Voir la source de Le cycle du carbone, par Don Reicosky (VO)

{{Vidéo 
| Producteur = Ver de Terre production
| Titre = Le cycle du carbone, par Don Reicosky (VO)
| Pertinence =
| Top30_VdT =
| Thématique =
| Intervenants 0 = Don Reicosky
| Vignette = thumbnail_youtube_gJEmnxMXjKg.jpg
| Date de mise en ligne = 2020-07-21
| Durée = 148 minutes
| Production = Grandes cultures
| Vidéo = https://www.youtube.com/watch?v=gJEmnxMXjKg
| Tag 0 = Rencontres Internationales de l'Agriculture du Vivant 2019
| Tag 1 = Biologie/Agronomie
| Tag 2 = Cycle du carbone et GES
| Tag 3 = Résilience climatique
| Tag 4 = Couverture des sols
| Tag 5 = Production énergétique}}
Aujourd'hui, c'est une formation donnée lors de nos Rencontres Internationales de l'Agriculture du Vivant en 2019 ! Au programme, mieux comprendre le rôle crucial des flux et du cycle du carbone dans les systèmes agricoles. Nous nous intéresserons donc au captage du carbone par la photosynthèse, aux exsudats racinaires et à la décomposition de la biomasse végétale via la respiration microbienne, animale et humaine, libérant du CO2 dans l’atmosphère et complétant ainsi le cycle du carbone, tout cela expliqué par [[Utilisateur:Don Reicosky|Don Reicosky]] !



SOMMAIRE :



1. Introduction : 0:00:20



2. L'importance du sol : 0:01:20



3. Le stockage du carbone et la photosynthèse : 0:11:00

4. La répartition du carbone dans la plante : 0:34:15



5. Le rôle du carbone dans les sols : 0:42:20



6. Les effets du [[labour]] sur le carbone des sols : 1:13:20



7. Le labour à l'origine de la dégradation des sols : 1:36:00



8. L'importance sur ratio [[Champignons]]/Bactéries : 2:09:45



9. Le cycle des nutriments : 2:12:50

10. Carbone, changement climatique et l'initiative 4 pour 1000 : 2:20:05



11. Agriculture de conservation et services écosystémiques : 2:25:02



== Transcriptions ==
                <div class="toccolours" style="max-width:23em"> le titre de cette session a donc à voir avec la gestion du carbone du sol et j'espère<br>
 pour vous donner un petit aperçu de la façon dont je me suis intéressé et de mes recherches<br>
 était donc cet objectif est ce que je veux essayer de faire passer donc j'ai<br>
 décrit 10 sections de la présentation et nous suivrons en quelque sorte ce plan<br>
 et ce que je voudrais faire, c'est parcourir chaque section et m'arrêter à la fin<br>
 de cette section pour les questions et si nous n'avons pas de questions, nous passerons à la<br>
 ensuite et si nous avons des questions, nous essaierons d'y répondre sur ce point précis<br>
 section, donc je ne sais pas où la pause-café interviendra là-dessus, mais nous allons<br>
 essayer de continuer avec ça donc il y a beaucoup de verbiage là-bas et je fais juste<br>
 ceci pour mon propre plan et m'organiser pour que vous et l'agriculture devez<br>
<div class="text-center"><span class="btn btn-secondary btn-sm mw-customtoggle-myDivision mw-customtoggle" aria-expanded="true" tabindex="0">Afficher la suite</span></div><br/>
                        <div class="mw-collapsible mw-collapsed" id="mw-customcollapsible-myDivision"> comprendre l'importance du sol parce que nous obtenons 95% de notre nourriture qui<br>
 vient du sol si 95 pour cent de notre nourriture en provient, nous devons<br>
 essayer de comprendre pour protéger et préserver le sol et l'une des choses<br>
 que je prône c'est cette gestion du carbone qui permet d'entretenir le sol<br>
 qualité et la capacité de production de ces sols, j'utilise donc cette déclaration<br>
 sur nos sols sont le fondement fondamental de notre vie dans notre économie<br>
 et nous utilisons nos ressources du sol l'eau l'air et le soleil pour maintenir<br>
 notre production alimentaire et nous et en particulier les agriculteurs avons<br>
 être les intendants de cette terre pour la protéger pour les générations futures<br>
 aux états-unis, nous estimons qu'environ un agriculteur nourrit une centaine de personnes et<br>
