Entretien avec Antonio PEREIRA - NLSD 2018

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NLSD - Entretien avec Antonio PEREIRA

Annexes

Transcriptions

Transcriptions

alors antonio pereira je travaille à la
chambre d'agriculture de haute marne
l'est de la france un secteur qui n'a
rien à voir et que le secteur où on est
aujourd'hui puisque chez nous car nous
sommes sur des sols argilo-calcaires
superficielle voire très superficielle
vivo diversité de cultures on est très
limité c'est essentiellement les
cultures d'hiver colza blé orge d'hiver

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quelques cultures de printemps
essentiellement de l'orge de printemps
est pratiquement pas eu très peu de
culture n'était pas de betteraves pas de
pommes de terre pas d'irrigation donc
damas et dans mes chaussures on va dire
quotidienne
je suis conseiller technique au sein des
productions végétales la chambre et
culture j'accompagne des agriculteurs
dans les prises de décisions pour tout
ce qui concerne la conduite
l'atelier grandes cultures et j'ai une
spécialisation sur les domaines de la
lecture de conservation des sols la
haute-marne a fait parler d'elle dans
les années 2015 puisque elle a été un
des premiers départements avoir à se
voir à gré et j2ee doit être le 3e ou 4e
j 2 e signés en france et donc voilà
c'est le petit fleuve finissent par
faire des grandes rivières
j'ai commencé par accompagner ce groupe
que je suis toujours et aujourd'hui sur
le département on a
deux autres j2ee qui porte sur les mêmes
thématiques limiter le travail du sol
faire découvert les réussis et continuer
à être encore arrivé plus tard demain
gagner de l'argent on n'y arrive pas
tous les ans mais limiter la perte
c'est ce qu'on sait c'est qu'il veut
faire il ya plusieurs facteurs déjà le
l'élément déclencheur alors je veux pas
forcément les classés dans l'ordre
d'arrivée ou dans l'ordre de priorité
on va citer la réglementation
l'obligation de faire découvert
d'intercultures longue pour piéger les
nitrates tout d'abord aujourd'hui faire
découvert pour éventuellement valider
les essieux et activer le paiement des
sommes dues aux dés les financements
pacte est plus chez nous comme je disais
tout à l'heure nous sommes dans des
secteurs très contraint au niveau
pédoclimatiques où il faut qu'on fasse
52 60 quintaux de blé avec le minimum de
charge alors des charges opérationnelles
à peu près réussi à limiter la dépense
par contre il faut constater le gros
morceau qui reste il ya les charges de
mécanisation
c'est pour ça que l'agriculture de
conservation des sols et le semis direct
nous intéresse fortement donc ce qu'on a
ce qu'on a mis en place et ce qui est
aujourd'hui qu'à laisser le
le colza associés en semis direct
et du colza associés en semis direct ce
n'est précocément c'est à dire que ces
agriculteurs lors qu'ils sont dans ces
techniques là aujourd'hui mais plus à
porter des collants les premiers jours
de tous donc ça nous a permis de
s'économiser
assez fortement sur le poster du cid
poste air missile sur ces des situations
qui sont très peu voire pas du tout
désherber à l'automne on a économisé
aussi sur le post insecticides dans ces
décors qui ne voient plus de traitements
insecticides pendant l'automne et puis
on a économisé aussi sur le post charges
de mécanisation puisqu'on se contentent
entre guillemets de récolter et de son
il ya plus de phases de travail du sol
entraînée de force et des techniques qui
aujourd'hui sont à dire validé chez nous
qui sont développés on va dire à grande
échelle ce n'est pas fait sur quelques
mètres carrés deux parcelles
expérimentales céder à ce titre comme ça
qui sont ensuite la céréale qui est
implanté derrière c'est colossal en est
aujourd'hui très souvent implantés 2 en
direct également et on regarde aussi du
côté découvert celui permanent de
légumes avec des lignes inespéré qu'on
implante aussi etc locals or donc c'est
intéressant
les agriculteurs éleveurs qui peuvent
éventuellement valoriser compléter les
stocks fourragers en arrière saison
grâce à la botte de légumineuses et
s'intéresse aussi tout agriculteur parce
que ça permet d'avoir une intercultures
qui a à peu près bien implanté sans
engager de frais supplémentaires de ce
mois c'est à dire que une année on sait
bas coûts air pur et ne plus avoir de
plus de on économise si la légumineuse
repart comme il faut ou après la récolte
du colza
on économise sur le poster ici
légalement pendant la phase
intercultures parce que pour l'instant
on ne fait qu'une petite dose qu'il faut
aura une petite dos et entre 0,6 et un
livre de glyphosate 360 g litre et on
économise aussi et surtout sur le post
fertilisation azotée rationalité suisse
et posons le problème qui nous restent à
