Pierre Trémouille, éleveur de bovin viande @Chambre d'agriculture de la Dordogne
Vidéo réalisée par la chambre d'agriculture de Dordogne, merci à eux pour l'aimable autorisation de remise en ligne :https://www.youtube.com/user/ChambAgriDordogne
Transcriptions
bonjour moi c'est pierre traîneau est
donc associé au sein du gaec du mas bas
associés avec mon père gilles très
mauvais aujourd'hui le grec se compose
de 140 hectares 120 hectares d'herbe une
vingtaine d'hectares de luzerne et une
vingtaine d'hectares de céréales tout
confondu entre les méteil les maïs et
céréales à paille notre activité
viande à côté de ça on a un atelier de
veaux de boucherie 186 places et on est
associé avec deux exploitations voisines
sur le méthaniseur de l'adecuma de 50
on est toujours à la recherche du
meilleur compromis entre croissance on
va dire des animaux et coût économique
parce que les rationnements response
opération qui coûte cher parti de là bas
on s'est dit comment on peut essayer de
maximiser notre croissance et tout en
réduisant nos coûts d'autant plus qu'on
est dans une région où la production de
céréales est compliqué donc on s'est
posé la question comment on pouvait
réduire au maximum notre coût de notre
coopération ont des parents n'était sûr
découdre à sion j'ai redonné des
chiffres de l'ordre de deux euros
cinquante par jour et par animal on a
fait grâce au g2 pas mal de visites on
allait voir un peu ce qui se faisait
chez autres la des éleveurs qui sont des
fois à côté qui ont des bonnes idées
voilà le g2a nous a permis aussi nous
faire nous faire accéder à pas mal de
formation des formations sur l'agronomie
ont fait rencontrer aussi beaucoup de
personnes on a rencontré notamment
nutritionniste la première chose qu'on
va dire la plus facile c'est ça a été de
réduire l'achat de correcteurs on était
tous un peu dans le même cas en acheter
aux marchands d'aliments notre
correcteur azoté il nous a dit si vous
mettez en commun vous êtes capable
d'acheter des semis entière qui feront
exactement le même travail que le
correcteur du commerce donc ça c'était
avant la chose la deuxième chose il nous
a fait comprendre qu'on pouvait aussi
réduire cette part de correcteur azoté
avec des choses qu'on a sous la main en
intégrant de plus en plus de luzerne
dans nos rotations déjà ça nous permet
de sécuriser beaucoup notre système
fourrager et la deuxième mais on a fait
un peu ce que faisaient les anciens
l'époque c'est à dire qu'on a n'a remis
au goût du jour on peut les tout ce qui
est un mélange de céréales et
protéagineux des méteil qui en plus de
nous apporter le côté énergétique de la
céréale nous apporte également la partie
protéique avec des poids notamment des
féveroles de la vaysse si j'en reviens à
mon coude ration du départ aujourd'hui
je suis en dessous de zéro voilà on a
aussi essayé de maximiser notre système
fourrager
sur les troupeaux pâturant donc grâce au
pâturage dynamique nar ont découpé les
parcelles dans des parcelles plus
petites on a apporté des points d'eau là
où il y en avait pas mes vaches pâturent
environs du 25 mars au 1er décembre
elles ont en permanence en fait grâce au
pâturage tournant de l'arbre de qualité
la repousser meilleur on peut passer
aujourd'hui plus d'animaux sur la même
surface
aujourd'hui surexploitation l'ensemble
des parcelles dédiées aux céréales où on
mettait on était sûr se met avec des
couverts végétaux récemment grâce au
génie 2e on a pu avoir accès à de ce
mois de semis direct donc voilà
qu'aujourd'hui c'est vraiment une
dynamique de notre part et de se lancer
là dedans on a des rendements qui n'ont
pas bougé le point le plus compliqué si
on veut c'est un peu la gestion des
adventices dans des terrains peu plus un
peu plus sensibles on va dire voilà on a
aujourd'hui des sols qui sont vivants et
je suis persuadé que dans les années à
venir on arrivera à maîtriser les
attentistes de façon beaucoup plus
importante sans toucher le sol oui on
voit on voit une évolution qui est
positive on a des taux de matière
organique dans les sols qui augmente de
plus en plus des rendements très
dépendants des aléas climatiques mais
dans l'ensemble n'a rien à envier à ceux
qui sont en culture traditionnelle à
base de l'amour et ses dents etc on
passe également mon temps sur nos
tracteurs on a tous des familles on a
envie de les préserver donc voilà on va
faire passer un peu de temps avec calcul
que du temps dans nos tracteurs et voilà
on a des animaux qui sont en meilleure
santé et on a gagné ben j'ai envie de
dire en autonomie fourragère parce
qu'aujourd'hui on se permet de vendre
entre 200 et 300 rouleau parlant de deux
fois donc ce que ce que l'on ne pouvait
pas y à il ya trois ans de 5 au niveau
culturel on va dire on a fait la
première année qu'on travaille en semis
direct donc on va travailler jusqu'à
présent à travailler le moins possible à
terme et là on va pas travail il a
travaillé du tout donc ça on va voir les
résultats un peu je fonde beaucoup
d'espoir beaucoup d'espoir là dessus
l'agriculture voilà on a besoin d'être
plusieurs plusieurs cerveaux c'est
toujours plus facile c'est un peu ce
qu'on a fait si on veut revenir au sein
du gie 2e grâce à nos visites grâce à
aller change qu'on peut avoir entre nous
parce qu'au final on fait tous des
choses bien sûr sur nos exportations
mais au final le plus important c'est de
le partager quoi
