Entretien avec Olivier TASSEL - Biologie et Conservation des Sols - 2/2

Vidéos - Ver de Terre Production (2017-12-29) - Olivier Tassel - Durée : 24 minutes

Grandes cultures Biologie/Agronomie Couverture des sols Régénération des sols Sol en Caux

2/2 - Entretien avec Olivier TASSEL - Biologie et Conservation des Sols

Deuxième partie de l'interview réalisée par nos équipes avec Olivier TASSEL, président du GIEE Sol en Caux.

0:15 = Que manque-t-il dans ce système de semis direct sous couverts végétaux ?

2:45 = La transition s'est-elle faite en douceur ?

9:35 = Faut-il se former avant de se lancer ?

11:40 = Des projets pour la suite ?

17:22 = Etiez-vous bon élève ?

Liens web :

- Le livre d'Arden ANDERSEN, Science & Agriculture : https://www.amazon.fr/Science-Agriculture-Advanced-Methods-Sustainable/dp/0911311351/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1515663574&sr=8-1&keywords=Science+in+Agriculture%3A+Advanced+Methods+for+Sustainable+Farming

Transcriptions

qu'il y ait déjà ces histoires de la
faim température c'est d'avoir des
données pour pour choisir fasse enfin
rapidement après une fois qu'on a des
semences qui démarre parle d'en pâtir
les plus basses possibles
la précocité ce facteur principal le
reste après s'ils voulaient maintenant
auparavant j'étais en semences
je faisais une variété par par parcelle

