TÉMOIGNAGE : Adrien Constant, SEMIS DIRECT ET ÉLEVAGE DE BOVINS
Vidéo réalisée par la chambre d'agriculture de Dordogne, merci à eux pour l'aimable autorisation de remise en ligne :https://www.youtube.com/user/ChambAgriDordogne
Transcriptions
Transcriptions
bonjour je m'appelle adrien constante je
suis associé que mon père y gagne de
camiers on est situé à salignac eyvigues
on est en polyculture élevage ovin blond
à l'état ont fait du port desnoyers en
bio vecteur de céréales et après tout et
1 rb lui dire nous on était en
conventionnel pur charrues vivre aux
hôtes à lavaur ont passé un coup de fil
brodé fois et on s'est rendu compte un
Afficher la suite
peu qu'un fort de retravailler
travailler on n'avait pas forcément plus
de rendement que ça et j'ai un voisin
qui a une part celle qu'on attend et qui
s'était mis à faire ça et qu'ils avaient
un rendement égal voire plus que l'autre
donc on s'est dit pourquoi il y arrive
et pas non on s'est lancés en 2014 sur 4
ha 2015 on a passé 15 hectares est
maintenant en 2020 on est sur la
totalité du bouche à oreille un peu
internet et après je me suis rapprochée
un peu du scénario
françois rousseau et du web puis c'est
parti la dynamique a pris alors moi j'ai
commencé déjà sûr de la série repéré
gras et derrière j'ai sauvé ma série et
du très bon résultat - de moines de paul
duffy tomber dessus à part au désherbage
j'ai pas fait plonger dès la première
année donc après ça m'a encouragé à
continuer mon process mais en
développant d'autres choses dont les
coûts vers l'avenir et bien déjà j'ai
fais un disque de terre au départ quand
on laboure et des gros orages en avait
tout au fond toute la matière organique
et tout et tout était au fond de désert
et on a vu que depuis quand on fait ça
depuis 2000 14 mois que la terre bouge
pas les cultures bouge pas on n'a pas
des coulées de terre partout on a fait
des comptages de verre aussi et tout et
c'est pas comparable parce qu'on avait
quoi au départ quand on voit que le sol
vivienne
derrière tout cela quand en sorte
découvert comme ça et qu'on voit que les
animaux il laisse rien ou presque rien
c'est assimilé et il n'y a pas de tâches
extérieures quoi on essaye de maximum
deux par les coups de semonce et les
coûts de l'implantation davantage c'est
que voilà un peu le brouillard devant et
derrière vesa remet
ça revient au sol aussi
de l'épandage est directement quoi ça
n'en est pas un facteur la tondeuse
devant et les panneaux arrière en gros
ce qu'il faut voir comme ça c'est plus
fréquents sont des bruits mais la vache
folle il rêva plus se raser mais la
vache toi quand on voit la différence de
la et de là ils ont quand même pas
laissé grand chose et puis à remettre
une partie au sol mais je veux dire
après on a la chance d'avoir du lisier
et du fumier nous donc ça nous diminue
vache par le post donnerait autant une
époque on savait pas quoi faire du chum
et du lisier pourtant maintenant on
l'utilisé à bon escient et puis on voit
que les couverts où les cultures
suivantes le retrouve fois c'est un coût
moindre que celle de l'entrée ou acheter
des pitots donc voilà on s'y retrouve
pour moi je me retrouve dans ça aussi et
dans tout ce qui est santé à bois
derrière pourquoi je voudrais arriver un
jour à terme à plus me sall et la
sulfateuse bois
voilà faire découvert se mettre dedans
que ça gèle fin mais ça c'est pas en
deux en quoi est ce qu'on le fait pour
vous que pour nos gamins aussi et moi
j'ai deux gamins quand il est parti à
l'as tu vas te the le venir aujourd'hui
ne venez pas avoir fait un petit voilà
et puis même pour nous on le voit
maintenant se fait détruire des
compresses pâteuse ou les panneaux
malgré donc si on peut éviter ça aussi
voilà c'est aussi ça mais il ya encore
beaucoup à travailler dessus quoi il ya
sur les espèces les implantations il ya
beaucoup de réflexion même avec comme
pedro plus mais c'est pas assez moi ce
que j'ai par rapport à certains mais de
ce que j'ai encore beaucoup de travail à
effectuer