Agriculture Biologique de Conservation - Philippe NOUVELLON

De Triple Performance
Aller à :navigation, rechercher
Vidéos - Ver de Terre Production (2018-10-26) - Philippe Nouvellon - Durée : 50 minutes

Thumbnail youtube R4wWfqxxDkc.jpg

Entretien avec Philippe NOUVELLON - Céréalier Sol Vivant Bio

Annexes

Transcriptions

moi je savais plus très longtemps

puisque je suis installé depuis 1981
donc je suis plus candidat à la retraite
cas d'installation donc vont normalement
je repars encore une année ou deux
affaires donc la ferme c'est une ferme
de 150 hectares aujourd'hui avec deux
associés où on a deux structures et
rennes mais en fait c'est comme si
c'était une seule ferme donc je

Afficher la suite

travaille avec luc de vienne on est une

femme qui d'origine à l'origine était
une ferme d'élevage avec des vaches
laitières et des vaches à viande
et puis donc les vaches laitières sont
partis en 2006 et au départ de mon
premier associé
et puis les vaches à viande sont partis
en 2001
quatorze 2015 je sais plus et dernière
voilà donc on est en bio depuis 18 ans
depuis les crises de la vache folle donc
puisqu'on faisait toute notre vie en
avant le direct on a pensé que ça
pouvait pas continuer comme ça allait
fallait fait changer nos pratiques donc
on est passé en bio donc en 99
aujourd'hui sur une ferme céréalière un
petit peu classique en bio donc avec du
maïs du soja de l'orge après et de la
luzerne
donc on continue à faire de la luzerne
parce que quand on avait l'élevage on
faisait du séchant n'avait une
installation de séchage en grange qu'on
continue à faire tourner donc on vend du
foin aux éleveurs bio et sur les 150
hectares on en a rose un peu plus de la
moitié des régions ici pour faire des
cultures d'été faut de l'irrigation donc
e
la particularité de l'exploitation en
plus de nos efforts pour pour régénérer
les sols et et faire du semis direct et
des couverts végétaux depuis quatre ans
et que dans le même temps depuis trois
ans on a installé un méthaniseur sur les
prestations voilà donc voilà ça fait
deux pôles de de perturbations
importantes ces années-ci pour pour
notre travail est l'avenir de
l'exploitation
donc qu'on a commencé à 4 ans à faire du
semis direct la première les trois
premières années ont été difficiles
c'est la quatrième cette année qui a
l'air d'être un petit peu plus
prometteuses c'est presque la première
qui était la plus réussie parce que
manquant beaucoup de moyens matériels
pour pour changer de
l'orientation on avait fait du semis
direct qui vraiment direct direct qui
s'était pas trop trop salie donc on
avait réussi à avoir du maïs à l'époque
et pas de soja du maïs relativement
propre et on n'avait pas dû trop le
bouillon les deux années suivantes on a
eu on a fait un petit peu de tcs avec
des couverts broyer travailler et ses
appuis du village derrière on a une
salissement énorme et donc ça a été deux
années très mauvaise surtout l'année
dernière donc du coup on a on a dix fois
arrêté il faut il soit on re laboursois
ont fait du semis direct direct pour
plus on travaille sur les sur sur
l'itinéraire technique semis direct à
foix en quoi voilà ne sais pas comment
ça c'est fait ça se sait faire part par
relation en fait on a des on a des
copains avec qui on partage d'autres
projets on a une société photovoltaïque
on a une cuma on à avoir là on est
souvent en relation avec des gens qui de
leur côté
était en semis direct depuis dix ou
quinze ans une fois par an 15 mai une
dizaine d'années et donc à force de
partager on s'est piquée au truc on a
dit ben oui faut peut-être aller vers là
et c'est donc par contre eux il n'était
pas en duo donc ils nous ont donné on
est parti dans ce qui se faisait de
mieux s'il ya tout ce que tout ce qu'ils
avaient observé etc comme on se connaît
bien et on est vraiment amis on a
partagé tout ça donc on est parti avec
ce qui se faisait de mieux les les
rouleaux les semoirs les types de
couverts tout ce qui était validée quoi
la difficulté c'est que personne danser
dans cette expérience la loupe dans ces
expériences là n'était en dix ans donc
donc on s'est lancé quand même en bio
donc on a fait quand même des trucs qui
était un peu plus l'hôte et puisqu'on a
fait ça tout de suite sur quasiment
toute l'exploitation quoi donc c'est un
peu un peu un peu pas très raisonnable
mais mais je pense n'est pas 50
solutions si on veut faire si on veut
avancer faut vraiment parce que les
départs celle qui régit bien d'autres
moins bien c'est pareil avec l'ancien
paris des sols plus pauvres etc
donc on a bien vu un petit peu là où on
pouvait entendre des bons résultats et
d'autres moins et
le le le fait est qu'au bout de quatre
ans et ceux qui étaient avec de
l'expérience sur le vivant et semis
directs qui sont passés en bio
maintenant n'est plus on est moins
isolée
on a quand même bien le réseau c'est
vraiment enrichi de des expériences de
tout le monde quoi voilà voilà
alors pour vous décrire un peu ce qu'on
fait en fait toute la partie culture
d'hiver elle est faite en tcs on des
chaumes les parcelles avec déchaumeur à
disques là on a fait plusieurs
expériences avec des outils sophistiqués
qui valent vraiment pas le coup de
mettre de l'argent là dessus et c'est
reparti long grosso modo des déchaumeur
à disques semis pour pour partir pour
partir propres entre guillemets sur les
cultures d'hiver donc pour l'orge en
particulier lors ge et les semis de
luzerne quand on a refait les faits plus
tôt au printemps mais à l'automne
l'orge et les couverts végétaux donc ça
