Journée Technique Elevage - LVH & PADV - 4/4
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des choses que c'est pâturables le
sorgho et les toxiques avant il a trop
d'acides rsiq avant une certaine ça va
afin de 170 cm mais après c'est
pâturables ya aucun problème
il y avait une question au fond la wii
sur les mélanges suisse on a été voir
entonné et nous en bretagne est ce que
le mélange sucer est aussi intéressant
trèfle blanc je sais pas je sais pas
répondre non nées par mère l'avait la
légion oui donc la coke on avait été
chez toi qui nous en avait parlé des
mélanges suissesse qui a différents
sorte de mélange plus parce qu'on
oserait il n'entend pas parler
voilà où les prendre et comment que c
est est ce que c'est aussi intéressant
vu nous on est en bretagne avec une
pluviométrie beaucoup plus intéressante
que dans les autres régions
est-ce que c'est aussi intéressant que
du ray grass anglais et du trèfle blanc
voilà on aura il ne peux te dire que
plus de plus de rendement je peux dire
tout de suite
we want a fait à l'époque avec tes
plusieurs fournisseurs en suisse à
l'époque nous qui nous a vendu au cours
des actes partout en france on en vend
du domaine et qui peut sûrement
confirmer ils vont partout en france
par contre il n'ya pas tous les mélanges
qu'ils ont bien pour nous par exemple
les mélangeant le tactile ou virer des
gens départ c'est pas la peine le terme
style avec le sait qu il va se
développer beaucoup trop il va prendre
dessus vous êtes déçu par contre tout ce
qui moi j'ai très bonne expérience pour
le pâturage l'a-440 c'est une mélange
qui durent très longtemps coûte un petit
peu plus cher mais je peux vous dire
tous les groupes qui met un janot et
même et le conseiller de pâturage
tournant dans l'époque il l'a jamais
revenus il est toujours dit incroyable
ça pousse bien plus est vous avez un bon
mélange très loin jusqu'à l'été mais
cette côte et à la fin nous sort mais
après tout ce qui est pur souche je
pense vous pouviez faire aussi bien là
ça va faut être un peu intelligent ou
voulait copier un peu de manière
il ya toujours ce petit avantage que que
qu'on aura tout à l'heure il dit l'inra
en suisse ses 60 ans ça existe et ses
producteurs en travers de quatre chaque
kilo cache à peine dix centimes pour la
recherche
ça veut dire les chercheurs sont payés
par le producteur de lait et pas par
l'état chez nous l'inra haras du pin
très connu un tiens sincérement 3 encore
chercheurs bourse à 1
il était agréable l'autre de l'état et
le troisième au négoce pensez vraiment
c'est ça qui sort ce qui devrait sortir
je pense pas c'est pour ça hein pas
compte en france nous sommes très forts
au niveau même si l'on fait les derniers
à 40 50 ans tous pour le maïs c'est
clair mais je sais avoué libre joie de
dire je cherche où ça pousser
l'expérience après nouveau les copier
vous pouvez trouver la semence et où on
peut trouver la semence dans ce cas là
je suis romancier
non mais vous regardez dans les
catalogues de mélange suisse il ya tous
les variétés dedans et les pourcentages
et après vous calculez voyait des
espèces c'est clair mais après qu'est ce
qui veut dire sinon aussi protégé chez
dominique ce qu'ils avaient d'autres
questions on continue oui
pour l'épauler
jeudi on cherche la réponse pour
l'éleveur kibio fabriquer de l'énergie
quoi il a deux solutions soit on reste
dans la vieille pratique c'est à dire on
rajoute en rajoutent des céréales
exactement comme on a vu dans ta ration
tu rachètes des céréales ça c'est
première question c'est première
solution je dirais donc dans l'immédiat
toutes nos rations sont construites
comme ça donc c'est ce qu'on fait on
essaye de les produire le mieux possible
mais pas toujours évident au haut niveau
de production on arrive donc des fois
c'est plus simple de l'acheter et
l'autre solution ce sera la voix
fourragères c'est à dire que on commence
à comprendre que il va falloir mettre la
bonne cellulose dans le bon rue mène une
réflexion qui est ouverte à la vache
heureuse c'est que si vous voulez un bon
rhume haine qui fonctionne en occident
réduction il va falloir bien élevés les
génisses et il est probable que toute la
clé de valorisation du fourrage se joue
là entre 0 et 8 10 mois est en fait ce
qu'on constate de plus en plus c'est
qu'il est interdit qu'un veau avant
l'âge de 8 10 mois mange fourrage
soluble réellement il lui faut quelque
chose de très grossier pour lui faire le
rumen en volume ont papilles et c'est
extra
et donc dès qu'on rentre fourrage
soluble dans un rhume n ont fait une
grosse connerie
donc ça ça va être un des axes de
bataille mais on le voit dans certaines
fermes
c'est très net c'est comment il
s'appelle philippe marchand qui est pas
là aujourd'hui qui aurait dû témoigner
là dessus parce qu'en fait chez lui ça a
été très très net
quand on a changé l'élevage des génisses
on a des génisses à 2 ans elle donne 50
litres de lait d'accord et uniquement
sur une approche fourrage grossier
on a mis en fait
la céréale traité ali plus pour faire un
vl 18 pour avoir l'énergie de croissance
si vous voulez et tout le reste c'est de
la paille points voilà les rations qu'on
fait le plus simple du monde le mieux du
monde et il a on se rend compte que
souvent nos rues mais n'y sont pas prêts
et en fait un las ça va faire partie de
la réflexion l'année prochaine on
voulait revenir dans le débat avec les
vétérinaires et avec les gens qui ont
des terrasses y ont un petit peu plus
sèches et plus fourragères c'est à dire
les gens du massif central les gens de
l'ess légende des vosges et c'est pour
voir comment il aborde ce problème là y
compris sur l'élevage des génisses parce
que de ce que je vois actuellement je
vire tous les ensilages sans exception
tous les regards ont tous les x prendre
deux la première phase d'élevage
tu as dit et le dactyle si tu veux mais
là j'ai pas trop le choix des fois lié
mais c'est un des gros gros axes de
travail donc il ya une question là bas
ce qui est en effet race pour l'optimum
au niveau oxydes héros diction du rumen
ou est-ce que ça a été mesurée est ce
que c'est mesurables on sait pas moi je
sais j'ai pris boston simmental chez moi
et du coup on a en obsolète croûte
croûte douar chez les prim'holstein et
j'ai cristaux jaune pour la même ration
