L'agriculture une question de paysage, par Bruno Sirven

De Triple Performance
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Vidéos - Ver de Terre production (5 juill. 2021) - Bruno Sirven - Durée : 20 minutes

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Rendez-vous à Elne (66) pour le festival des Rencontres de l'Agroécologie du bassin méditerranéen, organisé par Arbre et paysage 66.


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Vous retrouverez dans cette vidéo une explication des racines et des microbes dans la gestion de l'eau, par Marc-André Sélosse, intervenant lors du festival !

Transcriptions

je vais partager avec vous une hypothèse

peu particulière est ce que dans les
cultures et donc à l'origine ne sont pas
une question de paysages
parce que quand même se pose des
questions l'idée de conduction école
c'est quoi est-ce que c'est du soleil
plus de piment plus de la technique
est-ce que c'est l'idée de manager de la
ressource naturelle de la ressource

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humaine est ce que c'est si simple que

ça depuis lors ce qu'on se pose la
question de définir de la culture et
lorsqu'on voit tout le champ lexical qui
entoure ben ça pose question
agriculture comme nous l'indiquons
cultivons ça veut dire qu'on n'augmente
qui conte il est tout le temps
normalement à la recherche de
développement de l'enregistrement et ça
c'est effectivement le l'idée de la
ferté lite de la fertilité développer
capitaliser augmenté voilà les maîtres
mode élevé de culture et c'est à dire de
gagner de gagner de la hauteur si je
puis dire en quantité en qualité et
c'est vrai que l'acte d'agriculture on
pourrait les résumer la phrase d'un peu
longue mais en ces termes l'idée de
d'intervenir sur les conditions
naturelles et nous humains essayé
pendant et non humains essayer de créer
des circonstances pour que ce milieu ce
milieu entre guillemets naturelles
soient plus productives encore et si je
trouve un optimum un optimum du
potentiel local donc toute une notion
qui revient à la notion de terroir mais
c'est à cette dimension là qu'il faut se
poser la question comment moi je vais ou
pas amener un plus dans une situation
donnée et puis d'actes l'agriculture
c'est toujours un compromis ont
compromis à ce qu'on puisse que la
nature si je puis dire et à ce que peut
la culture d'agriculture mais quand on
réfléchit bien l'acteur culture c'est
aussi l'idée que la main de l'homme est
toujours une plus-value normalement en
tout cas
que si l'homme doit intervenir pour
produire plus il va de toute manière
essayer de se coller aux cycles et aux
phénomènes naturels d'utiliser au mieux
les mécanismes de la nature dont
évidemment c'est tout le propos de
reconnu de l'agro écologie
autrement dit si on n'est pas capable
avec les moyens du bord avec les
ressources du terroir de faire plus que
la nature
on n'est pas dans l'agriculture on est
revenu à la cueillette ou à la chasse
autant laisser autant prélever sans
intervention ce que la nature nous livre
gratuitement donc des cas mais une
exigence de plus et c'est vrai que
globalement lorsqu'on regarde l'histoire
d'agriculture même si ces dernières
années l'agriculture n'a pas toujours
été dans pas toujours optimisée ou
développer son agrosystèmes son
potentiel de production elle a quand
même beaucoup participé à créer un
paysage plus riche encore en ajoutant
des éléments fixes en diversifiant
l'espace et en inventant de nouvelles
formes de la nature de nouvelles espèces
d'une nouvelle race nouvelles variétés
en dix mois mais être agriculteur c'est
de toute manière perturbé on ne peut pas
intervenir sur la nature sans créer une
perturbation sens large et c'est là où
le dosage est important où le dialogue
est important entre l'idée d'aller vers
le plus ouvert le moins deux des voûtes
de perturber positivement ou
négativement de développer ou de
détruire parce que c'est vrai que
lorsqu'on parle d'agriculture
lorsqu'on parle d'agriculture et du
paysage des plus grands aménageurs de
l'espace qui soit c'est le recteur ne
fait pas qu'utiliser que distribue des