ça marche on fait des rendements en orge
hyper régulier des cultures sont propres
on maîtrise truc ça ça se passe très
bien c'est un peu une base saine et
simple du système des chômeurs classique
voilà et puis rotative ce mois enfin
combiné de semis semi excellent la sas
sas est assez traditionnel sauf qu on
laboure pas et puis les couverts même
chose on fait découvert l'hiver avec le
même principe et on a découvert bien
fertiliser qui sont magnifiques au
printemps l'aïe a aucun problème là
dessus ça ça marche
alors pour l'instant ce qui ressort le
mieux c'est le soja dans le seigle du
seigle quoi du seigle pur très épais
qu'on espère lapointe ça marche pas très
fort mais qu'on espère voir étouffer le
chiendent en particulier dans les
parcelles les plus infestés et puis pour
le maïs il ya plusieurs écoles on a
commencé avec des féveroles mais elles
disparaissent trop vite elle n'assure
pas de paillage le assez long pour
protéger le salissement du maïs
donc là on mettra les couverts c'est ce
qu'on le marché fait
un peu de seigle pour regarder de la
paille au sol dans le live pour le maïs
1 et puis féveroles vs voilà grosso modo
c'est ça on doit faire des ces deux
trèfles annuel type le square aux hommes
etc
on est en train d'essayer de reproduire
pour avoir de la graine et tous mes
points certes le plus intéressant
aujourd'hui c'est la féverole a fait ses
preuves mais il faut l'associer avec du
seigle donc c'est un peu les plans de
pilotes pro peut mettre plein d'autres
trucs comme ça ça a bien marché
après les ja sur sur cette expérience
alors après on donc pour les cultures de
printemps maïs soja luzerne luzerne
c'est pas compliqué on a fait quand on
peut derrière un show ou très tôt au
printemps ça c'est facile on fait on
fait un travail ont faim qui travail du
sol on sème la luzerne et puis les
premières coupes on les broie pour
nettoyer en bio c'est assez simple et
après l'algérie prend le dessus
elle est irrigué donc elle étouffe tout
se passe donc les les deux cultures qui
font le revenu de la ferme et qui sont
les plus difficiles c'est le maïs et le
soja alors il y à il ya trois choses
essentielles enfin deux pour le soja les
et 3 pour le maïs
c'est avant ce soir puisqu'on fait que
semer il faut que ce soit fait ce sont
parfaites là donc on commence à avoir
des pistes très intéressantes pour
réussir les jolies soumis quelles que
soient les conditions de couverts de
l'humidité est toujours à quoi faut
décevoir qui vraiment face du jardinage
il faut
une bonne fertilisation dont surtout
pour le maïs puisque ont certes il y
énormément les couverts mais tant que le
sol n'est pas démarrer il faut sortir
des appels sakura de des trous de la
misère lundi voilà il faut faire
utilisée pour remonter les sols donc
donc fertilisation du maïs on tient un
truc qui est pas mal et puis tenir les
cultures propres
donc on pensait que avec des gros
couvert et des cultures semées serait
par exemple du soja 30 d'écartement ou
même du maïs à 30 ou 40 d'écartement on
allait tous fait les remet ça marche pas
dans les cultures comme ça il faut
absolument faire quelque chose qui
ressemble à du binage pour privilégier
la culture et que et que les réserves
soient calmées jusqu'à ce que la culture
est pris le dessus
voilà donc sur tous ces points là on a
vraiment progressé quoi donc on a sur la
partie mécanique donc ce moiré roulage
en tant que
on a fait faire c'est le ces chorales
qui nous a fait découvrir ça on a trouvé
un artisan qui nous a qu'à développer un
rouleau faca pour passer dans les sauts
jamais les balises qui s'appelle denis
le sentiment avec qui on a travaillé
donc depuis l'année dernière sur un
rouleau qu'on lui a acheté puis tu es un
peu prototype et on lui a fait faire des
rouleaux qui viennent d'une chute une
réflexion sur des bineuses rotatives et
c'est qu'on a essayé on a un rouleau
aujourd'hui qui nous permet de vraiment
sauver des cultures quoi on a un rouleau
qui touche pas au sol qui marche les
cultures même les cultures pérennes type
règle rares humains etc
et ça les crève pas forcément à tous les
coups mais en tout cas ça permet au soja
ou de maïs de prendre le dessus et puis
et puis on a longtemps dit que les
couverts végétaux type seigle s'il était
rouler après floraison avéré ça repousse
pas ça ça marche pas le si vous roulez
pas avec la roue l'autre est efficace
même si c'est pieds ça ça repousse à se
redresse donc et on n'avait pas
jusqu'ici derulo très efficace et là
maintenant on le tient et donc on a
réussi à avoir des cultures pas encore
parfaite mais donc on tient un rôle aux
côtés se marre on travaille aussi avec
un artisan du gers qui commence à être
un petit peu connu qui s'appelle alain
aurensan
avec qui on a fait progresser son ce
mois requis avec la travaille surtout
sur un élément monograine qui
n'existaient pas jusqu'ici est donc là
on est en train de fignoler le la mise
en terre est là la distribution est donc
là les résultats sont très très
prometteur donc on part avec un bien
meilleur bien meilleures perspectives
que ce qu'on avait à vendre un bon
recevoir un rouleau et une fertilisation
qui marche
donc là on peut commencer à envisager
d'avoir des maïs qui vont plus faire 50
ou 60 quintaux mais qui vont faire 90 ou
100 ça change complètement la donne
parce que au niveau du revenu dans la
fertilisation et les aplats la grosse
nous découverte c'est que on utilise des
granulés de commandite de fiente de
volaille ou de digestat passer des
granulés riche en azote en fait un et