celle et simmental du coup ça fait quoi
et bien en fait on est en oxydation sur
les prim'holstein et on est un peu moins
comme celle azote on est en réduction
chez les psy mental ça veut dire qu'elle
et simmental demande beaucoup moins deux
autres que les prim'holstein et à
production égale
est-ce qu'elle valorise mais le fourrage
plus il valorise beaucoup mieux le
fourrage surtout la zot qui a parce
qu'il en faut moins en fait il ya
l'excès je veux dire pour la même ration
on a un excès d'énergie fermentescibles
en fait ca c
us par rapport à odile et du coup de
l'autre côté on a un excès d'azoté fait
remarquer si de cristaux jaune ça veut
dire c'est grand temps d'arrêter lé là
zot alors qu'ils ont mangé la même chose
donc ça veut dire qu'il va leur est bien
mieux là zot de l'herbe les les
simmental quoi au niveau de l'élevage à
nice tu disais qu'il fallait pas
d'aliments trop soluble et mais le
pâturage si on sort des niveaux assez
jeunes au pâturage
c'est solide c'est fermentescibles ça
pose un peu les crever avec zéro
performance eux tous les envois au
pâturage
c'est sa marche absolument pas fait
on est complètement trompés par les
vaches allaitantes leveaux de la vache
allaitante il doit d'abord du lait et
ils mangent un tout petit peu et ensuite
on le remet à nourrice heures pour qu'il
ait dû sec et en fait ça nous trompent
complètement cvo il pâture quasiment
jamais et si vous mettez en
non-ruminants au pâturage vous allez en
fait vous allez lui détérioré toutes ses
performances ses avants en huit mois
vous ne mettez jamais dehors moi ma
question c'était après sevrage est quand
même donc à partir de 4 mois 3 4 mois
sevrage trois quatre cinq mois c'est
trop tôt le ruminant il apparaît à
partir de 8 10 mois et tant qu'il n'est
pas ruminants il ne peut pas valorisées
en fourrage type soluble l'herbe pâturée
ensilage regain en fois c'est non herbe
pâture est exclu ça c'est clair et net
ou alors il a que du lait et une
promenade mais il ne pâture pas la
luzerne vous la considérez comme
pareil que le
que l'herbe la seule luzerne qu'on
pourrait mettre dans une ration c'est
une luzerne chico porte graine d'accord
ok parce que l'autre elle est trop
digestible déjà alors tu as le droit une
demi kilo si tu veux jouer un petit peu
d'azoté
mais ces noms plutôt que d'embêter à
faire la cuisine tu mets du dur et un
petit peu de vl par dessus ok on
continue antoine est ce qu'on a d'autres
questions et éventuellement oui moi j'en
ai une on n'a pas parlé de stade de
récolte des fourrages
l'influent ce que ça peut avoir à huit
jours près en fait la récolte des
fourrages casque en pilote réellement
c'est ça c'est ça la vraie question
on s'est rendu compte qu'avec nommé
taillon piloter relativement bien
puisque le mélange il est très riche en
protéagineux il peut aller très loin
donc en fait du pilote quand tu veux
avec une prairie ça bascule très vite
oui on fait des méthodes riche en
protéagineux d'accord c'est à dire il ya
au moment de la récolte est à 80% de
légumineuses dans le mélange 70 minimum
et semer taille là vous pouvez le
prendre début mai me mets fermer début
juin et donc on cherche la bonne plage
météo donc ça ça fonctionne bien à
condition que la légumineuse soit là
pour tamponner ça c'est premier travail
la prairie c'est compliqué une prairie
qui ne voient pas le soleil elle fait
pas du f
d'accord et à un moment donné quand elle
arrive à floraison son stade se perd
rapidement
donc c'est un petit peu plus complexe
c'est plus facile s'il ya beaucoup de
légumineuses à nouveau d'accord donc le
stade de récolte
moi j'aime bien faire peu de récoltes
avec des gros scoops
parce qu'à un moment donné il ya des
coups de chantier réellement et ça ça il
va falloir qu'on y réfléchisse quand
même parce que la structure de récolte
elle reste quoi qu'il arrive très
onéreuse si on fait des multi coupe par
exemple des remous de luzerne luzerne
ont fait 3 coupé terminé 1 c'est voilà
si tu fais qu'une coupe de foin bien
mûres tu es loin d'être à 80 % des mots
c'est là que justement on pense que la
jeunesse ait évoqué ce matin c'est la
génétique qui fera la différence c'est à
dire il ya bien de la génétique qui
marche mieux que d'autres et c'est de
toute façon ce dossier là il faudra
l'ouvrir non mais peut-être que dans ce
mélange je suis cela il lui manque un
tampon légumineuses parce qu'on a
commencé assure se met dans les prairies
des féveroles des vestes et des choses
comme ça pour tamponner cette phase
compliquée de la récolte s'est on pense
qu'il faut ouvrir le débat
donc ya pas de choses tout prête c'est
sans doute je vous donne rendez vous
l'année prochaine pour approfondir les
recettes plus maîtrisable mais quoi
qu'il arrive
l'agriculteur sera toujours coincé par
sa phase météo donc antoine je te
donnent la main pour la suite du débat
et clôturer la journée peut-être
voilà je vous propose
deux choses et
je propose catherine journal de revenir
peut-être plus compliqué que ce matin
beaucoup plus compliquée que ce matin
pareil un avis extérieur petit peu grand
témoin sur les trois interventions les
trois témoignages qui nous a été offert
et puis les échanges qui nous aurons
auquel on a eu droit
actuellement cette fois ci je craignais
de passer après monsieur macron mais bon
il est pas venu cet après midi tu vois
ça n'intéresse pas encore assez aux
paysans alors comment je pense que déjà
on peut vraiment vous féliciter l'équipe
organisatrice parce que bas tout était
vraiment bien
bien organisé bien huilée on a
parfaitement bien manger ce midi on est
dans une salle agréable il faisait pas
trop chaud pas trop froisser les
conditions agréables
est ce que j'ai beaucoup apprécié aussi
moi c'est le niveau de concentration de
la salle vous avez choisi donc des
intervenants qui ont capté le public
puisque ben chacun a pris le temps de
s'écouter il n'y a pas eu de deux petits
groupes qui se sont mises à apparaît
dans tous les coins et je pense que ça
c'est vraiment un gage de réussite
quand quand on arrive à capter un groupe
aussi important déjà une journée entière
donc bravo voilà bravo aux organisateurs
alors je vais revenir sur les différents
cas d'élevage là qu'ils ont été
présentés et qui sont vraiment très très
différents alors le premier cas celui de
dubert donc avec ses vaches son taux de
