Maraîchage Sol Vivant - Actions, mises en réseau et suivi des fermes
Présentation du réseau des maraichers en semis direct lors des rencontres internationales de l'agriculture du vivant en 2019
https://normandie.maraichagesolvivant.fr
Transcriptions
Transcriptions
donc maraîchage seules vivant donc on va
accueillir angélique duchemin vincent
levasseur et aurélien ferco qui vont
nous présenter ce réseau qui existe
depuis 2012 c'est un mouvement de fond
qui est à dire partout en france deux
maraîchers qui ont décidé d'arrêter de
travailler les sols et de d'échanger
leurs pratiques pour progresser ensemble
ont dit ces deux réseaux des paysans
Afficher la suite
chercheurs voilà est connue aussi pour
la la chaîne youtube c'est comme ça
aussi vous vous êtes fait connaître mais
vous allez nous en dire deux mots sur le
youtube de maraîchage seules vivant
donc on à angélique duchemin animatrice
de maraîchage solives en normandie
vincent levasseur président de maréchal
en normandie et aurélien ferco
maraîchage survivants nationale tu
installé en bretagne
voilà je vous laisse vous présenter et
puis à tout à l'heure pour les questions
merci beaucoup luis bonjour à tous
bonjour à tous aussi ceux qui nous
suivent sur la chaîne youtube donc comme
louis cela dit je suis angélique
animatrice du réseau msv normandie ile
de france depuis l'année depuis 2010 est
donc msv maraîchage survivants c'est
toute une histoire
c'est une volonté de paysans chercheurs
qui ont voulu mettre en place des
techniques autour de la filière
maraîchère pour arrêter le travail du
sol et pour préserver le sol donc les
premières rencontres du réseau ont eu
lieu en 2012 dans le sud à auch et la
création d'associations s'est fait en
2015
nous avons des objectifs importants
produire des légumes ce qu'on appelle
vivant nous voulons avancer vers
la qualité vraiment des légumes réussir
à mesurer la qualité nutritionnelle des
légumes
c'est un sujet que nous allons aborder
samedi il me semble grâce à des
conférences donc maximiser aussi
l'activité biologique des sols lutter
contre l'érosion et aussi préserver de
les fermes préserver les fermes et
pouvoir avoir les fermes qui sont
viables économiquement socialement
voilà c'est nos objectifs vraiment
principaux donc voilà pas ou peu de
travail du sol vraiment c'est l'objectif
premier arrêté le travail du sol ou au
moins le réduire au maximum couverture
du sol aussi alors soit de manière avec
des couvertures du sol avec des apports
de matière organique mortes ou des
couvertures du sol de matière vivante
donc nous on n'avait pas compris le 4
pour mille on avait plutôt compris le 4%
d'abord on avait on part plutôt d'un
moment carbonées plutôt qu une
fertilisation par engrais azotés donc
apporter au moins sur un sol qui est
déjà construit au moins 20 tonnes de
matière sèche par hectare et par an pour
au moins maintenir la fertilité d'un sol
de près de prairies mais voilà les
marchés aussi qui sont ici vont pouvoir
en dire deux mots après donc les actions
du réseau c'est l'organisation de
visites de fermes deux formations donc
sur l'agronomie sur les itinéraires
techniques qui sont déployés dans les
fermes sur aussi d'autres thématiques le
red sox les mycorhizes beaucoup beaucoup
de thématiques qu'on aborde c'est aussi
une volonté de transmettre toutes ses
connaissances de capitaliser toutes ses
connaissances
donc c'est pour ça qu'on a créés dès
2012 1013 la chaîne youtube msv donc dix
mille abonnés ont talonne un peu vers de
terre production pour le moment 200 au
moins 250 vidéos je n'ai pas refait tout
le décompte mais on est on est au moins
ça des listes de discussion si nationale
voilà presque 700 membres normandie on
est à 200 membres
et puis des listes aussi de haut niveau
des groupes locaux puisque donc nous en
normandie on est on est association