jusqu'ici ces granulés on les mettait
soit à la volée soit square localisée
mais on les ont laissés sur le rang et
en fait ce type de fertilisation si elle
n'est pas enfouir lâche pas donc cette
année on l'enfouît et le résultat est là
un starter ou après ça n'a pas
d'importance mais pour l'été d'été au
moins il faut pas la laisser sur le sol
parce que même avec l'irrigation elles
font très doucement et mène et mais elle
ne
enfin c'est pas et fait quoi voilà donc
c'est des réflexions d'agriculteurs qui
en avait mis un jour par panne de
l'épandeur beaucoup en surface puis ils
ont dû bas l'allemagne qui va être tout
noir et en fait le maïs non il a rien du
tout donc ça veut dire que c'est comme
si on faisait rien passé des
spéculations qui coûte cher donc voilà
donc ça on sait maintenant qu'il faut
faire
non non on a un influenceur un outil
spécial qui avec des éléments de semis
mais qui qui enfouit la graine
alors faut à chaque fois qu'on travaille
qu'on fait ce type d'intervention on le
fait avec des aides des éléments de
semis direct pour pour ce qu'on appelle
faire du smi à vide c'est à dire qu'il
n'y ait pas de lever qu'on touche pas du
tout quoi va et on le fait quand le maïs
à de trois feuilles coin plus comme
comme comme ça minéralise tout doucement
dans l'été ça ramène
sans même le mail jusqu'au bout jusqu'au
bout il ya des gestes qui ont été faits
par un gars des suppléments il s'appelle
des prêts des hautes-pyrénées ou de 4,24
à 35,15 où il a mis beaucoup beaucoup de
il a mis tout l'engrais de la rotation
en fait sur le couvert et il semble
qu'ils aient des balises qui tiennent
bien mais bon faut suivre un petit peu
toutes ces expériences là toute façon
ses qualités semi fertilisation
désherbage c'est l'e3 qu'il faut qu'il
faut qu'ils marchent pour avoir du
résultat on récupère que le grande
quelques grains noirs à ce que la
cannelle épicentre situé au sol donc
notre notre idée si on maîtrise comme si
on continue à maîtriser comme ça le maïs
ça va être de diminuer l'importance du
soja pour 26 miles et cher a plus cher à
produire
augmenter le maïs
pour faire un maximum de gros couvert
gros maïs pour remonter les seuls un bon
lorsqu'on a vu avec conrad c'est qu' il
fallait réussir à amener 20 tonnes de
matière sèche de 2 de matières
organiques au sol par an pour remonter
sérieusement les sols donc c'est là
enfin en cultures irriguées dans le sud
ouest c'est l'itinéraire qui ramène le
plus de matière organique au sol le soja
c'est sympa mais ça ramène rien quoi
donc
donc l'idée c'est de faire plus de
gouvernail ce couvert naïs l'on peut en
faire deux de suite au moins en bio donc
bah ça dépend lesquels donc comme on
avait de l'élevage on avait des prairies
permanentes donc là on doit être à entre
trois et demi et 5
donc ça se voit à toutes les cultures
qu'on fait sur ces parcelles là ça
marche quoi voilà on aurait dû commencer
ya 30 ans quand au lieu de commencer à
tout massacré quoi et est par contre les
parcelles qui sont travaillées depuis
longtemps parce que son
irrigué sous pivot et c'est là on est à
n'est pas très très bas mais au plus bas
on est à deux et on est entre 2 et 3
quoi voilà les x et au-dessus de 3 pour
que ça commence à marcher quoi c'est je
pense que c'est ça tourne autour de ça
ça vous devez le savoir mieux que moi ce
genre soja c'est à la fois plus simple
et plus compliqué plus sain parce qu'il
suffit de faire un gros seigle il n'y a
pas de fertilisation à apporter ou
légères quoi
le seigle ça fait un énorme tapis
conseil très bien roulé on a le rouleau
qu'on a qu'on a lancés là il est assez
extraordinaire parce que il détruit le
couvert en le marchand sur toute la
longueur il laisse le paillage en place
et même il le leur soulève un petit peu
comme quand ce que c'est de faire
françois mulet quand il fane sa paille
ça fait un petit peu sa croissance quand
on est passé on a écrasé les plantes qui
compte a été détruite avant le semis on
les écrase on roule la paille
on va même gratter si on veut
les petites plantules qui sont sous la
paille et on soulève la paille derrière
pour qu'il y ait le moins possible d'un
trait de lumière sur le rôle au sérieux
pas encore encore progresser
la conception de la machine dont on va
se revoir avec le constructeur pour
faire le point quoi mais c'est vraiment
une trouvaille là on a passé un cap avec
avec ça parce que sinon sinon perdez
tout quoi vers 2 prenait le dessus mais
on a encore des parcelles ou encore des
parcelles ou pas de couverts passe est
rouvert
dans cette maîtrise du salissement on
perd la récolte ou quoi on fait de la
masa ont fait de base ont fait de la bio
masse les ont fait pas de revenus non
non rien de spécial dans l'or georges
qu'on fait c'est que quand on a du
digestat ont donc on fertilise au smi
avec de la firme de volaille être que
quand on a du digestat ont fait un
passage obligé ça à la sortie de l'hiver
sur l'orge comme sur le com sur les
couverts végétaux et ça nous fait bon
pour les couverts végétaux une
minéralisation qui arrive après pour le
maïs qui est intéressante mais pour
l'heure je bosse à la compagnie aussi
est derrière l'orge dont on fait un
couvert d'été que type sorgho quoi donc
qui profitent aussi de
si l'ange a pas tout manger la note le
sorgho en profitons pour avoir trouvé un
détective incorrect la difficulté c'est
qu'après il faut avoir assez d'eau pour
accompagner tout cela donc sur les
couverts on met pas trop dont profitent
des orages pour voilà pour essayer de
les réussir mais c'est difficile de
