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Avec l’agroécologie, la bio devient logique - Paysage in Marciac  +
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Binage  +, Charrue  +, Gestion des couverts végétaux en grandes cultures  +, Permaculture  +, L'agroécologie  +, Conventionnel  +, Labour  +, Maïs  +, Prairie  +, Féverole  +, Matière organique  +, Décembre  +, Cultures  +, Pratiques  +, Tournesol  +, Strip till  +, Triticale  +, Pois  +, Ray grass  +, Juin  +, Seigle  +, Soja  +, Couvert végétal  +, Soufre  +, Août  +, Boulbène  +, Blé  +, Luzerne  +, Colza  +, Septembre  +...
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Vidéos - Ver de Terre Production (2021-Vidéos </br> - Ver de Terre Production (2021-05-23) - User:François Coutant - Durée : 40 minutes </br> Ver de Terre Production - Videos Gestion des couverts végétaux en grandes cultures Permaculture </br> </br> </br> </br> </br> </br> </br> </br> Paysage in Marciac 2020</br> </br> Comme tous les dimanches, un sort une vidéo de Paysage in Marciac édition 2020</br> Aujourd’hui François Coutant nous parle de son expérience sur la bio et l'agroécologie .</br> </br> Bon visionnage !</br> </br> Annexes </br> Transcriptions </br> Transcriptions </br> </br> bonjour à tous </br>bon ben je vais me présenter un petit </br>peu quand même pour que ceux qui ne me </br>connaissent pas je suis à quatre </br>kilomètres ici harricourt 5 kilomètres </br>peut-être même à peine dans une </br>exploitation de coteau vous m'entendez </br>bien on l'a toujours dit on fait dans le </br>bio et le local nous une exploitation de </br>coteau que j'ai repris en partie de mes</br> </br> </br> Afficher la suite</br> </br> </br> </br> parents en 86 deux exploitations qui est </br>en grande difficulté qui faisait que du </br>mouton et j'ai repris les dettes et les </br>terres de mes parents ilan des maric de </br>l' irrigation neuf c'était la grande </br>époque des lacs collinaires dans le gers </br>donc on a démarré en conventionnel à </br>l'époque labour maïs semence tourner </br>seul semences mais tout ça dans les </br>coteaux il y avait un précédent prairie </br>donc ça n'a pas trop mal marché pendant </br>quatre cinq ans jusque dans les années </br>90 cinq six ans et là ça commençait </br>beaucoup d'érosion beaucoup de casse et </br>les têtes de charrue enfin elana j'ai </br>adhéré à gros doc le ceta à bouloc où on </br>avait suivi d'ingénieurs de en 93 on </br>avait monté une cuma 89 </br>parce que je le dis pas c'est très </br>important quand même par rapport la </br>suite et au départ on a démarré </br>j'ai arrêté le labour et le travail </br>normal en 94 là c'était parce qu'au bon </br>c'était pas aussi trop d'érosion les </br>rendements qui chutaient énormément et </br>l'année passée au semis direct en </br>conventionnel </br>à l'époque en conventionnel où on </br>démarre et beau classiquement en france </br>avec les groupes horsch elle essaime </br>exact à dehors c'était les réunions </br>noguchi après on a fait toute la </br>panoplie des couverts et des semis noir </br>semi direct bon là on a patiné longtemps </br>et que les couverts jusque dans les </br>années 2002 2001 2002 qu'on ait trouvé </br>les féveroles et là c'était une grande </br>plus c'est un couteau avant désherber </br>les couverts après un peu plus mais </br>c'était parce que 38% d'argile que des </br>coteaux avec 32go son argile </br>au printemps c'est quand même compliqué </br>et voilà et alors après la féverole bon </br>c'est un grand coup de pouce sont alors </br>on faisait en a mis au point ces semis </br>direct sous couvert vivent ça ça </br>marchait plutôt bien même très bien </br>parce que j'étais tombé à la faim en </br>camp avant de passer en bio à ce qui m'a </br>poussé à passer en bio d'ailleurs </br>j'étais tombé à 98 unités d'azoté pour </br>faire du maïs et quelquefois sans </br>glyphosate quand on avait des très beaux </br>couvert on faisait 7 8 tonnes de matière </br>sèche donc sa porte est quand même c'est </br>pas rien quoi 350 unités d'azoté 30% </br>disponibles dans les trois premiers mois </br>pour le maïs c'était un sacré booster ça </br>a été vraiment un peu révolutionnaire </br>pour semer du maïs eux partout où on est </br>c'est à partir de là qu'on a eu des </br>champs dans les coteaux régulier tout </br>champ de la même couleur savent en avant </br>on connaissait pas ça voilà et alors on </br>s'est dit bon après ça devenait monotone </br>semis direct sous couverture lahlimi au </br>point ça marche bien il y en a dans la </br>salle acquis </br>qui était avec nous la fait qu ils nous </br>connaissaient on travaille ensemble dans </br>le même groupe 2 c'est à dire on allait </br>dans le même sens et alors du coup on a </br>dit pourquoi ne pas le faire en bio </br>surtout quand je voyais le bio comme on </br>le faisait dans le gers comme on le fait </br>encore aujourd'hui dans le gers </br>pour moi c'est une une catastrophe </br>écologique </br>travailler outrance et l'érosion à </br>outrance c'est bien ça marche mais ça </br>durera pas longtemps </br>c'est pas durable quoi ça traverse </br>rapahël et les siècles essence je veux </br>bien que ça marche pendant 20 ans mais </br>est encore jugé il ya vingt ans que </br>m'ont entendu dire que le gers n'avait </br>pas pour 40 ans dans 40 ans il ce </br>requiem tu vois on va même pas y arriver </br>au bout de 40 