Autonomie en Protéines Bio - Pascal SEGONDAT

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Autonomie en Protéines Bio - Pascal SEGONDAT


Pascal SEGONDAT, éleveur, va vous parler de l'autonomie en protéines et de ses itinéraires techniques en production laitière bio.


SOMMAIRE :


1 : Présentation de la ferme -- 0:00:23

2 : Rotation mise en place -- 0:09:12

3 : ITK maïs -- 0:16:18

4 : ITK méteil -- 0:39:06

5 : Ration du troupeau -- 0:52:22

6 : Mise en place du robot de traite -- 0:59:55

7 : Valorisation de la production -- 1:02:59

8 : Santé du troupeau -- 1:06:05

9 : Bilans Carbone -- 1:13:12

Annexes

Transcriptions

Transcriptions

donc voir moi je m'appelle pascal
seconde n'a je suis installé depuis 2000
1984 donc ça remonte de but
et donc je suis installé sur une
exploitation familiale environ de 4 75
95 année pendant des années suivant la
location et tout ça ça évolue c'est
assez vite et
dans la vallée de la vézère à montignac
donc avec des solos de vale mais pas que

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avec des variantes importante dans une
même parcelle donc une hétérogénéité
quand même assez grande avec des rondes
d'argile avec des zones humides
voilà avec des difficultés aussi et l'on
sait pas c'est pas une pleine homogène
comme peut être je sais pas moi la
limagne des choses comme ça on n'y a pas
de voie là on s'est tous voilà donc ça
oblige à avoir des façons culturelle
peut adapter un peu à tous à tous ces
problèmes on a une grille m'a plutôt sec
l'été chaud et sec avec des orages
parfois et qui sont pas forcément les
bienvenus
parfois ils sont violents ensuite à
l'automne en général c'est plutôt sec en
venir 1 c'est pas c'est pas des cépages
climat très très humide à l'automne des
en général d hiver humide voilà et
parfois des printemps humide qui nous
embête
parce que là les pluies se prolonge
des fois je commande avril une fois
jusqu'au mois de mai voilà donc c'est un
peu c'est une peu la difficulté après la
pluviométrie global sur l'année doit se
situer autour de 800 mm à peu près 1
entre 700 et 800 la moyenne mais en
sachant que avec les années que vient de
traverser il ya eu des années à 500
autres à 6 ans on en a quand même
globalement déficit hydrique / / /
disant ouais voilà on n'est pas la
moyenne c'est presque des grosses années
pluvieuses quoi voilà la moyenne dont on
parle à on arrive on a globalement moi
ce que je ressens c'est plus on a moins
d'eau qu'on avait quoi - 2 - depuis qu
au total n'est pas forcément situé au
bon endroit
donc maintenant on a des difficultés
aussi bien c'est notre métier mais ça
fait penser obligeant coin j'ai
l'impression - voilà
l'altitude de baisers la vallée dans ses
80 à peu près 80 mètres par rapport au
niveau de la mer et c'est une zone qui à
la fois agricole mais en perte de
vitesse au niveau socio-économique quoi
et c'est le disons qu'on a on a beaucoup
de touristes dans la vallée parce que
c'est une vallée qui est qui est prisée
par les touristes à cause de la
préhistoire des châteaux du paysage
aussi voilà il faut dire que voilà le
périgord noir en général et est assez
fréquenté notamment l'été quoi donc ça
ouvre des perspectives aussi pour
l'agriculture il faut aussi afin que que
la production il ya aussi la
transformation qui peut en bénéficier
donc ça peut être complémentaire aussi
de notre activité surtout connaissant
d'exploitation qui sont plutôt petites
ensuite le troupeau alors donc la
production sur l'exploitation ses vaches
laitières et une plantation de noyers
qui va aller un produit qui va produire
de plus en plus puisque c'est d'une
plantation qu'il ya dix ans aujourd'hui
donc à peu près 3 hectares de
des plantations et là le principal de
l'activité et se situe autour de la
production laitière avec un troupeau de
damian 160 têtes et 80 et hier en
production biologique aujourd'hui depuis
depuis deux endroits de deux années
voilà un homme qui augmente d'un peu la
difficulté mais qui qui par bien des
aspects peut redonner des lettres de
noblesse notre un autre métier tant
décrié voilà c'est une exploitation
familiale pendant des années des années
des années et aujourd'hui je me retrouve
un peu seul son exploitation
sans donc j'ai abandonné progressivement
la production de tabac depuis 2010 pour
en venir c'est fini plus de tabac sur
l'exploitation
donc ça fait déjà presque 7 buts en 10
ans pour des raisons de main d'oeuvre
parce que voilà quand ya pas de mineurs
et que on a une production à forte
demande de main d'oeuvre plus les vaches
laitières voilà c'est passé plus quand
même donc je me suis recentré sur la
production laitière pendant quelques
années j'ai bon dernier le troupeau
enfin les installations et j'ai augmenté
fortement la production par m
donc on était dans les années 2000
15 2016 2015 parce que les 16es
vasculaire bio donc qu en 2015 en était
disons à 800 milles litres vendus quoi
je vais cotation donc un système
maintenant s'il fait sur le sur une
surface qui par extraordinaire
voilà donc sa demande de sa demande et
beaucoup de l'irrigation est
indispensable on va tout ce qui est tout
ce qui est facteur d'intensification
était nécessaire
donc pour moi j'avais des réflexions une
réflexion qui qui m'intéressait sur la
sueur justement la commère servent à
sion désole parce que le labour au mans
je trouvais que ça allait tendance à
appauvrir me affaire a lessivé beaucoup
et j'avais des problèmes aussi sur les
routes d'argile
puisqu'on en a quand même un certain
nombre de rangs de l'argile et le fait
de labour et ça complique un peu
ça complique un peu les lit de semence
quoi tandis que quand dans la boue pas
mais on a en obtiennent une surface du
sol beaucoup plus fine beaucoup plus
adapté à la semine quoi voilà c'était
surtout sur ce parce par ce biais là que
j'ai que je les contacter et où on a mis
au point un peu une façon de travailler
mais pas il n'y avait pas que goran et
voilà donc j'ai essayé de faire un mixte
un peu de tout ce que j'avais pu toutes
les formations que j'ai pu faire et les
et des rencontres que j'ai pu faire au
niveau des agriculteurs en entamant mois
voilà c'était pour rechercher plus
d'autonomie plus de une production plus
autonome on y voit entre ans et plus
respectueuse un peu de l'environnement
aussi parce que c'est un sujet qui
m'intéresse aussi
il ya aussi un facteur personnel c'est
que
j'ai presque 32 50 d'agriculteurs
derrière moi et comme je sais que tout a
une fin
j'avais envie de
de faire un peu ce qui j'avais envie de
faire en agriculture avant d'arrêter
quoi c'était une motivation aussi par
rapport au temps qui passe et voilà aux
choses qu'on a quand on peut regretter
par la suite de pas avoir fait escale et
levage c'est à dire que pour produire du
lait il faut produire de l'énergie et
produire de la matière azotée on est
d'accord des protéines les protéines et
de l'énergie donc ça c'est le challenge
pour produire adulé quoi donc c'était un
peu l'idée du départ essayer de produire