produits ou d'utiliser des ou 2 ou de
pratiquer des itinéraires techniques et
la ménage il gère beaucoup et c'est là
aussi il faut pouvoir doser ce qu'on
peut investir pour changer la nature et
comment on peut gérer et utiliser au
mieux ce que la nature veut nous donner
alors excusez moi quand on parle de
culture évidemment pas de produits avec
l'idée que le produit est l'expression
de tous tout le background qu'il ya
derrière c'est à dire le paysage
on parle bien sûr de pratique ce que ces
produits il ne n'arrive pas tout seul
bien sûr et on revient toujours à cette
idée et on parle du paysage du terroir
si vous voulez mais de tout ce qui est
autour et avec une idée une hypothèse
que je souhaite partager avec vous cette
idée que c'est l'entièreté du paysage
c'est la globalité c'est l'ensemble du
paysage qui produit et non pas tel ou
tel élément
un paysage qui est fortement conditionné
on y revient par la nature est ici je
voulais insister sur le mot le mot de
nature qui signifie l'idée de naissance
nature natif ça c'est les mêmes mots de
renaissance de renouvellement de
rajeunissement de de reconduction
perpétuelle du vivant et le vivant avec
toutes ses acceptions du terme c'est à
dire on a bien compris que le vivant
c'est effectivement différents règne
parfois on en oubliait un peu facilement
le règne de la fange des champignons
mais le vivent aussi avec tous ces sites
est bien le fait exprès de vous montrer
des arbres morts qui participent ou
complètement aussi que le recyclage du
vivant une idée importante dans ses
approches de vivant et de paysages c'est
que effectivement quand on dit paysage
on dit de manière automatique changement
doit pour être même synonyme de climat
puisque on va en parler tout à l'heure
ces changements tout et changement le
vivant la vie et changements de fait
donc il faut pas trop s'en offusquer
c'est sa brutalité ou ou sa douceur le
changement qui va conditionner les
choses mais sinon on est condamné à
changer et une autre idée c'est que dans
le paysage est sans doute dans
l'agriculture et dans l'agro écologie ce
qui est parfois le plus important
paradoxalement c'est peut-être ce qui
est le plus fragile et parfois le plus
discret j'y reviendrai
le plus fragile oui le fragile a une
importance si on s'en rend pas compte
surtout avec les moyens démesurés
aujourd'hui clos n'a de pouvoir cultiver
élevé d'intervenir de modifier de
transformer le paysage le bassin de
production
et puis l'idée de paysages c'est aussi
c'est aussi une vision de l'intervention
de l'homme mais avec une approche je
dirais un économiste c'est aussi d'avoir
une vision vers où je veux aller vers
vous je veux conduire mon exploitation
mon paysage au sens large quel paysage
je veux demande qu'est ce qui me manque
qu'est ce que je veux et d'avoir cette
vision sa demande de gérer les choses et
on va prendre le terme d'économie au
sens large
halloween économique et quand même axé
sur quelque chose d'un peu particulier
sur de l'énergie sur je qualifie sa
d'énergie de d'économie solaire avec
évidemment la photosynthèse
mais avec un trio qui est quand même
important a rappelé jean kissi tout le
monde la conscience mais il faut
peut-être le rappeler mais le trio sol
plants animals
ce trio qui va pouvoir manager
localement cette énergie et la valoriser
et économie je vais l'utiliser dans tous
les sens du terme dans l'idée de flux de
richesse dans l'idée de des changes dans
l'idée de d'être économe au sein de ne
pas de ne pas gaspiller et al'inverse
aussi et ça c'est l'effort du laboureur
de la fontaine dans l'idée de
capitaliser c'est à dire plus je vais
cultiver plus je vais faire tourner la
machine plus j'aurai de richesse au bout
on cultive tous les ans mais je vais
laisser mes enfants
ben un sol un paysage surtout encore
plus riche que lorsque je les prix voilà
une question de paysages entendons-nous
sur le mot il faut s'entendre sur l'idée
de c'est pas le décor c'est la
constitution physique d'un milieu avec
différentes échelles je reviendrai et
surtout son fonctionnement biologique
c'est le paysage vivant dont je vous
