MISSION BOCAGE (version longue), par Maxime Livenais

De Triple Performance
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Vidéos - Ver de Terre production (12 août 2021) - Maxime Livenais - Durée : 49 minutes

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Message de Maxime, réalisateur de la série Le Goût du Rêve :


Bonjour à toutes et à tous


Tout d'abord, je tiens à remercier les personnes qui soutiennent mon projet et mes donnateurs.rices Tipeee. Je trouve cela vraiment gratifiant et encourageant en ces temps qui pour ma part sont assez complexe à gérer et ou l'insécurité financière prend une place importante dans ma vie. Le fait de voir que ce projet est porteur de sens pour beaucoup de gens m’encourage réellement à poursuivre l'aventure ! :)


——————


Après avoir fait le tour de plusieurs fermes chez qui les porteurs.euses de projets ont suent mettre en place des aménagements agroforestiers, j'ai décidé d'aller à la rencontre de personnes qui - sans être paysans ou fermier - ont fait de l'agroforesterie leur métier...


On se retrouve aujourd'hui à Beaupréau-en-Mauges (49023) au sein d'une des plus anciennes structures agroforestière de France : Mission Bocage


Mission Bocage est née en décembre 1991 à l’initiative du Comité Régional de Développement Agricole des Mauges et du Carrefour des Mauges (aujourd’hui CPIE Loire Anjou). L’objectif initial était de faire un état des lieux quantitatif, qualitatif et géographique du bocage des Mauges.


Au fil de cette démarche, un certain nombre de demande de replantations de haies ont été formulées, un service technique d’accompagnement s’est mis en place. Puis, plusieurs services se sont développés pour aujourd’hui répondre aux attentes les plus larges sur ce sujet. Les collectivités locales se sont soudées à ces préoccupations et font désormais parti des partenaires essentiels de Mission Bocage. L’association est désormais impliquée dans les travaux d’aménagement du territoire et dans la réalisation de plans locaux d’urbanisme (PLU). Un nombre croissant de particuliers, mais aussi des entreprises font désormais appel à leurs services.


Depuis 1991, Mission Bocage a planté plus d’ 1 000 000 d’arbres dans les Mauges et le Choletais, et contribue activement à la valorisation de l’arbre champêtre sur le territoire.


https://missionbocage.fr




MUSIQUE D’AMBIANCE :


MERCI à Akeikoi - DJ Quads - Terakaft - Joakim Karud - Isolated - Sahad and Natal patchwork


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Vous pouvez suivre l’aventure de la série Le Goût du Rêve sur la chaîne Youtube de Maxime :

https://www.youtube.com/user/dvmaxlou


Facebook :

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N'hésitez pas à le soutenir sur Tipeee afin qu’il puisse continuer son aventure, développer son activité et ainsi vous proposer de nouvelles vidéos sur l'agroécologie :


https://fr.tipeee.com/maximelivenais



À Bientôt pour de nouvelles aventures !



Transcriptions

pour monnier

oh
pour
homo
nous non
m
effectivement si d'étudier une chose que
l'agriculture qu'on fait actuellement en
france et une agriculture extraordinaire
et magnifique devient une provocation