mortalité alors oui ce qu'il est dans la
salle
ok avec son avec son taux de mortalité
anormalement élevé bon c'est sûr que
voilà vous n'êtes pas un cas isolé
moi je fais du conseil en élevage je
suis amené à intervenir parfois dans des
situations critiques et des élevages
comme le vôtre en fait il y en a
relativement peu heureusement mais il y
en a et très souvent fait on se rend
compte que ben voilà on tourne autour de
ces deux de ces hypothèses qui ont été
très largement proposée par là par la
salle
d'électricité statique de courants
vagabonds de qualité de l'eau d'un tas
de choses et puis surtout de choses qui
partent au bout d'un moment
malheureusement dans tous les sens en
fait on a l'impression que quand ça va
pas bien on n'arrive plus à réfléchir à
apprendre des choses de façon claire et
posée et je comprends en fait votre
votre désarroi d'attendre la personne
qui va solutionner la petite expérience
que j'ai dans ce type de domaine c'est
que malheureusement des en principe du
millefeuille et qu' il ya ce n'est pas
une chose qui va débloquer souvent on
est dans le syndrome de l'association de
malfaiteurs qui fait qu' il ya la petite
goutte de trop qui va faire déborder le
vase est la goutte de trop c'est celle
qui vous fait perdre une vache tous les
mois ou deux par mois ou les séries
importantes parce que ben là un moment
il ya une goutte qui a été identifiée
c'était peut-être le sait peut-être le
sulfate mais je pense que le fond vous
faites n'est peut-être pas forcément
peut-être pas forcément élucidés et
d'autre part quelqu'un dans la salle a à
proposer à la méthode de reprendre les
choses telles qu'elles étaient au départ
comment ça fait 12 ans que vous avez un
problème il faut absolument réussir à
savoir qu'est ce que vous avez fait
depuis 12 ans il ya forcément quelque
chose ça la recette à marcher avant
votre père il faisait 40 kg 30 ou 40
kilos de lait aujourd'hui ça marche
moins bien il ya des anomalies qui sont
arrivés donc il ya forcément des
éléments qui ont changé alors d'un point
de vue méthodologique
je pense qu on a plus de chance de
trouver la solution dans la recette qui
a fonctionné à un moment et aujourd'hui
qu'est ce qu'il ya de différent dans
cette recette
alors vous allez me dire mon père il
avait 40 vaches - journée 200 ben oui
bah déjà ça c'est une grande différence
et alors si je peux me permettre
d'apporter un petit peu en expérience ce
sur ces histoires en fait de stress subi
par les par les animaux donc chez vous
il semble qu'on soit dans une
accumulation de stress lié par un stress
apportée par l'électricité peut être
apportée par l'eau par certains
déséquilibres alimentaires à certaines
périodes à plein de choses qui viennent
s'accumuler et qui font que si on n'agit
que sur une barre on a peu de chances
que ça que ça se résolvent alors dans le
dans le cadre de
de mon travail j'ai eu l'occasion de
suivre dans des élevages à haut
potentiel donc des indicateurs
biochimiques qu'on appelle pour certains
donc la ldh dans de la lactase
déhydrogénase l'acta déhydrogénase en
fait c'est quoi c'est une enzyme qui
augmente en quantité lorsque il y a une
réaction inflammatoire canton études
quand on utilise la ldh des vaches à 45
50 kg donc des vaches qui produisent
énormément si elles produisent
énormément c'est qu'elles vont plutôt
bien parce qu'une vache malade en fait
ne fait pas 50 kg par définition est
bien toutes ces vaches en fait elles ont
des ldh très élevé si on fait des
anti-inflammatoires de type de la fille
nadine ou autre chose à ses vaches à la
ldh descend ça veut dire que ces vaches
en fait c'est quoi c'est comme tu es
moteur en fait qu'ils sont en sur régime
qui sont en surchauffe et qui sont en
consommation d'oxygène très important
c'est ce qu'on appelle en fait le stress
oxydatif et le stress oxydatif plus une
vache est faible et si elle fait
beaucoup de lait c'est parce qu'elles
ingèrent beaucoup et donc elle va
consommer elle va avoir une des
phénomène d'oxydation important et ses
vaches là quand on le fait d'aider
profil métabolique qu'on regarde quels
sont les présences des antioxydants et
bien on les trouve tout cas on sait et
on a beau en fait leur donner des
quantités phénoménales de minéraux et
d'oligo éléments vitamines et sélénium
tout ce qu'on peut vous conseiller
eh bien on bouge pas le tronçon bouge
pas le trou tout simplement parce que le
trou est abyssal et la vache en fait tu
consommes consomme consomme tout
simplement parce que elle est en sur
régime
et dans le cas de votre élevage en fait
cette notion de sur régime elle est
peut-être pas forcément lié à une
exportation très importante de lait mais
tout simplement à une accumulation de
stress qui font que à chaque fois qu'un
animal subi un stress y réagit à ce
stress donc c'est pas par de
l'inflammation
mais ils consomment forcément des
antioxydants et moi au travers de tout
ce qu'on a entendu aujourd'hui le votre
la situation de votre élevage moyenne
mais elle me surprend pas puisque j'ai
déjà eu l'occasion de voir ce genre de
cas et je la rapprocherait donc de ce
que j'appelle le stress oxydatif mais
qui est totalement lié à tout ce qui a
été vu aujourd'hui de l'oxi de réduction
le stress oxydatif bastien un excès en
fait de consommation des antioxydants
qui qui fait que l'animal n'a plus
d'éléments pour se défendre comme il a
pu d'aliments pour se défendre
dès qu'il va y avoir d'autres bactéries
qui va traîner il va faire une mammite
il va faire une maîtrise et puis bah dès
qu'il y aura quelque chose qui va pas
aller et bien il va pas faire face à la
pathologie
donc on est vraiment dans un problème
aujourd'hui qu'on rencontre en élevage
et kiki qui correspond pile poil au
moment où pas vos vaches elles sont 2e
lactation
c'est là qu'elle exprime le plus
ingestion elle mange le plus elles sont
prêtes à faire le plus de lait mais il
ya quelque chose dans leur dans leur
système métabolique qui fait qu'elle se
défende pas donc elles tombent elles
tombent comme des mouches quoi et on
appelle ça donc le syndrome
dépérissement donc voilà c'est il ya
aujourd'hui il ya vraiment des pistes je
pense et ce qu'il faut vraiment dans ce
cas là c'est pas une cause c'est
vraiment plusieurs causes qui
contribuent à ce résultat est pour moi
200 vaches qui vivent ensemble dans le