suffisamment de protéines pour être
pratiquement autonome et assez l'énergie
aussi pour la toile
pareil donc
en production biologique et on est bien
d'accord c'était un peu le le travail
qu'on a que j'ai fait depuis depuis
maintenant quatre ans soit 3,4 en coin
au moins 4 ans en lisant que la rotation
elle et elle et elle est comment dire
la rotation
elle est basée elle est comment dire il
faut que j'arrive à trouver le terme
disons que le maïs et la tête de
rotation et c'est lui qui va déterminer
ensuite tout ce qui tourne autour parce
que
avec l'identification qui est nécessaire
pour nourrir le troupeau je suis obligé
de me baser beaucoup les choses sur le
maïs quoi voilà pour le moment tous les
cas donc à en exobiologie comme ne peut
faire que deux ans de deux maïs coup sur
coup
donc au bout de la troisième année il
faut faire autre chose et donc on en a
une rotation qui est qui est contrainte
quelque part par ce biais là quoi tous
les sols pratiquement tous les soirs de
l'exploitation saufs
deux parcelles un peu éloigné
d'exploitation tous les soldats
reçoivent du maïs est là pour satisfaire
à la la rotation alors en gros il ya 25
hectares de maïs que je récolte en maïs
humide ou en ensilage suivant la
production ou en partie à l'ensilage
suivant la production globale de
matières sèches puisque le maïs arrive
en fin d'année donc on s'est un peu plus
les stocks dont on dispose suite aux
différentes cultures qu'on a pu faire en
place et d'avoir donc que la belge a
juste un peu en fonction de cinq mois
après donc le maïs
donc deux ans la même parcelle ensuite
je fais un métier à la suite de ça je
fais mais tu es ou jeunes trop donc
avoine
qui à base de je sais pas si je vais
dans les détails non plus mais bon je
vais avoine féveroles weis trèfle trèfle
et et poids donc après j'ai une petite
j'ai des petites variantes de méteil en
fonction de la destination future du mes
terres soit c'est un métier qui va être
ans il est au printemps afin de pouvoir
se massent derrière soi c'est nîmes et
et qui va être lui aussi ancien au
printemps peut-être un peu plus
tardivement et qui est que destiné à
rester pendant tout l'été sur la
parcelle donc dans sur ce dernier l'a en
ce que je fais c'est que je j'ai
introduit du trèfle violet aux semis à
l'automne donc ça me permet d'avoir du
métier en adhérant ordinaire au
printemps et ensuite le trèfle violet
bien prendre le relais et poussé pendant
l'été et me faire un apport
supplémentaire de protéines
que je récolte en général un rhume banal
si j'ai emmené sur le reste c'est du
métal + plus simple disons que je mets
un peu moins complexe je mets de
l'avoine de la baisse
et du trèfle square aux hommes parce
qu'il a la faculté de pousser à
l'intérieur du du métier ce qui n'est
pas le cas des j'ai pas trouvé de trèfle
aussi aussi agressif
jusque là qui me permet d'avoir un
volume est d'avoir une qualité
d'ensilage
intéressante surtout que par endroits
c'est plutôt la vs où la féverole qui se
développe dans un mois c'est plutôt le
trèfle suivant les types de sols comme
les sols sont très variables et ça me
permet d'avoir une quand même une canne
toujours pareil d'un par souci
d'intensification voix ne pas avoir de
zone sans rien a récolté quoi tout et
tout et en production et produits quand
même une quantité importante de matière
sèche cheveux gras savoye las de cette
diversité de fleurs quoi après le et je
fais en plus une dizaine d'hectares de
méteil que je destinais à la récolte en
grains pour alimenter les animaux quoi
donc celui là il est un peu différent
aussi il est il est plutôt basé sur le
triticale avec disons pourcentage faible
d'avoir 10 15% et ensuite pois et
féveroles et cela elle est destinée à la
récolte les pailles sont en général
moyer par pas récolter et après une
partie qui en usait sur les parties les
plus éloignés de l'exploitation fin du
siège d'exploitation où je récolte soit
dans les bagages soit enfin tu mens les
besoins et ça me permet de faire aussi
de la fibre pour mélanger amont ensilage
et pour améliorer la ration au niveau
fibrose it est quoi un encore que sur un
sillage j'ai utilisé d'abord du
conservateur partout ce soit le maïs ou
du métal ça c'est important aussi pour
la qualité
je recherche il faut absolument une très
bonne qualité si on veut être autonome
voilà six ans si c'est moi si c'est ça
c'est rien ça chauffe donc et le méteil
ont leur école on essaie de récolter au
moins à 30 % de matière sèche quoi pour
avoir de concentration importante de
protéines dans la ration tout en gardant
une valeur une appétence bon appétence
donc même en va des x 40 des choses
comme ça ça fait et donc ça en même
temps aussi ça améliore la frilosité de
la ration parce que déjà lavoine qu'en
donnait à 35 % de matière sèche elle est
gratuit un petit peu quoi donc ça permet
de d'utiliser très peu finalement 2
de fibres à rajouter quoi on n'a pas
énormément de fibres ajouté même si au
nom de l'anti âge de maïs à distribuer
en plus quoi donc l'idée c'est de faire
deux grands pôles de production pour les
vaches laitières un destiné à affaires
de la protéine et la cellulose et
l'autre à produire de l'énergie
simplement pour le maïs bon -
aujourd'hui j'essaie de je vais dès à
présent dès cette année implanter un
maïs population sur une parcelle pour
essayer d'avoir une autonomie en est on
des semences aussi je le fais déjà au
niveau du méthane je récolte par une
grande partie de ce que je sais moi
par souci d'économie et par souci aussi
de plantes le mieux adapté possible au
terroir quoi ça joue aussi ça quand on
récolte une plante sur le sol sur lequel
on malheureux se met ensuite
en général ça se passe bien c'est une
façon de lutter contre les maladies et
contrôler les problèmes de comment dire
tout ce qui est champion pathogènes
comme même au niveau insectes je pense
que ça joue un peu aussi on en a on a
des mots à moi donc je vais aller vers
ce verset formant de de semences que ce
soit maïs ou en été j'ai commencé par le
méteil je vais aller vers le maïs là
dans l'est dans les années qui viennent
encore plus donc le semis donc il se
situe bien sûr après la récolte du
mettait donc ça veut dire
et finalement mieux c'est pas plus mal
parce que en scène fait mais en général
à des doses à 90 mille grains hectares
dans des sols qui soit en général
réchauffer et où on souhaite avoir une
démarrage à végétation le plus rapide
possible pour maintenir le pour venir
contenir les mauvaises herbes coin j'y
reviendrai à présent après l' indice en
général c'est du 300-350 ça permet
d'avoir une récolte suffisamment précoce
pour pouvoir rpt se met ensuite derrière
le mettais tout en gardant une
production qui est qui en général pas si
pas si mal que ça et on en fait 9 tonnes
à peu près de dix fois plus jamais rêvé
de faire plus là depuis je fais ce
système mais on peut faire moins bien
sûr mais bon l'objectif c'est d'être
autour des 9 tonnes si on veut
subvenir aux besoins d'énergie du tout
pourquoi sur les 25 hectares