relever je sais pas si on moyens humains
ça fait partie du jeu nous de nos
réflexions actuelles c'est comment
essayer de redécouvrir des champs de
céréales programme mais nous on est sur
des secteurs argilo-calcaires
superficielle la charrue on en a oublié
puisque
des parcelles où on n'a que 10 cm de
terre par un horizon suffisamment
profond pour mettre hors situation de
germination les adventices le semis
direct ne nous aide
on essaie encore pas suffisant on a
forcément encore aussi besoin de la
chimie qu'on active comme un levier
maintenant et on regarde aussi dans nos
secteurs où la diversité de cultures est
contrainte de pas les conditions
pédoclimatiques si on peut pas trouver
une autre valorisation aux grandes
cultures
alors ça peut être de la biomasse pour
faire de l'électricité du biogaz etc
on a quelques exploitations qui se
lancent dans la méthanisation est on en
train d'inventer une nouvelle succession
de l'ue aux itinéraires
ça semble beaucoup plus intéressant pour
la gestion du talisman que ce qu'on
connaît aujourd'hui avec
le semis direct et la chine or ces
doubles et non le blé on le réserve
quand même pour la récolte de graines ou
on va importer des céréales style celle
triticale qu'on va porter très tôt
fin août qu'on va ans il est également
très tôt au printemps début mai donc sur
ces cultures là il n'y a aucun aucun
herbicide puisque tout est récoltée pour
le méthaniseur les bonis me plante comme
ventre unis mais les mauvaises
par contre onze on se fixe comme
objectif d'engager y la récolte au tout
début épiaison des adventices se fit pas
trop sur le stade de la cnps même on
regarde surtout le stade des adventistes
pour y limiter
la production de graines supplémentaires
et derrière on enchaîne une deuxième une
deuxième culture qui viennent soient
destinées encore alimenter le
méthaniseur donc ça va être souvent des
sorghos ou des maïs souvent la
profondeur de terre et pour les
situations les plus profond d'eux n'a
pas qu'une deuxième culture de soja qui
elle est et côté la grève est
commercialisé on regarde ça aussi parce
que on ne s'interdit rien alors on
regarde ça quand même avec certaines
précautions je veux dire parce que cette
technique leur vaut aujourd'hui à
l'encontre de tout ce qu'on dit économie
gestion du salissement on conseille à
juste titre le plus tôt retarder les
dates de semis
de manière à augmenter le temps
l'interculture pour gérer des problèmes
de salissement ce soit de façon
mécanique soit de façon chimique dans le
groupe on a quelques agriculteurs qui
font qu'ils font l'averse qui sont à
l'opposé de tout ça il implante les blés
très précocement les derniers jours
d'août au lieu au salissement peut pas
dire que ce soit la solution miracle si
on démarre sur des parcelles propre
forcément ça reste propre
si on démarre sur des parcelles salessy
la levée des bulles pain se fait de
façon précoce n'ont pas gagné la
bataille
par contre on a un gros problème
aujourd'hui est que ces importations
très précoce c'est
et puis seront les séquelles les
insectes d'automne où l'on est forcément
en implantant très précocement on
augmente aussi le temps d'exposition des
blés aux ravageurs et avec la
disparition du gaucho et faire des
insecticides la conservation des sols on
sait que c'est pas quelque chose qu'il
faut il faut développer
donc aujourd'hui on regarde on essaye de
de trouver des plans de campagne
publique comment est ce qu'on a connu et
que le colza est ce que on n'a pas des
espèces associées clos mais qui pourrait
limiter la propagation des insectes des
heroes c'est des pistes de travail de
réflexion
aujourd'hui je vais pas vous dire qu'on
a trouvé recettes ce qu'on connaît sur
le colza en attester du fenugrec des
lentilles de la féverole alors chez nous
ça réussit à conditions
on est quand même un minimum d'eau au
moment de la plantation ce qu'on a
observé avec ces associations là on se
fait peur parce que c'est les
associations acquis aussi les campagnols
on pense régler un problème on en
découvre un autre regarde également
aujourd'hui plutôt que de semer le même
jour le blé et on va dire les plans de
campagne
est-ce qu'on pourrait pas semer du blé
dans un couvercle est déjà installé un
couvert confort à implanter très
précocement derrière un discours jean où
on appris hier
un mélange tout simple pour l'assemblée
sur le colza fait drôle et tournesol et
on vient installer notre blé alors on
n'est pas sûr desmidt fin août on sera
et sur des semis de mil septembre dans
un couvercle des chasseurs et puis on
regarde aussi le désherbage mécanique
avec tous ses avantages et ses
inconvénients niveau
vie du sol fenêtre d'intervention de ces
matériaux

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