ans n'ont ni sera pas et </br>les rendements sont chute libre </br>aujourd'hui c'est il fallait comme m </br>quand on implante minimum 40 à 50 ans </br>entraînée dans le gers </br>si on voulait maintenir les tenir nos </br>structures et pas d'autres façons </br>aujourd'hui il ya plus en plus d'animaux </br>et on continue on est donc enfin et sur </br>une zone où on perd li chn </br>on va encore cultivé plus les coteaux </br>c'est quelque part c'est faux pas à dire </br>c'est la faute des agriculteurs c'est la </br>faute </br>quelque part d orientation agricole on a </br>depuis le début la pac on a donné 90 à </br>100 euros à un éleveur pour 1 ha d'herbe </br>on a donné 300 euros 1 s'est ralliée </br>c'est pas pour opposer les systèmes et </br>c'est pour donner les orientations on </br>aurait fait le rôle inverse dans le gers </br>aujourd'hui aurait des voitures et des </br>moutons et on n'aurait pas d'érosion et </br>on aurait gardé notre matière organique </br>parce qu'on est quand même passé de 3 à </br>1 </br>en vingt ans et voilà donc et moi </br>aujourd'hui en cas en 2002 il faut </br>avancer on a va au bhoutan en 2015 on </br>n'est pas 100 bio en avant groupe après </br>même pour le semis direct on a une cuma </br>est sonné cinq ou six à faire un peu la </br>même chose </br>et alors c'était plus facile parce que </br>le matériel on l'achetait en cuma donc </br>c'était possible parce qu'à l'époque au </br>départ - on avait des petites structures </br>on avait tous 40 à 50 hectares en 90 mhz </br>aujourd'hui on a une centaine d'hectares </br>chacun mais est on avait tous un peu de </br>hors sol devenus des ateliers hors sol </br>du poulet des cailles du canard en une </br>femme noire en complémentarité de nos </br>coteaux quelque part il mangeait début </br>j'ai une particularité c'est que j'ai </br>des brebis j'ai 300 brebis boj ça va ça </br>monte ça décembre suivant les périodes </br>suivant les opportunités </br>j'ai un frère qui a toujours eu des </br>brebis et parce que bon il ya des zones </br>inaccessibles pour les cultures et </br>aujourd'hui oui eh bien il ya 128 ha </br>quatre bâtiments de poulets bio 300 </br>brebis avec un potentiel on vient de le </br>de l'étudier là et encore que sur mon </br>exploitation il faudrait 700 brebis pour </br>manger les ce que les couverts les mots </br>c'est ce que je pourrais avoir le bon </br>après faut s'en occuper quand même il </br>faut ça fait beaucoup de choses mais </br>l'optimum il serait là quoi il faut </br>arriver à ce que je suis en train </br>d'étudier la avoir 700 brebis et avec </br>les gens qui vont derrière quelque part </br>et c'est pas moi qui vais le faire mais </br>si je veux que mon exploitation dure </br>dans le temps parce qu'il ya beaucoup </br>d'exploitations l'avons pas durer dans </br>le temps toutes les exploitations dans </br>le cou de couto là c'est ma génération </br>là on est 80 % sur leur grand potentiel </br>de mon âge </br>moi j'ai de 59 ans et ça donne une idée </br>de toutes les exploitations de côte au </br>seuil et il y en a à bandol un bien </br>personne pour les acheter la safer les a </br>repris l a pas trouvé les vendre mais </br>les agriculteurs les reprenne ses </br>nouveaux comme ça vient de sortir </br>mais il faut faire naître contient quand </br>même </br>et donc oui par rapport à cette </br>occupation nous a permis de faire </br>beaucoup de choses plus facilement parce </br>qu'elle nous coûte beaucoup moins cher à </br>l'hectare </br>moi j'ai pas de tracteur moi j'ai pas de </br>matériel </br>tout le matériel qu'humain et ça nous a </br>permis de baisser les charges de </br>structure du matériel par trois on est </br>en été longtemps à 150 euros contre </br>bourg où ils sont à 450 500 voire 600 </br>hectares mois sont comprises est alors </br>oui le bio c'est ce qu'on est en train </br>de ces mots dernier challenge après je </br>prends en tête mettre au point ou voir </br>où est ce qui va être l' équilibre du </br>semis direct en bio avec de l'élevage ou </br>pas enfin voilà oui jusqu'où on peut </br>aller qu'est ce qu'on peut mettre en </br>place et et voilà c'est ce que vous </br>voyez là bas c'est ce qu'on en place </br>depuis depuis cinq ans parce qu'on à </br>retravailler le sol au début du bio sur </br>5 cm pour justement pour le problème de </br>l'herbe et parce que moi je vis de </br>l'agriculture monique son épouse </br>allaient sur l'exploitation si on n'a </br>pas de revenus extérieurs l'agriculture </br>des fois j'ai entendu oui mais lui vit </br>pas de l'agriculture </br>c'est pas les conférences que je fais </br>avec alain la rémunération kôji qui me </br>fait vivre et non mais c'est pour dire </br>et je vis bien </br>aujourd'hui je travaille il faut pas non </br>plus dire que je travaille pas je </br>travaille je gagne bien ma vie mais je </br>travaille beaucoup sur ce savoir que je </br>suis passionné donc c'est moins dur </br>quand on est passionné mais mais il y </br>avait encore beaucoup de possibilités </br>pour augmenter leurs revenus sur une </br>exploitation comme la les brebis frais </br>fonds après j'ai peint en a pas et soit </br>qu'ils aient contexte de la vie qui ont </br>fait que j'ai perdu mon fils qui était </br>juste installé et du coup pas son </br> objectif restait 300 brebis et sainte </br>hectares de cultures et avant le direct </br>parce que la vente directe on a mangé </br>mon beau mon gendre qui a repris un peu </br>mais bon lui non plus fourni parle parce </br>qu'il a une autre structure de </br>transformation est alors bon ça c'est </br>des choses qu'il faut faire il faut </br>faire l'élevage mais il faut aussi faire </br>l'aventuré qui est de la demande de la </br>demande la demande </br>on n'y répond pas c'est un peu dommage </br>il y avait il ya eu plein de choses </br>comme ça afin prend tout cas on entend </br>bien que tu gagnes ta vie quand on dit </br>bien que tu en entends bien que tu </br>gagnes ta vie non c'est important de le </br>dire parce que hier ça a donné lieu à un </br>débat cap aït a failli partir en vrille </br>parce que c'est toujours la faute de </br>l'autre </br>et toi tu as mis de l'ordre chez toi </br>pour gagner ta vie correctement </br>et puis viennent dire que par ces </br> pratiques par ces techniques et notre ne </br>serait-ce que celle de la mutualisation </br>du matériel </br>vous aviez diminuer les coûts par trois </br>oui mais ça c'est extrêmement important </br>parce que hier le débat et partez c'est </br>toujours la faute de l'autre qu'ils </br>soient gros petit nom </br>le résultat il doit être fait sur la </br>ferme la valeur ajoutée c'est là qu'elle </br>se trouve c'est pas pour ça qu'il faut </br>pas dire le dialogué avec les autres </br>mais les indicateurs de résultats </br>ils servent aussi et surtout à ça vas-y </br>rentrer rentrer dans le détail </br>maintenant dans la demi heure qui nous </br>reste à peu près des pratiques qu'elles </br>sont c'est pratiqué lequel selon </br>laquelle quelle est la singularité de </br>cette pratique dont on doit parler </br>aujourd'hui tente la bio et tu l'as dit </br>vous l'avez bien entendu mais je le dis </br>aussi pour nos amis nos amis youtuber tu </br>l'as bien de cette agriculture bio là </br>elle est absolument pas durable c'est la </br>fuite en avant celle des sols nus celle </br>du travail du sol ces deux vies celle </br>des coteaux c'est drôle malheureusement </br>vous êtes peu à le dire on nous sommes </br>peu à le dire et c'est ça va être une </br>crise phénoménal c'est à dire la </br>pyramide des âges plus les sols user </br>qu'eux car plus personne ne voudra parce </br>que de toute façon il n'y pousse plus </br>rien sur les eaux des coteaux il suffit </br>de regarder les têtes de tournesol elles </br>sont grosses comme des comme des </br>châtaignes en quelque sorte et c'est pas </br>ce que je veux dire c'est que c'est pas </br>une mauvaise année parce qu'on pourrait </br>dire c'est une mauvaise année il a fait </br>chaud il a fait non toutes les années </br>sont mauvaises quand il n'ya plus de sol </br>toutes les années sont mauvaises et de </br>plus en plus et je crois que tu es bien </br>placé pour le savoir et vous êtes rares </br>à le mettre en perspective c'est </br>important c'est pas dire celui-là pas </br>bien fait c'est juste une alerte </br>extrêmement importante </br>sans ces tags re écologie puisque ça </br>s'appelle comme ça cette couverture des </br>sols on ne s'en sortira pas qu'ils </br>puisaient dans les coteaux oui mais </br>c'est plus compliqué enfin par rapport à </br>ce problème de l'herbe mais il ya des </br>possibilités après il faut aussi qu'il </br>ya des volontés quelque part politique </br>et même </br>deux chercheurs qui s'orientent parce </br>que quand vous voyez les photos volant </br>on a fait des essais cette année enfin </br>on commence à faire des essais ya quand </br>même 25 ha tu commences à faire des </br>bruits secs et l'impressionner dernière </br>je l'avais fait sur des petites surfaces </br>et honteux on voit des choses cette </br>année même par la dernière qu'on ne </br>comprend pas qu'on ne sait pas analysé </br>m'enfin guen ça c'est une grande chose </br>et sinon oui alors donc sur des </br>parcelles on a fait ça au strip till </br>c'était un travail 25 cm sur 80 pour </br>arriver à désherber </br>quelque part c'est 25 centimètres et que </br>la culture démarre plus vite parce que </br>quelque part c'est toujours une </br>concurrence entre la culture et l'herbe </br>en bio et donc il faut qu'il ya quand </br>même qu'on ne faut pas perdre de vue </br>qu'il nous faut un démarrage rapide et </br>jusqu'où on pourra aller je sais pas </br>parce que même certains j'ai fait </br>plusieurs essais j'ai fait des essais </br>dans du découverte de ré grand pas ce </br>que c'était et couverts spontanée enfin </br>le plus dur il y avait triticale pois </br>féveroles ray grass et voilà et parce </br>que l'heure est grave y poussent </br>naturellement mais c'est pas forcément </br>une mauvaise chose parce que tant qu'il </br>aurait grand et lui fait son cycle </br>jusqu'au mois de mai juin après la </br>finition cycle après il reste toujours </br>tout petit là il veut sortir lépi mais </br>c'est pas lui qui nous gêne mais ils </br>empêchent les autres plantes de lever 5 </br>l heure est grave et rien d'autre mais </br>ça c'est un plus et ça nous permet après </br>il ya il faut pas quand même perdre de </br>vue que ça c'est une solution parce que </br>j'arrose moi je veut pas encore dire </br>celui qui n'a pas d'irrigation garder un </br>couvert de mais après il ya d'autres </br>plantes parce que après j'ai un autre </br>champ où on a fait on a vingt couverts </br>de seigle baisse et là c'est beaucoup </br>plus simple c'est beaucoup plus si c'est </br>quand même plus simple parce que je </br>pense ça pompe beaucoup moins d'eau </br>parce que quand ils arrivent à maturité </br>lors la couche et on l'a écrasée </br>et il n'y a pas beaucoup d'autres choses </br>qui poussent et puis ça couvre quand </br>même relativement bien le sol polonais </br>passer deux ou trois fois avec ce fameux </br>rolen sème là que vous voyez défiler par </br>moments il ya toujours le paillage même </br>dessus ça nous arrive à nous détruire </br>les plantes en gardant le paillage et ça </br>c'est bien </br>c'est même très bien c'est des </br>évolutions que mais pour l'instant sur </br>la ligne feillens change un champ où </br>j'ai passé juste le strip till sans </br>retravaille du tout sur la ligne alors </br>la surface allait rester un maudit c'est </br>un disque oblique qui nous soulève un </br>peu de terre justement les ventes même </br>pas les 25 mai le script qui lui fait </br>que soulever ils à redessan et on a un </br>disque derrière de chaque côté qui nous </br>qui nous fini de décoller la terre quoi </br>mais sans même leur tournée de </br>réchauffer la terre sur le sillon et </br>quand même d'arriver à faire crever ces </br>termes là qu'est au pied du sa découpe </br>un peu en biais de sous et après il ya </br>les deux autres disques derrière qui </br>nous le le kit souvent le pass deux fois </br>même pour bien des mounir l'a7 cette </br>bande là pour que la culture démarre </br>vite et qu'on n'ait pas de concurrence </br>d'herbe au départ même après on peut </br>passer là où on peut passer sur le rang </br>par contre nous serions curieux que tu </br>nous décrivent avec précision cette </br>image cet initié cet itinéraire du quand </br>est ce que quand est-ce que ce soja et </br>se met dans quelles conditions </br>et qu'est-ce qui se passe à ce stade là </br>parce que je pense peut-être je dis une </br>bêtise mais je pense qu'elle résume à </br>peu près à peu près bien l'ensemble des </br>pratiques sur une culture à un moment </br>donné qu'est ce qui se passe quand est </br>ce qu'on sème dans quelles conditions et </br>où est-ce qu'on en est à ce moment là si </br>tu veux bien oui mais là dessus une </br>barre celle on avait su on a passé deux </br>fois le strip till la deuxième fois </br>assez rapidement donc ça nous exploser </br>alors dans le sens désolé mais avant </br>même de passer déjà de repréciser le </br>style même sur un petit peu vu avant </br>même de dire je passe deux fois le strip </br>till dans quelles conditions sûres </br>quel type de sol et avec quelles plantes </br>installées s'il te plaît pour que on </br>voit bien l'origine l'origine du smi oui </br>parce que la machine là qu'on voit qui </br>bint el gobba enfin si bing mais je </br>l'avais passé je l'oublié avance sur mon </br>cou vers pages à vancouver qui étaient </br>là où il y avait tout ce mélange là donc </br>on est passé par deux fois aller retour </br>la machine en premier on est d'accord </br>que avant de semer du soja il ya un </br>couvert d'automne qui fait c'est </br>vraiment ça dont on veut parler on </br>t'écoute </br>à chaque fois il y avait un couvert </br>d'automne soit soit seigle baisse par </br>endroits mais beaucoup c'était triticale </br> pois féveroles et d attentisme naturel </br>des remakes sont dures et graves de la </br>vie et voilà alors j'ai passé deux fois </br>le l' orbis de relance m là pour toucher </br>mon pour détruire un peu mon couvert il </br>faut faire aller retour on a essayé en </br>long et en travers ce n'est pas aussi </br>efficace et le plus efficace aller </br>retour dans le même sens </br>enfin dans le même sillon aller-retour </br>ok là on arrive à détruire couvert après </br>j'ai passé deux fois le strip till et </br>après on assumer et après à l'aveuglé </br>entre le semis et la levée je repassais </br>le toujours en plein le leurs beats là </br>je serai utile </br>mêlant plein à la place de passer soit </br>la houssoye là ça marche très bien parce </br>que ça nous les herbes qui sont en train </br>de lever sur laurent il nous les pets </br>aussi ça nous les mais il faut le faire </br>entre le semis ça c'est un passage </br>obligatoire en bio même tous ceux qui le </br>font en labourd et le foncier fonctions </br>si on se résume au lieu de labourer on a </br>mis une plante au lieu de biner on a mis </br>un outil qui va écraser mais on met un </br>outil qui touche les plantes même pas </br>que ça enfin très peu le sol </br>l'idée étant de sortir du binage </br>duvinage avec le sol nu et la taxe sur </br>le sol des trois premiers centimètres ce </br>qui est toujours dommage pour un sol </br>parce que même si c'est en surface cela </br>pose évidemment un certain nombre de </br>problèmes donc beau </br>beaucoup moins d'énergie fossile pas </br>d'intervention sur le sol et une gestion </br>fine du couvert végétal au bénéfice du </br>la plante et on voit bien que ici on </br>arrive dans un dans une production qui </br>est payé finalement c'est comme au </br>jardin on a une production </br>c'est le but c'est le but c'est d'avoir </br>même encore plus de bailliage qu'ici </br>avec le seigle c'est possible après ça </br>pousse partout alors bon ben je pense </br>qu'on est là où il faut continuer à </br>travailler quoi il faut trouver les bons </br>coups vers un monde qui me dit il faut </br>semer salah soit là non des intrants </br>chimiques dans