il
pleut ça marche super bien génial et une
année où il pleut pas ils prennent des
grandes des pâtes et des grandes
déconvenues à avoir fait découvert et
donc qu'est ce qu'ils font ils
abandonnent les couverts alors qu'ils
viennent juste d'attaquer le processus
de base de basculement en fait il aurait
fallu qu'ils tiennent encore deux ans
parce que pour arriver à faire en sorte
que ça fonctionne il faut des organismes
des micro-organismes qui décomposent
mais il faut donc pied de la matière des
composés de la matière un des
compositions et de la matière qu'on
vient poser pour qu'elles soient des
composés plus tard plus la preuve la
pompe à électrons la plante vivante
s'il n'y a pas tout ça ça face à ça peut
pas marcher en fait c'est ça qui est
compliqué et il démarre avec une matière
organique très basse et c'est là où ou
ses idées de couverts de faire remonter
la matière organique doit pouvoir était
un c'est sûr être mais c'est compliqué
ils sont coincés
olivier einstein disait il faut rendre
les choses aussi simples que possible
mais pas plus là on va pas pouvoir
couper à observer si on démarre sur un
sol qui est à 0,5
pour cent de matières j si on fait ce
que tu as fait je pense qu'on pourra
être ce sport parce que je ne sautera
pas capable de digérer ça d'ailleurs en
faisant cage d'oiseau de terry il va
falloir démarrer plus doucement si on
met des verts
par contre c'est sous tension en mer
flottant et sa palette et ben je sais
pas ce que tu avais déjà les sols qui
fonctionnait comme il faut comme un
cycle de la zone ça recommence à tournai
qui aurait eu beaucoup moins de local
états aux états de l'activité biologique
est capable de digérer
quarante tonnes cinquante tonnes c'est
ça aussi les essais combien seriez
capable de digérer c'est sur un sol qui
est à 0,5 de m'interroger tu fais la
même chose
je pense que tu vas la catastrophe
ollier
aujourd'hui les textos de michaël cyr
qui est dans les pyrénées orientales
donc je pense qu'ils nous regardent
encore et du coup il a réagi parce que
c'est ce qui fait et je ne peux y aller
le voir c'est ce qu'il a fait il a mis
100 tonnes seront seulement c'est bien
ça fait quatre ans ou 5 ans ou qui doit
y planter et il n'y arrive pas il
n'arrive pas à démarrer son soliste
bouge pas matière à nyc elle n'évolue
pas et c'est donc ils pensaient à la
luzerne
mais même les semis de couverts il peut
pas parce que ils sont seuls ils
n'arrivent pas donc on parle elle était
de compost on parler d'eux donc si on
prend soin
mais lorsqu'il faut comprendre cette fin
on a refait les sols puis on se
permettait choses plus c'est facile et
que au contraire quand on parle de
sommes dégagées c'était quand même le
foyer à dire que le semis direct de
couvertures ne veulent pas travailler ça
marche pas on s'envole de la féverole on
en retrouve dans deux trois ans sur les
senteurs en face au lieu des 50 tonnes
je pense que ça pourra passer à ce
moment là effectivement il faut adapter
les pratiques en fonction du niveau où
on mangeait dans le sol il faut
accélérer soeur de temps possible mais
si vous allez trop vite ont reproché au
tapis une idée une idée par un monument
de higuain pour le prochain vol
oui les blocages par rapport à ton
collègues vignerons 100 tonnes ça fait
beaucoup dans les expériences agricole
que j'ai menée avec pas mal de gris
culteurs on s'est arrêté à 30 déjà donc
tu vois c'est et puis ensuite les seuls
morts le premier travail qu'il faut
faire avant de mettre un brf c'est de
semer la plante avec un engrais starter
années 30 qui peu de compost ou quelque
chose
en fait c'est la question que j'allais
tout à l'heure c'est il y un ordre
logique de démarrage c'est à dire le
démarrage est avec une plante et y'a
rien faire c'est elle qui va nous
solutionner tout un tas de situations
c'est qu'on démarre le moteur mais on
parlait de l'eau tout à l'heure il ya un
phénomène qui est extraordinaire et ça
c'est la théorie de conrad de promettre
de litres d'eau dans une bouteille d'un
litre