parlais c'est à dire le cadre de vie le
milieu dans lequel vont baigner tous
tous vivants et notamment toutes les
cultures tous les animaux et avec une
idée forte aussi c'est que le mot
paysage désigne obligatoirement un
emboîtement d'échelle c'est-à-dire eux
je suis contenus dans des dimensions
plus grandes et jeu contient des
dimensions plus petites
ma part c'est ray dans un espace plus
grand mais elle contient aussi de la
diversité elle même et deux choses
importantes lorsqu'on parle de paysages
on ne parle non pas de composante lay la
rivière la prairie n'ont pas
on parle des interactions qui existent
entre les différentes composantes et
c'est même le plus important est avec
normalement dans cette idée de
d'interactions une idée des effets
cocktails d'ailleurs vous pouvez avoir
des ingrédients ce qui va être important
c'est même pas leur dosage même pas leur
quantité présente la quantité présente
de ces ingrédients mais c'est comment
ils sont positionnés l'un par rapport à
l'autre
comment ils vont s'associer et puis
comment ils vont interagir c'est à dire
c'est à dire vraiment surtout fans sont
modifiées mutuellement et ça c'est une
notion importante et ses effets cocktail
qui peut être très très positif je sais
pas comment on peut on peut qualifier
l'effet inverse
mais si on rend ces dynamiques ces
synergies c'est compliqué de rétablir
voilà ça c'est une idée importante et
l'idée qu'on peut aussi considérer le
paysage non pas comme un cadre mais
comme vraiment une entité vivante et
complexe un support organisme qui a ses
règles de fonctionnement évolutive
certes mais qui existent bien et puis
lorsqu'on observe un peu plus d'un peu
plus près ses composantes là on se rend
compte que ses composantes vont avoir
plusieurs fonctions et que chaque
fonction dépend aussi de plusieurs
composants donc là on rentre mans de la
complexité dans la complicité du paysage
et puis évidemment les excuser moi j'ai
un petit peu enrhumé l'idée qu'on met
dans tous paysage notamment dans des
paysages agricoles
ben on est on est confronté à plusieurs
natures d'espacé pure nature de
fonctionnement entre ce qui est
domestiqué cultiver entre ce qui est
sauvage et la présence du sauvage est
indispensable dans l' équilibre de nos
paysages agricoles et entre ce qu'on ne
peut qualifier de semi naturels le
paysage ça nous renvoie aussi à l'idée
du local de l'ancrage c'est à dire qu'
il va se passer quelque chose ici entre
terre et ciel de singulier une rencontre
avec des flux des cycles des phénomènes
particuliers et qui appartiennent à
différentes dimensions je le répète ses
dimensions
c'est entre tout ce qui manque ou tout
ce qui est microscopique tout ce qui est
permanent et tout ce qui peut être
temporaire éphémère suka semaine et
entre ce qui est fixe et ce qui est
mobile ce qui ce qui est fluide
le petit petites allusions qui a au fond
de diapositives
cela nous rappelle que dans ce même
paysage celui que j'ai choisi de manière
complètement arbitraire ici ben vous
avez en contact quelque chose qui peut
être amenée par un oiseau migrateur qui
viennent de plusieurs milliers de
kilomètres qui va rentrer en contact
avec une levure complètement endémique
et qui n'existe que la voilà c'est ça
aussi la dimension de paysages c'est le
local mais avec une expression beaucoup
plus larges du local relié au global
autres notions importantes qui je pense
doit être signalée dans dans notre idée
d'agroécologie c'est que le paysage
il est subtil il ya du subtil combien du
fragile dans dans le paysage c'est à
dire des choses qu'on ne voit pas qu'on
ne semble pas que parfois on ignore ou
en tout cas qu on nous considère pas par
exemple j'ai essayé de classer un petit
peu ces choses là
la présence de l'eau tout différent et a
souvent une perceptive invisible toustou
le bain le bain de vivant et de non
vivant de biotiques et abiotiques mais
dans lequel nous sommes nous baignons
dans un milieu où qui équipera versets
qui est traversée de milliers de choses
dont de toute nature je vais pas dire
deux vivent toutes sortes et sans
condamner la même conscience et surtout