découverte été découverts découvert
divers c'est très facile découvert
d'être consultés après un sort gobain
soit on fait un retard sur un couvert
nivert si c'est un maïs ou soja qui
revient derrière 6 et de l'orge
enfin c'est rare que soit deux heures de
suite en général c'est un double
couverte qui est un couvert de sorgho
puis après on repart sur un couvert de
seigle ou seigle féveroles serpent
repart sur une sélection était donc
c'est le principe au truc ans et c'est
vraiment les dernières j'en avais parlé
à françois quand j'étais passé le voir
c'est vraiment les trucs qui sauf qu'il
faut affiner mais là on commence à tenir
le truc bien vraiment sympa l'a donc
après ce qui nous manque c'est
ces végétaux on a le groupe de travail
avec conrad a commencé à réfléchir là
dessus il faut qu'on trouve des végétaux
pour pour étouffer les vivas
donc c'est à dire que on arrivera pas si
on veut rester en semis direct dont on
va avoir des invasions un chien d'or
énorme quoi donc il faut trouver ce qui
va nous permettre d'étoffer le chiendent
que ont compté sur le seigle mais c'est
pas gagné
et puis pas de trêve le square aux
hommes les le sorgho des choses comme ça
des choses très voraces quoi qui étouffe
quoi voilà c'est ça ouais ouais ouais
personne ne sait la personne ne sait
ouais bon après sept buts des gens qui
font des trucs en premier puis peut-être
pas assez de
deux formations de faux
enfin quand on commence quelque chose
faut commencer par réfléchir et aller
chercher ce qui se fait de mieux dans le
domaine ca permettent pas recommencer
les erreurs des autres
une des principales erreurs dans ce
domaine là c'est de penser que
le tcs est une étape le tcs une c'est
une erreur grossière
on laboure où on fait rien le tcs en bio
et c'est une calamité sur le symbolisme
en des parcelles d'ailleurs j'avais vu
des conférences une conférence à gauche
de d'une ferme expérimentale suisse qui
mettaient en plus des décès chez des
agriculteurs bio tour quoi donc il y
avait ce me direct qui n'avait pas trop
développé n'a pas de moyens il n'y avait
pas de référence
bref il avait des bons résultats mais
c'était tellement marginal qui voulaient
pas y croire du tcs et du labour et sur
la ferme expérimentale avec de la main
d'oeuvre etc il essayait de sauver les
meubles c'est énorme et tous les
agriculteurs associe partenaires de
cette station expérimentale
ils ont dit que le tcs il n'en voulait
plus les parcelles étaient infestés
impossible d'en venir à bout coin mais
c'était trop de à ces affreux quoi
affronte donc alors que bondues semis
direct dès que le taux de matière
organique est bon et que et que on
arrive à faire des jolies couvert c'est
le franchement pas très difficile avec
les outils qu'on a maintenant je pense
que je dis pas qu'on va voir des
parcelles nickel etc
mais en fait on déjà en bio on est
habitués à partager l'espace avec les
avec les mauvaises herbes mais là si
vous faites plus de 80 qu'un peu de maïs
vous en foutez kichwa salle croizat pas
l'importance du maroc et des récoltes
assez bon il ya deux digestat il ya
puisque le le digestat brute est passée
au séparateur de phases aucune partie
sèche une partie liquide donc la partie
sèche et
et pas très abondante genre 20% à peu
près 1
donc c'est comme un comme un compost en
fait un des jardiniers alors ce produit
et donc on a pas mal car chez les
copains un peu qu'ils marchaient comment
sinon le met sur la luzerne ça en
priorité région connaît en exploit est
quand même dur donc on fait on fait des
apports de ce produit sur la luzerne et
après le digestat liquider est
intéressant parce qu'il est assez riche
en azote
on est aujourd'hui à 5 que
5 pour 1000 da zot donc
58 kg et barton voilà donc ça fait 5 %
ça bon bref 50 unités para para parton
donc
donc ça c'est un bon produit la
difficulté c'est que c'est un produit
qui est très instable donc il faut faire
des épandages quand il fait moins de 15
degrés donc les parages de printemps
sont quelquefois un peu compliqué à
faire pour sa connaissance mais avant le
maïs ou est ou sur le maïs et sur le
maïs est compliqué d'avoir fait rentrer
en lice avec les avec le tonneau ici et
puis ensuite il faut il faut le faire
dans les périodes dans des semaines où
il fait froid quoi donc quelquefois au
printemps les apparats mois de juin
était pas question de digestion perdait
tout quoi il est alimenté avec du fumier
qu'on échange des couverts végétaux
concile et qu'on échange avec l'ue 10
est à sec des couverts végétaux qu'on
achète le fumé des couverts végétaux
qu'on ans il des déchets de céréales
qu'on achète et un petit peu d'amidon de
maïs qu'on achète aussi comme ça un
prototype un truc expérimental la
production est un peu en dents de scie
pour ne point de techniques à résoudre
mais bon c'est en train de se caler
alors c'est un gros investissement
sachets la seule chose qu'on est sur le
complément de revenu on a misé sur le
fait que ça nous permettrait d'avoir un
revenu supplémentaire donc assurée sur
la ferme et
et puis des bons désavantage un
sur-risque en chauffe de quatre maisons
sèche le point avec la chaleur récupérée
de la cogénération
donc c'est quand même les avantages
intéressants la vente d'électricité on
espérait qu'il reste un revenu
aujourd'hui si on n'est pas c'est un
méthaniseur qui doit normalement tourné
entre 75 et 2 75 et 90 kilowatts
electric 1 mais en dessous de cette
performance là on est on est on à table
voilà donc
donc on a intérêt à être assez pointu
coin voilà en fait bon là on a une