même bâtiment
elles sont déjà naturellement beaucoup
plus stressés par l'effet nombre le fait
qu'elles vivent ensemble que si elles
n'étaient que 40 donc déjà envoyé par
rapport à l'élevage de votre père le
nombre joue en fait sur l'exposition des
animaux au stress donc voilà pour pour
ce pour ce premier produit premier casse
voilà ce que sa masse que ça m'a inspiré
alors pour celui de d'antoni alors il
est où
anthony là ok pour pour le cas de
d'antoni c'est vrai que ça là ça pose
vraiment le pour moi de problème de fond
celui de l'eau de l'évolution de notre
climat de type de production fourragère
dont je ne suis pas un spécialiste mais
qui de toute évidence pas voilà s'il ya
des choses qui vont plus coller et puis
et puis delà de la problématique en fait
de entre guillemets d'une espèce de
fuite en avant lorsqu'il n'y a plus
assez de fourrage de deux solutions
alternatives
dans un milieu où on a un petit peu
l'impression que la ferme n'est plus en
équilibre avec son environnement
alors ne prenez pas mal du tout hein
c'est c'est l'impression en
vous écoutant qu'aujourd'hui votre
élevage tel qu'il est mené il est il est
conduit de façon très très très logique
dans votre objectif mais plus forcément
au bon endroit
alors je parle au bon endroit parce que
ben en termes de réserves d'eau vous
avez pu suffisamment d'eau en termes de
nombre d'animaux bas vous n'avez
peut-être trop et pas assez personne
pour s'en occuper de façon et et
finalement on sent une situation qui est
stressante et qui est qui s'emballe et
moi je serais presque tenté de vous dire
là vous avez fait le choix d'arrêter
donc les veaux gras un bain peut-être
penser plus la totalité du système
comment dire des situations comme comme
les vôtres je pense que le productivisme
et et tout le système qui accompagne le
plus plus plus nous a amenés dans
certaines situations à se retrouver
comme ça mais bon il ya peut-être un
moment faut dire stop quoi et est
aujourd'hui on peut pas envisager
d'avoir 200 animaux et pour moi de ne
pas être sûr de pouvoir les nourrir quoi
enfin quelque part c'est quand même très
stressant et et je pense qu'on peut pas
avoir une vivent une vie agréable et
épanouie dans un système aussi aussi
tendu quoi voilà voilà l'impression que
l'impression que que j'ai eu et et votre
choix stratégique de diminuer votre
activité de vous re concentrer sur la
production de lait pour pouvoir la faire
de façon plus confortable plus agréable
je pense que c'est vraiment une bonne
une bonne option parce que parce que
vous allez laisser la santé quoi dans
votre dans votre travail c'est
l'impression que j'ai eue et et derrière
votre votre choix
bah oui il ya une démarche raisonnable
et bon voilà l'agriculture raisonnable
c'est aussi parfois de pas fou peut-être
arrêter certaines choses pour ne pas
perdre tout quoi donc
donc voilà pour pour le pour ce que m'a
inspiré le le cas alors c'est vrai que
ce cas-là a donné du a énormément de
deux questions notamment sur la question
du retour du carbone au sol donc et
quelque part le cas suivant basse et le
carbone qui est dans le sol mais qui est
bloquée quoi donc en fait si on parle
d'oxydoréduction il ya un cas qui est
l'extrême de l'autre tu me corrige
conneries non c'était un petit peu
l'idée de la présentation voilà des
redevances les gens chaque semaine voilà
ce que j'aime c'est un peu ça donc d'un
côté ben voilà on comprend beaucoup de
choses au sol et de le côté on lui a
rendu mais on n'arrive plus forcément
c'est carrément glauque et voilà on a
perdu la clé alors pour le pour le
dernier cas donc pour le cas de
sébastien oui sébastien comme on a eu
l'occasion de voir déjà ce matin
alors là moi j'ai appris énormément de
choses surtout sur les rats taupiers
chabot c'est exister
donc voilà je vais regarder sur google
quand même parce que là le rat taupier
vu la quantité 1800 à l'hectare est ce
que ça se mange parce que ça l'aurait on
peut se poser la question avec un une
telle capacité à produire quand vous
mourrez de faim cependant soigneusement
venez ok mais voilà donc dans le cas de
dans le cas de la 2de la situation de
l'élevage de sébastien ce qui est
vraiment intéressant c'est que j'ai bien
aimé moi la présentation de la méthode
la méthanisation en fait c'est pas c'est
vraiment on a l'impression que c'est le
maillon qui manquait à la logique
d'équilibré de tout le système quoi et
souvent c'est vrai qu'on présente la
méthanisation comme ben voilà gestion
des effluents diminuer les clergés
produire de l'électricité une nouvelle
source de revenus alors tel que ça a été
présenté tel quel contexte de l'élevage
bas entre qu'est-ce qu'on fait du petit
lait intel teach altitude
le problème justement du fameux carbone
de la façon de rapporter des effluents
là on sent bien que
la méthanisation ben oui voilà c'est
pour moi c'est une maillon manquant et
et je pense que faut pas hésiter
vraiment à communiquer sur ce genre de
objectif parce que bon c'est vrai
qu'aujourd'hui bain dans le grand public
la méthanisation elle commence aussi à
être un petit peu perçu comme va pas
forcément toujours quelque chose de très
positif
enfin dans ce dans cette configuration
là elle et elle est vraiment elle est
vraiment intéressante et pardon oui oui
voilà donc c'est une méta à échelle on
va dire humaine et l élevage quoi il
n'est pas une industrie de la production
d'électricité et pour pour terminer ce
qui moi m'a vraiment passionnés la dent
tout toute la journée
c'est justement cette diversité que l'on
a dans la nature des sols et finalement
dans leurs valeurs parce qu'aujourd'hui
quand on achète une ha de parcelles dans
le nord de la france où ou en bretagne
mais on sait que ça vaut tant de
l'hectare quoi mais je pense qu'avant
d'acheter des ha à la lumière de ce que
j'ai appris aujourd'hui il ya quand même
quelques quelques précautions à prendre
parce que quand on achète une ferme
entière avec un sol bloqué bas tels que
tu as pu le décrire
il faut mieux la payer beaucoup moins
cher que que une ferme où on va produire
et avoir des animaux en bonne santé et
est aujourd'hui je suis je là c'est moi
qui vous pose la question est ce que le
coût de transfert du foncier est lié et
dulko réparé justement toutes ces
notions que vous avez évoqué aujourd'hui
et qui me semble vraiment fondamental