 ces personnes auront un certain pouvoir de décision dans une société démocratique et<br>
 il appartient donc aux agriculteurs d'essayer de faire de leur mieux pour fournir<br>
 l'intendance que nous avons eue, un ancien président dit que la nation qui détruit son<br>
 le sol se détruit Franklin Roosevelt et en tant que pédologue, j'ai des préjugés<br>
 mais je ne m'excuse pas pour ces préjugés parce que je veux vous aider à comprendre<br>
 l'importance des sols pour nous, donc quand nous regardons cela, le sol et le<br>
 système vivant Je suis honoré d'être invité ici pour parler du système vivant et<br>
 comme je l'ai déjà indiqué qu'il y a des responsables environ quatre-vingt-quinze pour cent<br>
 de notre alimentation mais les ressources de notre sol permettent ce processus de photosynthèse<br>
 et la respiration pour la capture et l'utilisation de l'énergie à travers ce carbone le sol<br>
 contient en tant que partenaires biologiques vivants qui sont importants pour nous et ils ont<br>
 cycle du carbone et des nutriments liés et de mon point de vue, nous devons protéger et<br>
 traiter nos sols dans le respect de la sécurité alimentaire et j'essaierai de<br>
 vous encourager à comprendre l'importance du carbone dans cela et cela<br>
 contester un de mes collègues pour que la loi du temps stipule que la santé du sol<br>
 et les plantes les animaux les gens et l'écosystème sont tous interdépendants<br>
 interconnectés et indivisibles, vous faites partie de cet écosystème et nous avons tous<br>
 commencer à travailler ensemble afin que nous considérions ce sol comme étant responsable du bon<br>
 santé mondiale écosystème santé sur cette liste de santé humaine santé animale sol<br>
 santé et dans l'ambiance car on le sait bien je vais vous montrer<br>
 dans certains de mes travaux que lorsque vous labourez le sol, il y a un grand rot de<br>
 dioxyde de carbone qui s'échappe dans l'atmosphère au point où nous avons<br>
 perdu entre trente et soixante pour cent du carbone dans les sols du Midwest<br>
 Je ne sais pas ce que vous avez perdu ici en France mais vous cultivez un<br>
 un peu plus longtemps, donc la santé du sol est très importante pour nous et comprendre que<br>
 nous travaillons avec un système biologique vivant, donc si vous ne prenez qu'une seule chose<br>
 la maison de cette session est que le cycle du carbone est la clé, donc ce sol vivant<br>
 le sol sain est la clé et la façon dont nous maintenons la santé de ce sol passe par<br>
 gestion du carbone et nous avons donc besoin de sécurité alimentaire et cela dépend du carbone<br>
 et le cycle des nutriments, nous devons atténuer certains des aspects du climat dont nous avons besoin<br>
 pour améliorer la qualité de l'environnement, nous devons améliorer l'efficacité de l'utilisation de l'eau<br>
 et il y a beaucoup d'autres problèmes sociaux qui sont importants pour nous et donc vous<br>
 comprendre que le sol est le fondement fondamental de tous ces<br>
 choses qui sont importantes pour nous et nous fournir trois repas par jour afin<br>
 les propriétés et processus physiques, chimiques et biologiques sont<br>
 très important pour soutenir cette vie et donc si nous considérons le sol comme un<br>
 système, nous devons nous inquiéter ou travailler sur la préservation de la diversité génétique et ainsi<br>
 comprendre qu'il s'agit d'un système vivant, il ne suffit pas de marcher là-bas et de le battre<br>
 et conduisez jusqu'au tracteur lourd et compactez-le car cela endommage le<br>
 biologie et nous découvrons que c'est très important pour nous donc pour tous<br>
 ces raisons qui sont répertoriées un dépôt de sols vivants est un investissement dans notre<br>
 futur et qui enrichit les communautés scientifiques<br>
 capacité de faire progresser la recherche sur la santé des sols et la durabilité agricole que vous souhaitez<br>
 laisser votre ferme pour votre prochaine ou la prochaine génération en meilleure forme que vous<br>
