Le semis direct en Amazonie, Jadir Taffarel

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Vidéos - Ver de Terre Production (2023-03-30) - Jadir Taffarel - Durée : 41 minutes

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Cette intervention a eu lieu dans le cadre du colloque d'hommage à Lucien Séguy et Hubert Charpentier.

Pour retrouver la vidéo du colloque dans son entièreté : https://www.youtube.com/watch?v=o0Y3qdaK1uk

Transcriptions

Transcriptions

diffusion du savoir formation agricole
accompagnement prestation vidéo vers de
terre Production s'engage pour la
transition agroécologique
il remercie pour l'invitation et
quand il salut tout le monde et quand il
a été invité à participer à cet hommage
il a été très content bien que il est
une difficulté à parler en public
au début il va il veut parler de la

Afficher la suite


trajectoire de sa famille
et comment les enseignements de docteur
Seguy les connu là-bas pour que le
docteur Seguy ont été importants pour
eux
toute sa famille est
Vienne est venu au matou Grosso en août
1976 venant du sud-ouest du Parana et
attiré par les les comment s'appelle les
subsides gouvernementaux qui aidait à la
colonisation de l'Amazonie
la région
ils ont acheté une phase une petite
phase zen située à 15 km de la ville de
sinople
en
1976 la région avait un toujours un
climat chaud et humide vous pouvez voir
les caractéristiques température moyenne
de 25,4 degrés et plus vieux moins
moyennes annuel de 1800 mm qui est assez
important entre les mois d'octobre et
d'avril les sols sont des sols
feralithiques de basse fertilité mais de
topographie plane facilement mécanisable
la capitale bonjour Cette photo aérienne
vous voyez le la fondation de la ville
22 ans après la fondation la ville de
sinople en pleine forêt amazonienne au
bord de la BR 163 qui était la nouvelle
route qui reliée kouyaba capitale de
l'état du maître grosses à sankaraine
qui est sur le fleuve Amazone et
situé cette ville de sinople est située
à 500 km de la capitale kuyama 500 km au
sud
mécanisé évidemment avec des gros des
gros bulles
et au début sur une surface de 40
hectares la première première
phase 1re propriété qui donc cultivé et
il dit qu'ils ont été pratiquement
pionniers dans tout dans tous les dans
le défrichement d'abord puis ensuite
dans le semis du riz après défrichement
et dans les
premiers semis de soja dans la région et
de culture de succession à s'affine de
maïs et aussi de maïs maquillage et donc
bon au début ils ont dû un peu essuyer
les plâtres
une petite histoire
résumé de la fazenne qui est qui a pour
nom bar à verre
les cinq premières années ont été
monoculture de riz avec TCS ou disons
les disques cages quoi
ils ont commencé assez bien avec des
productivités qui avoisinaient les trois
tonnes de riz pour baisser à une tonne
la dernière année de monoculture et qui
a été abandonné bien sûr
donc
va le dire tafarel le père de jadire
est allé dans le sud du Brésil ou
commencer à peindre le semis direct dans
l'état d'où il venait d'ailleurs le
Parana et il a rencontré non opéré non
opéré et le monsieur qui est dans le
maïs entre jadir et son père avec la
casquette vous voyez j'ai oublié de le
noter excuse-moi j'adire discours passe
à dire est-ce que si des boutons et vous
allez voir que l'autre des autres
personnes que j'ai pas noté aussi la
photo d'à côté il va en parler bientôt
c'est
monifoumatsuba
avec
haïr ton training qui est qui était des
technicien un agronome et munifu un
producteur de de
riz et de soja ensuite qui a été
l'initiateur du semis direct aussi dans
la région du Serrado
oui donc il dit ensuite ils ont eu
utilisé l'expression une lumière au bout
du tunnel
avec un ami un bon homme Georges
camitani de sinople qui a qui a su qu'il
allait avoir un jour de chant sur la
fazenne de mouniforimatsuba vous voyez
le la personne qui est la première la