Afficher la suite

maintenant gens mélangent et finalement
la même façon que dans vingt couverts il
ya une espèce qui prospère le plus dans
un mélange on voit enfin on ne voit pas
mais il ya un équilibre se fait entre
les différentes variétés et on n'a pas
forcément besoin de beaucoup de
recherches après sur sur ces variétés et
surtout en fait danser mélangeons
ressemant recèle notre notre semences
qui s'adapte certaines pratiques donc
rapidement en fait le système s'adapte
ça c'est pour les céréales c'est plus
embêtant pour les betteraves ou le lin
on ne peut pas s'auto produire donc là
là on n'a pas d'adaptation des semences
à nos systèmes fait là-dessus ce sera
peut-être un petit peu long mais les
obtenteurs de semences sont des
mainteneurs de ce nom ils essayent de il
faut qu'ils gardent les caractères
d'inscription constant est en fait une
semence quand elle et se met à fait
plusieurs générations dans le même
terroir et s'adapte c'est vraiment de
notre terroir qu'on a finalement
rapidement on n'a plus besoin d'un
sélection en revanche en betteraves
effectivement là on a peut conseiller on
a aussi de terre c'est sûr
ce que nos terres là c'est le client qui
le ses clients finals qui choisit sa
variété
là on n'a pas le choix d'autres choix
que de que de produire ce que plus un
final c'est sûr donc pour l'instant je
n'ai pas encore entendu parler de deux
champs en semis direct chez les
semenciers
je sais pas si ça viendra un jour parce
qu'en fait déjà ne serait ce que parce
que je viens de dire ça risque de pas
intéresser beaucoup de semenciers quoi
mais au moins là on en parle clairement
oui alors le groupe justement a comme on
l'a construit enfin pour la construire
et parce qu on était 5 et à l'époque
c'était pour un problème d'érosion mais
c'est un problème qui nous avait été
relaté par les bassins garçons nous
l'érosion
c'est un peu comme les produits feront
on en essayent de on la voyait pas quoi
en fait
on savait que ça existait mais on essaie
de la cacher puis 2 donc
donc quand on s'est penché sur la
question on était cinq agriculteurs ont
dit aux pommes de terre et on sait en
fait on est allé chercher les gens qui
avaient un peu d'expérience quoi pour
échanger avec nous donc c'était quand
même bien sympa là-dedans finalement
dans les cinq dans les vingt ans de
service retrouvé à 15 dans les 15 des
gens étaient des gens semis direct sous
couvert 3 certains étaient uniquement
laboureur dont j'étais des 3 ou 4 6
après beaucoup de gens étaient il
faisait du sens labour opportuniste avec
quelques quelquefois découvert est là
moi j'ai basculé d'un coup donc je
passais de la bourse micex couvert temps
possible d'autres y sont allé
progressivement sur une parcelle ou
alors sur avec une échelle progressive
avec justement tirant la bourre puis
après on retire enfin il ya pas
tellement de rails là dessus ces gens je
crois que c'est chacun qui kills ans
avec son tempérament je sais pas trop
oui je pense qu'il ait pas deux en fait
vous dire que quand on est quand on
démarre progressivement
enfin on a besoin d'avoir l'ensemble des
outils du conventionnel jusqu'au
jusqu'au semis direct moi dans mon cas
échéant les partis très vite
le matériel était vieillissant on en a
remplacé un tracteur voilà donc j'ai pu
passer une équipe et en semis direct
je pense que c'est plus le sur une ferme
le côté progressif à mon avis vaut mieux
raisonner sur le matériel disponible pas
avec le recul si j'avais à faire
j'aurais sans doute quand même décalé
bas ma première année de semis direct
pas pour faire du tcs mais peut-être
justement pour avoir cessé ce mois radan
inquiétait qui m'ont fait vraiment faire
un bond important
je suis pas parlé également de 77
transition et c'est vrai que les deux
premières années sont assez ingrate
parce que les sols
ils vont assez doucement donc dans ses
premières années je peux conseiller
quand même de lever le pied sur les
cultures qui de printemps comme le lin
parce que parce que c'est des cultures
qui sont de printemps non enfin vont
être plus pénalisée cas cultures
d'automne pour laquelle ça va avoir le
temps de se mettre en place il ya des
visées déjà des mécanismes biologiques
yvon qui vont équilibrer la le sol donc
cultures d'hiver c'est plus simple des
grosses graines c'est plus simple et en
couvert weight pas hésité à mettre
beaucoup de quantité tard parce que
si on y va chichement on aura un couvert
qui ne va pas beaucoup pédaler quoi on a
l'impression que ça se joue presque à la
quantité de en kilos de semences ha quoi
c'est pas encore enfin entendre les