 trouvé et ce défi est une énorme responsabilité pour quiconque<br>
 agriculture ce sol vivant est un système biologique et il contient en<br>
 FrenchJe les appelle des bestioles qui incluent des mammifères des vers de terre des insectes des limaces<br>
 micro ou micro flore actinomycètes bactéries et algues et si vous additionnez les<br>
 effet de ceux nécessitant une nutrition carbonée, c'est l'équivalent de cinq<br>
 Éléphants d'Afrique par hectare se nourrissant de l'énergie qui y passe par<br>
 le système du carbone donc ces cinq éléphants d'Afrique si vous comprenez qu'ils<br>
 prendra environ 150 kilos de foin par jour<br>
 vous comprenez combien de carbone est entré dans ce système pour maintenir une santé et<br>
 population physique faisant tout ce qui est environnemental, donc de toute façon si vous<br>
 comprendre combien de foin ces cinq éléphants auraient besoin par jour<br>
 exactement ce que nous devons mettre et c'est l'une des raisons pour lesquelles même si<br>
 nous faisons des cultures de couverture et et cultivons deux cultures par an, nous ne pouvons pas en avoir assez<br>
 carbone dans le système pour le ramener à l'optimum et à chaque événement de travail du sol<br>
 donne une réelle baisse du carbone en raison de la façon dont il perturbe le sol<br>
 et perturbe les créatures vivantes sont là donc ce n'est pas mon analogie c'en est une<br>
 de mes collègues Gerry Hatfield de l'Iowa State, mais vous devez comprendre<br>
 que les sols sont assez complexes et qu'il n'y a tout simplement pas un glob de sol, il y a<br>
 interactions en termes de formation de ces agrégats et du carbone est très<br>
 important que les racines et le développement des champignons mycorhiziens est également un<br>
 partie et donc c'est pas simple mais si on comprend que gérer<br>
 le carbone, c'est un peu comme une couverture qui couvre une grande partie des méfaits que nous<br>
 pourrait mettre en cause la façon dont nous avons travaillé les sols agricoles et la manipulation<br>
 donc le sol il y a beaucoup de choses pour nous et a identifié cinq fonctions essentielles<br>
 il peut réguler l'eau il soutient la vie végétale et animale dans notre vie il peut<br>
 également filtrer et tamponner les polluants potentiels en éliminant une partie des<br>
 les pesticides qui y sont mis c'est très important et le recyclage des nutriments<br>
 en particulier ceux qui sont importants dans la production végétale et il fournit<br>
 stabilité physique et soutien pour que vous puissiez le traverser avec du matériel afin<br>
 il y a plus que la simple culture des plantes et qu'il y a ces autres<br>
 choses et nous les appelons services écosystémiques qui sont importants pour nous ok le<br>
 question est de savoir si le carbone fixe les polluants et et c'est un c'est un<br>
 bonne question le carbone est donc la source d'énergie pour les microbes qui<br>
 sont dans le sol et quand vous avez beaucoup de carbone, vous avez beaucoup de microbes<br>
 population beaucoup de beaucoup d'insectes et vous avez cette diversité et certains de<br>
 ces microbes sont capables de dégrader certains de ces pesticides ce n'est pas le cas<br>
 le carbone parfois c'est enfermé sur la matière organique mais finalement le<br>
 les microbes se décomposeront et diminueront l'efficacité de ce matériau excellent<br>
 question alors<br>
 nous devons comprendre où ce processus du cycle du carbone et le carbone<br>
 l'accumulation commence et si nous n'avions pas l'énergie solaire qui est la<br>
 moteur pour tous les systèmes vivants ici sur terre et à travers ce processus de<br>
 photosynthèse nous prenons et transformons cette énergie solaire en biochimique<br>
 l'énergie sous forme de carbone qui, dans notre système, est un vecteur universel<br>
 d'énergie et de nutrition pour tous les systèmes biologiques vivants, en particulier ce qui est<br>
 dans le sol donc j'ai mes préjugés mais si vous comprenez cette affirmation de la<br>