quant à à la valeur réelle du bien
foncier quoi voilà voilà ce que sur ce
sur quoi je voulais terminer ses je
crains des notion très subjective
moi je vois mon sol étant bloquée
presque malades
certains pensent c'est moi qui suis
bloqué malade de voir comme ça c'est une
vision objective
oui c'est sûr elle vient qui
s'intéressent à l'analytique oui
alimenter cette vision voilà mais
aujourd'hui on a quand même eu des
notions de mesures quantitatives de
potentiel redox de rapports c'est sûr n
ya qu il ya il ya quand même des
éléments de mesure de comptable pour
pouvoir évaluer la qualité du d'un sol
oui sauf que ces notions là elles sont
nouvelles
c'est pour ça qu'on tient ce genre de
colloque etc
pour sensibiliser les agriculteurs et
elles ne sont pas encore dans le domaine
du développement agricole on va dire
donc un moment donné ben on navigue dans
ses imperfections pour progresser on
pense qu'il faudra dix ans pour que ce
soit un débat en routine
y compris pour la terre et on va dire
les animaux puisque les animaux c'est
quand même très très très innovant tout
à fait tout à fait mais je pense que ça
ouvre quand même de réelles perspectives
oui parce que quelque part quelqu'un qui
a pris soin de sa terre pendant toute sa
carrière il est raisonnable qui la
valorise beaucoup mieux en fin de
carrière que quelqu'un qui l'a
complètement épuisé qui l'a bloqué voilà
ma vision un petit peu extérieur de la
delà de la conclusion de ce que j'ai
appris et j'ai appris énormément de
choses aujourd'hui merci beaucoup merci
catherine et donc je pense qu'on peut la
peut dire on peut applaudir les
intervenants et avant de conclure tout à
fait vous avez vu que sur les logos qui
étaient en bas il ya deux partenaires qu
on a en plus dans nos journées donc vers
de terre production ils nous ont filmé
toute la journée
donc ça fait partie d'une start up qu'on
a produite pour diffuser du savoir
agricole c'est-à-dire là dedans on fait
des terrains ont fait des témoignages on
met les formations en ligne on met ce
produit projet là en ligne de façon à ce
que il abreuve la totalité des paysans
qui veulent bien s'intéresser à ces
innovations là donc je remercie vers de
terre production pour la mise en ligne
de ce travail là et le dernier
partenaire et qui était c'était pour une
agriculture du vivant alors c'est un
projet qui a démarré il ya deux ans eric
va venir là tu vas venir nous expliquer
ça en fait il s'agit d'un premier essai
de mettre l'agroécologie en gamme sur un
marché d'accord et donc pour cette
agroécologie c'est l'agriculture
autonome et rentable
c'est à dire c'est l'autonomie en
protéines des élevages et demain on
voudrait de l'autonomie tout court en
fourrage d'accord qu'ils nous fassent 25
litres de lait et donc eric je te laisse
présenté juste deux minutes parce que je
vois qu'il ya pas mal de personnes qui
partent juste pour faire un petit
débrief sur le timing
il nous reste à peu près dix minutes
voilà après si vous avez encore des
questions nous on est ici donc pour ceux
qui voudront partir vous pourrez partir
et nous on sera toujours là pour
répondre aux questions par la suite
merci donc je vais vous faire une
présentation en accéléré effectivement
de pour une agriculture du vivant
l'histoire que vous ayez un peu de temps
pour poser des questions à la suite donc
moi je suis eric euroise je suis chargé
du développement de filières pour
l'association prône une agriculture du
vivant sur le bassin seine normandie
je vais vous présenter rapidement le
projet de l'association et ses actions
de manière à ce que ceux qui ne
connaissent pas encore l'association
puisse un peu en cerner les les tenants
et les aboutissants et voir un peu quel
est son projet alors je vais passer
rapidement des diapos parce que je vois
que l'heure tourne donc hop
l'association donc c'est une association
qui va fédérer très largement un tous
les acteurs des filières depuis les
agriculteurs jusque aux structures de
vente pour essayer de faire émerger ce
nouveau modèle agricole qui est
l'agronomie du
basée sur l'agriculture de conservation
des sols en accompagnant à la fois les
producteurs mais aussi les groupes de
laval dans cette transition vers
l'agroécologie alors aujourd'hui
effectivement on a une structure qui a
deux ans d'existence qui a vu arriver en
son sein deux des partenaires de plus en
plus nombreux on vous en cite ici
quelques-uns avec quelques si j'arrive à
trouver
voilà des historiques qui ont été le
groupe eut pour la distribution flunch
pour la restauration vers de terre
production etc et aujourd'hui vous voyez
qu'on a
parmi nos partenaires des structures qui
vont depuis les groupes de producteurs
jusqu'aux instituts techniques et
territoires et là-dessus la vache
heureuse et notre partenaire pour la
partie élevage laitier
alors on va peut-être passer on va
peut-être passer là dessus aujourd'hui
vers de terre production c'est une
équipe qui est relativement légère et
qui le restera l'idée c'est d'être
aujourd'hui sur les territoires avec des
personnes comme moi qui vont porter les
projets qui vont être un peu là le lien
entre les producteurs les structures de
laval et les partenaires techniques qui
peuvent vous accompagner les partenaires
de formation
moi je suis sur le bassin
seine-normandie je suis salarié vers de
terre production mais délégués à ap hm
dv et donc on a une équipe qui présente
sur la plupart des bassins qui va
s'étoffer sur l'est de la france et sur
loire bretagne très rapidement et une
petite équipe à paris qui suit le projet
on a aujourd'hui trois gros axe qui
fonctionne donc un axe à trois gros
pôles pardon un pôle de développement à
agronomique avec cédric qui est là bas
qui en est le responsable qui est là
pour effectivement essayé d'aller de
l'avant au niveau de tout ce qui est
base agronomique en agriculture de
conservation travailler aussi sur un peu
les référentiels méthodes de travail et
permettre qu'un maximum de producteurs
puissent aller dans cette démarche
derrière évidemment une fois qu'on a les
producteurs il faut travailler les
filières donc on a un pôle structuration
de filières et là on est plus en
relation avec les acheteurs de laval
pour essayer de leur faire comprendre
les intérêts de l'agriculture de
conservation et s'assurer que tous les