il faut essayer de ceux restés à peu
près à ce niveau là donc c'est un 10-2
de précocité permet d'avoir des maïs qui
qui le font assez facilement quoi quand
tu vois après donc le désherbage
c'est le point fort c'est le point le
point essentiel on va dire de la culture
du maïs c'est c'est de réussir le semis
qui démarre vite et de pouvoir réserver
dans de bonnes conditions donc ça ça se
fait à l'aide d'une rotative comme passe
dès le smi est quasiment et dans les
premiers jours du semis jusqu'à trois
semaines jusqu'à trois semaines parce
qu'après le maïs est suffisamment grande
pour pouvoir le bim et avec une bineuse
ordinaire coin rencontre qui suit leur
ombre mais là où un gros avantage de
travailler l'ensemble de la surface sens
en déraciner le maïs quoi donc ça permet
de
disons que les hommes à dire les
l'expérience que je peux avoir tout ce
qui est annuel on le tient relativement
bien avec la houe rotative pas après
reste les plantes bisannuelles comme le
rumex ou
les plantes comme le chiendent
voilà où ça c'est plus compliqué voilà
après il faut comme il ya une rotation
ça permet parfois de faire voilà de
faire le tri à me lancer dans ces
plantes comme ça qui sont permettant
tant bioko voilà ça en général ça marche
bien ça marche surtout bien quand la
météo nous aide aussi parce que comme
cette année ça a été un peu délicat pour
désherber quoi voilà donc ça ne peut
pénaliser la récolte à cause de ce à
quoi simplement l'histoire de pouvoir
désherber au bon moment et de façon
efficace parce que quand il pleut quand
on vient de passer un outil mécanique
équipe le dernier en l'air et meurt pas
quoi et le maïs pousse papa très vite
parce que la température est pas
suffisante parce que voilà on a la
double peine
donc c'est un peu l'enjeu de cette
période-là qui est crucial coin pour la
récolte du maïs pour avoir du maïs pour
avoir des quantités ensuite bon après j
rig je fais une irrigation je fais en
général trois irrigation sur sur une
récolte de maïs à 40 mm parce que
je me suis rendu compte que si on est en
dessous
on a quand il fait très chaud en tous
les cas on n'a pas à l'effet de
l'irrigation
il faudra y revenir tous les cinq six
jours à ce moment là sion diminue et
donc ça on ne peut y arriver mais il
faut avoir beaucoup de matériel il
faudra obliger à faire des placements
ici des sols en eau pas l'amour en plus
ça va plus on a une rétention d'eau
importante et plus on peut espace est
arrivé à espacer un peu plus les
irrigations de façon mieux coller à
notre mandat du temps et aussi à
l'efficacité parce que plus il ya de
rétention longue dans le sol plus le
maïs d'abord se régénère s'il était en
stress et ensuite se développe de façon
intéressante que si on arrive toujours
au moment où il est en stress pour leur
eric pour recommencer à irriguer on perd
l'avantagé qu'on avait gagné
alors bon c'est vrai que l'été si on a
un orage choses comme ça bon ça joue
bien les choses et ça dépend ici on n'a
pas de de coignières de pluie sans orage
l'été c'est très rare ou si on en a
c'est c'est du bruit c'est des petites
quantités d'eau c'est samedi mais c'est
pas vrai c'est pas c'est pas suffisant
pour après le danger c'est effectivement
que souvent rien du variant de la
ghréline la chaîne ce que ce que je
pratique c'est que j'assure les récoltes
de façon n'a pas me retrouver avec aucun
moyen pour remplacer ce qui est perdu à
cause de nous donc j'essaie d'assurer au
mieux
bénard mesure de mes moyens aussi parce
que bon il faut aussi rester raisonnable
mais c'est une sécurité que que je que
je tiens à avoir parce que un élevage
sinon le bousille quoi si on n'a pas de
quoi va leur donner d'abord on n'a pas
de produits à vendre et en des maîtres
qui sont intéressantes et voilà qui sont
intéressantes pour les autres donc elles
sont intéressantes pour mieux peut-être
gardé l'essentiel c'est d'avoir une
continuité pas faire des dents de scie
coin dans la production voilà bah après
pour le maïs après la récolte elle se
fait en fonction des besoins soit en
ensilage soit soit au maïs humide le
le but étant de le faire à maïs humide
pas ça permet de restituer toutes les
tailles au sol et ne pas pour ouvrir en
fait la matière organique justement bien
et soul man mais bon après la fumure que
j'apporte pour le maïs permet qu'aux
modo d'exporter les pailles sans que ça
ait de consécration matières organiques
parce que j'apporte 40 tonnes de fumier
à l'hectare plus
soixante mètres cubes de lisier aussi
tard pour le maïs je fais j'ai fait les
deux apports donc globalement on est on
est bon sur la l'exportation lié à
l'ensilage et à peu près compensée par
les apports sur les terrains où on fait
du mal histoire mais les apports c'est
entre les deux cultures alors soit c'est
avant de faire le métier où on met le
fumier à l'automne
en général c'est un peu l'idée et après
on rapporte le lisier parfois sur le
méteil même et qui soit en ce moment là
on va le faire
avec un peu moins de deux ans naissait
de 2 m de moins de 30 mètres cubes
hectares de façon à pas de noyer la les
plantes quoi quand même
et ensuite on fait un apport ça arrive
on essaie de faire un apport en garde un
maximum de 2 mètres cubes à m au moment
du semis juste avant le semis du maïs
courant mais en sachant qu'avec les le
stockage que j'ai j'ai pas suffisamment
de stockage pour en ligne en tous les
cas pour poursuivre les 25 hectares donc
je suis obligé d'apporter lisier sur le
méteil pendant l'hiver froid mais ça en
sachant que ça ça peut paraître ridicule
de sa écrasé les plantes peu mais ça n'a
pas de conséquence sur neuf en coin il
faut pas y passer bien sûr à partir du
mois de mars il faut pas y aller quoi
voilà mais jusqu'à fin février on me et
pendant le lisier dans les métiers sans
que ça ait de conséquence sur en
novembre parce que les plantes repartent
et on prend dans sa pousse très très
vite et voilà si la température le
permet sarrassat récupère largement tout
tout tout tout les accidents qu'il a pu
y avoir pendant l'hiver voilà ça c'est
ça fait partie des mais ce qu'il faut
bien comprendre c'est que la culture du
maïs et la culture du matin soit
intimement lié quoi voilà c'est sais
c'est pas la même culture
mais c'est le même raisonnement parce
qu'en quelque part le
le méteil comme il est riche en
légumineuses il apporte la zot et les
combles et le maïs n'apportait à
utilisent cette cet azote là et la
manière la structure du sol aussi est
amélioré par les mettait quand on sème
le maïs on n'est pas embêtés pour fait
pour la structure du sol quoi voilà et
on fait des semis semis direct mais ce
semi semis direct parce qu'à en bio on
ne peut pas on ne peut pas semer
directement dans le métal parce qu'on a
on en peut pas ne peut pas désherber
derrière chimiquement donc je fais un
travail superficiel c'est pour ça qu'il
ya là où sont hâtives justement parce
qu'elle permet de passer même qui est
des débris végétaux secs sur la surface
du sol elle désherbe que qu'un appareil
comme une commune herse étrille ça