Afficher la suite

des culs sort de sa une provocation

effectivement je suis un provocateur
comme beaucoup mais sincèrement tu as vu
la journée qu'on a passé on n'est pas
les sur des trucs sorti de l'esprit nos
anciens
avec leurs outils avec leur contexte
dans leur forme faisait largement autant
que et elle est largement et même
beaucoup plus loin que nous ce qu'on a
proposé aujourd'hui en matière de
relation alarme en matière
de fonctionnement de deux démarches de
liens ou vivant à tout ça quoi c'est
évident
les motivations personnelles que j'avais
pour mission de cage c'est que sur le
territoire sur lequel je suis né et j'ai
grandi je voyais deux choses
une absence de prise en compte des
arbres dans tout dans l'agriculture dans
la gestion de développement le routier
l'urbanisme enfin partout et puis un
truc qui m'énervait aussi c'était que
l'on maltraité les arbres et ça moi j'ai
un attachement je sais pas d'où il vient
sans doute de mes parents qui m'ont
rendu sensible à la nature et et puis
aux vivants et peut-être un peu plus
personnellement sur les arbres et je
voyais comment on se comporte est on
taillait on croyait les bords de route
enfin des choses qui étaient pas pire
qu'ailleurs bien c'est pas de ça qu'il
s'agit j'étais pas sur le pire des
territoires mais malgré tout des choses
qui
aujourd'hui n'allait pas dans le bon
sens et moi je ne pouvais pas rester
comme ça inactif donc je souhaitais
bouger quoi je trouvais dommage on avait
des arbres sur le territoire et en avait
besoin des arbres pour tout ce qu'on
faisait sur le territoire en agriculture
comme pour le reste mais on n'y
comprenait pas on les intégrait pas à la
réflexion se posait pas suffisamment la
question de ce qu'on pouvait faire avec
ou comment fallait les faire évoluer ou
les transformer dans chaque projet on
faisait une route on se préoccupait pour
des armes fallait que ça passe là moi
étant forestier de formation je savais
tous tous les services que les arbres
pouvait rendre je savais et je voyais
que finalement ces services là on en
avait besoin chez nous mais que
personne ne les défends des
personnes les prenaient en compte
personnes devraient s'activer dans dans
ce sens là j'avais le sentiment
de ressentir ou de connaître ça et que
personne autour de moi
partager ça donc un rendement de temps
il faut se dire mais comment on le fait
partager
soit on le fait tout seul soit on le
fait sous une forme associative vous
sauver sa plus cohérent plus logique et
plus sympathique que ça se fasse d'une
forme associative
justement pour faire connaître faire
savoir ses idées là tous les intérêts de
l'arbre que ce soit des intérêts
techniques le brise vent enfin toutes
ces choses là le besoin ou sa capacité à
produire de l'énergie et c'est bien
dommage qu'on ait autant maltraiter les
arbres auparavant parce que du coup
quand on a eu besoin de cette biomasse
on ne l'avait plus on l'avait sacrifier
sa cage et c'est à dire que si vous
taillez pendant 20 ans à coups de
broyeurs une 1ère en la ramenant dans
ces plus petits volumes et bien vingt
ans après elle a rien produit tandis que
si vous aviez
accepté concédé de laisser un mètre de
plus à 7 est en épaisseur et de pas
taillé et ni brayelle dessus
vous vous auriez eu 200 mètres cubes de
bois au kilomètre sans rien faire de
plus
c'est une biomasse énorme c'est une
valeur
c'est une richesse et puis c'était du
carbone stocké
tous ces problèmes là on les a
aujourd'hui tous ces besoins là on les a
aujourd'hui en x 10 même il fallait
impérativement commencer à sensibiliser
à diffuser ce genre d'information et
puis à aussi connaître un peu là la
réaction la réceptivité de ce genre de
message
alors évidemment on était dans des
années très productive où on était dans
l'intensification de l'agriculture il
fallait y aller il fallait pourquoi pas
des armes mais pas que ça embête là où
ça devait pour gêner donc chaque fois
ont trouvé une bonne raison pour que
l'art milan bête mais chez un certain
nombre d'agriculteurs pas la majorité
mais un certain nombre ils ont commencé
à percevoir les effets assez rapidement
ou imaginer ou avoir conscience des
effets qu'on allait avoir à moyen terme
à long terme de la suppression de la
dégradation de ces éléments là que ce
soit sur l'érosion des sols que ce soit
sur le brise vent enfin peu importe bien
des agriculteurs bien des habitants du
territoire
se sont rapidement dix cantons les
contacter ou converser avec eux et qu'il
fallait faire quelque chose et du coup
on est passé
d'une volonté de faire connaître de
sensibiliser de faire savoir
aussi une structure où on était dans
l'accompagnement du fer c'est à dire de
l'action de la replantation du service