espèces ou avec un kimono ou tard doit
déjà faire des couvertures mais les pour
avoir couvert qui soit sympa quand même
être un peu de quantité en transition
c'est important tout à l'heure j'ai
parlé de l'érosion moi ce que je vois
maintenant c'est que finalement les sols
ça pousse mieux quoi les couverts on
voit que ça y est il ya plus fins les
premières années on s'est posé la
question de fertiliser un couvert là
c'est vraiment pas la peine quoi ça va
la fertilité elle arrive vite
trois ans bon ça permet de voir que
finalement on a beaucoup de levier pour
que ça aille vite quoi alors la région
est humide donc ça est bien aussi c'est
vrai que les années les animistes sont
plus faciles que les années sèches dans
notre système sensé jamais avant
où est quasi fin vous éliminer oui enfin
pour moi il ya ce stade là c'est lille
éliminé quoi enfin quand je regarde dans
la campagne
enfin j'ai quasiment plus rien moi dans
ma plaine les traces d'érosion que j'ai
encore c'est parfois quand je suis en
aval le voisin charles pas à éponger des
bassins versants envoyé ça fait plaisir
d'autant plus que ça m'a permis de ça
permet aussi de faire des gains de
productivité parce que j'avais quand
j'étais comprennent d'érosion j'avais
couple les parcelles vous avez divisés
saucissonnée pour pour ne pas avoir
enfin met une culture de printemps à
côté d'une culture d'hiver pour essayer
de faire des barrages naturels
j'avais fait j'ai fait quelques erreurs
travers la pente puis en fait on a
besoin de tout ça quoi et maintenant
j'ai remis des grandes parcelles quoi
donc c'est peut-être pas très beaux
paysages en sais rien néanmoins
néanmoins au niveau productivité c'est
vrai que ça change tout parce que mine
de rien je sème quand même deux fois
dans l'année
minimum parfois je fais scène trois fois
donc donc il ya quand même il faut
simplifier silva dit quoi oui il ya la
proximité il ya la simplicité dans le
système
donc on a quand même c'est juste
reprendre ses repères en fait c'est la
prise de repères qui est difficile
le calendrier des travaux n'est pas du
tout est un peu bouleversé par rapport à
ce que j'avais avant donc c'est vrai que
ce facteur là et j'aurais dû peut-être
dû aimer ni pencher avant quoi dessus
mais mais c'est vrai que une fois qu'on
a pris ses repères après prayssacois la
semaine dernière j'ai plus fun ou 1 400
hectares de blé a semé bon ça c'est
faire du nom six jours quoi et sans sa
force énormément parce que bon on
pressent pareil on est en relativement
délicat sur la rive-sud du sol sillage
aussi du couvert et là on arrive à faire
vraiment dur et tout seul en plus donc
c'est quand même on peut vraiment
avancer vite
oui oui il ya besoin de formation
mais aussi les corps intermédiaires
maliens sont peut-être encore eux qui
sont poussés à la peine dans seulement
qu on a invité nos clients nos
fournisseurs les coopératives et négoces
et au synodaux nous animateurs de bassin
versant et bassins de captage bon
souvent il ya des mécanismes que on
comprend très rapidement quand on est
paysan qui ont plus de mal à faire on a
plus de mal à faire passer à des gens
qui sont déjà des conseils les factions
de conseiller quoi conseiller il y a
tout un ressenti qu'un paysan de sa
ferme en fin de ces sols de ces cultures
qu'il propres à sa ferme et et que n'a
pas à conseiller un produit phyto sur
donc
donc il ya besoin de formation il ya un
besoin de formation alors je pense que
sur internet il ya beaucoup beaucoup de
choses j'ai un très très bien et
et mon avis la formation théorique sur
internet elle suffit après surtout pour
les jeunes générations qui sont habitués
à sa revanche après il y en a besoin de
lui des changes pour en fait se créer
cette expérience commune dans un lieu
que dans un dieu restreint dans une
microrégion
ça c'est très important donc en fait mon
travail niveau seulement qu sur un
rendez vous mensuel entourent de plein
chez l'un chez l'autre voilà c'est on
essaie de tourner régulièrement ça dure
de fin ça dure entre 2h30 et 3h
on va avoir un peu toute l'actualité
dans les champs et ça nous aide beaucoup
quoi c'est vraiment c'est vraiment une
belle idée
oui voir ja désidé y en a toujours des
idées notre bon il faut qu'on travaille
encore plus sur les pommes de terre
d'ailleurs j'ai pas beaucoup évoquent le
monde d'hier auparavant je vais venir
comme sur les pommes de terre ce que
c'est un petit peu le noeud de ce qu'on
a créé quand on avait des problèmes
d'érosion c'est systématiquement avant
avant non pas avant pendant ou après les
pommes de terre