l' agriculture biologique </br>un du coup d'année là c'est tout en bio </br>mais bon après si beau y avoir juste pas </br>s'il ya des fois j'en à la en amis du </br> soufre du soufre élémentaires sur le </br>soja est très sensible à ça à prier des </br>choses comme ça à rechercher pourront </br>peut être boosté surtout pour le </br>démarrage </br>moi je crois et oui comme là il y avait </br>une zone où on va au devant des </br>difficultés aux siens oui il y avait une </br>carence en août 1,8 en potasse parce que </br>c'est beaucoup découvert et pas dans le </br>sol et avant que le couvert le trot </br>mètres dans le sol il ya un laps de </br>temps là où hélas du coup quand mais </br>après il existe des produits des engrais </br>biologiques quelque part mais l'idéal </br>c'est des fumiers les fumiers de bovins </br>de moutons une fois vraiment cessé c'est </br>ça la panacée du coup pour être pour </br>être très concret on évite combien de </br>passage d'outils de travail du sol </br>puisque pardon non on en est vite pas on </br>en a autant voire plus mais mes couteaux </br>moi ça m'arrive </br>là là on consomme 2 à 3 litres à </br>l'hectare j'ai bien dit combien de </br>combien évitons nous de passage d'outils </br>qui travaillent le sol </br>j'ai pas j'ai pas parlé de nombre de </br>passages mais tu as raison de deux parce </br>qu'il faut être très précis en termes de </br>nombre de passages de consommation </br>extérieure </br>moi je parle bien d'outils qui </br>interviennent ce qu'on appelle un père </br>tue </br>batteur sur le sol faire une machine qui </br>rentre dans le sol qui s'appelle une </br>dent elle est animée ou pas qui </br>s'appelle une lame qui s'appelle un </br>disque qui s'appelle et voyant le strip </br>till deux fois oui là où une fois là ça </br>touche </br>et attention ça touche 25% du sol </br>et oui c'est pour ça que vous avez bien </br>compris la surveiller du soleil en plus </br>alors donc on passe même pas un passage </br>c'est important elle a aussi mal à aller </br>plus loin </br>quelques voix si on fait quatre passages </br>sur le 1/4 de surface si on travaille </br>toute la surface après qu'un passager </br>vous comprenez pourquoi il est optimiste </br>il a du matériel en commun qui lui coûte </br>trois fois moins cher et il fait trois </br>fois moins de passage et il touche </br>quasiment pas le sol </br>non mais le but c'est de ne pas toucher </br>le sol le moins possible enfin c'est pas </br>la limite ou est ce cas va être mais là </br>là quand même je suis assez confiant </br>dans le pire c'est que ces bains où ça </br>marche le musée sanitaires les plus </br>fragiles dans les boules ben oui c'est </br>là où sa hanche est mieux là ça marche </br>c'est une tonnerre là il n'y a pas de 46 </br>à rien tout va bien le lot du chant et </br>c'est la boulbène en bas c'était de </br>l'argile est avant tout la partie </br>boulbènes il est même plus propre que </br>j'en ai fait toujours des échecs le rsa </br>côté qu'ils aient travaillé en surface </br>et hélas il n'y a pas de qeynos padilla </br>pas de d'amarante ya pas de noël alors </br>qu'à côté il y en a et il ya des fautes </br>il y un c'est pareil quand il ya des </br>choses il ya beaucoup de choses à </br>piocher quand même après on n'est pas on </br>n'a pas encore le recul suffisant pour </br>dire à tout le monde faut faire comme ça </br>comme ça il semblerait il semble </br>regarder parce que l'année dernière la </br>pesée qu'on a fait on faisait 20 % de </br>rendement - mais c'était on l'a eu </br>beaucoup trop tard les rebelles étaient </br>grandes mille reflets rosés plus tôt et </br>voilà </br>cette année on l'a eu au début et du </br>coup ça c'est de l'agriculture on avait </br>discuté de ça il ya quelques quelques </br>mois ça c'est de l'agriculture d'une </br>très grande précision puisqu'on parle </br>beaucoup de la culture de précision est </br>ce que vous avez réglé vos beaux </br>problèmes de géométrie de rtk et non </br>c'est pas fini pas souvent parce qu'il </br>faut être greffés des questions de </br>budget oui oui </br>parce qu'après c'est pour à les adapter </br>à des nouvelles machines mais c'est vrai </br>que ça existe et je lui disais amis </br>samedi ni le concepteur la deux </br>si on avait dû système ravenne de </br>guidage rtk mais qui aimait l'inde </br>depuis qu'on a mis des disques derrière </br>même sans guidage </br>franchement ça va bien ça va mais sans </br>rien du tout ok très bien on peut on </br>peut passer il nous reste un petit peu </br>de temps on peut passer à la phase </br>question si vous en avez au premier rang </br>une dame qui vient de catalogne exprès </br>pour te voir tu vois françois et oui </br>c'est ça un paysage in marciac ces </br>regards croisés </br>yat-il monsieur nous vous écoutons par </br>l'effort il ya un micro dans la salle on </br>vous enregistre on vous écoute question </br>qu'est ce qui va contre vous avez essayé </br>la tente </br>l'itc fl en fait comme dans ses valises </br>ils le font là il est laid c'est là </br>qu'ils ont mené là depuis quatre ans là </br>c'est sur le blé c'est magique c'est </br>formidable mais sur les cultures de </br>printemps mais je n'y crois pas par </br>rapport à l'eau parce que là la culture </br>plomb la coupe plus gros bout de suite </br>le couvert si on le nom le lasserre sur </br>place pour que ça le fatigue ça le </br>fatigue et il