maillons de la chaîne aille bien
en même sens que les agriculteurs soient
bien entendu comme producteur à part
entière dans un mode de production
différents de l'agriculture
traditionnelle et que leurs productions
soient valorisés et puis aujourd'hui on
est dans un monde de communication donc
évidemment il ya un pôle communication
chez nous vous pouvez d'ailleurs si vous
voulez plus d'informations vous référer
à notre site qui s'appelle tout
simplement agriculture du vivant vous
aurez les données à la fin et une
plaquette à l'entrée ça ça fait partie
des choses que vous pouvez consulter
pour voir un peu plus avant ce que ce
que l'association fait alors
concrètement évidemment nous la base
l'agriculture de conservation c'est la
fertilité naturelle des sols qui la clé
de voûte du modèle agricole que mon
souhaite construire est un modèle qu'on
souhaite durable c'est-à-dire qu'ils
soient rémanent à la fois pour les
agriculteurs mais aussi pour la nature
et qui soient équitables en termes de
répartition de la valeur
alors bon j'ai passé sur les principes
de l'agriculture de conservation vous
savez ce qu'il en est en élevage laitier
évidemment avec des partenaires comme la
vache heureuse on travaille comme dans
des journées aujourd'hui à essayer de
faire progresser le modèle à vous rendre
évidemment plus autonome sur les
exploitants les exploitations plus
durable a essayé de préserver aussi le
potentiel des sols et la production
puisque l'objectif il est bien à terme
d'arriver à maintenir un volume de
production équivalent à la production
actuelle puisqu'on s'attend aujourd'hui
encore enfin chaque année on nous le dit
à une augmentation de la population donc
il va bien falloir nourrir tout ce monde
là est le modèle agricole que l'on
souhaite c'est un modèle qui soit aussi
performant en terme de production et qui
permette à l'agriculteur de vivre mais
aussi de nourrir la population
donc effectivement la solution est
peut-être passé en commun en
agroécologie par une couverture maximale
des sols mais pour viser un rendement
maximal de fourrage protéines énergie un
peu ce qu'on vous explique aujourd'hui
des vaches productive et en bonne santé
et un sol vivant et productif pour les
générations et on a un cycle comme ça
qui permet effectivement de revenir
être performant dans la durée et être
performant dans l'immédiat pour les pour
les exploitants alors qu'est ce que l'on
fait concrètement donc aujourd'hui sur
la partie agronomique l'idée c'est de
travailler sur trois axes
on a un axe en fait de formation et de
développement où on accompagne
effectivement les groupes de producteurs
qui qui sont avec nous à améliorer leur
technique à mieux comprendre ce qu'ils
font au niveau des sols comment marche
l'agriculture de conservation un peu
aussi conrad là pour le coup et est un
peu en clé de voûte de ces aspects là au
sein de l'association il ya tout un
travail derrière de production de
référence qui servent aussi à convaincre
d'autres agriculteurs de nous rejoindre
mais qui sert aussi à prêt à aller
auprès des décideurs que ça soit dans
l'industrie mais aussi chez les
politiques à leur montrer ce que
l'agriculture de conservation peut avoir
comme intérêt aujourd'hui il ya les
amener à orienter leurs choix
stratégiques ou leur politique vers
l'agriculture de conservation
évidemment derrière est aussi un travail
de recherche et développement l'idée
étant à long terme d'amener les gens à
la fois au niveau des agriculteurs à
améliorer leur technique est de plus en
plus performants en agriculture de
conservation mais aussi aux acteurs de
laval à s'engager de plus en plus vers
ce modèle là il ya soutenir les
producteurs qui sont engagés en
agriculture de conservation en termes de
méthode
nous ce qu'on constate effectivement
c'est que le groupe c'est encore le
meilleur cadre progresser un agriculteur
isolé c'est souvent un peu compliqué ça
permet enfin voilà être en groupe ça
permet d'avoir des échanges idée de se
partager un peu les réflexions de faire
des essais les uns d'autres d'autres
essais et c'est encore la dynamique donc
on a choisi d'appliquer dans au sein de
l'association et donc on fait le voilà
le choix de quand on est avec un
partenaire une entreprise ou un groupe
de producteurs de monter des groupes de
gens qui ont envie d'avancer de faire
des formations de montée en dsr
d'essayer par soi-même ensuite chez soi
dans un coin en sur certains îlots
certaines parcelles et ainsi d'acquérir
des compétences qui permettent ensuite
de généraliser la technique sur
l'exploitation
donc évidemment l'objectif c'est d'être
progressif on n'emmène pas on claque pas
des doigts en pro passé en agriculture
de conservation ça mais attendons qu'on
explique ça aussi au groupe de laval
qu'il faut qu'ils attendent de leurs
producteurs que les choses se mettent en
place donc il doit y avoir aussi un
certain engagement de leur part à
accompagner les producteurs dans la
durée il faut aussi mesurer donc rose a
mis en place un référentiel technique un
référentiel progressif on ne demande pas
aussi aux producteurs du jour au
lendemain d'être noir ou blanc mais au
contraire de pouvoir progresser dans le
temps d'être simple évidemment utiliser
et puis on est multi filières donc on
cible effectivement pas la production
laitière mais toutes les productions
agricoles aujourd'hui
donc l'idée c'est soit aujourd'hui
d'adapter des filières qui existent donc
c'est ce qu'on fait aujourd'hui
concrètement avec un certain nombre de
producteurs par exemple sur la définir
que j'ai beaucoup travaillé moi ces
derniers temps c'est les filières pommes
de terre ou les filière oignon donc on
va rencontrer des structures qui
fournissent aujourd'hui des
distributeurs comme lui en pommes de
terre on leur explique la démarche ils
nous trouvent des producteurs qui sont
prêts à s'engager on accompagne les
producteurs et au fur et à mesure on va
avoir des pommes de terre qui seront en
agriculture du jugement et qui sont
commercialisés dans des filières séparés
par eu par exemple ans auprès des
consommateurs donc l'idée c'est vrai
effectivement de de monter des filières
spécifiques avec les produits en
agriculture de conservation de manière à
valoriser votre travail directement
auprès des consommateurs à terme donc là