 l'importance du carbone une partie du reste de cette présentation sera beaucoup plus facile à comprendre<br>
 accepter et donc nous et vous en tant que gestionnaires de ferme, votre défi est de maximiser<br>
 la capture de cette énergie cette énergie est gratuite pour nous et c'est la seule qui<br>
 nous permet de survivre sur terre et nous devons donc trouver des moyens d'être plus efficaces et<br>
 traiter les feuilles de la plante comme des panneaux solaires captant cette énergie qui<br>
 vous êtes en train de vous convertir en énergie biochimique qui prend en charge tous<br>
 la vie animale et cela commence donc par le processus de photosynthèse et donc cette<br>
 l'énergie solaire alimente le cycle du carbone et le pouvoir de la diversité dans notre<br>
 les systèmes naturels nationaux est assez important, donc les plantes sont le principal<br>
 source de notre production de nourriture et d'énergie en commençant au sommet de ce cycle<br>
 avec le soleil et un peu de chlorophylle dans les feuilles ainsi et puis à<br>
 ce que cette conférence met l'accent sur le fait qu'une petite couche de sol sur la terre est en quelque sorte<br>
 d'une peau vivante et c'est très délicat par rapport à ce qui se passe avec le sol<br>
 biologie et nous devons gérer cela plus efficacement<br>
 et j'espère que nous aurons une meilleure représentation de ce que nous pouvons faire pour<br>
 du point de vue de l'agriculture, j'ai déjà indiqué que le sunnite est le<br>
 seule énergie pour la vie sur Terre et vous, en tant que producteurs d'œufs, devez gérer ces plantes<br>
 capter cette énergie solaire et la transformer en énergie biochimique en<br>
 sous forme de carbone, votre défi est donc de maximiser l'utilisation de ces rayons de soleil<br>
 heures pour maximiser la capture de cette énergie gratuite et il y a quelques<br>
 limitations et dans ma partie du monde au Minnesota, nous avons trois mois où<br>
 vous ressentez moins 20 moins 30 degrés Celsius quelques jours et rien ne<br>
 survivre à cela, mais nous devons encore trouver un moyen de protéger le sol et essayer de<br>
 utiliser ce qui entre, quelle que soit la petite quantité d'énergie qui pourrait entrer au cours de cette<br>
 période d'intersaison et c'est donc un petit cours de chimie c'est le<br>
 processus de photosynthèse où l'on prend du dioxyde de carbone avec un simple co2<br>
 combiner avec de l'eau en présence de soleil et un peu<br>
 un peu de chlorophylle pour produire un élément à six carbones qui est un sucre<br>
 plus l'oxygène et donc en allant de gauche à droite, il y a cette énergie<br>
 capture et l'énergie est stockée dans cette molécule de sucre si vous inversez cela<br>
 processus, nous l'appelons respiration et nous oxydons ou nous décomposons ce sucre et<br>
 qui libère de l'énergie utile pour nous permettre de travailler et d'accomplir nos fonctions et<br>
 c'est cette équation qui est à la base de toute vie sur Terre et c'est la<br>
 façon dont nous générons le carburant pour toute vie biologique, de sorte que le sol est un<br>
 vivant et c'est une ressource naturelle vivifiante qui est importante pour nous, mais elle<br>
 juste principalement en soutenant les plantes et en recyclant une partie des nutriments<br>
 et stocker une partie du carbone afin que la prochaine génération de plantes puisse<br>
 utiliser une partie de cela dans nos systèmes agricoles de toute façon c'est un<br>
 cycle simple et le dioxyde de carbone plus l'eau va faire ce sucre et certains<br>
 l'oxygène et c'est la partie de capture d'énergie de ce cycle l'inverse de cela<br>
 la respiration prend ce sucre et se combine avec de l'oxygène pour libérer de l'énergie<br>
 et je veux que vous compreniez qu'il s'agit d'un cycle relativement simple<br>
 tel qu'il est représenté mais je tiens à vous assurer que les diables dans le détail c'est<br>
 un processus très très complexe et nous devons le comprendre et vous n'avez pas à<br>