première à droite sur la photo où on
voit jadir
à l'extrémité gauche et au milieu à Hirt
ce mouniful massoubara donc avait nous
l'avait reçu comme je vous ai expliqué
sur ma sur ma palestre et à ce moment-là
il commençait à s'établir une relation
entre le père va dire taframe et
Lucien il dit on peut de manière
humoristique il dit que son père lui a
fait tellement de pergous de questions
qui devaient encore il est c'est Guy de
vancore en râler tellement il avait de
de réponse à donner
problème à travers des plantes
les visites autant de
Lucien Seguy a à Sinope que des des
tafarelles sur la face de la progresse
leur ont permis de remettre disons la
phase en sur les rails avec le planti au
direct le semis direct et les SCV
à partir de 88 90 les innovations des
SCV par Lucien
ont permis
l'introduction de nouvelles plantes
mélangées avec du maïs en culture de
succession après le soja évidemment il y
a toujours pareil et
cette culture de succession du maïs et
finalement devenue aussi importante dans
un premier temps que le soja et même
maintenant elle est peut-être même plus
importante au niveau économique
et elle a permis aussi d'introduire
différentes graminées et légumineuses en
mélange avec le
maïsme
voilà l'exemple l'exemple de du maïs +
Brachiaria et en fait là il faut rendre
César ce qui est à César c'est à dire
c'est eux qui nous ont montré le chemin
pour les braquières au départ c'est
l'étaparelles
j'adhy et va dire taharene qui ont qui
ont testé les premiers cette brassière
et qui nous ont permis de remettre le
riz pluvial dans les semis direct ça
c'est une il a pas dit mais c'est moi
qui le dis pour rendre hommage aussi
justement cette
cette collaboration fertile entre
recherche et producteur
du semis direct finalement les mélanges
de plantes avec avec le maïs ont permis
de faire de très belles païades et
d'avoir de belles pailles quoi avec du
la brassière et du et du maïs et vous
voyez que ça peut avoir aussi un effet
en fait de contrôle des adventices sur
la culture du soja qui suit
ils ont ils ont
vaincu les difficultés ils ont ils ont
grâce à ces recherches de la phase en
progrès c'est de
cette période a été
une période importante de la pour la
lecture brésilienne
eux qui étaient au bord de la faillite
en fait pour la production et baisser
les sols qui étaient qui s'épuisait
à partir de ces recherches sur le semis
direct l'ont permis de
relever la production et surtout
permettre aux soldes
de s'améliorer d'avoir d'aller de
s'enrichir en matière organique et de
produire mieux et moins cher
en fait bon la phase 1 est passé de 40
hectares cultivés maintenant ils en sont
à 450 mais ils ont eu des périodes de
défrichement ils ont pas tout défricher
d'un coup quand ils l'ont fait
progressivement et aux environs au
début des années 2000 on a on a publié
Lucien avec donc c'est un Seguy moi et
les deux tafarelles père et fils on a
publié une publication on a fait une
publication au sujet du nouveau un
nouveau défrichement moins disons moins
destructeurs qui conservaient encore un
peu plus de de matières organiques et
se défrichement
a permis de faire disons de perdre moins
de matières organiques sur les dernières
parcelles défricher et d'avoir ne pas
avoir pas avoir la
période de déprime qui avait qui avait
au début de leur implantation
donc en fait c'est défrichement qui
consistait en
faire des faire des andains et en fait
d'aller de l'extérieur vers l'intérieur
et de brûler d'aller vers l'extérieur
vers l'intérieur pour essayer de faire
le moins de points ça s'appelle de
déperdition possible et en fait et
d'équilibrer d'avoir des sols qui soient
pas avec les andins qui sont très brûlés
et qui sont très fertiles et à côté des
des zones qui sont qui sont pas du tout
pas du tout on va dire ils sont pas du
tout au niveau quoi qui ont qui qui sont
de basse fertilité à vous à toi
dans les autres travaux que qu'ils ont