mais très clairement un sol couverts on
peut on peut l'acceptabilité de ce soit
les extraordinaires mais c'est dingue
c'est qu'on n'a pas parlé de couleurs de
sol mais moi j'ai vu les sols changer de
couleur en 7 8 ans il sait mais c'est
fantastique on prend pas cette photo
d'ailleurs parce que si on prendrait des
photos un peu plus souvent mais enfin
maintenant n'ont pas pu loger on a été
les fon un chien et réseaux sociaux les
trucs et un truc qui moi qui m'a choqué
mais alors vraiment cette année et on
l'a tous vu je pense et merci des
réseaux sociaux pour ça c'est à dire
qu'en fait les parcelles côte à côte de
différent mignon dans le sud qui avait
pris tout 150 à 200 mm
il y en a vingt où il y avait pas eu pas
une flaque les les parcelles étaient
couvertes avec des jolies semi comme un
magnifique et c'est un rang sur deux où
tous les remporter à côté la parcelle
travaillé travaillé depuis 30 ans 40 ans
la même manière le même passage la même
temps qu'ils passent au même endroit
la semelle au même endroit et l'a envoyé
des des sols complètement des rizières
et l'on pouvait traiter
c'est intéressant de voir maintenant
celui qui a acquis reste des raisons
parce que forcément je pense qu'on a
tous retrouvés
réponse mais mais voilà un sol qui vit
est insolent qui peut c'est comme nous
être humain je pense si on a une santé
de fer on peut passer à travers beaucoup
de choses et là c'est la vie quoi nous
ce qu'on a pu constater c'est que les
donc les radis qu'on a ça mais à
l'automne aujourd'hui on va dire il ya
30 ou 40% de ses radis il semble qu'ils
se sont décomposées ils sont creux et
quand on soulève leur a dit il ya un
trou il ya un trou qui fait un
centimètre et demi de diamètre sur 15 cm
de profondeur et règlements avec dessus
l'avait ce qui fait le paillage
effectivement se dit demain si au mois
d'août on a on a une pluie on sait que
la pluie elle va être torrentielles ça
va être 10 mm mais de pluie battante et
là je me dis qu'on va avoir à la fois ce
ce couvert qui va permettre à halo de
diffuser sur toute la largeur du rang et
en plus on va avoir c'est puisse et puis
afloat qui fait que l'ol va trouver un
trou elle va descendre dans ce trouble
et au lieu d'avoir une eau qui va qui
qui qui va rouler et peut-être que un
jour viendra où on pourra faire
effectivement des mesures à ventre des
rangs en herbe et et des rangs de
travailler et peut-être qu'on verra que
c'est rome qui sont menées herbe et
finalement au mieux capitaliser ces 10
mm que leur homme d'à côté
là aussi à ce stade c'est difficile à
gérer par et pour moi c'est c'est une
excellente question j'ai un vigneron qui
m'a posé ce cas c'est une colle je le
dis tout de suite pour faire un pare-feu
lavigne nettoyer complètement avec rien
sur la chanson laisse une litière et un
paillage et des plantes mortes
on a un risque supplémentaire bon voilà
la question est posée
je pense que si on regarde bien c'est
exactement l'inversé
et dans les grandes incendie qui a eu au
portugal il ya cinq ans là où quelque
chose comme ça il ya des photos qui
montrent que certains arbres n'aura
absolument pas brûlé est alors seul
épicéa quelque chose et donc peut-être
que pour faire des pare-feu correct dans
l'eau et autour des parcelles il
faudrait faire apparaître ces arbres là
ce serait bien plus intelligent que de
se dire c'est la vigne qui va servir de
pare-feu risque ce serait comme
d'habitude de détruire tout le système
qui fait qu'on a pas trop d' incendies
ou alors plutôt de favoriser le système
qui fait qu'on a plein d incendie parce
qu'en fait c'est toujours ces
problématiques l'a pas vouloir prendre
de risque on en prend d'énormes et à
tous tes réaliser on
on devient fragile et là ça ça risque de
faire la même chose puisqu'en fait ce
temps tu quand tu fais des centaines de
milliers d'hectares d'une seule culture
complètement des herbes et à la
température globale qui augmente et du
coup ça génère des incendies donc là
faut pas sortir de saint cyr le gars qui
sort ça qui est vraiment très con des