 comprendre tous les détails, mais si vous comprenez certains des concepts généraux et<br>
 cela vous aide à comprendre pourquoi le carbone est si important dans une agriculture<br>
 système de production afin que nos usines que vous gérez soient la principale source de<br>
 notre production d'aliments et d'énergie, nous avons donc un agriculteur du Dakota du Sud qui a fait<br>
 cette déclaration et si moins d'élèves dans ma classe régulière vous mémoriseriez cette<br>
 citation en avant et en arrière et à l'envers la citation est le carbone est le<br>
 cadre et le carburant pour chaque être vivant et c'est assez important je vais<br>
 le répéter, le carbone est la charpente et le carburant de tout être vivant et si<br>
 vous comprenez qu'alors il devrait commencer à pénétrer l'importance de<br>
 carbone J'utilise le C majuscule qui est le symbole chimique du carbone pour montrer comment<br>
 certains de ces éléments s'emboîtent et la conservation commence donc par un C majuscule.<br>
 commence par la conservation du carbone crée des connexions carbone et le carbone est<br>
 créant ces voies vers notre durabilité alimentaire afin<br>
 Je au risque d'être trop répétitif mais dans un système pédagogique<br>
 parfois c'est la seule façon pour qu'il s'enfonce et donc quand un agriculteur parle<br>
 comme ça, il comprend déjà l'importance du carbone et il ce gars<br>
 n'a rien dit depuis environ 20 ans et fait un très bon travail, y compris<br>
 des cultures de couverture dans le système pour que vous puissiez bien voir mes préjugés, j'ai parlé<br>
 brièvement un peu sur le cycle du carbone mais ce n'est pas seulement le<br>
 cycle du carbone c'est le flux d'énergie du carbone à travers ce système donc dans la partie supérieure<br>
 partie de cela nous avons parlé de la photosynthèse mais maintenant que les sucres<br>
 descendre ça vient à travers les tiges simples aller aux racines quelques racines<br>
 des exsudats sortiront de là et nourriront les microbes et le sol<br>
 faune, nous avons ce cycle des nutriments et ce cycle du carbone qui fournissent la<br>
 services écosystémiques pour nous et ceux qui sont les plus importants pour moi sont les<br>
 nutrition alimentaire parce que j'ai besoin de trois repas par jour pour que nous recevions cet aliment<br>
 fibres et de carburant et lorsque nous digérons cette nourriture, nous oxydons ces glucides et<br>
 une partie de ce dioxyde de carbone retourne dans ce cycle du carbone et c'est là que<br>
 nous obtenons notre énergie utile en consommant et ces formes de cette énergie sont<br>
 capturé dans le processus de photosynthèse donc il ne fait pas de vélo<br>
 le carbone fait circuler du carbone dans tout le système et il y a un certain<br>
 connectivité du carbone qui aide à maintenir ce système ensemble et ainsi il<br>
 commencer par les feuilles au sommet de la plante jusqu'au sol<br>
 puis revenir pour terminer le cycle du carbone mais avec<br>
 il y a tellement de processus et c'est un système très complexe que vous<br>
 il suffit de comprendre pour avoir une idée de ce qui se passe afin que l'un des<br>
 les choses que nous avons essayé de faire est d'obtenir une certaine diversité<br>
 dans le système et nous essayons d'obtenir des cocktails de cultures de couverture dans le système afin que<br>
 que l'on puisse optimiser ou augmenter le maximum de matière organique du sol et ainsi<br>
 ce que nous avons découvert au cours des huit ou dix dernières années, c'est que la meilleure façon d'obtenir<br>
 carbone dans le système est d'utiliser les cultures de couverture et de faire moins<br>
 travail du sol et nous en reparlerons un peu plus tard afin que nous ayons ce long<br>
 liste des avantages et encore une fois je suis heureux de la partager avec vous, vous n'avez pas à le faire<br>
 notez-les mais ceux en bleu clair sont tous directement liés au carbone<br>
 et cela va de l'augmentation de l'infiltration en ayant des résidus de récolte sur<br>