donc ça c'était aussi important pour
nous de rapidement ne pas être
simplement dans l'incantation il
faudrait que ce serait bien mais
rapidement de passer dans une démarche
directement et immédiatement pratique et
pragmatique
là il ya besoin d'armes là il faut en
remettre là il ya des sols a fixé il ya
des pentes là il ya du brise vent à
faire et bien on replante voilà pourquoi
commencer principalement les demandes
étaient plutôt dans ce sens là par ici
au niveau des agriculteurs sur de larges
plantations
donc oui je m'appelle his glory je suis
directeur mission bocage et mission
bocage propose un certain nombre de
services de replantation de haies
d'agroforesterie de petits bosquets de
près verger d'alignement enfin les armes
sous toutes leurs formes dans des
systèmes ruraux vous propose aussi des
diagnostics bocage et à plus grande
échelle des plans de gestion pour les
exploitations où là il s'agit à la fois
de faire l'état des lieux de l'existant
et à partir de cet état des lieux de
définir ce qui a besoin en
complémentation la façon de complémenter
est ce que c'est la repousse naturel ou
est-ce qu'il faut replanter
de définir des pratiques de taille et de
gestion qui soient des gestions douce et
respectueuse qui n'aille pas à
l'encontre et contre nature du végétal
compte ait pas contre nature de
restaurer ce qui est trop dégrader les
arbres têtards par exemple enfin des
choses comme ça et puis enfin qu'il est
finie aussi des actions de récolte parce
que dans les paysages ruraux agricole
quand l'arbre est présent il faut
inévitablement un moment en passer par
une phase de récolte qui doit pas être
totale qui doit pas être systématique et
est complète mais qui doit être
raisonnée réfléchi d'oser est allé dans
une rotation qui doit être basée sur la
productivité de tous ces arbres dans
l'année sur l'exploitation
on fait aussi du conseil en aménagement
de milieux naturels donc ça c'est
important parce que bien souvent les
milieux naturels qui sont conseillés
sont les milieux naturels remarquables
on a eu facilement à trouver des
structures pour conseiller sur des zones
humides sur des prairies sèches et il
existe un certain nombre de structures
pour faire des conseils très pointu sur
tous les espaces naturels sensibles mais
le blocage c'est que depuis très peu et
parce qu'on a un appauvrissement du
bocage ces derniers temps qui s'accélère
malheureusement que on commence à le
prendre en compte comme un espace
naturel
à préserver
il devient plus en plus sensibles de
plus en plus menacée donc on a un
certain nombre de conseils
dans ce registre là notamment de
conduite de travaux la restauration
d'arbres têtards ça c'est quelque chose
d'important pour nous parce que on a un
héritage fabuleux d'arbres magnifique et
ben il faut absolument ne pas les
tailles et comme autrefois ni trop
fortement avec les nouveaux engins les
nouvelles pelles parce qu'on pourrait
les faire mourir et parfois on en fait
mourir donc il faut sur des vieux pétard
des techniques spécifiques de
restauration ont fait des formations
auprès des jeunes des moins jeunes des
scolaires des agriculteurs on accepte et
on partage tout un tas de formation ont
fait du plessage aussi ça c'est très
très important c'est des vieilles
techniques de tressage qui existait
entre les bruns des pour contenir et
séparer les parcelles et éviter que les
animaux passe de l'une à l'autre avant
le barbelé on n'avait pas autre chose
que les brins de noisetiers ou de
châtaigniers et donc se peler sage kate
est une pratique ancienne risque de
retrouver de l'intérêt peut-être au
travers de nouveaux besoins sur
l'affouragement par exemple
avec des ligneux parce qu'on a des
périodes de sécheresses de plus en plus
forte avec le changement climatique et
l'été les seuls fourrage conte et de
verre à mettre à disposition dans les
prairies par chez nous ce sont les
feuilles de paie et puis enfin la
dernière activité qu'on anime énormément
c'est toute la valorisation d'une
filière bois énergie pour nous c'est
important et ça depuis la question de
l'installation de chaufferie dans des
sites opportun c'est-à-dire que le bois
demande un type de besoins en énergie
bien particulier
le bois oui tout à fait oui parce que
c'est si on veut par exemple il faut il
faut deux choses il faut une grosse
consommation un gros besoin d'énergie
pourront installer une chaufferie bois
et la deuxième chose c'est un besoin
permanent
je prends un exemple qui est pas bon
c'est une église une église on va avoir
de la besoin de la chauffer une deux
fois trois fois par semaine deux heures
allées
bien évidemment c'est un gros volume
donc un gros besoin d'énergie mais trop