décisions la décision sera connue sans
crise le ps
moi j'ai un truc c'est pas politique on
a fait une plaidoirie qui est en ligne
il faut le faire circuler
on a créé une chaîne vers de terre
production qui est sur youtube ont créé
des projets qui s'appelle la belle vie
nous ont fait une alliance entre la
taille l'arbre et c'est donc un moment
donné si vous le relayer on pense que
vous allez hop awards ap facebook machin
faut que ça tourne avec les copains mais
si vous le faites aux relayé on pense
que ça va y aller moi j'aurai une
réponse
les textos on a parlé des pse à dieu
merci à adour garonne à dos ok adour
garonne adour garonne a lancé un plan
pour services environnementaux vous il
avait réuni les agriculteurs pour pour y
adhérer
sauf que il avait mis des contraintes
énormes moi qui fais beaucoup de
couverts et qui je pense stocks du
carbone et les favorise que je ne pollue
pas la gélise qui est la petite rivière
qui passe à côté de chez moi mais
j'étais pas éligible parce que j'étais
en monoculture juillet voilà alors je
vais je vais rebondir passé le moment on
a adopté toutes là l'écologie punitive
est dictée par solagro c'est une
catastrophe on en a ras-le-bol
alors là vous couperez pas ce coup ci
parce que c'est bon donc l'idée c'est de
ont fait ce travail là avec alain on
propose pse c'est-à-dire un paiement
pour service environnemental et sur ce
pse il n'y a qu'une seule mesure
d'accord voilà un pse pour tous
couvrez les sols terminée et en plus
c'est facile à contrôler n'importe quel
contrôleur il va le voir rien qu en
circulant en voiture seule couverts
selon lui ben voilà planté des arbres ça
ça pourrait être la deuxième ligne du ps
mais ce serait d'une simplicité
phénoménal couvrir les sols puis après
recouvrir les sangles et puis recouvrez
les sols et là c'est fonctionnel
si vous faites que couvrir les sols vous
avez fait qu'une partie du job n'est
toujours pas d'oiseau
et en bretagne alors faisons d'informer
au norvégien qui a la passion des vivres
après on revient à la réflexion
d'olivier qui est que le curseur on ne
passe pas de la la moi je l' ai déjà
fait de passer de la allard et j'ai pris
un carton
donc voilà c'est quand on change de
régime alimentaire on passe pas de
manger comme un goinfre à rien manger du
tout sinon le marathon de new york on le
fera jamais quoi
messieurs merci merci beaucoup je crois
qu'on peut vraiment vous applaudir vous
applaudir s'applaudir c'était une fois
de plus un riche moment un moment
constructif pertinent n'est ce pas bravo
pour ces expériences qui serviront c'est
vrai que c'est un peu long mais toutes
ces expériences là sont capitalisés
cumulé sous indicateur donc elles feront
date
elles serviront et vous avez raison de
le préciser au changement d'échelle
souhaitons qu'il arrive assez vite ça a
été un petit peu dit et redit
on peut multiplier par trois la quantité
de photosynthèse qu'on multiplie sur ce
modeste hexagone il ya 8000 fois
l'énergie solaire qui tombe sur le sol
qu'on utilise
si mal et si peu rappelons le pour le
pse m paiements pour services
environnementaux et le carbone carbon
clé de voûte de tout donc à partir du
moment où on va pouvoir carbonées nos
sols correctement et c'est ce que vous
faites déjà les armes nous aideront à
finir un petit peu le travail en tant
que chef d'orchestre organisateurs
répartiteurs accumulateurs propulseur
etc etc
oui le temps est venu le temps est venu
pour quoi il est venu parce que dans une
demi heure on passe à toutes fins utiles
avec les pollinisateurs et les abeilles
en particulier sujet haut en couleurs
avec toutes les difficultés que vous
connaissez et on va travailler comme on
l'a fait cet après midi tout ça est
complémentaire et je crois que c'est
stefan khelladi les abeilles sont
omniprésentes et le retour dans l'est
dans les vignes parce qu'à partir du
moment où le carbonnel à la biodiversité
l'eau le sol et le climat sont engagés
merci
bona bonne continuation et à tout à
l'heure dans 30 minutes
[Applaudissements]