 la surface elle réduit l'érosion du sol et à travers cette profondeur une longue liste<br>
 liste des différents facteurs mais le résultat dans les systèmes d'agriculture de conservation<br>
 est cette simplicité synergique avec une perturbation minimale du sol qui minimise<br>
 la perte de carbone et de sol puis l'utilisation de ces diverses rotations et<br>
 mélanges de cultures de couverture qui maximisent la couverture du sol et maximisent l'apport de carbone dans<br>
 le système de cette protection de la diversité des sols et les bénéfices de la régénération<br>
 qui sont dans les systèmes d'agriculture de conservation des vaches et vous n'avez pas<br>
 de mémoriser cela, mais j'espère que vous prendrez les concepts à cœur<br>
 parce que ce sont deux des grands principes et systèmes d'agriculture de conservation<br>
 que nous devons appliquer davantage sur le paysage et nous parlerons un peu<br>
 en savoir plus sur les systèmes d'agriculture de conservation d'accord la question se résume à<br>
 est-il plus efficace pour l'apport de carbone et la production en agriculture biologique<br>
 par rapport à ce que les systèmes agricoles conventionnels<br>
 non dis conventionnel ok excellente question dans le bio<br>
 systèmes où la principale forme de lutte contre les mauvaises herbes est le travail du sol ou la culture<br>
 les gens bio mettent plus de fumier et gèrent mieux le carbone que le leur<br>
 certaines des autres personnes dans l'agriculture conventionnelle mais pour le contrôle des mauvaises herbes ils<br>
 chaque fois que vous labourez le sol, il y a une perte de carbone à cause de cela et c'est donc et<br>
 ne pas avoir d'autres produits chimiques à craindre, il est bénéfique d'avoir<br>
 que dans un système biologique mais avec un système sans labour et il y a un système sans labour<br>
 en soi, il n'y a pas assez de carbone qui est mis dans ce système pour faire beaucoup<br>
 différence il y a un grand débat dans la communauté scientifique sur combien<br>
 carbone que vous pouvez stocker sans labour et certains sols que vous obtenez un peu<br>
 parfois vous n'obtenez rien et donc ce qui se passe maintenant dans la santé du sol<br>
 le mouvement aux états-unis est la combinaison d'une perturbation minimale du sol avec<br>
 le semis direct et l'apport de carbone maximal que je viens de vous montrer en ce sens que<br>
 diapositive précédente et je ne peux donc pas vous dire que ce bio est meilleur<br>
 que conventionnel le diable est dans certains de ces détails que nous aurions<br>
 parler mais c'est une perception générale de la différence entre le<br>
 deux systèmes et s'il y avait un moyen de lutter contre les mauvaises herbes dans le<br>
 système biologique, cela aurait beaucoup plus de mérite que d'utiliser la culture comme<br>
 une partie de cela, je comprends que la question est de savoir s'il y a un moyen avec plus<br>
 utilisation efficace du rapport carbone/[[azote]] dans le matériau pour obtenir plus de carbone<br>
 dans le système et c'est une excellente question<br>
 avec le soja et je pense que tout le monde comprend que le soja a un<br>
 rapport carbone-azote d'environ 20 carbones pour 1 azote et ainsi lorsque le<br>
 la feuille touche le sol elle se décompose très très vite en 2 ou 3 semaines elle s'en va<br>
 si vous prenez du blé avec le rapport carbone/azote peut-être 80 carbone à 1<br>
 l'azote qui prend beaucoup plus de temps à se décomposer, il immobilise également tout azote<br>
 qui est disponible pour la prochaine récolte et ce que les agriculteurs font parfois, c'est simplement appliquer<br>
 un peu plus d'engrais azoté pour accélérer ce processus de décomposition et<br>
 et nous avons toute une gamme d'espèces qui vont de 20 à 1 à une centaine à une<br>
 et vos copeaux de bois d'environ 300 à un 300 carbone à un azote et qu'ils<br>
 mettre cela dans les systèmes de drainage pour capturer l'azote afin qu'il ne s'en aille pas<br>
 en bas de cette rivière, nous avons donc de nombreuses options et la plante peut nous aider<br>