est quelque part il est en </br>repos végétatif quoi il est alors que </br>s'ils ont le plus on le coupe ou ont </br>produit le plus de biomasse </br>c'est en faisant des passages d'animaux </br>le plus rare le plus souvent possible </br>mais en laissant toujours en arrêt là on </br>fait donc là c'est pareil mais ça fait </br>aussi beau ou biomasse je suis d'accord </br>mais il faut beaucoup 12 </br>ça va bien pour les cultures diverses </br>moi je n'y mets pour les cultures de </br>printemps à </br>et même nom mais voilà après cela peu </br>importe ce que si je sème des plans </br>spécifiques </br>ça change rien si c'est pas de laxisme </br>je sais aussi que j'ai souvenir et 6 et </br>parce que même là nous montre mon but </br>c'est de laisser de la luzerne entre les </br>rangs comme ils font eux mêmes pas mais </br>pas de faux pas de la coupe est </br>justement mais de là à freiner de la la </br>série parce que là c'est ce que je mets </br>en place cette année pour faire le colza </br>gsm et de la misère de printemps en </br>pleine mode jasmin </br>je vais détruire mais vendra de 30 cm </br>qui resteront pour le semis de colza </br>pour le semi de soja pour le semis de </br>maïs même pour le semis de blé parce que </br>le semis de blé je le fais remblais et </br>si j'ai pas trop de concurrence de la </br> luzerne </br>je ne toucherai pas voilà huit l'intérêt </br>sur d'autres commentaires remarques </br>monsieur ne vous écoute on réserver </br>facilement on arrive même à le détruire </br>en parfaite en aller retour </br>c'est toujours une question de repartir </br>ça le serait tellement il y avait marché </br>sur place qu'il met beaucoup de dents il </br>faut qu'il repart de lumiére par plus </br>clair et tout essai nous intéresse de </br>pas faire crever mais de le mettre pour </br>pas qu'ils continuent à monter parce que </br>c'est des époques là ça commence à pompe </br>et terriblement cours il y aurait en </br>applaudissant 80 80 cm et l'objectif </br>stresa de diminuer un petit peu </br>l'inclusion d'une vingtaine d'hectares </br>or aussi avoir une passe et les prairies </br>partout passer des prairies pendant </br>trois ans et après deux trois ans que </br>lyon est tournée pour arriver à un </br>système durable kacou qui durent dans le </br>temps qu'ils soient pas 20 ans 30 ans </br>comme on fait la fête jeu plus je </br>voulais pas dit mais enfin si si </br>j'insiste aussi c'est parce que quand </br>même payer des fois je me dis je suis </br>pas si mauvais que ça parce qu'on y est </br>je suis passé de 1 8 2 de matière </br>organique à 4,1 grosse différence avec </br>le système </br>quelles sont les évolutions non moi je </br>n'ai pas constaté j'ai constaté une </br>augmentation normand parce que quelque </br>part on mettait pas assez d'eau avant et </br>maintenant on arrive on en met toujours </br>autant on fait plus tendre c'est tout </br>c'est importance pour le soja mais cela </br>m'aurait souvent disent ce qu'ils ont </br>entendu mais c'est le soja besoin de </br>beaucoup d'eau en fin de période </br>et quand on a n'est pas en semis direct </br>et tout ça dans les coteaux et qu'on a </br>les terres qui sont refermées au mois de </br> septembre quand vous êtes rendus à 5,6 </br>irrigation ou le soja et lanoraie </br>énormément besoin le sol ne la retient </br>pas l'eau et alors que la bce dans ses </br>larmes se mettre toujours ma joie suite </br>c'est bien des fois j'avais des </br>positions que je déroulé vers véro où et </br>quand on arrivait à la 3 4e irrigation </br>navello qu'il ya au bout de deux heures </br>qui arrivaient des jambes à partir du </br>jour la première année qu'on arrêtait de </br>labourer j'ai jamais vu l'eau avec moi </br>alors je vais pas changer mon taux de </br>matériaux </br>rien que le fait d'arrêter de bruit </br>c'est quand même des fois ce titre </br>certains parleraient de culture </br>permanente voire de permaculture ouvert </br>l'a découvert soir c'est aussi pour </br>rappeler que tu viens de le dire il faut </br>stocker du carbone c'est ce que tu as </br>fait en faisant monter les taux de </br>matière organique et à voir quelle que </br>soit la surface </br>parce que c'est ça le sujet sur laquelle </br>on travaille puisqu'on dit plus </br>exploités dans ces cas-là on n'exploite </br>plus puisque lieux dégradés on à grade </br>pour ses plus de l'exploitation c'est de </br>l'agriculture n'est ce pas les mots les </br>mots les mots sont importants et c'est </br>bien on a remis cette image là c'est </br>bien la politique du mètre carré </br>on le répétera jamais assez on a </br>beaucoup parlé de carbone de climat et </br>d'alimentation hier et ces pratiques là </br>sont une assurance climat incroyable je </br>le répète j'ai à dire les coteaux mais </br>j'ai traversé encore la france la </br>semaine dernière lire toutes les </br>prairies sont cramés user un sol et donc </br>c'est pas la peine de parler de vie du </br>sol dans ces prairies parce que ce sont </br>de belles dès le début mais y en a plus </br>au premier choc climatique parce qu'il </br>ya pas ce matelas n'y a pas ce carbone </br>n'y a pas cette matière qui est posé au </br>sol pas beaucoup d'autres critiques à le </br>blé colza </br>non c'est depuis trente ans la soul man </br>puis on a varié un petit peu mais pas </br>beaucoup eux-mêmes c'était maïs soja blé </br>et ça vient d'où Roll'n'Sem Orbis