indépendante au niveau au niveau du
réseau national
et puis il y aussi des groupes locaux au
niveau grand test
grant west il ya des maraîchers du de
ces réseaux la qui seront qui sont
présents pendant le colloque sud-ouest
voilà rhône-alpes notre belle carte
nationale à l'heure actuelle 150 fermes
répertoriés j'imagine qu'ils qui n'en
manquent encore
donc en france et en belgique là c'est
notre carte normande à la jat deux mois
deux au moins deux mois donc il manque
encore des personnes on donc notre
réseau c'est environ 30 maraîcher
installé on a répertorié une vingtaine
de porteurs de projets deux personnes
qui sont en essai qui sont voilà on perd
décès de transiter vers un verre un
arrêt d'un arrêt du travail du sol et
puis on essaie aussi d'être naître en
partenariat aussi avec les pays
limitrophes l'eure et loir là mayenne et
trade est aussi voit la dette aussi en
lien avec l'île de france avec
différents partenariats et donc voilà au
niveau de la normandie on se crée donc
après un cycle de formation qui se
passait en normandie on donc
l'association s'est créée en 2016 et
nous nous avons été reconnus groupe défi
ferme ecophyto et on a été labellisé
geii 2e donc groupement d'intérêt
économique et environnementale qui
rendent des projets de stéphane le foll
qui nous a vraiment beaucoup servi pour
se structurer pour avoir des moyens pour
pouvoir suivre tout ce qui se passe sur
les fermer
animer ce beau réseau voilà donc je vais
laisser la parole à vincent le fameux
rally rebond à aurélien ferco nom que
marché en bretagne qui va nous présenter
des itinéraires techniques et ce qu'il a
pu mettre en place sur sa ferme
merci beaucoup
bonjour du coup rien faire trop donc je
suis maraîchers dans le centre finistère
je vous présente rapidement ma sculpture
donc installé en 2011 en bio depuis le
début avec une trentaine d'hectares et
donc dix hectares de pommes de terre
surtout du plan et une quinzaine
d'hectares en en production légumière
pour bio braise et en direct pour les
biocoop donc ça pour vous donner un
petit peu un un aperçu donc je démarre
faux départ ceci c'est que pas de
maraîchage sur sol vivant sans solde
vivant c'est pas ça paraît bête mais si
on peut essayer tous les expériences
qu'on peut qu'on peut mettre pas mal de
couverts et des choses comme ça en
légumes c'est des plantes quand même
très gourmande très exigeante
si haut si on fait pas des apports
importants
au début on va mettre plus de temps je
dis pas qu'on arriverait pas mais on
légumes on a la chance d'avoir une
valeur ajoutée correct qui permet qui
permet de financer des remises en vie
des sols est donc là c'est pour vous
montrer une petite remorque de compost
c'est avec ça c'est un entrepreneur une
une société qui est pendu compost et qui
fait le qui fait le compost donc séduit
du compost mais c'est du broyat de plate
forme parce que c'est là la matière que
j'ai là que j'ai la moins chère à
disposition un côté chinois et le but le
but est vraiment de recréer de la
porosité artificielle avec 7 avec ceber
est flat avec ce broyat est de ramener
de l'énergie donc du carbone dans les
sols et pour démarrer en fait pour
financer pour démarrer mais redémarrer
mais culture enfin mais par seulement 1
msv pardon j'utilise la culture de la
carotte
car je n'avais pas beaucoup de photos
sous la main j'ai pas je prends pas
l'habitude de prendre beaucoup de photos
donc vous m'excuserez et donc
ma méthode donc je me suis inspiré de la
méthode du jardinage survivants de
dominique soltner avec des haltes des
apports de broyats de enfin d apport de
compost qui permet au fait d'utiliser ne
pas avoir changé le parc de matériel
c'est assez simple parce que l'on avec
un semoir classique bon avec quelques
modifs mais ça rentre dedans et les
plantes aux rentrer dedans il n'y a pas