erreur technique ce printemps on a ainsi
des puisqu'il fallait pas trop d'azov
dans la ration on a aussi des méthodes
très mûrs et puis du coup on a un
problème de on a un problème de
rhéologie comme c'est un système par
voix pâteuse bref la matière prend pas
l'eau elle n'est pas assez aqueuse pour
circuler comme il faut dans le
dans le process c'est ça qui nous pose
problème c'est plutôt intéressant côté
méthanisation qu'il ya beaucoup de
carbone beaucoup plus de carbone moins
d'azoté mais on maîtrise mal les la
gestion des flux donc donc c'est ça qui
nous pose problème pour l'instant bon
quand ça va être réglé on va on va
refaire les prochaines années des
antilles l'âge plus à queue qui ça se
passera bien
enfin le conseil qu'on donne à tous les
gens qui viennent visiter l'installation
c'est que surtout que ccc les éleveurs
qui est dans mon agricoles sont le plus
en difficulté
en termes de revenus en terme de
pression sociale de surcharge de travail
de peu d'avenir devant eux et c'est
surtout ce qu'ils se remettent pas trop
en question sur le système et ils
arrivent ici en se disant si on fait un
méthaniseur ça va nous sauver la mise
nous on leur dit non ça va finir de vous
couler et puis cela vous dégoûter
vraiment parce que autant des énergies
renouvelables comme l'éolien ou le
photovoltaïque on salit pas trop les
mains là méthaniseur caen s'est planté
ces plaintes et s'est il ya énormément
de méthaniseur qui marchent pas bien
c'est très coûteux donc faux je pense
que ça va bien des systèmes qui marche
bien mais il faut faut être bien
accompagné c'est donc on dit aux gens
occupez vous de vos sols et laisser
tomber ça ça c'est sûr pendant ses
dimensions là enfin on serait pas passé
les premiers en tout cas quoi bon un
partenariat qui est le risque a été
assumée par la boîte qui bossent et qui
nous l'a vendu et nous voulons la
partager le risque donc bon mais
non franchement aujourd'hui puis bon il
ya des choses de bon sens d'abord bon
c'est un peu anachronique on a vendu les
vaches on va plus les fleurs d'élevage
ont fait de la de l'électricité de
rendement électrique
de l'utilisation du gaz quand on crame
dans une génératrice c'est entre 30 et
35 ou 36 % donc ça fait les deux tiers
de l'énergie qui est pas valorisé donc
vont voir aujourd'hui que j'étais un
petit tourne bien qu'ils progressent qui
évolue en corse et les liens qu refus
des installations plus importante mais
qui épure le gaz qui injecte dans le
réseau donc ils vendent toute l'énergie
les puissants sont aujourd'hui à faire
du gaz carburant il passe d y passent
des contrats avec des transporteurs
enfin ils sont ils sont rares ils sont
dans le coup quoi ça fonctionne quoi
alors que gros ce qu'on a fait c'est un
petit peu pilotes même si ça sert aux
gens a pas faire votre bêtise c'est bien
ces deux rien avoir lâché c'est à dire
dès le début qu'on a compris ce qui se
passait c'est une vraie découverte sur
ce qu'on pouvait faire comme vie du sol
on na li
on n'est vraiment pas sûr de réussir
mais on est sûr d'avoir raison donc faut
rien lâcher quoi il faut bosser
quand les résultats sont là c'est
vraiment une vraie satisfaction
et puis ça c'est moi qui faisais les
livraisons de vente directe de viande
donc j'ai beaucoup perdu en relationnel
quand j'ai arrêté et on a transformé sa
avec la rencontre de la découverte de
tous les réseaux qui bosse dessus qui
sont des réseaux très ouverte vous en
faites partie
ça bosse ça échange
c'est il ya quelques quelques
personnalités qui sont pas forcément
très abordables ou un peu jalouses de
leurs trucs mais bon ça dure jamais très
longtemps être tout finit par se savoir
parce que tout le monde cherche des
solutions et et c'est vraiment sympa
quoi hein je pense qu'on a beaucoup
profité aussi de deux d'un excellent
ministre qui était le foll pour
développer ce à quoi et je pense qu'il
va peut-être falloir que ces réseaux là
ils se bagarrent maintenant pour ne pas
se faire bouffer par ce qui vous attend
à la sauce macron là c'est pas c'est pas
évident mais c'est le résultat qui fait
la différence là ça voilà quand on
commençait à réussir c'est gagner quoi
et voilà il ya beaucoup d'échecs ça
patine du requin gens qui sont ces dans
ce réseau là il ya des bouillons qui se
prennent les gens font pas de revenu les
échecs c'est pas facile hein
alors ce qu ont les meilleurs résultats
c'est ce qu'ont rien lâcher comme
christian abadie c'est la référence
mais une fois vous l'avez sorti de lui
il ya beaucoup de gens qui qui qui qui
se demande si ça on va y arriver quoi en
conventionnel quelqu'un qui travaille
bien ça marche mais en bio en bio c'est
un sacré challenge est là je crois qu'on
commence à le tenir coi 1 c'est bien les
pionniers c'est les maraîchers ccc
françois vide et c'est son groupe la
recherche survivant là j'ai beaucoup
regardé les formations et vidéos la
toupie et binou problème c'est de ce
transfert transposition en grandes
cultures avec plus de patience plus de
temps plus de d'autres moyens aussi quoi
mais mais quand on commence à y arriver
c'est sympa ça j'en sais rien mais il
n'y a pas de raison il a pas de raison
que ça marche pas les systèmes les mieux
protégés c'est des systèmes d'élevage
avec des prairies qui tourne ça ça peut
bon moment quand j'étais en je suis
passé en bio avec 70% de prairies
j'avais aucun point de salissement
n'avait aucun problème de frein au sol
c'est pas trop dégrader et c'est avec
les pays tournait bon c'était assez
simple quoi si on sort de là sont les
fers de livio en grandes cultures c'est