alors mon médecin pensait que c'était
pour les mécaniques et donc les cadic de
deschamps tir de la mécanique apporte
aux alcools enfin la porteuse de pommes
de terre ou de houe de l'arracheuse ou
voilà on pensait que c'était vraiment un
problème de de mécanique bêtement et et
on s'est vite rendu compte que
finalement finalement c'est on a
travaillé sur tout le reste
et c'était très efficace sur l'érosion
même pour le notaire en fait on a recréé
de la colle dans le sol avec la matière
organique et finalement la mécanique
elle dégrade on est plus au stade où la
mécanique peut dégrader les sols pour
faire vraiment des produits par
desrosiers
donc donc là dessus on a on a beaucoup
avancé
en fait on travaille sur toutes les
autres cultures avant d'aller sur le
terrain maintenant sur le communautaire
il reste beaucoup à faire beaucoup
beaucoup et là dessus on bute tout de
suite parce qu'on a on a quand même
quasiment tous ont pas mal de surface en
pommes de terre donc il nous faut de
mécanisation importante
les calendriers dreuz colts sont très
restreints donc pour l'instant cancale
on sait qu'on pense que par le
maraîchage ça peut être débloquer des
choses mais néanmoins si les
constructeurs de machines
ou des instituts techniques ne viennent
pas ne viennent pas à la rescousse on
aura peut-être du mal à faire avec leurs
quelque chose voilà sur ce sur quoi on a
envie de travailler c'est sur / en fait
là le démarrage de l'udc des sols parce
qu'en fait non c'est pas les transitions
sur 80 % des parcelles
tout se passe bien on a l'impression que
sa fin c'est super et voilà et sur 20 %
des parcelles c'est plus difficile et
voire même sur 5 % ben on patine patine
sérieusement donc là dessus il ya tout
un tout un côté biologie des sols qu'on
peine 1 on peine à appréhender et là
dessus donc voilà on aime on il ya
quelques pistes en revanche
je trouve en france pour l'instant on
n'a pas grand chose à se mettre sous la
dent à l'étranger à l'étranger je pense
au thé de compost la fin de il ya lénine
gamme
ces chercheurs américaine qui en fait
qui se fait fort de redémarrer des sols
avec trois applications thé de compost
j'ai envie de dire chiche quoi là j'ai
envie d'essayer
il ya aussi il ya aussi des gens qui ont
qui travaillent en fait sur des
activations biologique en fait on sait
jamais trop qu'est ce qui manque dans le
sol mais il peut manquer aussi des
micros en fait des oligo-éléments et te
manquer des micro organismes ou du cros
pour cela mais les et les organismes les
oligo éléments alors on a encore je sais
pas si ce temps je suis quand même
souvent l écoute mais deux choses un
petit peu alternative
je pense que les purins de plantes qu'on
met en place là puisqu'on a mis en place
sa honda aurait besoin de connaître leur
teneur en oligo par exemple pour aller
un peu plus loin on a des purins de
consoude communion qu'on fait a priori
la consoude la consoude remonte du
cobalt qui est important pour certaines
vitamines donc quelques chercheurs
pourraient nous des grossières ce sujet
on a intéressé dans la mise en place
biologique des sols ya la perte fin
fertilisation je vais aller plus loin de
fertilisation la nourriture des sols
puisqu'on est dans la biologie
c'est cette approche là qu'il faut qu'on
trouve il ya des plantes ont besoin dit
amin
alors pour l'instant moi dans mes plans
de satellisation auparavant vitamines
on connaissait pas en fait a priori on
disait que les plantes ne mange que des
éléments simples et je pense cette
vitamine b12 là en fait qui qui mise en
avant par un autre chercheur américain
dan henderson
celle ci est elle est en fait elle a dit
qu'elle n'est pas synthétisée par les
plantes mais elle est mise à disposition
des plans parle de la biologie des sols
donc voilà on a ses petites touches là
nous faut penser que qu'il faut qu'on
revoie 7
cette vision de biologique et donc c'est
cette nourriture des soldes
ah non moi j'avais des très mauvaises
bases c'était
bhl alors il m'a fallu deux ou trois
claques mais bon l'érosion en était une
la deuxième claque c'était une plante
bien au bio indicatrices en fait d'avoir
écouté gérard ducerf en fait la source
de ma curiosité agronomique
c'était l'émission de roots & gas x
appelée terre à terre sur france culture
il ya encore tout est disponible sur
internet un podcast toutes les archives
et il ya des gens qui ont été invités je
pensais avec petiau gérard ducerf conrad
gerber à la can et il y en a plein
d'autres mais en fait chacun dans son
domaine ont permis de geysers goûter
plusieurs fois mais de m'éveiller afin