ça veut dire qu'effectivement il faut à
la voie à la fois avoir des exigences
évident de résultats traçabilité chez
les producteurs mais aussi dans la
filière avoir aussi une traçabilité
jusqu'au consommateur être sûr que les
produits que vous vous produisez soit
ceux qui sont vendus avec l'étiquette
agriculture vivant si je puis dire
auprès du consommateur qui est aussi une
contractualisation qui soit équitable
il faut bien que la valeur ajoutée de
votre travail soient répartis aussi
auprès de vous et puis ça nécessite
évidemment des engagements qu'on fait
signer auprès des structures adhérentes
un exemple de ce qu'on fait en laye
c'est un projet pilote qu'on a
actuellement avec danone
auprès d'un certain nombre de leurs
producteurs qui est avec en s'appuyant
sur les compétences de la vache heureuse
d'aller sur une autonomie protéique une
agriculture régénératrice haut niveau au
niveau des pratiques des sols de la
fertilité du sol et d'avoir à la terre
mais aussi des instruments pour mesurer
que effectivement c'est ferme-la ans
sont économiquement rentable et donc de
pouvoir ensuite généraliser ce modèle à
d'autres producteurs qui souhaiteront
s'engager dans la démarche
donc on travaille aussi avec bleu blanc
coeur pour un certain nombre de points
sur l'analyse de la qualité
nutritionnelle et puis évidemment en
termes de formation diffusion s'appuie
sur la malheureuse ou des organismes
comme vers de terre production pour
l'aspect formation
donc ça donc évidemment sur les réseaux
vont s'appuyer sur des réseaux qui
existent déjà comme celui de la vache
heureuse comme le réseau agro pour ceux
qui connaissent en adour garonne
et puis un certain nombre d'éleveurs qui
nous rejoignent directement qui adhèrent
à l'association
je précise que pour les agriculteurs
l'adhésion est gratuite et ça permet
d'avoir un réseau de plus en plus
importante aussi de producteur en dans
la filière lait et de s'appuyer sur eux
pour pouvoir ensuite allé démarcher des
groupes et leur expliquer en quoi on est
aujourd'hui on pèse aujourd'hui
l'agriculture de conservation dans la
production laitière rejoindre le
mouvement c'est ce que je vous ai
expliqué aujourd'hui on fait la démarche
auprès d'un certain nombre de groupes de
l'aval de leur expliquer le sens de la
démarche de leur expliquer que
l'importance et l'agronomie et que sans
l'agronomie on ne fera rien et donc à
partir de ce travail là on met en place
avec eux tout un travail auprès de leur
fournisseur auprès des producteurs qui
sont chez eux pour essayer de les
convaincre
s'ils ne sont pas déjà convaincu par
l'agriculture de conservation il y en a
quand même quelques-uns de rentrer dans
la démarche est en fait toute la
démarche d'accompagnement auprès d'eux
mais on peut aussi rejoindre le
mouvement directement en étant
agriculteurs c'est aussi un signe
d'engagement dans la démarche que l'on
en a engagé et ça nous permet nous
derrière d'être justement par le nombre
d'expliquer à ceux qu'ont démarche qu'on
représente un nom important
d'agriculteurs aujourd'hui je ne sais
plus à convaincre andré mais ça c'est
dix ou vingt agriculteurs chaque semaine
qui nous rejoignent donc
on a vite fait de perdre le de s'y
perdre dans le calcul voilà donc je vais
m'arrêter là parce que l'heure tourne et
que il y aura peut-être des questions
mais donc la philosophie de
l'association allaient bien l'art
c'est-à-dire à la fois de travailler à
faire sauter les verrous techniques
aujourd'hui en agriculture de
conservation quelles que soient les
productions d'accompagner un maximum
d'agriculteurs soit par la mise en place
d'essais soit par la mise en place de
formations à aller dans cette dans cette
voie là et puis bah de valoriser ce
travail au travers de filières dédiées
donc d'avoir une valorisation
spécifiques de ce que font les
agriculteurs en dehors de l'agriculture
de conservation en dehors de
l'agriculture conventionnelle pardon en
allant auprès de tous les acteurs tous
les maillons de la filière essayer de
monter des filières différentes
c'est ce que je vous ai expliqué avec le
projet danone par exemple mais il y en a
d'autres dans d'autres productions et
aujourd'hui on a deux en deux en dehors
d'ancienneté
donc on est au début de la démarche mais
on est quand même déjà assez satisfait
de ce qu'on a réussi à faire du nombre
de partenaires qu'on a réussi à
mobiliser autour de nous et on fait
aujourd'hui aussi un gros travail auprès
d'autres acteurs du monde laitier pour
essayer de les convaincre de nous
rejoindre et j'espère que l'année
prochaine on pourra vous en dire plus à
ce nu à ce niveau là merci eric et donc
pour finir un petit peu sur ta lancée on
se rend compte que les agriculteurs ont
changé ça c'est net
ils se sont mis au boulot sans regard de
bio pas bio tout le monde regarde ces
sujets là et ça bosse donc ça c'est la
bonne nouvelle aujourd'hui la grande
difficulté c'est de faire bouger nos
filières sont longues sont lourdes et
elles ont encore pas compris grand chose
puisqu'elle avait commencé par mettre de
la peinture verte partout sauf que les
résultats sont pas là et donc ce travail
là il va être fatalement beaucoup plus
longs traits
ils ont essayé d'influencer le
changement de pratique tout au long
d'une filière ça sera un petit peu plus
compliqué donc on pense que les premiers
résultats filière apparaîtront l'année
prochaine réellement
donc on va essayer de voir comment ça va
aller je pense que c'est les groupes
laitiers
c'est dans le lait que ça pourrait se
faire le plus rapidement parce qu'il ya
quand même beaucoup de choses
aujourd'hui disponible sur l'autonomie
en protéines et si on devait retenir
quelques éléments clés comment produire
25 litres de lait qu'est ce qu'on a vu
aujourd'hui on a vu aujourd'hui qu'on
avait un ratio très important pour aller
vérifier où fonctionne notre fourrage
dans le rumen ou dans l'intestin avec le
rapport pda sur un matt est d'accord et
ce premier rapport il vous donne la
règle du jeu mon fourrage il est digérée
dans l'intestin ou les digérer dans le
rumen ax % d'accord et ça ça veut dire
que le premier niveau d'entrée dans ces
25 litres vous l'avez très facilement il
suffit d'appliquer ce ratio là dans tous
vos fourrage de vaud ration aujourd'hui
et on commence à dire tiens je joue à