ponctuel l'anc là on n'arrivera pas à le
faire avec du bois
par contre une piscine
là il ya besoin d'énormément d'énergie
de température de chaleur pour chauffer
l'eau pour chauffer les locaux etc
etc permanent parce qu'on a on chauffe
la piscine toute la semaine pour les
scolaires le week-end pour les
compétitions et autres donc on a tout le
temps besoin d'énergie c'est très très
consommateur est en fait les
installations bois elles sont beaucoup
plus coûteuses à l'installation mais
beaucoup moins cher en énergie donc la
rentabilité se fait sur le volume
consommé global donc il faut
inévitablement pas avoir trop
d'investissements affaire ni trop peu de
consommation donc c'est pour ça qu'on
cible bien les installations de
chaufferie et on est reconnu par l'ademe
et la région des pays de loire pour
faire ce conseil auprès des
collectivités auprès des entreprises on
peut aussi chauffer des bâtiments
d'entreprise etc et donc on analyse à
partir des besoins des bâtiments du
demandeur on analyse ses besoins on
regarde si déjà on peut pas éviter un
peu de consommation parce que ça arrive
des fois un des murs passoire un monde
isolation des fenêtres pour s et
isolantes enfin voilà et puis après une
fois qu'on a réfléchi à ça on regarde
toujours les besoins on regarde aussi
autour si on n'a pas d'autres
bâtiments qu'on pourrait chauffer parce
que là on fait ce qu'on appelle des
réseaux de chaleur et là on devient
encore plus performant donc là ça
devient vraiment intéressant et puis
après on peut installer le mois et puis
maintenant on est même sur des mixtes
voix solaire bois géothermie profonde
enfin des énergies très intéressante
avec des mixtes où finalement il faut
qu'on arrive à se détacher de la
dépendance énergétique pétrolière et du
gaz
ce moment si on laisse les choses filer
tranquillement on est en train de
remplacer le fioul par le gaz mais on en
n'est pas plus autonome
donc on a une fragilité à ce niveau là
donc il est il est très intéressant
quand même de développer les chaufferies
bois sur les territoires ruraux avec un
approvisionnement local
après l'approvisionnement local peut
venir en partie du bocage ou entièrement
peut venir des déchets de bois du
recyclage des palettes en faillite il ya
plein de sources de la forêt bien
évidemment voilà
allah
donc mission bocage et nés en 91
en fait voilà j'avais fini mes études
forestière je souhaitais revenir sur le
territoire
c'est pas un territoire forestier donc
c'était très difficile de trouver un
emploi forestier localement et pour
autant c'était un paysage où il y avait
que des armes quoi parmi les chants qui
avait besoin de gestion de conseil donc
voilà sa cheminée c'est aussi des
opportunités de rencontre avec deux
structures le crd à des mauges et
carrefour des mauges à l'époque qui ont
fait que on a réfléchi et développée au
début du topic est devenue une réalité
de créer une structure pour apporter du
conseil sur les arbres bocage et pour
que les bus j'étais tout seul et puis
finalement ça a énormément intéressé au
tour donc il ya eu plus en plus de
demande et au bout de deux ans et la
flore passe à 2 et progressivement ça
s'est développé avec les services qui
sont développés le plus en plus nombreux
plantation puis après tout les autres
pour aujourd'hui arriver à une structure
toujours associative le bureau le
conseil d'administration sont des
habitants du territoire des élus des
agriculteurs des passionnés de l'arbre
qui décide des grandes orientations qui
sont autonomes dans leur pilotage et qui
me confient et nous confie la mise en
pratique la mise en musique de ses choix
l'a donc à nous après de faire le
nécessaire pour développer les axes
qu'ils ont envie à amp les fruitiers
léger fric locaux voilà le plessage en
france que ce que j'ai dit
aujourd'hui vous avez planté
alors aujourd'hui oui on est on a dû
passer un million deux cent mille arbres
oui oui depuis que mission bocage existe
sous toutes les formes d es des bosquets
etc c'est déjà une belle chose et c'est
vrai que ça fait plaisir parce que dans
le paysage chasse voit ce qu on a planté
plutôt rester ait eu des destructions
des arrachages mais très peu sur les
plantations sait beaucoup plus sur les
existantes les anciennes est
donc ça c'est
heureusement qu'on a planté ce million
et demi d'arbres à peine pardon
parce qu'autrement on aurait encore une
situation plus plus dramatique que ça
maintenant le grand regret pendant qu'on
faisait ses efforts de replantation
c'est que on a toujours eu de
l'arrachage qui était pas tout le temps
raisonnée
et encore aujourd'hui
enfin voilà on a encore des fois des
situations on constate des arrachages