réalisé pour nous qu'ils ont testé pour
nous là c'était un test vous voyez du il
y a de chez le soja la culture
principale et dessous ce que vous voyez
de vert c'est en fait un arachiste
pintoï c'est un arachide rampante qui
qui c'est une sur une couverture vive
finalement voilà le détail on les voit
mieux avec les petites fleurs jaunes
mais il y a eu aussi des tests de semis
direct de riz pluvial même des
collections de variétés de riz pluviales
et des corrections localisées de
calcaire filaire qui ont été
intéressantes qui ont été appliquées sur
de grandes surfaces mais qui nous ont
aidé disons à
a donné quelques solutions partielles
voilà
1900
ces dernières années les productivités
ont été excellentes autant en sourate
comment il se voyait soja on a passé les
quatre tonnes hectare et en maïs on a
passé les 10 tonnes hectares donc c'est
c'est vraiment des productivités avec
finalement des niveaux d'intrants qui
sont tout à fait raisonnables c'est pas
on casse pas la baraque mais il y a une
technologie aussi des variétés une
technologie qui a quand même évolué de
meilleure variétés à potentiel plus
élevées ça attend soja quand quand maïs
la conclusion apprécie 30 années de
semis direct le CV c'est
la continuité de ces 30 ans permis une
augmentation de la matière organique à
des teneurs de 3 et demi à 8%
qui égale ce que ils ont sur les sols de
forêt à une diversification de culture
et
à une des production des productivités
bien augmentées par rapport au début du
semis direct tout en gardant des coûts
contrôlés
c'est très joli et ce sont des jours de
chance que je vous disais les jours de
chant et où je connais portes ouvertes
là dans ce cas là c'est avec des firmes
qui vendent des des semences et de soja
mais il doit y en avoir pour le maïs et
tout il continue donc la recherche il
continue à suivre les enseignements de
Lucien Seguy sur ces améliorations qu'on
peut apporter au système vous pouvez
voir que la façon de bien tenue
a été très important pour le
développement de
l'agriculture et du et du secteur
agricole même au Brésil et en
particulier dans le Centre-Ouest il a
commencé avec
unité expérimentale dans la phase d'un
progresse qui a atteint à peu près tout
l'axe de la
ba163 qui faisait kouyaba santaré et qui
a permis de qui a été utilisé les
recherches et les résultats de recherche
ont été utilisés sur tout le serrage et
même une partie de l'Amazonie
brésilienne
il a reçu comme moment de l'Assemblée
législative du matos le titre de
citoyens honoraires du bateau grosses
mais
dans l'opinion de jadir
ce titre n'est pas suffisant pour pour
rendre la reconnaissance que devrait
avoir le Brésil pour les services qu'il
a rendus au Mato grosses et au Brésil
il considère
considère qu'il peut dire qu'il a été
responsable pour le fait que les il y a
encore de la forêt en Amazonie parce
qu'il a permis
de produire sur des zones qui étaient un
petit peu abandonnées ou qui avait été
laissé en pâturage
au lieu de défricher donc ces saisons
donc c'est il a rendu un grand service
même à l'Amazonie avec ses conseils pour
les cirados et même après Amazonie
utiliser les terres qui étaient déjà des
défricher et pas en défricher d'autres
c'est une personne humble et et
je dirais rigolote avec une grande
de grandes connaissances à différents à
différents niveaux et qui a qui a aidé
ma famille en fait au niveau de trois
générations mon père moi et mes enfants
qui commencent aussi la carrière dans
l'agriculture et il est en train de
repasser toutes les enseignements du de
Lucien Seguy a à la famille qui va
prendre le relais sur sa vous voyez là
c'est une photo morceaux où la toute
toute la famille et tafarelle avec
Lucien Jacqueline et même le petit Serge
là au bout voilà petit bozy
je crois que c'est tout et l'autre non
nous vous remercions pour votre écoute
l'organisation d'avoir pu rendre cet
hommage à Lucien qui le mérite