et </br>ça sert à quoi en deux mots quand demain </br>au conrad par contre pas ce qu on vous </br>connaît enfin c'est vrai c'est une </br>vieille histoire on a démarré sa sueur </br>enfin dans une ferme devant un petit </br>tableau des colliers il y en a fait un </br>petit schéma la créer pensant que eh </br>bien il fallait préparer la suite c'est </br>à dire avoir des outils ou des aides </br>pour gérer des adventices donc à </br>l'époque on faisait un constat très </br>simple en agriculture biologique </br>condamné on était condamné à travailler </br>le sol est commencée que le travail du </br>sol c'est l'outil de destruction numéro </br>1 de tout le système eco systèmes de </br>diversité il fallait en sortir sauf que </br>il ya aucun pont qui est proposé est </br>donc soit vous faites du semis direct </br>exactement comme françois coûtant vous </br>l'a expliqué il ya plusieurs vies dans </br>la vie d'un agriculteur et c'est heureux </br>parce que on a des sensibilités qui </br>bouge on n'est pas bloqué </br>condamné à faire un truc et un moment </br>donné on dit maintenant mais en </br>agriculture biologique pour qu'on ferait </br>pas ça et le problème s'est posé très </br>très vite </br>à l'intérieur du programme agro qu'on </br>avait avec l' agence de l'eau adour </br>garonne et on se dit qu'on va essayer à </br>une réflexion prototype on va permettre </br>aux agriculteurs bio mais les autres </br>aussi fatalement de ne plus travailler </br>le sol et d'enlever les phyto donc il </br>faut désherber et alors on a essayé </br>plein de trucs c'est ça a démarré la </br>première idée c'était pas la bonne donc </br>on a fait un prototype donc deuxième </br>année donc c'est directement on va dire </br>un fabriquant un gars qui est doué dans </br>la ferraille mais très doux et </br>d'ailleurs et qui avait cette </br>spécificité de savoir faire des </br>prototypes il travaille à la carte </br>il fait des faits des outils à la carte </br>les outils qui n'existe pas mais dans </br>plein de domaines </br>donc il est doué en électricité en </br>hydraulique et ans après son premier </br>métier c'est le comment dire la paix en </br>eau etc assisté sur ordinateur donc il </br>nous a fait un modèle il marche pas donc </br>le modèle on l'a corrigée il marche pas </br>donc de proto 2 ans de proto troisième </br>année il ya une bonne idée qui viennent </br>de la bande d'agriculteurs avec qui il </br>travaille </br>puisque ça s'est fait ici dans le bain </br>dans le tarn et puis dans le gers en </br>gros voilà c'est cette réflexion est </br>restée ouverte les agriculteurs un petit </br>peu bougé dans le groupe mais c'est </br>normal parce que c'est pas toujours </br>facile de gérer des prototypes et un </br>moment donné tu arrives et le modèle que </br>vous avez là mais il était encore très </br>lourd très </br>et très compliqué c'est à dire on </br>n'avait pas des éléments indépendants et </br>on avait des rouleaux reaper monobloc </br>donc je vous dis pas pour changer en </br>rouleaux et enroulement il vous faut un </br>manitou tellement c'est lourd et donc </br>vous pouvez pas intervenir en fait donc </br>et c'est pas industrialisable donc ce </br>qui s'est passé c'est une réflexion sur </br>la reproductibilité d'un outil </br>industriel adapté à ce nouveau principe </br>qui était enroulé ou reaper voilà et </br>donc deux constats quand vous mâché une </br>feuille que vous l'abîmé elle repousse </br>moins vite que si elle est coupée voilà </br>premier premier constat et ça c'est </br>arrivé tout de suite donc de 10 c'est </br>bon on garde le principe et ensuite on </br>fait évoluer la machine pour n'avoir que </br>des éléments on va dire indépendant qui </br>sont finalement peu lourd </br>interchangeables et le gros travail donc </br>ça c'est on va dire allez le prototype </br>c'est sa troisième version parce que </br>maintenant il a fallu les prouver et </br>donc ça a tout de suite marché </br>ça c'est la bonne idée la bonne nouvelle </br>donc lente et encourager sauf que tous </br>les roulements sauter on a commencé </br>parce qu'un roulement du coup il est </br>toujours en pression en crabe </br>mais je vous garantis que là il a fallu </br>trouver des roulements qui résiste donc </br>premier travail maintenant on a un </br>deuxième travail qui arrive le sable </br>rentre encore dans les paliers donc ça </br>ne marche pas dans du sable </br>on a fait sauter tous les roulements </br>leur on a trouvé les bons mais on les </br>abymes avec le sable donc il va falloir </br>étanchéifier le palier pour les sols </br> sableux tous les autres ça fonctionne </br>donc et le troisième truc qui arrive </br>c'est la souplesse et un petit </br>caoutchouc sur la bride qui fait la </br>souplesse pour suivre le terrain donc </br>apparemment le caoutchouc ça fait partie </br>de la dernière mise au point nécessaire </br>et donc cette année </br>on va produire une vingtaine de </br>prototypes dans différents coins de </br>france et on va s'attaquer à toutes les </br>cultures et donc la bio pas bio allez </br>lâchez vous essayez c'est ça le mot </br>d'ordre on fait quelques petits tests on </br>sait qu'en rend ça marche de mieux en </br>mieux </br>c'est quasiment au point pour toutes les </br>cultures en rang et on va s'attaquer aux </br> blés et à d'autres choses c'est à dire </br>des choses qui ne sont pas forcément en </br>rang comme