une connaissance extrêmement réduite m
et puis autre notion de paysage aussi
c'est que paysage par définition c'est
aussi héritage c'est aussi un patrimoine
on hérite d'une durée d'une évolution
d'une épaisseur et il faut la
transmettre donc c'est une façon d'être
de fer d'associer deux combinés de
composer plein de choses je les lycées
et sans doute bien d'autres
l'espace le temps les espèces vivantes
les différentes formes et différents
usages d'agriculture les différents
produits que l'on peut que l'on peut
retirer de ce paysage et les différentes
origines de ses composantes et c'est
vrai que dans les paysages que nous
voyons sur l'image que vous avez là où
sur n'importe quel autre que je vous ai
présenté rien est arrivé en même temps
il y à là danse est instantané la
réunion de plein de choses qui arrivent
là aujourd'hui mais qui n'ont pas la
même origine
donc voilà le paysage c'est tout ça tout
simplement c'est plus aux dimensions
spatiales temporelles sociales
culturelles
missionnaire politique tout ce que vous
voulez c'est tout ça alors c'est vrai
que c'est allé un peu fourre tout mais
c'est important d'avoir cette notion là
il suffit pas de prendre une chambre de
prendre une seule même si a quand même
dans le paysage des éléments des
composantes qui sont fondamentales à
l'activité d'agriculture en attendant il
faut avoir ça en tête je pense et
notamment en tête que dans ce paysage
l'humain et là aussi je reprends le
monde au dialogue avec cette idée de
dialogue entre l'humain et la nature et
d'une co adaptation permanente puisque
tout est en mouvement permanent et cette
idée de l'agriculture est un héritage
d'une expérience d'une mémoire je veux
dire même d'une sagesse sur le long
terme qui va combiner les différentes
histoires qui normalement doivent se
rejoindre pour le meilleur histoire
naturelle et des histoires humaines
voilà des maîtres mots sur ce petit
bocage breton il faut qu évoluer il faut
collaborer il faut coopérer
voilà des mots tout simples mais des
mots qui sont très très compliquée à
mettre en oeuvre et se disait de
coopération va le retrouver dans une
petite réflexion que je vous soumets
aussi une réflexion sur les trois génies
les génies au sens de de générer mais
aussi au sens d'autres choses bien sûr
qu'est ce que ça veut dire le cultiver
ce que c'est pas associer le génie du
lieu ce que le lieu capable de générer
entre le génie paysans ce que l'humain
capable de créer et d'imaginer et puis
le génie végétal cette formidable
machine cette formidable turbine averti
li té dont je pense beaucoup parlé
aujourd'hui quelques mots que je voulais
vous soumettre sur sur cette idée de
maman qui était peut-être le plus
important c'est l'idée de rusticité
c'est à dire avec des moyens simples et
si le tirer le meilleur parti de ce que
la nature peut pour nous vivons voilà
alors vas pas dire toute la diapositive
bien sûr mais non voilà excusez moi le
mot rusticité et est ici dans l'idée que
on doit si on veut coller à la nature
non lieu donné on doit faire un calcul
entre guillemets de pays en calcul
paysans et se poser la question
toutes ces questions là est le maître
mot c'est économique onomie économie
c'est ce que je veux partager avec vous
peut-être n'être pas d'accord mais cette
idée que quand même il faut il faut il
faut faire
plus d'effet poussé avec le moins
d'effort possible et avec une idée
permanente c'est économie de moyens
voilà parce que économie moyenne parce
que de toute manière la nature abonde
même dans les situations les plus
difficiles il ya toujours quelque chose
qui se passe et c'est vrai que le calcul
paysans il peut se fonder sur c'est
cette philosophie là je dirais c'est à
dire que la nature a bomb que c'est
gratuit et que tout est utile où tout
est potentiellement utile tout et
opportunités c'est une notion aussi
importantes c'est pas forcément celles
que les cultures d'aujourd'hui
alors comment on fait pour avoir un
paysage vivant vous allez bien imaginer
que je vais pas répondre à cette
question aujourd'hui on connaît quelques
règles évidemment des règles un peu un