deux il n'y a pas de modifications
affaire majeure au niveau du machinisme
et donc j'apporte des volumes
conséquents et voilà vous voyez bien les
chiffres en deux fois donc une partie
qui est pour eux qui pour intégrer créer
cette porosité et la partie au fait je
mets je fais un premier rapport de 200
mètres cubes et un second apport de 2
500 mètres cubes justement pour pour
avoir un lit de semence et qui est pas
d'herbe gérer l'enherbement sur la sur
la carotte qui est une culture très
lentes a germé très lentes a poussé et
donc ça après permet une bonne maîtrise
de l'enherbement donc ça me laisse plus
qu'une cinquantaine d'heures quand même
de désherbage manuel à l'hectare ce qui
dans les moyennes c'est plutôt cent
cinquante heures de 100 heures en bio
avec des rendements moyens sur de 60
tonnes ha dont qui sont plutôt des bons
rendements est par contre je mets un
bémol à cette pratique là ça attention à
l'eau parce que si on n'a pas d'eau au
démarrage la graine pouces par l'année
dernière moi j'ai raté sur le sur une
irrigation et pourtant je suis en
bretagne ça peut faire rire mais s'il
n'y a pas de 3 semaines 2
s'il n'y a pas de trois semaines d'eau
régulière pendant la germination ça on
peut vite perdre une culture vous
refaire des semis et du coup perdre du
temps sur les mauvaises a alors et un
une autre chose c'est juste que le
l'utilisation du compost si vous avez
des vivaces c'est compliqué donc fait
attention à la gestion de vos vivaces
auparavant et on a d'autres méthodes
pour ça notamment les bâchage de
prairies ddd bâchage des prairies ou de
culture pour occulter ces vivaces une
méthode qui est plutôt sous abri alors
je plante souvent les salades derrière
tomates ou derrière sur la nasse et
l'intérêt c'est que ma balle j'ai mes
tomates ou mais solanacées sont sur
bâche pour des soucis de réchauffement
rapide dans la serre parce que j'ai pas
beaucoup de luminosité chez moi et par
contre ça me permet de faire une sorte
de faux semis pendant pendant neuf mois
pendant neuf mois pendant six mois après
jeu peut planter même sur les allées les
passages de tracteurs les passages comme
on a des sols qui on a des seuls qu'ils
sont vivants qu'ils reprennent après les
piétinements réguliers ou les passages
de tracteurs au bout d'un mois ou deux
la la forme de l'ornière disparaît et
remonte et du coup mais je peux je me
permets de pente et sur toute la surface
enfin surtout les surfaces quitte à
passer après sacrifier une ligne à la
première récolte pour passer quand
points voilà c'est un petit
un petit exemple mais ça permet
d'optimiser l'espace alors la photo est
pas super parlons pour ça mais c'est
quand même ça permet vraiment
d'optimiser l'espace et donc je demande
juste sur les perspectives c'est que je
travaille depuis début notamment avec
l'atelier paysans sur développe sur des
développements d'outils en semis sous
couvert donc on avance est pas simple
c'est pas simple le taux de construction
parce que le semis direct et quand même
des outils très précis
donc détruire l'engrais vert on sait
faire réimplanter c'est ce qui est
compliqué et mon axe de travail ô mon
gros axes de travail aujourd'hui c'est
travailler avec le matériau les
matériaux géo chambre qui donc qu'ils
sont une base de 2 chambres français une
sorte de tissage une sorte de tissage de
chambre et qui permet donc de d'avoir
une occultation de des engrais verts par
exemple auparavant ou de d'empêcher un
enfin d'empêcher une levée de mauvaises
herbes
donc voilà ça c'est mon gros axes de
travail aujourd'hui et notamment à
développer des itinéraires techniques
sur pommes de terre donc pour ne pas
avoir travaillé les sols en pommes de
terre sur carottes avec un sur carottes
épinards mesclun avec
1 l'idée c'est de ces de semer sur le
semer sur la sur le géo chance pardon et