fonctionne pas parce que ça ça rassemble
dans les grises ça dans les dents les
pics à rassembler débris végétaux et ça
ça fait pas du bon boulot pas du tout
quoi donc
alors que là où passent par dessus son
sens du code est nominé au contraire on
diakham est contrainte de désherbage qui
oblige à faire des der ende au moins
espacées de 75
parce que si on me passa à 40 ce qui
pourrait ce qui pourrait se faire mouler
beans somme ça voilà ça pose problème
fais moi j'ai pas j'ai pas la solution
pour ça là où ça ne pose pas de problème
encore que il faut quand même que les
roues du tracteur passe sans écraser le
rendre donc ça oblige à voir un tracteur
est très étroite
voilà tout ça c'est du matériel
spécifique qui peut être voir mois me
paraissent pas indispensable pour pour
obtenir un amendement maïs khimki qui me
convient voilà pour le moment dans tous
les cas on me jusque 10 ans là où comme
j'ai dit tout à l'heure c'est jusqu'à au
moins trois semaines après le semis
suivants développement du maïs m ont
quantifié
quand il fait 10 cm on peut en vaut
mieux s'arrêter de passer là où est
passée la la bineuse mois et après
lavigne ajoutant que le tracteur peut y
passer alors ce que je fais c'est que le
dernier binage quand je peux je mets des
sorts spéciaux un peu un peu large sur
les côtés afin des les sorts qui passe à
proximité de là durant de façon à
pousser un peu la terre pour faire un
léger buttage delà de la plante voix
voilà quand je peux mais en général
intérêts suffisamment fines parce qu on
ya passé déjà donc là où on a passé au
moins deux fois mais on peut la passe et
4 x 6 voilà mais en général deux fois ça
suffit
quand ça se passe bien et le binage
c'est pareil en général une fois c'est
bien mais deux fois c'est pas mal aussi
parce que la deuxième fois comme l'année
on peut se permettre
parfois deux buts et un tout petit peu
le rang et ça permet au maïs d'avoir
d'explorer
plus de terres et d'avoir plus d'assise
en cas de tempête ou enfin d'orage
violent et tout ça ça aide à sa solidité
voilà maïs a prêché parce qu'on peut
dire d'autre après jeu mais il m'arrive
de mettre au niveau fumure
je mets j'utilise beaucoup les calcaires
marraine ouais non non non calcaire
marin c'est et voilà et autant voilà
c'est ce que j'utilise à une priorité
parce que ça passe et senna port de
calcium qui est facilement assimilé va
je le mets tous les hommes tous les ans
surtout dans les parcelles où il ya une
alternance de médailles et de maïs bon
allez partie bien la luzerne et tout ça
c'est moins c'est moins indispensable et
en venir mais c'est ça ça marche très
bien aussi et j'utilisais jeune homme
plat je mets à peu près 400 kg ha je le
fais en ce moment et pendant l'hiver
j'apporte ça et ça fait maintenant deux
ans que en plus dans les parcelles à
maïs jeu
j'apporte du gypse c'est
une association de calcaire et de
magnésie avec du souffre beaucoup de
soufre c'est donc c'est c'est aussi pour
pour donner à la plante la possibilité
de à disposition de la mort de l'oxygène
au moment elle a besoin de développer
quoi parce que l'oxygène est très
important dans le développement des
plantes et ce notamment du maïs pour que
les démarrages intéressant quoi donc la
gc ca jeux les jeux les pages les pas
valider complètement encore ça mais
encore cette année je vais recommencer
parce que comme j'ai dit tout à l'heure
c'est vraiment un truc il faut
absolument pas laisser de côté l'aspect
développement du maïs au départ est
probablement intéressant et c'est lié à
un système racinaire à la possibilité
des racines de se nourrir et j'utilise
un peu de bio stimule du bio stimulant
aussi que j'apporte fin juin sur le maïs
on ment autant que je peux passer à base
d'olives éléments manganèse bord
qu'est-ce qui a d'autres je sais plus
j'ai pas tous en tête et voilà donc mais
enfin c'est du c1
ça permet de toujours pareil de donner à
la plante toutes les tout ce qui est
nécessaire à sa nourriture
ouais voilà puisqu'on n'a pas
d'ammonites on n'a pas de voix là il
faut il faut trouver des solutions pour
améliorer la la pousse quoi voilà en
sachant que ça marche
voilà sans attente chimie coin on arrive
à avoir un rendement quand même mal gré
mal gré c'est pas c'est pas des
rendements ridicule quoi après il faut
être bon sur le sur les apports sur la
façon dont sem tout ça c'est des choses
qu'il faut qu'il faut avoir bien bien
bien intégré au moment du désherbage il
faut être disponible il faut pas un
mirage le frédo mais non il faut le
faire au moment où il faut le faire
parce que sinon on se fait gagner très
vite
voilà mais en respectant ses quelques
précaution normalement maîtriser la
culture quoi le maïs est une culture qui
se maîtrise quand même assez bien en
culture biologique quoi sépare c'est
vraiment pas infaisable
il ya des années il ya des cultures
comme le blé qui sont plus compliquées
je considère que c'est plus compliqué
voilà sur maïs qu'on pouvait dire bon
l'irrigation aussi bon ça fait partie
des choses qui sont indispensables si on
veut dans notre région avoir rendement
maïs koala en sachant quand même que
toutes les variétés qu'on utilise
aujourd'hui sont très gourmandes en eau
le maïs c'est quand même une plante de
pays sec
donc moi je pense qu'on peut arriver à
sélectionner des variétés qui sont qui
seront moins gourmandes en eau et seront
mieux adaptés au climat futur et qui
sont par là même moins de travail
d'irrigation moins de dépenses non voilà
ce problème en nommant il ya des
exemples déjà de gens qui travaillent
comme ça coince il ya beaucoup de gens
qui travaillent avec ces maïs
populations qui n'ont pas de qui
n'irrite pas et qui malgré tout on est
en manque quoi et ça je les jus les
mêmes dans l'est dans le département
j'ai rencontré deux ou trois gars qui
ont quand même des rendements
intéressants irrigué quoi malgré la
sécheresse mois donc voila c c des
pistes sur lesquelles il faut pas la
génétique c'est quand même un truc ça
voilà qui peut aider les agriculteurs à
produire dans de bonnes conditions
les maïs hybride eux ne sommes pas
adapté du tout à ça moi voilà et
résistent très mal assécherait sport en
général parce qu'on leur demande d'avoir
un potentiel de rendement très élevé
au détriment de l'or de la résistance un
but à la sécheresse quoi au final
si on compare un maïs
population un maïs hybride et dans les
mêmes conditions
on n'a pratiquement pas d'écart entre
les deux mais si si c'est dans les mêmes
conditions
voila voila c'était un peu la nôtre bio
de la journée mais c'est important et ça
c'est important c'est après le type de
semence qu'on utilise ça aussi ça fait
partie des des leviers comme peu
utilisée pour obtenir ce qu'on souhaite
quoi voilà alors joie bon je vois
quelques essais qui sont mauvais avec
des plantes associées au maïs
moi je n'ai pas fait je n'ai pas
pratiqué jusque là sur des sols très
propre ça peut-être ça peut ça peut
fonctionner jusqu'à présent moi je me
suis pas je me suis pas risqué parce que