du maïs du soja ou du </br> tournesol </br>donc ça c'est au point donc maintenant </br>il arrive la première solution sans </br>travail du sol et sans désherbants et </br>donc elle est accessible alors elle est </br>pas accessible parce qu'on a un gros </br>problème là qui arrive c'est de passer </br>du prototype à la production </br>industrielle attention ça c'est </br>compliqué et donc ce prototype pour </br>latestère maraîchage sur les planches ce </br>et c'est sur des cultures spécialisées </br>sur delahaye janeil un prototype qui </br>tourne donc en lettres on le teste </br>partout pour avoir le retour des </br>agriculteurs sur le savoir faire et les </br>agriculteurs il nous disait mais non ça </br>marche pas dans le dévers donc on a </br>rajouté quoi les petits rouleaux </br>derrière fin les rouges et les disques </br>de stabilisation du de verre donc voilà </br>donc toutes les complexités agricole il </br>faut les intégrer dans le système est là </br>aujourd'hui pour la première fois cette </br>machine il ya de la paille </br>elle passe dessus pas de problème elle </br>ne bouge pas vous voyez donc vous pouvez </br>tout faire de la paille jusqu'à abîmé </br>une plante qui pousse donc maintenant on </br>pense que c'est à peu près fini le </br>concept il est bon en plus ce sera </br>facile d'accès facile d'entretien et on </br>regarde la l'usure des rouleaux </br>réellement la maintenance et le dernier </br>travail qu'il faut faire un don </br>qu'est-ce qu'il faut mettre une bande de </br>roulement donk stentz et ça ça va faire </br>partie de la réflexion qui vient et au </br>final on se dit bastien lâcher les </br>fauves c'est ça et mais tellement </br>partout et on finit les itinéraires </br>techniques donc en fait il va y vas voir </br>il va y avoir un drame </br>je ne vais plus cultiver du soja comme </br>je suis habitué à le faire je vais </br>culture </br>cultiver du soja adapté à la machine </br>c'est à dire que c'est pas la machine </br>qui s'adapte au système de culture </br>c'est exactement l'inversé qui va se </br>produire on va adapter le système de </br>culture la machine et là il va y avoir </br>un tremblement de terre avec nos </br>collègues qui vendent des intrants et </br>c'est parce qu'en fait il faudra faire </br>différemment c'est sûr donc bon lâchez </br>vous réinventer la façon de cultiver du </br>soja du maïs du blé de l' orge c'est pas </br>très grave </br>bon on va se lâcher on va se lâcher il </br>n'y a pas de doute merci conrad françois </br>il ya on va finir enfin déjà qu'on a une </br>belle note d'espoir on va continuer ça </br>ouvre sa ouvre de belles perspectives </br>tout ça c'est beaucoup d'acharnement </br>je me souviens tu m'as dit comme de </br>passer en bio tu m'as dit de façon c'est </br>un défi on va le réussir et vous en êtes </br>pas loin en tout état de cause </br>oui bon il faut encore un peu de temps </br>pour valides pour tous validés c'est </br>vrai quand on les nouveaux obstacles et </br>même quand la rencontre début du </br>séminaire tech par rapport à des </br>carences induite par rapport à des </br>choses comme ça et en bio c'est vrai que </br>c'est plus compliqué de trouver des </br>produits peu après c'est pas pour rien </br>que je vous parle toujours aussi de </br>l'élevage </br>parce qu'on ne sait très bien que si moi </br>j'avais la moitié de ma surfaces en </br>prairies et en plus ça porterait un peu </br>de fumier dans la boue </br>là on va produire mais on va pas en </br>parler on va pas se moquer des bus ou </br>quoi qu'ils produisent pas moi je vous </br>le dise </br>parce que où est-ce qu'on n'est pas bons </br>aujourd'hui en bio en blé en fait tony </br>brown </br>on n'est pas bons sur la gestion de la </br>zot réellement le gros facteur limitant </br>c'est la gestion de l'azoté et nos </br>systèmes de culture ne fonctionne pas </br>bien avec le rythme organo biologique du </br>sol </br>les demandes d'anna zones où les besoins </br>sont décalés soit le maïs il a besoin </br>d'azoté on va dire mais mais pas trop </br>c'est juin juillet mais il fait trop sec </br>donc il peut pas le récupérer </br>soit le blé il a besoin de la zone dans </br>les mars avril mai la nature ne donne </br>que mes joueurs donc c'est trop tôt les </br>besoins en azote ou trop tard la </br>fourniture du système et donc on n'est </br>jamais en adéquation les cultures raison </br>ce débat là et le soja </br>c'est la seule oui mais le soja c'est la </br>plante qui te le dise pas dire qu'elle </br>est autonome c'est une légumineuse elle </br>produit sa propre azote </br>donc elle n'a jamais en carence d'azoté </br>elle pousse bien mais parce qu'on a </br>beaucoup moins de problèmes avec le maïs </br>qui avec le blé le maïs on arrive à </br>faire de moi j'arrive à faire après </br>autant manquant conventionnel oui mais </br>tes amis tu la rose un peu mais oui mais </br>là c'est le songe à s'y joindre </br>quelque part ça c'est les cultures d'été </br>mais bon après voilà moi je dis </br>l'objectif de nos réponses beaucoup nous </br>ont dit il faut arrêter de dire qu'on </br>est qu'il faut faire du bio nourrira pas </br>tout le monde </br>musique aussi bon eh bé c'est super ça </br>c'est une conque succès royal vous </br>pouvez l'applaudir  
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Paysage in Marciac 2020  +
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