de remettre une petite couche de compost
pour maintenir l'humidité et afin de
maîtriser complètement lambert
l'enherbement et pouvoir aller sur des
systèmes prairies ou sur des systèmes
dans ses vers donc voilà je voulais je
laisse la place à vincent merci
[Applaudissements]
donc bonjour à tous donc je suis
maraîcher en normandie sur une surface
d'un peu moins d'un hectare
maintenant je suis à 6000 mètres carrés
là en plein champ bientôt un hectare
donc je sais représentatif de ce qui se
fait en termes d'installations en
normandie
j'étais une des premières fermes à
installer directement sur prairie sans
aucun travail du sol entre
le moment où il y avait la prairie et le
moment où il y avait les légumes et pour
faire cette transition utilise un outil
sûr petites surfaces qui va très bien
qu'ils aient la bâche
donc j'ai tissé ou bâches d'ensilage les
deux fonctionnent pareillement quoi donc
autour de 7
avec cet outil là on peut faire à peu
près
on peut faire dès la première année
aussi donc ça c'est une une chose qu'on
a découvert en cours de route c'est que
la plantation sur prairie peut se faire
quasiment immédiatement un mois deux
mois après l'occultation peut déjà
mettre une courge une tomate si on est
dans des endroits chauffer enfin je veux
dire s'il est dans des régions chaudes
ou sous serre en normandie et on a très
rapidement
un résultat qui ressemble à ça c'est à
dire là c'est une photo de cette année
on a 80 tonnes de deux courses qui sont
produites par hectare des vraiment des
très beaux résultats
sur la prairie j'ai poursuivre en
présentant quelques itinéraires un peu
de recherche pour ouvrir des portes pour
montrer que on peut aussi approché la
culture la culture légumière
différemment alors je vais vous parler
de pommes de terre sur petites surfaces
ou les tinner technique à être
extrêmement simplifié les pommes de
terre qui on est et qui sont à la
récolte récolté à la main qui sont
abîmés
qui sont peut-être un peu verte parce
que il ya un peu de verdissement à cause
du à cause du paillage lumière peut
traverser les pommes de terre sont
laissés sur place et l'année prochaine
c'est ce qui fait le plan le plan est
déjà en place pour l'année prochaine et
donc on fait pommes de terre sur pommes
de terre au même endroit en recouvrant
de fumier de cheval où on peut utiliser
aussi des bâches et donc on a des
résultats c'est intéressant en
maraîchage bio avec des rendements de 4
kg par mètre carré avec une
problématique de campagnols qui est
généralisé un peu à toutes les cultures
le campagnol peut faire des dégâts
ce qu'on constate c'est que sur la
betterave sur le pomme de terre sur le
céleri sur le poireau les dégâts sont de
l'ordre de 10% quoi donc c'est pas c'est
pas dramatique
parfois ça pose souci sur des
implantations implantation de par
exemple de salade ou la racine et
rapidement manger ce qui empêche le
développement précoce mais enfin sans
faim de culture
les dégâts sont quand même contre loeb
donc ça c'est d un petit point
d'attention donc ce qu'aime assez
intéressante de retenir dans cet
itinéraire c'est la simplicité de deux
interventions ne fait que payet année
après année et récolté à la main
donc on est en train de réfléchir à
quelles sont les outils qui pourraient
permettre de récolter sa aussi manière
mécanisée ça va être un chantier assez
assez important pour les années à venir
des problèmes de taupins alors l on ne
parle c'est vrai que la question des
taux plein revient toujours
il faut on m'avait dit mon ne s'est pas
la peine de s'installer sur prairie tout
sera ravagée par le taupin genève eu
absolument aucun problème de taupins le
taupin est un problème de intervient
quand il ya un excès de matières
organiques en fermentation qui
en excès le taupin se développe dans ces
moments là et en fait quand on ne