j'ai peur de la miss la maille semaine
et des mauvaises herbes
parce que voilà mais pourquoi pas ça
fait partie des choses sur lesquelles il
faut avancer parce que on peut associer
effectivement
mais ça c'est dans la dans la 6e saison
de bones et surtout à l'ensilage quoi
parce que si on me fait du grain ça
passe pas quoi et moi mon but c'est pas
forcément de faire de l'anti âge quoi
voilà c'est plutôt de faire du maïs
humide donc récolte anglais mais un
ensilage ça peut être ça peut être un
plus quoi voilà ça peut être un plus
hélas la direction dans laquelle je vais
moi c'est plutôt et c'est ce que je
pratique il ya que cette année où j'ai
fait un peu dans sillage de maïs sur une
peu près la moitié de la surface pour
conforter la matière sèche
le global de la matière sièges parce que
j'avais passé avec le mettez cette année
il ya beaucoup de volume mais une fois à
ramener à prendre 35% en matière de
matière sèche et le volume était était
beaucoup
on avait perdu énormément c'était des
plantes qui étaient développés mais qui
étaient gorgés d'eau cependant ce qui
n'était pas le cas le prenne dans mon
précédent
il faut savoir ce à quoi ça fait partie
des choses qu'il faut bien bien
maîtriser les stocks
quand on a besoin de stocks parce qu'il
y en a une partie qui est pâturer mais
il ya une partie qui est en production
laitière qui est nécessaire d'avoir de
stock
ici dans la région donc ça il faut
savoir l'évalué pour savoir si en asie
ou si on fait entrer me voilà donc ça
fait partie des des décisions à prendre
un peu sur le feu quoi voilà parce que
c'est pas c'est pas toujours évident le
méteil le méteil c il faut pas commencer
trop peut-être
le méteil en est pas à conduire il n'y a
pas de mélanges type
après c'est chaque agriculteur qui a un
certain nombre de plantes à sa
disposition et qui doit les mélanger
pour que
d'abord ça tous bien et que
ils obtiennent suffisamment en tous les
cas c'est vraiment suffisamment de
matière sèche pour nourrir ses animaux
donc c'est pas ce qui est vrai sur
invitation n'est pas forcément vrai sur
l'autre après c'est par l'expérience
qu'on peut ensuite évolué favorablement
il n'est pas dit que la première fois
qu'on fait un mélange ils correspondent
à ce qu'on souhaite quoi après disons
que le smi moi j'essaie de le faire
alors il ya plusieurs écoles mais
j'essaie de le faire que ce soit terminé
fin août ou début novembre
voilà alors pourquoi parce que on a des
conditions de semis a en général plus
sèche et donc ça me permet comme c'est
un mélange avec des graines de
différentes tailles de faire un semis
superficiel pour les petites graines et
les grosses graines dont la féverole le
poids même à la limite la baisse
ça leur permet d'avoir les pluies à
venir pour germer justement parce que je
me suis rendu compte que si on se met
plus tard on avait une mauvaise levée
des trèfles multi du trait comme tous
les détails parce que c'est trop humide
et parce qu'il a besoin de chaleur quand
même lui par contre lavoine développe
bien certes mais on a le problème de la
couenne et la vaysse a tendance à mettre
longtemps à se développer et on est
obligé d'enterrer davantage donc on perd
le trèfle enfin bon que si on le met si
on le met plutôt plus sec
on n'en les pluies qui viennent ensuite
et les grosses graines germent même si
elle soit une surface du sol quoi il
faut pas avoir peur de laisser qui est
un peu de faire drôle en surface dans le
sur le sol elle germe à condition qu'ils
fassent pas très très froid voilà faut
pas qu'il fasse très très froid avant
noël quoi mais moi j'ai des meilleurs
résultats en sont membres
en ayant fini de semer fin octobre le
mettais parce qu'ensuite il ya ça pousse
mais il ya déjà des variétés qui
disparaissent quoi est on à moi j'aime
pas ce mais quand c'est gras voilà j'ai
jamais eu de bons résultats quand
c'était droit parce qu'on passe le sort
parce que la levée est moins régulière
voilà donc moi je conseillerais ça déjà
après il faut l'adapter à sa son
exploitation mais moi je conseille ça et
dans le semis se fait en travaillant
légèrement je le fais jamais en semi
tout à fait direct moi je ne travaille
pas semi tout à fait direct parce que
j'ai ce problème de d'atlantis que je
dois maîtriser
donc je fais une travail superficiel
toujours quoi léger mais toujours et en
plus les pailles du maïs des bois et
ensuite
je les incorpore un peu au sol avant de
semer et c'est pour ça que j'ai besoin
d'eux
que le sol soirée suis y est parce que
sinon le semis ce fut pas d'un nom
conditions parce que ça fait une pâte
avec les débris végétaux et sa bourse à
ça ça ça fait pas ça fait pas des semis
correctement que si on fait un semis
direct on peut obtenir on peut semer
dans dans les pailles et tout ça plus
facilement quoi voilà moi je le fais pas
parce que ça je le maîtrise moi-même bon
parce que j'ai pas de se voir à semis
direct il ya des gens qui en on n'aimait
pas super bien adapté on n'a pas
vraiment d'outils dans le secteur qui
soit vraiment adaptée à mon avis aux
semis direct il ya même les
entrepreneurs les cuma sont pas équipés
bon voilà c'est pas et comme c'est des
outils qui coûte cher voilà pour se
mettre en route pour les acheter il faut
trouver un noyau d'agriculteurs qui qui
sont adressés donc et je veux pas moi
allait avoir 20 kilomètres à faire pour
récupérer ce moiré tout ça parce que au
moment du semis il faut le fonds aia
donc ça ça fait partie des choses pour
le maintien de tous les cas qui peuvent
être une solution le semis direct mais
moi je peux pas l'utiliser parce que
j'ai pas les outils voilà ou à contrario
du maïs qui moi je vois pas le semis
direct pour le moment en bio ça
fonctionne pas quoi peut-être un jour ça
va venir mais pour le moment on n'a pas
d'exemple
voilà surtout quand on récolte en fait
de récoltes sur la même parcelle voix
parce que moi je fais de révolte la même
parcelle ce la même année le méteil et
le maïs
si pour le maïs on fait un semis dans de
la céréale qu'on couche et en cm²
d'armes
on peut parfois avoir de bons résultats
mais toujours pareil il faut que ça ne
démarre très vite ils font que et après
on n'a aucun moyen d'intervention s'il
ya de l'herbe qui développe coin voilà
donc on à moi j'ai pas vu de résultats
improbable ce niveau là voilà mais c'est
vrai que c'est une piste intéressante
pour le méteil moi je pense ça peut
marcher ça ça doit sa marche d'ailleurs
mais moi j'ai pas les outils pour le
faire voilà donc je fais pas je préfère
c'est un déchaumeur rapide que je passe
avant de semer pour pour incorporer un
peu pour que le semis se fasse et donc
là en conditions sèches
ça c'est les conditions importantes
c'est assez plus important ça que le
mélange qu'on utilise les conditions de
semis suivant ce que le choix et le
matériel quand on dispose il faut bien
savoir que ça c'est important si on veut
avoir une récolte après derrière il faut
il faut tenir compte de tout ça après le
mélange
moi j'ai il faut que je regarde la vie
alors le mélange moi que je fais le