peu théorique allez on va y aller quand
même tout conceptuel le vivant et c'est
à la fois de la matière de l'énergie de
l'information il faut arriver à piloter
tout ça lorsqu'on est lorsqu'on est en
charge d'un paysage et ce combat là
lorsqu'on le façonne pardonnez moi et
puis aussi et quand même quelques règles
d'écologie jaillir de géographie on va
pas entraîner détails mais voyez il faut
que de la diversité globalement il faut
que les choses soient pour eux il faut
que kaki aider à la fois du mouvement
est à la fois des choses qui puissent
s'arrêter de l'hétérogénéité de la
rugosité de la porosité il faut que je
les change du passage du contact je vais
pas décliner tous les mots que vous
voyez là bien sûr qu'il faut qu'ils
aient de la diversité et surtout surtout
tout simplement il faut que le paysage
soit complexe plus le paysage sera
complexe à la mesure du terroir à la
mesure du du lieu dans lequel nous
sommes mais plus on aura de chances
d'avoir un paysage eux vivent productif
agricole voilà donc qu'on a un petit
choix à faire alors l'idée ce n'est pas
de choisir où l'un ou l'autre
j'imagine que vous connaissez ces images
mais c'est de se dire qu'entre ces deux
directions là je dois en choisir une une
qui soit plutôt logique que je pense
qu'on peut quand même déjà avoir une
petite [ __ ] inclination pour une de ces
directions
parce que parce que j'ai alors je sais
pas si j'ai le droit d'utiliser cette
image c'est une publicité
mais tant pis je prends le risque voilà
ça c'est sûr magazine ricol voilà
l'image du paysage que l'on peut avoir
une agriculture une des images et celle
là donc avec une vision très américaine
c'est à dire les grandes plaines
d'amérique ou d'asie voilà et nous nous
dans notre dentelle de terroir en france
et notamment dans le sud-ouest mais
partout on a essayé de jouer dans la
cour des grands et pense que les
terroirs n'ont pas cette capacité
c'est sûr que quand on rentre de ses
rangs le pen on se dit mais et du
pourquoi jeux partout en france et y
compris dans la bosse on a aussi ses
images d'epinal là aussi mes images
intéressantes aussi si on se rapporte à
ce que je disais tout à l'heure où tout
est opportunités même et ses situations
qui paraissent extrêmement difficile et
puis voilà bien compris j'ai pas parlé
d'arbres du tout parce que là c'est
vraiment le pilier c'est le grand le
grand manitou de tout ce que j'ai essayé
de raconter un peu rapidement
c'est lui le grand vincent biais de tout
ce paysage une des pièces clefs bon pour
tout le rôle qui va jouer et qu'il va
qu'il va toutes les fonctions qu'il va
donner aux paysages au paysage qui va
pouvoir comme lui capté fx est stabilisé
reformuler rediffusé redispatcher est
l'arbre qui dans l'agriculture à
plusieurs statues je n'ai pris que 3 il
est à la fois un équipement c'est à dire
une infrastructure dans le bocage de
tout temps là tout le temps en train
d'interagir tout le temps en train de
faire des choses
il offre des services alors qu'un
prestataire et de biens et de services
mais de bien aussi
et puis aussi il est utilisé par les
cultures comme producteur quoi j'allais
dire même comme polyculture poli
produits qui produit plus de choses
plusieurs choses à la fois et donc comme
ont coproduit ce qui est quand même le
l'objet de la plupart des agriculteurs
traditionnels et bien sûr de
l'agroforesterie juste de terminer je
sais que quelqu'un en parlera après moi
puisqu'on est méditerranéen des exemples
l'arrêt quand je dis là vous avez bien
compris que je parlais d'une ligne e le
lions en général tout et opportunités on
leur montre ici est dense et garrigues a
effectivement un d une des façons de la
plus extrême de s'associer de profiter
de la gratuité de la nature c'est le
stylo pastoralisme voilà pour le coup on
peut pas faire mieux on peut pas faire
le mieux je pense en agroforesterie
mais je pense que je ne viens me chante
parlera mieux que moi voilà et puis pour
finir un peu de poésie un pour la forme
pour pour conclure sur cette thématique
là et les éléments que je voulais
partager avec vous

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