temps des zones où à 6 tiré une balle
dans le pied quand vous êtes dans une
pente et que vous enlevez la ville
inévitablement vous allez avoir la terre
qui va descendre de l'érosion des
problèmes dans la capacité à produire à
cultiver dans cette parcelle là et
pourtant on a arraché la haye pour la
mettre en culture donc ça va à
l'encontre de l'objectif premier de
l'agriculteur ça veut dire qu'il n'a pas
pris en compte dans sa réflexion et que
s'il avait voulu vraiment prendre en
compte à la fois son objectif de mise en
culture et la présence de l'est
il aurait forcément tenu compte du
facteur érosion dans le cas que je vous
parle et là inévitablement ils auraient
été obligés de la maintenir voire même
de la conforter
alors effectivement ça répondait pas aux
standards de mise en culture des
parcelles où on va être sur des champs
de 15 hectares bien rectiligne d'une
géométrie parfaite mais qui vont avoir
une productivité de quoi de 10 ans de 15
ans et on voit que ça baisse tous les
ans
donc non il va falloir réparer ça
rapidement falloir revoir un peu
l'esprit dans lequel on imagine
l'agriculture de demain ce qu'il faut
dire aussi pour mission bocage c'est que
c'est une structure qui au fur et à
mesure de son évolution
a renforcé son parti pris notre parti
pris a mission bocage c'est celui de
croire que sur notre territoire on ne
peut pas faire durablement de
l'agriculture on ne peut pas faire
durablement du développement mêmes
industriels peu importe lequel sans
l'arbre
et que c'est dans un esprit
agroécologiques d'agroforesterie que
l'on s'inscrit planter des arbres sans
plus de signification sans plus
d'intérêt d'impact dans la façon dont
travaille dans la façon dont vit chez
nous bien ce serait à terme je pense pas
aussi efficace que ce que nous on veut
faire c'est à dire que les arbres
plantés aide les gens à développer à se
développer aide le territoire aide le
territoire dans son image dans son
attractivité pour y vivre pour y
séjourner le tourisme etc
voilà c'est dans ce sens là
donc on va il y aura irène qui sera
responsable
l'ouvrière hockey attention à l'époque
facile
de dire sur la m1 tirs sourds sur le
groupe flo a story on va tous commencé
sur 7
tu as tu une des particularités aussi
une mission bocage c'est que notre
approche elle est sur l'arbre mais les
d'abord auprès des hommes et c'est
d'abord avec les hommes on parle le
premier président de mission bocage
jean-marie bretons il avait une phrase
c'était qu'il disait qu'il fallait
d'abord que les armes soient plantés
dans les têtes avant de les planter sur
le terrain ça résume tout c'est évident
que tout un chacun est autant en
capacité qu'un autre d'observer de
comprendre de voir le bon sens des armes
les blancs
derrière suivent par deux fois en
essence un quoi et sans ce plat en
agroforesterie on a tous en à chêne
merisier tilleuls féviers d'amérique
ça s'est amplifié ces légumineuses qui
soit un peu plus du sud mais leur tâche
occasion c'est que les allemands
quasiment pas de s'allonger jamais venir
concurrencer laval à la culture qui est
mise en place le chêne c'est bien ce que
sa fille sur profondeur donc à chercher
en profondeur
puis s'ils descendent qui sont très
mellifères donc pour tout ce qui va et
abeilles si enfin tous ces choses à tout
ce qui est aussi maire s'il est super
intéressant
donc croyez moi en chacun croyons ansa
mettons les gens dans ces dispositions
là acceptons que c'est pas effectivement
l'orientation ou la vision qu'on avait
eue dans la modernisation de
l'agriculture d'après les années 60
mais c'est pas grave c'est celle qu'il
faudra voir demain on n'a pas le choix
donc autant le faire en conscience comme
ça nous plaît comme on en a envie et ça
on peut le faire que si ce sont les
hommes eux mêmes du territoire qui le
décide
une belle
alors qu'est ce qu'il s'est passé à
les phénomènes les intérêts on les a il
faut que les hommes les prenne encore
plus en compte et les intègrent de plus
en plus dans leur quotidien et ils vont
trouver les formes les réponses les
façons de les ajuster les façons de les
mettre en scène les façon de tailler les
toutes ces choses là on va être obligé
d'inventer plein plein plein de choses
pour demain ce qui est vrai aujourd'hui
sera peut-être pas vrai demain mais
parce qu'on aura progressé mais parce
qu'on aura déjà avancé aujourd'hui on
peut pas aller vers un lendemain plus
serein en termes de capacité à produire
en termes d'adaptation et de bon niveau
du territoire vis-à-vis du climat par
exemple du carbone de l'eau de la
qualité de l'eau de la biodiversité
là on est sur des dossiers mais énorme
il ya de gros gros efforts à faire là
dessus inévitablement