compliqué ça a toujours été compliqué
c'est comme faire du maraîchage ou faire
de la vigne quoi ce qui touche le mieux
en mieux c'est l'herbe
donc c'est très bien pour les éleveurs
mais pour les autres c'est une calamité
donc il faut il faut réussir à mettre un
système en place qui soit qui fonctionne
quoi et alors là ou là où la
satisfaction si on arrive à maîtriser le
système c'est que on sort de ce travail
du sol alors le pire du pire pour les
sols sais c'est les gens qui sont en
situation
difficile coteaux et ses sols fragiles
qui parce qu'ils sont éleveurs qui
vendent les vaches carrache les prairies
qui passe en bio donc au lieu de
travailler le sol une fois tous les
trois quatre ans les prairies puis deux
fois par an dans les parcelles cultivées
ils commencent à tous travaillé une
dizaine de fois par an quoi pendant cinq
ans la ferme elle est morte coincée fini
ça c'est le pire points je pense que les
bio sont bien plus concerné par la
dégradation des sols aujourd'hui que les
conventionnels
donc c'est pour ça qu'on a ri faut y
arriver quoi faut y arriver il faut voir
la fuite en avant plus en terme
d'investissement qui a été fait sur le
sur le lutte contre les adventices
alors on est à toutes les vignes aux
caméras machin tout ça mais c'est fou
aller les chambres d'agriculture et font
des journées entières de vulgarisation
tous ces trucs là quoi c'est une
calamité coin c'est très coûteux c'est
enfin vous tombez sur une semaine froide
et humide au printemps ça y est c'est
perdu nous on n'y arrive pas ça ça
marche pas
donc voilà si on peut y arriver avec
notre truc c'est quand même c'est quand
même prometteur
ouais bon mais un petit peu de moyens
quand même les l'itinéraire qu'on met en
place par exemple il n'est pas possible
sans sens en images
très possible sur le tracteur rtk l'a
gps pour pour rouler plusieurs fois des
grandes surfaces en passant au ras des
rangs et sans rien abîmer plus que ce
soit pas trop fatigant il faut le froid
quand même des moyens on les a plusieurs
mais une fois que savoir c'est bon c'est
intéressant dans la ferme elle est
particulière parce que il ya il ya 80%
des sols qui sont drainés à 15 m à 12 ou
15 mètres
donc il n'est pas question de planter
des arbres là pour les questions
techniques
voilà si c'est pas drainé c'est
inexploitable donc c'est le drainage
dans les années 80 qui a sauvé la ferme
plus que l'irrigation assez fou il y
avait ici quand je me suis installé il y
avait 70 hectares y avait 70 parcelles
qui étaient séparés tout par des fossés
et entre ces fausses et on se plante et
on enterrait des détracteurs et des
machines
c'était inexploitables on se rend pas
compte à quel point ces terrasses
hydromorphes était difficile à
travailler sans le drainage la vraie
révolution c'est le drainage agricole et
ça il faut le protéger parce que je
crois pas que la foresterie nounou
remplacera s'accordent par contre par
contre on a des parcelles on a tout un
travail de 2 est à reconstruire et sans
faire de l'agroforesterie en calculant
sein par rapport au drainage on peut
aussi faire des bancs de des bandes non
travaillées quoi
ouais ouais en r&d même jusqu'à des
ronces enfin voilà des choses des abris
quoi est fait pour ça ça peut marcher
quoi bon après nous pour l'instant nos
cultures sont tellement sales que on est
on est très protecteur de tous le gibier
les sangliers les lits celle là il ya du
monde et wii puis quand on a deux quand
même une végétation permanente et
abondante toute l'année sur les
parcelles je crois que déjà bon assure
quand même pas mal de choses au niveau
du milieu quoi alors on regarde pas tout
mais bon par exemple depuis qu'on a
commencé à faire du semis direct on n'a
jamais de façon c'est impossible
on n'a jamais utilisé dans tiny masse
alors qu'on a utilisé un petit peu quand
on était en bio en pur mais on n'a
jamais eu aucun problème de lits masson
n'a aucun problème de rien de façon on
peut rien faire donc on est franchement
ça marche
une fois qu'on a résolu le projet de la
fertilisation après la nature et se
débrouille
franchement ça ça fonctionne sans aucun
problème d'ailleurs on a notre
expérience seigle gros couvert par
rapport à au paillage des maraîchers on
peut alors apporter beaucoup de ceux
faut arrêter je ramasse et de la taille
la lega ccc j'ai du mal
faut que ma charge de vienne autour de
rossi quoi j'ai fait une formation à la
ferme du bec hellouin ils sont gentils
les galas d'expliquer qu'ils n'ont pas
de tracteurs ils utilisent pas d'énergie
etc
si on met l'énergie qui a servi à faire
le super compost ou le fumier mais
surtout le compost qui font rentrer il
faut rentrer les camions de compost là
mais n'importe qui peut faire n'importe
quoi avec ça c'est facile mais alors
l'énergie qu'il a fallu pour transformer
les déchets verts dans ce terreau noir
la sent désarmé super là évidemment à la
pollution que ça a créé tout ça bon
c'est un peu court quoi la réflexion
pour en sang il fait des semoirs qui
sont faits pour faire du semis direct
donc dans des dans des parcelles avec ou
sans couvert végétal et des semoirs à
céréales donc là l'originalité de ce
montage c'est que c'est un vieux se
marre à maïs qui qui envoie le maïs
de façon pulsé donc c'est pour ça que
c'est une distribution qui nous
intéresse parce que ça nous permet
d'envoyer les grains n'importe où dans
les éléments du soir alors que les
distributions monograine qui fonctionne
par aspiration
on n'a pas la même précision et
le cahier des charges est plus compliqué