70% dans le rumen à 30% dans l'intestin
ou c'est ce 90 dans le rumen et 10% je
sais pas ce qu'on va trouver dans les
fours à génération qu'on a et à un
moment donné le premier niveau c'est
d'équilibré avec les énergies amidon que
vous ramenez par dessus où les aînés ou
les correcteurs soja donc ça c'est le
premier niveau tout le monde peut le
faire c'est accessible
on l'a mis en ligne exprès pour sa 2ème
niveau on se rend compte que 25
litres/100 amis donc ça va être un petit
peu plus complexe et donc on fait
l'hypothèse que la bonne qualité de
production des fourrages
c'est à dire sur des sols qui fonctionne
riche en matière organique qui ont de
l'activité biologique et qui font des
fourrages en bonne santé et bien ces
fourrages là vont être beaucoup plus
productif que d'autres notamment ceux
qui seront trop oxydé et les témoignages
de cet après midi nous mettre la puce à
l'oreille que
un certain nombre de problèmes d'élevage
viennent de ça alors on a vu
l'électricité l'importance de ce flux
électrique dans le rumen sur le look si
des réductions
c'est à dire je perds des électrons gens
gagnent donc c'est des flux
d'électricité
donc on a vu que la vache qui était très
très très sensible alors on parle on
parle d'électricité de réseau hautement
de biaudos de bio géologie etc
mais c'est le tout ça sans scellier en
fête ou géo biologie merci et donc tout
est lié et on se rend compte que ça ça
va être un sujet qui va nous occuper
longtemps et puis finalement les pistes
à mener avec christine notamment un cd
des choses intéressantes c'est à dire on
sait que les fourrages et la cellulose
vont nous faire l'énergie à condition
qu'on ait les bactéries qui digère la
cellulose présente en fait ce sera
d'autant plus facile qu'on aura les
bonnes cellulose et là c'est la
génétique qui va répondre
on voit bien que l'herbe comme ci comme
ça les mélanges comme ci comme ça un
telle variété plutôt qu'une autre etc
vont venir solutionner le problème
on n'a pas tout à fait la solution mais
on commence à deviner que c'est la
digestibilité de la matière organique
qui est importante
d'accord c'est un critère clé dans les
rations ne fait plus jamais danalyse
infrarouge
sauf pour du maïs ensilage fait plutôt
des analyses chimiques qui vous donnent
ces critères-là et partant de là on se
rend compte que selon les cellulose
qu'on va rentrer et on aura plus ou
moins de sucre c'est ce que nous a dit
florian moulin ce matin et donc le taux
de sucre présent dans les fourrages sera
sans doute un des éléments clé dans la
mise en place de nos nouvelles de nous
de nos nouveaux systèmes d'élevage sur
les fourrages
c'est à dire le choix des fourrages se
fera sur une cellule aux digestible
riches en sucre et là je pense qu'il ya
beaucoup de plantes qui ne sont plus
candidate quand on va progresser là
dessus donc ce chantier est ouvert on
l'a pas tranché aujourd'hui la piste et
là c'est à dire que maintenant quand
vous rentrez chez vous
monde actes il contient combien de sucre
ce que ça va être ça la vraie question 1
est-ce que ça cellulose et digestible et
quel est le niveau ii d un mot de sa
cellule aux voilà comment je vais
commencer à réfléchir et je pense que
dans un an quand on aura qu continuer à
réfléchir et bien on aura tout un tas de
solutions qui vont arriver
pour notre part la vache heureuse on va
questionner les vétérinaires là dessus
et notamment les vétérinaires qui sont
en prise avec des très grandes
difficultés chez les éleveurs
aujourd'hui ceux du massif central ceux
de l'est de la france qui n'ont plus
d'heures mais qui sont plaints de
sécheresse et qui sont en vrai désarroi
sur la gestion traditionnelle de leur
système et là il va falloir bouger
on voit bien qu'il va falloir travailler
sur l'hiver et que le printemps était
c'est plutôt compliqué surtout la fin du
printemps qu'il va falloir avoir fait
les stocks fourragers à ce moment là et
c est donc les pistes sont là et on se
propose de lait par achever l'année
prochaine donc on vous donne rendez vous
pour un quatrième carrefour des éleveurs
ont fait tout un tas de choses
annexe au tour c'est-à-dire qu'on
organise on y est on est ici au mans
d'accord en fait on avait on a décidé
l'année dernière de lancer les 24 heures
de la vache heureuse et en fait on
travaille sur des thématiques d'élevage
on va dire en
commentant sa wii en séminaire de voeux
sur cette année sept personnes cinq à
sept huit de façon à améliorer le choix
et le télé le guidage de ses systèmes
d'élevage innovants voilà ces séminaires
séduire deux jours ça démarre à midi et
s'arrêtent lendemain après midi comme ça
doit vraiment une soirée ensemble 24
heures un peu plein discuter et pour ça
nous change pas trop 7 8 personnes
massées des thèmes spécial et où des
fermes individuelles qui nous
travaillent durs à 7
et dieu ils rompent tout le monde rentre
avec le dossier prévisionnel pour un
homme qui était prévu voilà donc je vous
remercie beaucoup
si vous en finir j'aimerais bien nous
remercient à les deux plus grands
organisateurs
c'est quand même temps la vache les
jeunes maintenant c'est plus nous nous
peu plus cool mais angela et contourne
qui est parti avec olivier husson à la
gare avec vincent qui nous a quittés
malheureusement c'est une semaine pour
aller à l'école plus loin et les trois
ils ont bossé pendant un mois
acharné énormément surtout les dernières
deux semaines pour arriver à réussir
organisé la journée comme aujourd'hui je
pense qu'on peut applaudir scène réussie
on voulait vraiment vous remercier du
fond du coeur parce que ça nous tient à
coeur dans la vache heureuse d'organiser
des journées comme celle-ci est venu
aussi nombreux mais aussi pour tous les
gens qui nous regardent via les réseaux
ils étaient plus d'une centaine
aujourd'hui aussi de regarder la journée
en direct
donc ça fait vraiment plaisir aussi ces
gens comme peut-être pas pu se déplacer
trop de kilomètres on fera ça de plus en
plus des directs avec vers de terre
production et du coup bon mais la
prochaine fois peut-être que vous
déplacerez pas mais vous pourrez
regarder si vous pouvez aussi en direct
nous voilà merci à tous bon merci merci
à tous les intervenants nous vous invite
à prendre un café ogaki petites choses
ont peu sortant est bonne retour chez
vous
Culture et production
Culture et production