se situe juste avant récolte de

maïs
cette année j'ai fait un mélange de 50
kg féveroles 40 kg d'avoine 10 kg de ms
10 kg de poids fourrager et 10 kg de
drogue square aux hommes
ensuite le est destiné à être
maintenues toute l'année avec le trèfle
violet
pendant l'été donc là c'est 50 kg 2
de féverole 40 kg d'avoine 10 kg devès
20 kg il ya plus de poids 20 kg de poids
et 10 kg de alors là cette année j'ai
fait une innovation qui peut-être pas
très heureuse mais enfin au moins je
l'aurais fait
j'ai mis dix kilos de square aux hommes
et 10 kg de trèfle violet de face on a
malgré tout assuré dans les ronds
éventuellement les autres plantes de
l'or pourrait mal quand même
une adresse qui apportent vraiment de la
protéine et de qui apporte du beaucoup
d'eau on mettait quand on fait sécher de
façon à ce que ça sèche pas trop parce
que au printemps on ne peut avoir 30
degrés
comme 25e mais on veut avoir 30 degrés
ça sèche trop vite donc il faut voilà
c'est pour essayer de d'assurer un bon
une bonne valeur de matière sèche on
ment de la récolte
voilà donc c'est un mélange un peu
complexe où la bombe ça demande de la
rigueur aussi quand on le mélange est
tous à savoir parce que ça fait des
grosses quantités de grains à l'hectare
donc quand on mélange il faut être faut
faire attention à ce qu'on fait parce
que on peut très facilement se tromper
on voit c'est ça fait partie des
contraintes aussi c'est pas comme quand
on prend un sac de riz gras et quand on
sait maintenant c'est pas compliqué ça
là c'est plus lent ça demande un peu
plus d'attention et à tous les ans je
réajuste un peu mais d'oser mais
quantité en fonction de ce que j'ai
constaté
voilà de l'expérience quoi mais en
sachant quand même que depuis que j'en
fais ça fait ça fait peut-être
maintenant ça fait au moins 80 les dozos
ne pas énormément varié quoi voilà et la
seule chose c'est que j'ai j'ai
l'impression que plus on met deux
variétés de plantes plus le méteil et
est intéressant il faut pas avoir peur
d'en il faut pas mettre que 2 ou 3 il
faut en mettre le plus possible
voilà pour ce qui est de si on souhaite
en syrie après derrière
après si on sait quand je veux quand je
veux le garder le méteil parce que
quand je vais le garder pour grain je
mets beaucoup moins de jeux mais pas de
preuves d'abord et je mets beaucoup
moins mais ce qui pourrait se faire un
trèfle violet ça pourrait ça pourrait
s'imaginer mais bon le problème du
trèfle violet c'est que passé le mois 2
le 15 juin il commence à se développer
sérieusement dans la céréale parce que
c'est real commence à mûrir donc notre
influence d'europe et quand on veut
récolter la céréale on a l'inconvénient
d'avoir un trèfle violet qui qui fait
des fois prendre 40 cm à céréales donc
voilà c'est un peu gênant mais bon c'est
pas ça peut peut-être s'aménager je sais
pas ça cette année je les pratiquer bon
ça a été compliqué pour récolter quoi
mais bon après on a une pousse de trèfle
sur le sur la chaume sans me faire
beaucoup d'efforts qu'on était alors le
se mélangent se mélangent où je fais que
du de la récolte entre m là je
privilégie le triticale
donc je mets a à peu près 80 kg de
triticale l'hectare 30 kg dhawan et
ensuite je mets 60 kg de féverole et 20
kg de poids
c'est tout ce que j'aime et pour assurer
une une production
qui se situe autour de quand tout va
bien on va dire quand ça va à peu près
bien mais même dans des sols qui sont
pas très riche on arrive à voir entre 30
et 45 quintaux à l'hectare quoi sans
sans soin particulier quoi on la passe
qu'il ya pas de désherbage et pas de
fongicides et à la fumure qui à base
soit de fumier soit de lisier je n'ai
pas les deux là pour le mettait en
général il ya soit l'un soit l'autre
et voilà c'est tout près donc on n'a pas
de après c'est la récolte qui mais qui
va être importante parce qu'il faut il
faut attendre que toutes les différentes
des espèces soit à maturité avant de
récolter mais après on peut l'utiliser
pour l'alimenter les animaux est un
mélange comme ça on est au moins à 20
même pour sandra de protéines quoi sur
un mélange comme ça avec à peu près 1 9
kg quoi donc c'est c'est un mélange que
les animaux adore quoi un moment non pas
moi j'utilise mais mon robot 1 c'est
vraiment quelque chose qui hier qui leur
plaît beaucoup quoi j'avais peur que ça
soit pas le cas et c'est pas vraiment ça
donc si je pouvais en faire plus mais
j'en ferai plus parce que ça me
permettra plus d'autonomie
ça mériterait d'avoir acheté du
concentré quand donc la ration
elle est dans l'idéal ce serait de faire
une ration à base d'ensilage de mettet
suffisamment sec dont la récolte c'est à
dire entre 30 et 40 matière sèche
j'insiste là dessus parce que ça change
tout après ensuite sur la valeur du
métayer sur la capacité des animaux a
ingéré quoi si on est 45
mais on va perdre 10% de
de capacité d'ingestion quelque part
parce que ça fait du volume et ces deux
journées l'oim pas besoin de points
c'est la matière mais il faut quand même
garder c'est pas du foie non plus il
faut garder pour que cela soit
suffisamment compétent pour 15 ans elle
est en vie dans nos vallées suffisamment
quoi pour leur production
donc dans l'idéal ça serait de faire du
métier de ce type là suffisamment 5
entre 30 et 40 de matières sèches et de
fer et d'apporter l'énergie sous forme
de grêle mil de maïs grain humide
cette année et ensuite le méteil donc le
méteil lui on le donne à à peu près à 2
kg à peu près par bête n'était je
m'étais qui est à base de féverole de
poids et le triticale et d'avoine donc
celui-là il est entre 20 et 22 août roy
de matières azotées donc celui-là 92 kg
et j'achète
un aliment complémentaires qui dosent 30
pour pour apporter au bout elles ont à
peu près 1 kg 5 de moyenne sur
l'ensemble trompons donc ça fait 2 kg de
métal claussen de d'aller m'en acheter
voilà alors la ration cette année
donc on a en a on n'a pas tout à fait
suffisamment de méteil a disposé pour
faire la soudure voit donc gg cet
automne j'ai décidé d'en céder la moitié
à peu près de la récolte de maïs une
douzaine d'hectares en ensilage de façon
à avoir un volume supérieur pour l'heure
pour l'encombrement pour là pour donner
pour qu'elle ait suffisamment à manger
en sachant que je perds un peu la ration
perd un peu a forcément en azote quoi
parce que le maïs non huit
ce mono matière à noter alors que le
méteil dont 18 voilà donc on perd et
c'est ce qui m'a obligé à acheter donc
dû le kill un kilo scène de me
d'aliments du commerce de petits dos 30
pour compenser ces quelques passes de
pertes d'azoté coin alors en énergie on
devrait être à peu près bon parce que si
c'est pas andré humide c'est en en ciel
dans mon énergie on arrive à compenser
mais l'amour donc ça fait que j'ai une
ration qui est va dire deux tiers méteil
en ensilage d'herbe un tiers maïs
ensilage et ensuite je donne cinq kilos
de maïs humide
par beth en plus des ce qu'on a vu un
concentré et en matières brutes ça doit
faire elles ont ils ont 20 kg de maïs
ensilage et 30 kg de 25 kg de métal pas
mélanger avec la fibre est donc cette
année ça c'était une partie de l'année
ça et aujourd'hui à pendant l'hiver
lorsque j'ai fait c'est que j'ai diminué
encore la part du métal parce que je
n'aurai pas assez et je le remplace par