 contrôler que tant que nous comprenons le principe de diversité et de mettre<br>
 que de travailler afin que nous puissions l'optimiser pour votre problème de gestion particulier afin<br>
 il y a des moments où tu voulais te décomposer rapidement et il y a des moments où<br>
 vous le voulez dans notre cas au Minnesota aux états-unis nous en voulons<br>
 protection contre les résidus pour passer les mois d'hiver car il n'y a rien<br>
 peut grandir quand il fait si froid et nous aimerions donc avoir quelque chose avec un<br>
 plus grand rapport carbone et azote bien c'est un c'est un processus continu et le<br>
 le taux de ce cycle est contrôlé par la disponibilité du carbone ou le manque<br>
 de carbone et donc quand vous avez beaucoup de carbone qui entre et qu'il cycle<br>
 relativement rapide car les microbes le digèrent le décomposent très rapidement que<br>
 libère également simultanément certains de ces nutriments qui sont dans le biome<br>
 qui sont importants pour la prochaine génération de plantes et il est donc<br>
 important que nous essayions d'optimiser ces conditions afin d'accomplir le<br>
 la libération des nutriments et la disponibilité de ceux-ci dans le temps est un peut être<br>
 quelque peu contrôlé par le rapport carbone/azote, la question est I<br>
 ne devrait pas sourire c'est une bonne question la question est pour le<br>
 traducteurs est-il possible que nous ayons des enzymes ou des<br>
 mécanisme dans le sol qui peut capturer le carbone pour nous et je pense que ce serait<br>
 serait une excellente idée si vous pouviez trouver le bon système, mais en ce moment Mère<br>
 La nature travaille depuis trois millions d'années avec ce processus de<br>
 photosynthèse et cela fonctionne toujours pour nous en termes de capture de ce carbone<br>
 Je ne connais aucun moyen direct pour quelque chose dans le sol de capter le carbone à moins qu'il n'y ait<br>
 était une réaction chimique qui l'attirerait et nous ferait précipiter<br>
 c'est une question très complexe et je ne suis pas sûr que je sois un sol<br>
 scientifique, mais je n'ai aucune connaissance sur les enzymes qui pourraient<br>
 accomplir ce processus sans avoir l'énergie solaire qui entre dans le<br>
 système, donc j'aimerais pouvoir répondre un peu mieux à la question, mais euh<br>
 J'en connais pas et tu es relativement jeune tu peux commencer<br>
 faire un peu de réflexion créative et d'accord d'accord merci merci pour cette question<br>
 et je ne devrais pas sourire la question se résume au ratio carbone azote<br>
 contrôler le taux de décomposition et la question que je pense veut<br>
 contrôler cette décomposition sans mettre d'azote supplémentaire dans<br>
 que ce que je comprends se passe l'équilibre naturel du carbone à<br>
 rapport d'azote dans le sol est entre environ dix à un et 12 à un qui est<br>
 la valeur d'équilibre qui revient après de nombreuses années dans le sol et donc quand<br>
 vous mettez du soja dans le système avec la valeur de vingt pour un, c'est assez<br>
 l'azote pour descendre à ce rapport dix onze à un très très rapidement mais si<br>
 vous mettez dans un labyrinthe ou si vous mettez du chaume de blé qui a un carbone qui est juste<br>
 Quatre-vingt contre un ça va prendre du temps si tu as le luxe à ce moment-là<br>
 laisser Dame Nature s'en occuper, il finira par y arriver, mais si vous<br>
 voulons accélérer ce processus traditionnellement, nous devons ajouter un peu<br>
 peu d'azote pour accélérer la décomposition pour obtenir l'ensemble<br>
 rapport de carbonatation venir à ce baril d'équilibre de onze ou douze<br>
 à un et je ne suis au courant de rien que vous puissiez faire ou ajouter au sol pour<br>
 faire en sorte que cela se produise plus rapidement que d'ajouter simplement de l'azote, donc la question alors<br>
 c'est comment accélérer la décomposition sans ajouter d'azote donc<br>
 il n'y a pas d'effet négatif sur la culture suivante bien une partie de la partie de<br>