grandement parce qu'il a fait beaucoup
pour pour leur famille mais pour leur
région et même on peut dire pour leur
état quoi voilà
merci beaucoup pour cette présentation
peut-être on peut arrêter le mode
partage
j'arrête non non
du côté jadire arrêtez la mode
présentation
des chasseurs
et maintenant
abonnez-vous peut-être voilà n'hésitez
pas à poser des questions sur YouTube
sur le sur le chat
une question déjà est-ce que vous avez
essayé de laisser des parcelles en
friche pendant plusieurs années
puis de broyer les friches
pour avoir un mulch directement sur
place
il dépose très tôt la todoïsme
j'ai posté tout la tourisme
cette technique ce système là
et aujourd'hui au niveau du réseau
brésilien avec voilà à quel point est-ce
qu'il échange avec un réseau
d'agriculteurs localement en Amazonie
dans sa région
et quels sont les dynamiques locales
d'échanges entre producteurs
convoqué difooning
y a-t-il de l'élevage sur cette ferme
sur cette façon là
intégration
[Applaudissements]
effectivement ils ont fait ils ont fait
ça mais provisoirement se servant de la
safligne de la culture de succession
maïs plus brachiari comme il restait de
la brassière pendant la saison sèche en
fait ils ont loué si les pâturages de
brassière à des producteurs de à des
éleveurs qui ont engraissé leur bête
pendant la période où j'en avais pas sur
leur sur leur truc et eux ils ils
avaient de la maquillage qui revêt donc
ils ont fait trois ans de suite ils ont
loué les terres mais ils l'ont pas fait
directement ils ont pas investi en
comment s'appelle en beurre en beuh quoi
en tête de bétail pour pour le faire
parce qu'ils ont ils ont pas la
structure en général au Brésil les gars
qui sont producteurs
qui font de l'agriculture fond de
l'agriculture et peu d'élevage les gars
qui font de l'élevage ils font donner le
match et pas beaucoup d'agriculture
c'est assez séparé
entendu quel est le
pourcentage de double récoltes qui peut
se faire
dans la même année à quel point est-ce
qu'il arrive à systématiser les doubles
récoltes les successions sur une seule
année
je peux répondre mais je vais le faire
hyper gun de quoi ouais personne toi ou
des doubles cultures
c'est surtout la surface
il y a une question de de
la question c'est vas-y tu vas traduire
c'est quatre tonnes de soja 8 à 10
tonnes de maïs comment ils voient est-ce
qu'ils boit des évolutions dans le dans
le dans le système pour le futur est-ce
qu'ils ont déjà des des idées pour faire
évoluer ça est-ce que c'est sûr la
progression des productions c'est la
réduction des coûts comment comment ils
veulent faire évoluer leur système
10000
à évolué ça aussi pince qui arrive
au secours
c'est que très certainement les c'est ce
qu'il appelle va justement faire
ça s'accrue progressivement c'est ces
productivités et il dit il y a encore
des progrès pas tous les niveaux au
niveau des comment ça s'appelle des
variétés maïs ou des hybrides de de
maïs plutôt des variétés de soja et des
comment s'appelle des technologies qui
qu'ils ont disponibles là-bas ils ont
ils utilisent des technologies toutes
les technologies OGM et tout le truc ça
leur a permis d'avoir de passer des des
Caps de productivité et il pense que ça
ça doit continuer parce que les gars
travaillent travaillent bien et ils ont
ils ont ils améliorent aussi au niveau
technique
les semis les les applications en
essayant aussi de réduire les coûts mais
c'est pas le premier critère la
réduction de coûts il compte plus sur
l'augmentation de productivité qui leur
permet d'ailleurs il dit j'avais oublié
cet argument qui leur permet de ne pas
toucher à plus de forêt comme comme il
produisent bien ça leur suffit ils vont
pas ils vont pas aller ouvrir un peu
plus de terre du moins eux après il y en
a d'autres qui nous ont
le problème de ce podoctéral tu sais la
palominale le spoileau la chenille du
légionnaire là c'est un gros problème