donc là donc on a une distribution
monograine qui est très ancien qui se
fait plus d'ailleurs qui envoie qui
envoie les grains dans l'élément de
semis donc l'élément de smith qui l'a
d'originaires et c'est là dessus qu'on a
travaillé c'est que il a une mise en
terre avec une rudra puis voilà
l'évolution de ce système c'est qu'avant
c'était cette roue laqué contre le
disque qui faisait là le terreau âge là
on le voit ici avant faisait la
profondeur avec ça voilà donc là on a le
disque qui ouvrait la languette de terre
qui est tenu par la roue qui est contre
la difficulté c'est que quand la roue
elle a l'appui de l'élément summer sur
le nez et bien la terre qui se couvrent
le couvre le disque elle est compacte et
par la roue qui fait la profondeur donc
on a ça nous fait une zone qui c'est qui
qui s'ouvre mais qui est compacté et
ensuite qu'on ramène derrière pour
refermer l'arrêt des fat la graine est
tombé et on recontacte dans l'autre sens
un peu comme si on faisait du béton on
tire à la truelle et on aura plus à la
truelle donc ça ça marche pas mauvaise
devait donc il a fallu rendre cette roue
la libre pour avoir un arrachement par
le disque mais aucune compaction 2
de la terre et puis on travaille sur une
roue qui est sur le côté qui elle fait
le prend la pression du léman et donc
permet d'avoir un sillon qui est ouvert
par arrachement sans aucune compaction
une graine qui est rappelé liées aux
fonds et une route fermeture qui est
juste une petite découpe de de la ligne
de semis pour qu'il y ait un léger
guéret sur le sur le rang et aucune
compassion quoi surtout il faut pas
s'appuyer
voilà parce que sous les couverts c'est
souvent assez humide et des corps appuyé
dans des limons dans les argiles un
petit peu gras on a des très mauvaises
levée après l'élément lumens c'est le
principe du disque oblique incliné dans
les deux sens dans le sens avancement et
dans le sens de l'arrachement donc ça
permet de faire des semoirs très légers
alors que les semeurs de semis direct
d'habitude c'est les monstres donc ça
fait les smart très léger c'est eux qui
rentre le mieux celui là il est unique
le châssis est le principe du rôle en
scène ce café denis vicentini c'est un
système de de croiser alors si tu veux
le dax et le passage des rangs est
toujours identique et les rouleaux ils
se déplacent pour s'approcher plus ou
moins durant c'est formidable parce que
quel que soit le stade végétatif ont peu
à passer au plus près du rang quoi ça
c'est déjà une grosse trop règles sur
les bins plastique vous avez un châssis
fixe
et puis il faut il faut déplacer les
éléments quand on veut se rapprocher du
rang ou s'éloigne donc le principe c'est
que les rouleaux faca il fonctionne avec
des barres qui roule qui sont censés
mâcher la matière et de la végétation à
elle rigole quand quand
on passe ses bars de rouleaux fac à sa
porte une plante comme ça il faut il
passer ça marche pas donc la réflexion
qu'on a eu c'est qu' il fallait détruire
la plante sur toute la longueur de la
tige et donc on a commencé au départ les
premiers rouleaux avaient des barres
dans ce sens là comme tous les rouleaux
fatah donc on a commencé à les mettre en
biais pour avoir un travail de ma charge
plus efficace que le rouleau qui roule
comme ça et puis du coup on a dit en
fait pour mâcher la matière sur toute la
longueur
il faut que ça fasse un petit peu comme
un déchaumeur donc là la matière est
pris devant derrière et puis les disques
s'enfonce dans le dans le couvert et
puis de le couvert il est arraché ou
mâcher sur toute la sur toute la
longueur et le le résultat est vraiment
sympa il ya des bineuses que tu es
rotatif qui était fait un petit peu sur
ce principe
donc là après le jeu c'est d'arriver à
toucher que le couvert est pas touché le
sol pour pas faire de lever mais l'effet
sur la végétation et on a même des on a
même des rumex qui sont arrachés au
passage de qu'on attrape la tis de rumex
et le collet et on arrive à si le sol
est un peu souple on arrive à faire
monter la racine carrée on sait pas
c'est pas forcément une réussite parce
que si jamais une racine de rumex se
retrouve dans la terre il ya des yeux
qui repartent de partout quoi mais bon
voilà ça ça permet de sauver les
cultures dont l'itinéraire technique
c'est un gros coup vers même si les
salles de sous etc
on commence par retracer les rend donc
on fait un passage où le rang va être
particulièrement bien
nettoyez et ensuite en scène et ensuite
on se décale de 30 et on fait trois ou
quatre passages de nettoyage dans le
couvert sans toucher le sol là c'est
gagné
c'est gagné pour l'herbe faux fertiliser
il faut faire un joli semis et c'est bon
et ça il faudrait l'adapter à des
parcelles
par exemple vous faire des essais pour
faire sur des découverts d'été où on a
fait pousser du sorgho o'gara
salissement estivale pour faire d'eux
des céréales d'automne mais faudrait
passer cela en plein pour semer de orge
en semis direct et partir propres sans
avoir touché le sol voilà les trucs qui
ce qui se profile propos fine c'est ça
c'est à voir cet outil pour pour
détruire n'importe quelle végétation un
peu le round up du bio quoi et puis
ensuite que ce conseil soit prioritaire
pour des maraîchers dans les vignes
partout enfin après c'est bon c'est bon
pour tout le monde donc il manque un
manque des trucs encore là il faut des
racleurs parce que donc quand on touche
un petit peu de terres humides
on voit que
que sabour
on va l'élargir un petit peu parce qu'on
va élargir le noir enfin bon on n'est