il ya un moment donné quand on parle à
quelqu'un
qu'on est en dialogue
il est juste dans la réflexion de se
consoler mais après cette réflexion là
il a recontextualise dans un ensemble et
aujourd'hui ce qui freine cette
évolution à mettre moins d'arbres ou à
ne pas aller assez vite vers l'arbre
c'est le contexte global c'est tout ce
qui entoure l'homme c'est tout ce qui
entoure l'agriculteur on a plus de
difficultés à financer un projet de
plantation d'arbres en agroforesterie
qui va demander dix mille euros de
trésorerie à l'agriculteur il va aller
voir sa banque pour un prêt court terme
que pour un bâtiment de 100 mille huit
cent cinquante mille euros c'est pas
normal
l'intérêt global il n'est pas le même le
risque il n'est pas le même
c'est pas logique le banquet aujourd'hui
n'est pas encore suffisamment sensibles
à ça ne joue pas encore suffisamment son
rôle là dedans où il n'y a pas que le
banquier il ya tous ces hommes qui sont
autour de l'agriculture les conseillers
de gestion
les conseillers de coopérative les
filières toutes les filières les
chambres d'agriculture et cetera il ya
un moment donné il va falloir un
discours clair pour que ces ces
agriculteurs izia on peut pas les
laisser perdre de la productivité perte
de la capacité à produire et ne pas leur
dire qu'on est d'accord sur le chemin à
prendre
une fois qu'il sera partagé par tout ce
qu'on leur a affiché politiquement avec
les élus des territoires et pas
simplement un effet d'annonce le jour où
il ya la réunion sur la biodiversité ou
la réunion sur le carbone parce que
c'est ça aujourd'hui vous mettez
n'importe quelle structure dans une
réunion sur kervern furent biodiversité
sur la qualité de l'eau etc vont vous
dire oui oui bien sûr monsieur oui c'est
très important il faut en faire il faut
développer ça dans l'agriculture et deux
heures après dans l'autre réunion sur le
projet agricole sagnier plus où ça y est
à ce niveau-là c'est à dire la dernière
petite ligne du pdr ère où on a encore
rogner dessus pour aller renforcer
d'autres systèmes qui ne fonctionnent
plus et inventant peu plus donc c'est
l'homme qui est au coeur de tous à nous
pour nous
d'abord les hommes les générations à
venir les enfants les jeunes qui
souhaitent se spécialiser ou s'orienter
vers l'agricole vers l'écologie vers
l'arbre
tout ça ce sont pour nous des personnes
encore plus prioritaires en matière de
sensibilisation
puis on a tous une famille et dans notre
famille on a tous des ongs détente et
ces acquis sont agriculteurs donc
finalement c'est tout un chacun dans son
territoire par exemple au travers de
plantation d'un vite tout le monde on
fait des plantations des fois on est 20
on est 30 c'est des amis c'est les
copains randonneurs c'est les chasseurs
c'est le club de cyclo c'est un peu
importe sa ré je voulais pas ou plus
[Applaudissements]
quand ils ont planté ces armes là chez
ce monsieur lâche cet agriculteur là on
à renforcer des liens entre eux
l'agriculture qui est pratiqué sur cette
ferme là est mieux comprise
l'agriculteur est moins montré du doigt
l'agriculteur accepte plus est plus
ouvert aussi aux attentes sociétales
donc c'est fondamental ça et quand on a
les mains dans la terre on est dans le
vrai quand on est dans le froid se les
cailler des journées entières à planter
on est dans le vrai on n'est pas dans
l'incantation là encore donc c'est de ça
ça c'est bien ça ça fait progresser sa
ces notes ne notre façon d'avancer et
lumière
ce qui me motive à faire de
l'agroforesterie ce qui me qui m'a
motivé en fait halak de faux et story et
puis à la rue sera d'humeur au kg c'est
pour faire c'est un peu au moment j'ai
eu à la destruction un peu de notre cage
way est en fait moi personnellement donc
ces chasseurs et c'était ça on a vu
beaucoup la réapparition du tout notre
faune sauvage un peu quoi je me suis dit
sont mes petits sacs étaient en fait
gicler 5 hectares aujourd'hui c'est
comme un ange
la diversité c'est un enjeu comment on
va dire je me suis dit autant raja
complètement est ce que je peux faire
moi sur mon exploitation pour améliorer
la biodiversité
chaque fois qu'on a un projet de
plantation dans les deux heures qu'on a
eue ce diagnostic avec l'agriculteur on
a au moins évoqué sa le moment de
plantation avec l'intégration de
personnes extérieures à l'exploitation
que ce soit des jeunes des futurs
agriculteurs des chasseurs des
randonneurs peu importe de la famille
des amis enfin voilà et puis on demande
à l'agriculteur qu'on se soit un bon
moment parce que on lui donne un coup
main etc mais aussi que ça soit un
moment qu'ils nous fassent plaisir et
qu'on nous fasse un souvenir pour plus
tard caméra café merci