dans la région ou dans ces systèmes il y
a une régulation
naturelle qui se fait de
cet outil
la garde le cartouche
et on problème à qui
consistance
mais comme ils utilisent des trucs
biotechnologie
euh actuellement
il y a pas de ça a pas été ça a pas été
cassé quoi cette cette résistance
est-ce au fil du dossier et au fil du
dossier
nos silates une autre question
du chat YouTube
quel est voilà la description de la
rotation actuelle
d'abord et puis dans un deuxième temps
les critères de sélection des variétés
de couverts végétaux
à couberto
question
la réponse actuellement c'est ta
question actuellement c'est vrai qu'ils
sont ils restent sur
des soja qui est hyper productifs et des
maïs qui aussi ont une grosse paille une
grosse il produit énormément de
énormément de pailles qui restitue quoi
qu'il reste sur le sol quoi et qui font
une protection parfaite des sols mais
ils ont utilisé pendant de nombreuses
années la brassière maïs brachiart
c'était le principal soja maïs bathiari
soja il faisait que ça il y avait
quelques pour les ouvertures un peu de
riz mais bon les ouvertures elles sont
en train de l'achever ils ont plus de
zones à ouvrir quoi donc en fait c'est
un système permanent et il dit s'il y a
besoin bien sûr on reviendra la première
en premier lieu à la brassière ici à
d'autres qui apparaissent bien sûr
évidemment voilà
et donc
pas vraiment d'autres plantes de
couverture dans les couverts interc
interculture pour l'instant donc ce qui
dit là il a pas il a pas il a pas bon
c'est vrai que Lucien passe moins
souvent aussi la maintenance puisqu'on
est en France on passe une fois et on a
plus les comment s'appelle les
relais qu'on avait avant quoi tu vois
c'est vrai que et comme ils ont des
résultats
un an quand même de très bons résultats
finalement ça compense pour l'instant il
va pas senti de problème au niveau de la
matière organique et tout comme ça vu la
grande quantité de paille que produit le
maïs parce qu'il est il est vert parce
que pendant tout le truc je disais même
il y avait un problème quand la paille
sèche à la fin de la saison sèche il
faut se méfier des feux parce que si ça
brûle voilà oui là je perds toute la
donc c'est
il a une quantité une biomasse métier
produite principalement par le maïs
urgences
quel est le
plan de fertilisation un peu détaillé
les quantités utilisées pour la
fertilisation du sommeil et de sauce
soja
semble
de la sauge il domine Huawei
il appelle ça 100.5
et pour le maïs 520 2 d'azote et 520 de
potasses
par hectare pour être sûr
du pédophile
c'était un P25 et K2O
par hectare d'accord et maintenant sur
l'azote est-ce que c'est mis plutôt
fractionné d'un seul coup des bulles fin
de culture nitrogène niveau séjour avec
du mauvaise ou c'est faciale
de passage d'azote et donc en forme
quelle forme chimique oui
merci déjà pour toutes ces réponses
n'hésitez pas à continuer à poser des
questions sur le chat
comme autre question la semence de
bracaria il est produite sur place
il en produit il a produit mais ça a été
un des diffuseurs de la matière rosier
qui est une brassière qui est pas une
brassière recherchée par les éleveurs
c'est une matière qui recherchait par
les gars du semis direct parce que elle
nécessite de beaucoup moins elle a
besoin de beaucoup moins de de
glyphosate pour la pour l'éliminer deux
fois moins que les bras qui a
traditionnels des Combins c'est brise en
temps qui sont des qui sont beaucoup
plus costauds et qui sont utilisés par
les éleveurs
parce que celle-là euh
on marche dessus la rue julienne elle
disparaît beaucoup plus vite mais elle
est beaucoup plus facile aussi à
contrôler ce midi direct
et
je pense qu'on a fait le tour des
questions merci et beaucoup beaucoup
pour ce temps et pour cette pour ce
témoignage de du Brésil l'Amazonie
et il y avait la déesse soit participant




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