pas loin de là un résultat très très
intéressant très très intéressant et
cela permet de 2
profitez du couvert au maximum c'est à
dire qu'on fait découvert on les laisse
pousser le plus possible après il faut
un travail de paillage il n'est pas le
couvert il n'est pas broyer
donc on garde tout là toute la ligne
pour pour les vers de terre et ça prend
tout son temps pour se dégrader il ya
une protection du sol qui est optimale
vous avez vu le paillage bon il était
mort là mais sinon quand au moment où on
le fait là au mois de début juin là vous
avez vraiment l'impression que vous avez
comme si c'était un toit de chaume dans
lequel on est on a sommé du soja ces
magnifiques ans et c'est vraiment un
régal de le faire qu'on travaille comme
ça une dernière réflexion qu'on a eus je
peux vous le raconter en partant j'ai
pas trop vous retardez
une dernière réflexion qu'on a eu c'est
sur l'irrigation les principes de
l'irrigation c'est d'avoir des dégoûte
le plus petit possible pour pas abîmer
le sol qui était seul à seul travail etc
faut pas créer de croûte de battance
voilà voilà
quand on est un couvert végétal c'est
complètement l'inversé on va changer
tous les visages des pivots les bus les
faut que les enrouleurs il envoie un
maximum d'eau parce que quand vous
vaporiser de l'eau sur un gros couvert
en fait vous le mouillé il sèche au fur
et à mesure il n'y a pas d'eau pour le
sol donc en fait quand on met de l'eau
il faut qu'elles soient abondantes et
rapide pour qu'elle traverse le couvert
et qu'elle haim est immergé le sol et
ensuite cet ol va rester mais si on fait
de la pulvérisation avec des outils
sophistiqués des arroseurs sophistiquées
tout ça c'est complètement remis en
cause donc un arroseur qui mettait
20 mm par semaine enfin 2 x 20 mm très
très valorisé avec des petits arroseurs
etc on démonte tout on est tous dans une
caisse et on va chercher les arroseurs
qu'envoie de lobos
le plus vite possible pour que ça non
quand il fait un orage s'il fait 50 mm
en gare de tourcoing les copains qui
travaille quand il fait 50 mm si l'on
regarde le dise le reste sa part s'il
fait 50 mm en deux heures il y en a la
moitié qui descend boucher les phocéens
c'est clair affreux donc là on a le soja
qui a commencé à bien se salir la bourse
qu'est-ce qu'il faut voir d'intéressant
c'est ces gros paillage de seigle la
voilà bon ça a été arrosée ça il ya il
ya dix jours maintenant c'est encore
tout frais quoi et de paillage de cette
loi il n'a pas bougé coin donc alors ce
qu'il faut réussir à faire c'est les
levées de mauvaises herbes
quand on a des gros paillage bon là on a
eu un accident technique c'est que le il
a fallu recevez le premier semi n'a pas
été bien fait donc il a fallu au sommet
d'où le problème du semoir mais si on a
un bon roulage est et concerne aussi tôt
avec un gros paillage le salissement et
puis qu'on peut rouler après dans la
terreur le salissement va venir de sur
le rend donc sur leur en faut pas faire
de lever seul intérêt du semis direct en
bio mais pour pas faire de lever sur
leurs enfants à se voir de semis direct
qui massacrent pas tous qu'ils fassent
pas du tout de lever de terre etc
il faut que ce soit la plante qu'ils
soient privilégiés et pas l'herbe
donc c'est très très technique voilà on
en parlera après autour du semoir voilà
donc on va s'avancer là aussi un petit
peu moins sales donc là c'est la
bataille le soja il en train de se
battre avec le avec le les mauvaises
herbes
voilà bon là je ne saurais pas dire quel
rendement va faire la coin parce que il
va y avoir il ya quand même ya quand
même une concurrence importante avec le
mets en tcs on voyait pas le soja il y
avait les mêmes
le même salissement et le soja il
faisait 10 quintaux coin là on a des
soldats qui n'a qu'a bien fleurie qui
commence à faire des gosses presque
intéressant c'est que si on regarde
dessous si on regarde dessous en fait
d'où elles viennent ces mauvaises herbes
et viennent tout sur leur va tout et
tout a poussé dans le rang là d'un
terreau en la soustrayant il ya rien
qu'à pousser est dans le maïs c'est
pareil sauf que le maïs ça se défend
beaucoup mieux que le soja le maïs et
lui il s'en fout après qu'ils aient vu
gay on peut pas rentrer dedans coin et
regarder comment il est il ya des épis
comme ça là on a fait des comptages on
est sur des sur sur des dans les parties
les plus jeunes on est sur des bases de
120 quintaux si ça va au bout donc on
s'en fout de l'ère ben voilà on rentre
dans un maïs bio en dehors du fait qu'il
ya de l'herbe
on a l'impression d'être dans un maïs
conventionnel quoi ah oui mais de toute
façon le sol il découvert par le maïs un
déjà et ensuite
ensuite on voit bien que bon il y à sac
à pousser mais ça c'est par deschamps
pour le maïs est ratée pas de
concurrence guérison voix c'est plus
simple que çà et là on voit que le
couvert a fait son boulot quoi donc là
c'était un couvercle était très clair
qui était pas très réussi quoi bon c'est
pour l'instant voilà on a le chiendent
regardez la structure du sol c'est ce
magnifique coin et et il aurait fallu
avoir un couvert plus épais pour
empêcher mais bon après ça finit
toujours par passer par dessus mais une
fois que le maïs y des lilas il a pris
l'avancé bon à c'est lui le chef c'est
lui qui commande pour qu'il prenne de la
rance il faut une bonne partie sinon qui
part très fort et puis quand il arrive à
ce stade là bas il fait des épis qui
font la moitié il est tout jeune et
parce que il n'a pas être les nourrit
jusqu'au bout fois

Partager sur :