je me souviens et j'ai été frappé par sa
je suis planté avec des jeunes qui que
j'ai revu quinze ans après et qui m'ont
dit bah on avait fait des plantations
ensemble
et ses plantations là je suis retourné
les voir quand tu mets mes enfants pour
les montrer à mes enfants
voilà on a tout compris et tout gagner
quand c'est comme ça c'est qu'on rentre
la roue au coeur de la société comme un
élément commun du bien commun le conte
s'approprie non pas
pratiquement non pas pécuniairement mais
qu'on s'approprie dans le coeur et qu'on
va défendre et on va s'attacher à ces
arbres là comme on s'attache à son
territoire
là je pense qu'on a réussi quelque chose
quand on fait ça la mission bocage
à
faut avoir aussi de lierre
côté voilà l'autre à côté
notre chaîne il a fait son développement
et finalement le lierre il adore les
hétéros les humus une chaîne il fait que
d'en produire des terreaux et des us et
que je vous ai dit le fait qu'il n'y a
pas de lumière pas ceux âgés rôle à cet
horizon très très unie faire ils se
dégradent très très lentement donc que
c'est très favorable au lierse est
parfait pour le lien c'est le seul à
accepter l'ombre le lierre donc on a
tout fait pour que le lierre se
développe donc c'est pas étonnant de
voir le lierre grandir dans le chêne si
le lire grandi dans le chêne sait pas
que le chêne est malade c'est pas que le
chêne va mourir il ya des fois j'entends
des gens qui me disent un bon arbre il
est envahi par le lierre effet créé
voilà ça c'était celle des anciens mon
grand père est crevés ou ou sexy des
malades ou 6000 est pas bon non c'est
qu'il a fait son développement et c'est
que maintenant dans des conditions qui
favorisent
énormément le lierre quoi donc voilà et
finalement ce pétard ben oui j'ai gagné
par le lierre
rapidement quand je dis rapidement il
faudra le ramener en têtard
voilà le lie à aucune nécessité de
couper le lire avant
laissant sur
place et à mesure
d'établir le lire oui le dire autour
faut laisser aux photos pour mettre en
lumière les endroits où ed des repousses
de mai le lire oui le winx toujours met
en lumière dans les endroits du chêne
ardent c'est à dire que là il faut un
peu arraché les brins lierre mais aller
tout le contraire c'est pas très gênant
il revient là il reviendra lire mais
celui-là à vendre a trop il faudra
encore fait une coupe successives il le
faut on pense à la terre
la terre c'est l'essentiel la terre
c'est l'essentiel et c'est ce qu'on a
beaucoup oublié en agriculture les
agriculteurs s'intéressent à leurs
plantes à la croissance de leurs plantes
par la santé de leurs plantes à la
croissance
donc on est sans cesse en train de faire
ça ça ça d'en rajouter de ramener ça de
faire tes uniquement pour espérer gagner
de la croissance en fait on n'y arrive
pas parce qu'on a beau avec toutes ces
affaires là bas on fait pas progresser
c'est croissance et ses rendements donc
ne faut moi mon avis se poser d'autres
questions qui sont celles d'abord de la
santé de la plante et pour avoir une
plante scène faut avoir un seul ça donc
c'est la base et un seul sein un sol qui
fonctionne un seul cas sa dynamique et
sa vie et bien c'est un sol qui va
produire et produire plus et pour qu'on
ait ces phénomènes là dans le sol
l'arbre ne peut pas être oubliée il faut
absolument et impérativement qu'à un
moment donné vous ayez de l'arbre vous
pouvez pas vous en passer trop longtemps
alors on ya joué on a arraché quelques
temps on a réussi à produire mais là ça
y est ça s'effondre voilà bon elle va
falloir en remettre c'est pas grave et
larmes fait partie de ce qui va donner
la capacité de production de la
fertilité et même de la production de la
terre sur les parcelles les parcelles
agricoles actuellement perdre deux des
tonnes de terre chaque année par
l'érosion notamment alors que vous
pourrez avoir un mécanisme naturel de
production supplémentaire de terre la
pédo génèse et pour ça il faut un
certain nombre de relations entre la
dégradation du solde la roche-mère et 2
altération de la matière organique et du
transfert de matières organiques de la
rencontre de tout ça enfin voilà c'est
comme ça qu'on produit de la terre sept
matières organiques complexes pour
qu'elles puissent être transportés et ca
il va falloir de la lignine et des
animaux vivants dans ce solde est
détritivores notamment les champignons
départ puis après invertébrés qui vont
fragmenter les particules puis après des
vers de terre etc donc ça c'est toute la
vie du sol et on voit bien que la vie du
sol c'est ce qui va nous nourrir
donc on peut pas imaginer de réfléchir à
des arbres dans des espaces agricoles
sans penser sol sans penser terre sans
penser production
monfort
bon
vous
bon