du trèfle et de la luzerne que j'ai fait
un long ruban nage donc elles ont une
balle à peu près de 2 500 kg pour
l'ensemble les troupeaux non ça fait 2 1
kg 5 vont être comme ça de luzerne de
trèfle violet à disposition en plus
voilà pourrait qu'on pourra voir pour
pouvoir faire la soudure quoi mais bon
qu'est le qu'elle consomme très bien
c'est très bon ça c'est c'est toute
façon je serai amené à en refaire donc
ça fera partie de ma ration donc il ya
il ya une partie méteil récolté au
printemps une partie dans la ration donc
une partie fois un foin pas tout à fait
c'est quoi à rubané quoi donc il ya un
certain bon sens de matière sèche et du
maïs maïs ensilage et maïs humide
c'est un peu complexe mais on arrive à
on va en faisant comme ça on arrive à
utiliser l'ensemble de ce qui pousse sur
la ferme pendant l'été et pendant le
printemps de façon à le répartir ensuite
pour faire la soudure quoi donc ne pas
négliger cette histoire de trèfle qui
pousse à la suite du coin parce
que ça permet aussi d'avoir une
autonomie supplémentaire alors on en est
favorable moins d'importance
mais une année comme l'année dernière je
suis bien content d'avoir ce mais en
même temps que le mettait un peu de
trèfle violet ou au milieu du
parce que ça ça donne un peu plus de
latitude ensuite voilà voilà voilà la
ration hivernale voilà comment les
communs elles et comment s'articulent
quoi après au point d'en c'est plus
délicat parce qu'il ya la pâture ya un
peu plus j'ai des gens bien peu plus et
ça je maîtrise pas encore complètement
la pâture je pensais arriver mais il
faut que je diminue un peu le nombre de
mètres à la prête de façon à se caser un
peu plus de temps pour les pâtures et
faire les allers et venues du robot à la
peinture quoi donc là je suis à 60 2 510
bête à la prête si elle pâture il faut
que je de baisse à 63 voilà donc au
printemps je vais je vais essayer de
tester cela parce qu en fait ce que je
vais gagner en production d'un côté je
vais être obligé de le produire en stock
et
c'est pas forcément c'est pas forcément
bénéfiques quoi voilà ça permet de faire
un volume mais ça permet pas de 2,2
économiquement d'être d'être rentable
ccsn vous y mettre en plus je pense mon
peuple est un peuple est supprimée sens
et de conséquences sur le revenu pour
ses idées pour pour 2019 voilà oui mais
ça ça date de sept ans mais ça s'est
bien passé je sais pas si ça s'est bien
passé ça s'est passé voilà après bien
qu'est ce que ça veut dire bien et moi
quand j'ai fait la salle de traite et
qu'il a fallu les faire passer en salle
de traite et n'apprécie pas du tout donc
voila apres mais le robot
aujourd'hui ça pose pas de problème quoi
vraiment pas vraiment pas de problème au
contraire c'est même le troupeau est
beaucoup plus calme plus détendu
qu'avant c'est vraiment ça n'a rien à
voir ça s'améliore énormément là le
comportement des animaux quoi c'est
vraiment c'est ça vous le constaterez
dans tous les élevages qui en qu'un
robot en général si tout se passe si ça
se passe bien au niveau du robot les bas
le tronc prix beaucoup plus calme ouais
moi en fait le robot sas a pas été sap a
été un stress énorme pour les animaux un
confrère est au départ oui parce qu'elle
avait peur d'y rentrer parce que voilà
il a fallu travailler pendant huit jours
la phase intense mais toujours un pour
les habitués à rentrer mais depuis et
même les jeunes les jeunes les fraîches
vêlées fait la première portait un
d'abord elles sont plus ou moins dans
l'élevage donc à entendre le bruit que
fait la machine donc elles sont pas trop
surprise quand on est comme dans les
nues mène donc et comme ça se passe
relativement bien quoi voilà voilà
le méteil et le concentré que je que
j'achète du commerce quoi je fais il ya
deux à nîmes en coin et c'est beaucoup
il ya beaucoup de luzerne beaucoup de
luzerne est un peu de soja voilà il ya
plusieurs s'est mélangé bon c'est un
aliment composé quand même le plus dur
mais en priorité c'est du tout au tout
genre et
de la luzerne et là on a une obligation
d'avoir du tout aux ja qui est d'origine
france quoi c'est chez ceux qui me
le groupement qui récupère le lycée
s'appelle biolay donc ils ont un cahier
des charges on sait qu'il faut respecter
en plus des charges qui pourraient
existe qui existe pour le pour la
culture bio la sacem en plus quoi il
faut que tous que ça soit céréales ou ou
tourteaux protéines ça tourne toute
origine france quoi voilà pour
l'alimentation des troupeaux
sinon il récolte et ne ramasse pas quoi
on perd notre capacité de l'hormone il
faut jouer pour le moment il n'est pas
irrationnel mais normalement dans
l'année 2019 il va l'être donc dans dans
l'idée ça serait de 2 de valoriser la
production de lait bio papa pas toute la
production bien sûr une petite partie
mais bon au moins de valoriser cette
production est et en même temps dans la
mesure où mallory un peu mieux la
production avoir un peu moins
d'impératifs
dans le volume c'est-à-dire qu'on peut
plus diminuer un peu le nombre de bêtes
et je pense qu'on peut être gagnant sur
deux plans c'est à dire que d'abord ça
me ferait un peu mon travail et en plus
je vais gagner en autonomie
parce que là je suis au maximum de ce
que de ce que je peux nourrir en fait
donc faire ou à peu près quoi j'ai pas à
faire dans l'andante d'alan par rapport
à ce que je sais ce que je pratique je
ne peux pas faire beaucoup mieux quoi
voilà qu'en quantité donc ça serait à un
double double détente ça serait d'abord
de valoriser et ensuite de pouvoir
baisser le troupeau pour pour d'abord
avoir plus de pâtures plus autonomie et
ccc l'objectif c'est l'objectif
aujourd'hui quoi après la
commercialisation c'est bio l'équipe qui
ramassent le lait
qui ramassent tout qui vint pas oui en
masse tout
qui le valorise qui le le groupement il
a hélas pour mission de récupérer le
lait de le payer aux producteurs et
ensuite de le revendre à ceux qui ont
besoin de lait biologique pour leur
fabrication du lait ne fabrique pas roi
voilà n'a pas d' usine à proprement
parler quoi il a des clients et des
fournisseurs
le litre savent arrive suivant c'est
très saisonnier le bio parce que on est
ici c'est pas le cas mais si on membres
d'un normandie ou dans le nord de la
france il ya il ya une grosse production
qui se fait en avril mai juin et ensuite
qui re qui a tendance à rabaisser l'été
reprendre un peu à l'automne donc le le
prix du lait chez bio les idées un peu
en fonction de ceux de ce ces
critères-là quoi donc pendant au
printemps et les moins chères que
pendant l'hiver et une grosse différence
on passe de 390 mettons la tonne au warm
peu moins à 464 182 quoi il ya pas son
nom mais pas loin 80 euros moins de
différences entre la suivant la saison
quoi donc on peut estimer qu'on est que
moi je vais être peut-être à une moyenne
mais je pourrai manger pas assez de
recul puisque j'ai peint dans nos
productions de livraison donc je parle
là je pars je peux pas présager tout à
fait maintenant il reste peu de moi
maintenant et sous deux mois
mais bon 440 par la voie moyenne sur
l'année quoi
pour la santé elle n'est pas allée pas
plus mauvaise qu'elle était quoi voilà
lé pas plus mauvaise elle est pas
vraiment meilleur je pense qu'on va
obtenir une santé un peu meilleure mais