retourne pas la prairie on n'a pas ces
excès de matières organiques qui
commence à fermenter en à nairobi et
donc on n'a pas de problème d'octo un
autre itinéraire
une autre pratique assez nos ventes là
qu'on essaie de mettre en place sur la
ferme donc c'est la non taille de des
tomates sa demande de pas mal de
technicité l'idée c'est d'accompagner le
végétal dans sa croissance verticale en
la latte utorrent en faisant des cercles
autour du autour du plan confirme mesure
qui monte ça fait des piliers de tomates
oui il ya donc là c'est une photo mi mi
septembre où il ya relativement peu de
problèmes de maladies parce que la
plante est très saine pas attaqué donc
c'est un peu une suite et une analogie
de ce qui était présenté irrégulière par
marceau bourdarias sur les sur les
lignes donc c'est le seul vivant nous
permet
de d'envisager de nouvelles pratiques
agricoles dans la conduite
au quotidien des légumes voilà c'était
le message que je voulais faire passer
dernier dernier point donc là c'est
vraiment en partenariat c'est un travail
de réseau donc angélique vous montre là
le travail qu'on a fait
et qui est disponible dans les autres
stands là
à côté est
ce travail c'est vraiment une volonté du
réseau maraîchage seules vivant de
collecter des données agronomiques
technique et est aussi sociale c'est à
dire le temps de travail le nombre de
journées que l'agriculteur peut se
dégager pour visiter d'autres fermes
pour aller voir autre chose donc on a
sur ce travail les particularités donc
ces deux
de faire vendre mon inventaire global
qui vais augmenter enrichi d'année en
année avec les chiffres économiques qui
évolue donc là c'est un petit zoom sur
la partie agronomique et la
particularité c'est que c'est un travail
qui a été choisi par les membres du
réseau qui est en perpétuelle évolution
c'est vrai que cette part les données
agronomiques à mesurer il ya des
certaines données qui peuvent demander
beaucoup de temps on pense par exemple
au comptage de vers de terre cher à
marcel ça prend beaucoup de temps nous
on a peu de moyens on est un réseau avec
seulement des maraîchers de disponible
une animatrice réseau
angélique donc on essaye de 2 me
de toujours se poser la question quel
est le meilleur indicateur de nos
systèmes d'un point de vue agronomique
d'une part mais aussi d'un point de vue
technique et donc on réfléchit en
permanence à
à trouver les bons indicateurs aussi sur
la qualité nutritive c'est un sujet
qu'on va me qu'on va mettre en place qui
nous permettent de donner une image
assez fidèle à tous les gens qui sont
intéressés par cette dynamique donc on
on voit beaucoup de porteurs de projets
par exemple en normandie quand on
discute avec le chambre d'agriculture
90% des
des jeunes installés veulent s'installer
en maraîchage celui vont donc à une
grosse dynamique et puis l'idée c'est de
faire vraiment un suivi dans le temps
long pour pouvoir avoir des premières
des premiers repères dans le temps long
sur comment va comment évoluent les
fermes en maraîchage sur lui vend quelle
est la dynamique à tous les niveaux et
donc ce travail on a vraiment envie de
ba 2
le poursuivre on sait qu'on a besoin
aussi dans toutes les autres filières au
niveau grandes cultures au niveau
arboriculture et je voulais aussi
déterminé sur sur l'importance de faire
des liens entre les différents
différentes filières agricoles
on a beaucoup appris de ce qui se
faisait en grandes cultures pour
développer nos systèmes ont fait des
liens par exemple avec le travaux de
marceau bourdarias sur l'arboriculture
on voit qu'on peut faire énormément de
liens et que c'est très enrichissant
entre entre différentes cultures de
d'échangé pour pouvoir poursuivre le
travail d'innovation nécessaires à
l'élaboration de nouvelles pratiques
je vous remercie
[Applaudissements]