et
et
pour l'ajout de redire à patiner un peu
régulièrement
brothers home
on essaye de partager autant que se peut
on essaye de faire connaître mais il
faut reconnaître qu'on a encore des
efforts à faire et qu'on peut être
meilleur là dessus
beaucoup d'actions d'animation les gens
souvent nous disent ah j'avais pas idée
de tout ce qui se fait j'imaginais pas
tout ce qui se faisait et c'est donc on
a certainement à améliorer à
perfectionner à renforcer ces aspects là
pour d'une part toucher plus de
personnes
et puis peut-être aussi à prendre des
nouvelles technologies de nouvelles
façons de communiquer pour ne pas avoir
à refaire dix fois les mêmes choses non
plus
dans nombreux blocages il existe des
fruitiers qu'on a d'héritage des très
vieux fruitiers condé fois plus de cent
ans
dans plein de variétés les châtaigniers
notamment comme on a là mais aussi
pommiers poiriers etc et césar blabla il
faut en prendre soin pour qu'ils
continuent à durer souvent c'est des
armes qui ont été sélectionnés par les
ex les paysans d'autrefois et ses
paysans et bien ils les avaient repérés
quand il allait aux champs et ils
avaient greffé dessus des variétés
fruitières
du territoire
donc il faut savoir que par exemple en
1860
andré leroy qui était pomologue avait
recensé plus de 1000 variétés de pommes
et émile variétés de poires en france
c'est pour vous dire la diversité qui
existaient chaque pays avait une grande
quantité ces variétés elle était gagné
ce qu'on appela gagner c'est à dire
créer par multiplication le calme par
sélection locale et s'adonnait à chaque
fois des fruits différents donc on à
l'héritage de tout ce patrimoine qu'il
faut gérer et je suis les châtaigniers
on a un souci actuellement c'est que ces
vieux châtaigniers qui ont été greffés
sont souvent laissés à l'abandon comme
c'était le cas pour celui là et on peut
commencer à s'apercevoir que la partie
greffer la partie fruitière est en train
de dessécher de mourir par le fait que
le porte greffe c'est à dire le
châtaignier sauvage sur lequel on a
greffé la variété
il lui a rejeté du pied et a fait de ce
qu'on appelle les gourmands des
réitérations puissante qui ont pompé
toute l'énergie qui ont fatigué la
partie haute donc il est indispensable
évidemment comme premier acte de couper
comme on vient de le faire les gourmands
qui lie à au sol tout ce qui est repart
du pied en dessous le point de greffe
ça c'est vraiment essentiel beaucoup
plus que d'aller chercher les branches
mortes les branches mortes elles sont
mortes elles vont pas redonner de la
dynamique et de la vigueur en haut il
faut absolument arrêter que cette
vigueur se limité soit orientée
principalement sur les gourmands et
maintenant la réorienter vers la partie
haute la partie fruitière
je vaux je vais pas fouiller un peu au
delà
alors moi j'ai ces bouquins les élus moi
les gars ouais donc ça c'est vraiment
quelque chose qu'on a en permanence à
l'esprit et on a vraiment la volonté
d'améliorer sa cette histoire de la
communication du partage du savoir du
partage de l'information
c'est essentiel il ya plein de choses
nouvelles qui arrivent qui sont de très
grands intérêts qui peuvent rendre des
très grands services pour l'agriculture
pour les territoires il va vraiment
falloir qu'on fasse quelque chose de
très pédagogique et qui touche et qui
touche un grand nombre
et ça c'est important
abc
des dessins trogne il y en a des
centaines
de toute nature
assez du pit et loire
500 dessins pour la chorale pour montrer
un aperçu de la biodiversité potentiel
d'une 3 n'y avec les oiseaux chouette
chevêche pigeon colombin les anges bleus
à autre les enjeux puis moineau friquet
la clématite
donc la liane qui se fume
après
c'est le charbon rouge étant gamin tous
les gamins par chez nous enfin tu pourra
que prendre un rameau sec de clématites
ouais tu coupes entre les entre deux
sections et puis tu as des petits ports
et donc ça se fume comme assis là
je suis pas sûr qu'au niveau sans télé
aussi
non ça c'est
juin
je pense qu'on ait un certain nombre à
pas vouloir ou a pas accepter la
fatalité à peuvent vouloir rester les
bras croisés les deux pieds dans le même
sabot est à dire adviendra ce
qu'adviendra
on a déréglé les mécanismes de
régulation climatique sur la terre et
puis voilà on va peut-être à notre perte
non mais un certain nombre à pas
accepter ça et il y en a beaucoup dans
les générations futures dans les
nouvelles générations
prenez le pouvoir allez-y vous j'ai
faites faites vous entendre cette des
actions tracasser pour vous ferez les
conneries on a fait puis on en fait
encore pire on en fera d'autres et c'est
comme ça que les choses avancent et
c'est comme ça que les choses avancent
donc allons-y le pire c'est la fatalité
l'inertie 1
je pense qu'on souffre de ça il ya au
fond d'un certain nombre la volonté de
faire quelque chose plus ou moins forte
d'aller plus ou moins loin mais au moins
de faire quelque chose mais c'est cette
inertie c'est cette lourdeur bientôt que
pour planter 30 arbres il va nous
falloir 30 documents administratifs
on veut quoi on veut désert où on veut
décourager les gens non on a marché sur
la tête sur le plan administratif
sur le plan des exigences et on regarde
pas les objectifs ni les résultats on
veut absolument se border quand on
soutient avec des fonds publics de la
dépense publique par rapport à des
choses éligible mais pas leur efficacité
les arbres y sont sur le terrain ils
sont plantés et ben voilà c'est parfait
il pousse tant mieux qu est ce qu on a
besoin d'avoir 30 certificats des
certificats de télagh de telles espèces
de tel truc tu notre boulot la technique
on va pas aller planter un arbre qui va
pas y venir n'a pas besoin d'aller
justifier avec trois documents
administratifs si l'arbre il n'est pas
adapté on va sur le terrain on va vite
le voir la sanction est immédiate
s'il est sûr adapté il va prendre le
dessus les autres s'il est sous adapté
va mourir l'agriculteur qu'on a
conseillé ça va pas lui faire plaisir il
va nous le dire il va nous le faire
savoir que ça dysfonctionne d'eau notre
conseil nous il est forcément basée sur
ce qui fonctionne sur les mécanismes qui
ont été éprouvés par la végétation
locale
par la biodiversité locale va pas
s'amuser à aller chercher tout et
n'importe quoi donc voilà partant de là
on pourrait faire beaucoup plus de
développement et rassemblé beaucoup plus
finalement dans vie y compris des
générations futures si on ne remet tait
pas une chape sur ces aspects là
je pas de parallèle mais en ce moment ce
qui se passe avec le développement de la
vaccination c'est un bel exemple
c'est quoi la vaccination
c'est effectivement demandé à la
personne si elle est en bonne santé si
elle a des sensibilités à un tel show
celle chose et si elle est favorable à
être vaccinés
on n'a pas besoin de passer par tout un
protocole qui va demander qu'un jour
pour une personne donc après
effectivement on vaccine pas donc c'est
pareil pour le développement dès lors
que tout développement doit passer
d'abord par un cadre administratif
qu'est gérer d'une façon
très empirique avec le niveau européen
puis l'hymne national puis de régional
puis lé départemental et local va vous
passer ça à la moulinette et chacun sort
le parapluie pour se couvrir pour
prendre aucun risque et vous arrivez au
document qui a été produit sur la
vaccination où il fait 45 pages pour
vacciner des personnes pour une
vaccination en ehpad c'est quand même
affolant et on a la même chose sur les
arbres depuis des années donc voilà il
ya un moment de temps la révolution
douce appelé nécessaire pour les arbres
et l'agro écologie elle va se faire dans
les campagnes les agriculteurs sont
prêts tout simplement qu'on leur donne
le cadre favorable à ça ça c'est
indispensable
voilà maxime
et
je demande
c'est bien c'est bien
dans les pensionnats
michael allen à
dallas
yma
voilà
voilà
kima m
voilà le
tandis qu'à l'arrière
emma ap
tout
mais ça
oui tu veux
qu'est ce que tu veux
merci va j'espère que vous prendrez bien
cela plaît
merci
que veut dire quelque chose
vous pouvez déjà regarder cette vidéo
est une arme merci merci

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