de titiller un petit peu les neurones
pour aller chercher à chercher les
informations et en même temps que
l'érosion
les plantes bio indicatrices de jarrat
du serbe m'ont vraiment débloqué pas mal
de frein jusqu alors je pensais qu'une
plante
si elle pousse est ce parce qu'est venu
rennes et donc donc en fait il y avait
quelque chose à faire c'était de la
supprimer parce qu'en fait c'est pas
celle que je voulais qu'ils postulent
donc l'avez forcément qu'à l'intérêt est
de comprendre qu'en fait une plante une
graine alors déjà il ya plus de deux
mille grain au mètre carré dans nos sols
enfin je pense que c'est beaucoup plus
que ça mais bon fait c'est l'ordre de
grandeur que j'invente est que certaines
plantes sont peuvent mettre sentant 200
ans 500 ans avant de germer les
attendent leur heure et attendent en
fait que les conditions de levée de
dormance se soient réunis et les
conditions lire les normands souvent en
fait des mauvaises herbes c'est quand le
soleil se dégrade quand la matière grise
en va et quand il ya trop de nitrates au
nitrite fait quand quand le sol valent
donc de pouvoir se rendre compte de ça
ça m'a permis de 2,2 me pencher déjà
sérieusement sur le problème et puis de
se dire que que en fait oui la parcelle
c'est un tout et donc
j la parcelle m'annoncer la ferme qu'un
tous que on n'est pas dans le hasard et
que si la plante est là et là elle a un
impact positif sur le sur la parcelle
donc moi j'ai besoin fameux récolte donc
parfois elle me perturbe mais j'ai
plutôt intérêt à
d'or l'utilisé d'ailleurs l'information
pourquoi elle est là donc comme ça déjà
de devoir sa survenue mais déjà à faire
un diagnostic mais peut-être à
l'utiliser pour faire un purin pour
essayer de sais pas ce qui va m'arriver
dans quelques années mais pourquoi pas
dynamiser les extraits pour informer sol
que qu'en fait la 'une' conditions ont
changé donc pas qu'il ya on a on a sept
ces mécanismes ont été perdus par notre
génération
enfin je dis notre génération c'est
peut-être déjà depuis plus longtemps il
s'avère que sur la ferme j'ai eu la
chance d'avoir le système agricole
décrit en 1868 et je les lui en dizaine
de fois depuis depuis que je suis petit
c'est seulement qu'un et le fait de
l'avoir revu dernièrement je me suis
rendu compte que finalement ici j'en dis
dans les années 1850 le le cultivateur
s'étaient laissés gagner par le
chiendent et en fait il s'est fait
mettre dehors par le propriétaire parce
que les terres étaient vides et il ya
plus que du chaland qui poussait et le
son successeur à récolter le chiendent
avant qu'il se passe en grèce faisait du
compost chiendent qu'il qu'il répandait
sur les parcelles et avec ça il s'est
débarrassé motion votée mécanisme la
voilà il était déjà là il ya 150 ans
pour les reds découvre mais il est
vraiment temps qu'on les remette sur
pied quoi c'est pas qu'on le redécouvre
ce qu on a besoin on a besoin voilà les
dépistages je pense que c'est un mal
tant pis ça non je vais enfin voilà sauf
s'il y avait d'autres choses est ce que
j'avais tissés en nutrition les
vitamines
donc oui directeur de la recherche
6 il ya quand même un il ya quand même
des fausses pistes qui sont des
commandes à vis des gros piège qu'on a
tant fait son c'est pareil que grands
trouvent facilement levé par les auteurs
américains
les agronomes et qu'on voit pas trop
dans la fin pas trop en france
quasiment tous les livres d'agronomie
s'est-t-elle est bon donc durable
américain met le calcium en premier dans
les éléments à suivre dans les sols
parfois avant le nitrate avant avant la
zot et
si j'ai un regret pendant cette mise en
place de cette conservation cette
transition c'est d'avoir négligé le
calcium je pense que c'est une des clés
si une des clés de la réussite donc pour
plusieurs raisons mais la première c'est
qu'en fait et le calcium c'est là c'est
le squelette des plantes en fête c'est
celle éléments constituants de base de
la vie en fait même pour nous c'est
l'élément principal de notre squelette
et puis de notre santé qu'en fait quand
on est en conventionnel en pensent
beaucoup npk souvent le calcium est
gérée en routine par des amendements
pour lequel on fait des économies dès
qu'on a plus voilà c'est qu'on a plus
les moyens
là dans un système de la culture durable
avec un long travail du sol
il est important que la structure du sol
soit soit on dire la plus solide
possible et pour faire des structures
solides et la biologie et basse et du
calcium quoi donc ça c'est vraiment je
pense que là dessus il faut vraiment
qu'on retravaille aussi c'est elle