le problème qu'il ya c'est qu'un
troupeau c'est comme un train
d'instiller lancé sous les rails avant
qu'ils changent de direction ou qui
repart dans l'autre sens vont ça mais il
ya il ya une part d'inertie importante
donc le
je suis passé d'un système de rations il
y avait
4 1% de maïs ensilage un système bien
n'a pratiquement plus quoi donc
et déconcentrés et je donnais 6 5 6 kg
par bête moyenne de concentrer acheter
j'entendais beaucoup beaucoup beaucoup
moins loin
voilà donc tout ça ça demande une
adaptation et je mentirais en disant que
les bêtes ont pas a ressenti ce
changement quand même voilà ils ont
ressenti aujourd'hui ça depuis un an
disons ça je réussis à mais l'essentiel
c'est d'avoir la ration non je parle et
il faut arriver à faire ça si on veut
stabiliser chose tant qu'on n'est pas
arrivé à l'asi à cette autonomie là on
est on est mauvais quoi parce qu on est
obligé de changer de rations trop
souvent on ne sait pas trop qui marche
ou qui marchent pas voilà sa demande
donc pendant un certain temps mais
j'avais des stocks a éliminé parce que
tous les stocks de conventionnel il
fallait éliminer avant de pouvoir
prétendre à une conversion du troupeau
donc tout ça ça demande un effort et les
animaux bien sûr on pas la ration telle
qu'elle devrait être pendant certains à
cause de tout ça quoi
voilà donc de jongler entre les stocks
en de conventionnel pour arriver aux
stocks donc ça prend
peu de temps surtout quand on est un
système où il n'y a pas de pâture où il
n'y a rien de moins donc ça demande une
adaptation ça voilà quand on est déjà à
50% de pâture même si on passe en bio
c'est moins compliqué dans la gestion
des stocks
moi j'étais j'ai c'est plus compliqué
dans le système dans lequel j'étais moi
la santé des animaux aujourd'hui lé lé n
est pas mal du tout quoi voilà elle est
pas mal du tout j'ai pas j'ai pas je
n'ai pas à me plaindre spécialement quoi
aujourd'hui
mais à pendant la période de changement
ont forcément il y avait des moments où
il y avait un peu trop d'azor d'autres
moyens et pas assez d'autres moments il
y avait un peu d'acidose parce qu'il est
passé de fibres montré que voilà assez
c'est un peu voilà un topo laitiers ça
ce ça se sait relativement malléable
quand même parce que c'est l'adaptation
était a été forte
elle a été importante mais quand même il
ya des moments où on bon on a un peu
peur pour les animaux voilà ça c'est sûr
en termes de réforme ça c'est pas ça pas
été ça a été dramatique quoi il ya
peut-être je sais pas moi sur les deux
arrières peut-être cinq ou six bêtes que
que j'ai dû me ses pannes j'ai dû me
séparer parce que moi s'adaptait pas à
nouvelle ration parce que elle avait
c'était trop pas maigri où on voit la
place et mais bon pas dramatique carré
mais pas dramatique
aujourd'hui ça ça a l'air de bien le
mien se passer quoi ça va bien se passer
et je traite plus j'utilise pratiquement
plus d'antibiotiques non plus dans le
troupeau quoi
oui mais c'est assez ancien mais
l'europe la démarche à l'été elle a été
en europe
elle n'était pas à mon initiative ouais
c'était à l'initiative de la laiterie
qui me collectées auparavant
finalement le le système intensif eux
alors je vais peut-être pu rebondir mais
le système intensif tel qu'il était à
l'époque que je pratique et c'est la
vache qui était à presque 11 minutes par
bête
finalement si on ramener la production
de carbone au litre de lait produit
on était pas mal du tout on était plutôt
même bon par contre de nouveau un volume
de carbone de produits quand même mais
si on aura mené alors au litre de lait
produit
le système était pas à était pas mal du
tout et on est ou de carbone
alors après il peut y avoir un système
herbager où il ya une re ou c'est mieux
reçus ou le carbone et mieux recyclé et
tout ça mais en a une production de lait
bien plus faible quoi qu'on en dise donc
ça dépend de quel rassure on choisit si
on choisit le ratio quantité de carbone
dégagées dans l'atmosphère
il est favorable à la production
de prêts reer vers la au pâturage si on
me prend encore le critère du lait
produit il est plutôt favorable au
système intensif
alors après il faut choisir ce qu'on
souhaite
après après c'est le consommateur qui
doit peut-être faire un effort en
consommant moins de lait ou moins de
viande pour diminuer la quantité carbone
dernièrement ce faire mais en lui-même
le système intensif au niveau carbone et
n'est pas si mal que ça quoi voilà et
pas des commandes du tout ça dépend de
terre comprend voilà ce que j'ai pu
retirer moi mais bon peut-être ça a
évolué depuis hier
je pense qu'aujourd'hui je suis un peu
meilleurs même que j'étais à l'époque on
irait mois normalement si en sachant que
j'ai perdu 20 % ont souvent dos c'est 20
% de la production de convention à faire
avec 6 kg de concentrés à aujourd'hui
quoi à l'ensilage et tout ça on a un
banc de surcroît totalement mais c'est
pas aussi s'est passée ta / de non plus
et est scellé même vache c'est la même
race c'est le même
voilà c'est ya pas eu de changement à ce
niveau là quoi aucun changement à ce
niveau là non mais voilà le ce qu'il
faut retenir de l'expérience que je peux
avoir moi c'est aller vers l'autonomie
au maximum quitte à baisser ça ça semble
une production parce que je pense que
c'est plus rentable et c'est mieux pour
l'environnement
et quoi qu'on en dise la mine ont
commencé dans le majeur des années
futures
je sais que les agriculteurs sont pas
sont pas très très anglais à prendre en
compte ce critère là mais c'est vraiment
c'est vraiment un enjeu majeur ça et
vis-à-vis de l'encens la société on a
tout à gagner à aller vers ce à quoi
parce qu'on va faire des produits plus
sains on va être moins taxés de
pollueurs on peut ne pas l'être du tout
accès de pollueur même pas plus
compliqué qui lui normalement couple ou
une famille et voilà donc c'est quand
même important que
ne pas être toujours dans le viseur dans
le alors c'est vrai qu'il ya peut-être
une exagération non à ce niveau là je
l'admets volontiers mais il faut quand
même
en tenir compte quand on quand on
produit et quand on veut avoir un projet
à long terme quoi et ça etc et c'est pas
pour ça qu'on me brand moi même parce
qu'on produit - voilà c'est ce que c'est
ce que c'est le message qu'il faut
retenir quoi parce qu'on peut produire
différemment et on peut produire en
étant plus respectueux de
l'environnement et ça c'est ça c'est
tout le mondial
dedans vivre et d'être fiers de ce qu'on
a fait pour moi c'est la leçon que je
tire de tout ça ça demande d'être encore
affiner mais
pour le moment tous les cas si on bat du
sur le la trésorerie d'exploitation et
tout ça on est on est on est on est on
est on est plutôt mieux qu'on était quoi
voilà donc tout ça pour dire que la la
le volume de production n'est pas
forcément lié au volume de l'argent
condamné volume d'argent et pas
forcément lié à la quantité quoi ça peut
l'être dans un contexte de 2 dans un
contexte comment dire de progression de
croissance
aujourd'hui on est plus dense et dans ce
contexte la la la la consommation stagne
des produits laitiers et de la viande
plutôt en baisse tout ça
ça nous incite à revoir en entre notre
façon de produire

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