 le défi est que les microbes fonctionnent et qu'ils doivent<br>
 décomposer une certaine quantité de cette biomasse pour libérer suffisamment d'azote<br>
 quand vous regardez la biomasse végétale c'est n'importe où 45 à 46 pour cent de carbone<br>
 et la biomasse végétale dans le maïs peut-être un 1,3 pour cent d'azote et donc vous avez<br>
 décomposer beaucoup de maïs pour obtenir suffisamment d'azote pour faire la différence, mais<br>
 s'ils le sont si l'ensemble du processus est contrôlé par le carbone dans l'azote<br>
 ratio et la disponibilité que nitrique les microbes vont le faire dans le<br>
 manière naturelle et cela va être contrôlé au point où si vous en tant que<br>
 un gestionnaire veut augmenter le taux de décomposition de cette paille de blé que vous êtes<br>
 va devoir mettre un peu plus d'azote pour aider à obtenir cet azote<br>
 rapport carbone/azote plus petit plus vite il y a un délai avec les microbes<br>
 se décomposer pour obtenir suffisamment d'azote et si vous n'obtenez pas cet azote là-dedans<br>
 alors il va y avoir des effets négatifs sur la culture suivante bien le<br>
 autre alternative et c'est en termes d'utilisation de cultures de couverture où vous<br>
 ont un mélange diversifié de cultures de couverture qui auraient des légumineuses qui ont le<br>
 rapport CN étroit et ensuite que lorsque l'azote devient facilement disponible et donc<br>
 c'est là qu'intervient la diversité lorsqu'il s'agit d'essayer de gérer le système<br>
 ce n'est pas une réponse très simple oui ou non en noir ou blanc c'est une réponse très<br>
 système complexe et ce que nous constatons, c'est que nous obtenons un bien meilleur contrôle de la<br>
 décomposition quand on a 10 à 15 espèces différentes dans un mélange de couvert végétal<br>
 qui couvrait la gamme d'un rapport carbone/azote élevé à un rapport faible en carbone<br>
 rapport à l'azote et lorsque nous faisons cela, il y a suffisamment d'azote pour le<br>
 prochaine culture qui ne la limite pas vraiment bien la question est avec plus de carbone<br>
 dans le sol y aura-t-il plus d'azote disponible pour la plante<br>
 d'accord et le taux de disponibilité est la chose critique et donc<br>
 quand vous avez une biomasse de paille de blé semblable qui a 80 à 1 nitration de carbone<br>
 il est juste plus long de libérer cet azote par opposition à une légumineuse qui a<br>
 un ratio d'azote carbonaté très étroit et que la biomasse doit être<br>
 décomposé et les molécules font une partie pour fournir au Nate le<br>
 de l'azote aux microbes Mike pour réunir cela et ce rapport<br>
 contrôle une grande partie de cette activité et donc le taux de décomposition va être<br>
 beaucoup plus lent avec un rapport carbone-azote large qu'avec un carbone très étroit à<br>
 rapport d'azote et cela dépend du matériau que vous mettez et donc l'un des<br>
 les solutions que je vois pour cela est la diversité dans les cultures de couverture avec lesquelles vous<br>
 votre culture agronomique vous êtes en quelque sorte enfermé parce que c'est celui qui<br>
 vous tirez le meilleur parti de vos revenus et si vous voulez essayer d'accélérer cela<br>
 décomposition, nous devons trouver un moyen de mettre de l'azote pour apporter<br>
 qui se nivellent ou pour obtenir des cultures de couverture dans ce système qui ont une plus petite teneur en carbone<br>
 rapport à l'azote pour accélérer ce processus plus naturellement que de verser<br>
 il sort d'un sac d'accord d'accord quand nous allons dans une nouvelle section et je ne sais pas ce que je<br>
 je vais dire à propos de la pétition sur le carbone oh<br>
 d'accord quand nous regardons la plante et je travaille beaucoup avec le maïs, nous avons capturé cela<br>
 dioxyde de carbone dans ce processus de photosynthèse et ainsi nous pouvons atteindre<br>
 16 tonnes par biomasse et c'est environ 46 45 pour cent de carbone et donc quand nous avons le<br>
 céréales qui représentent environ 5,5 tonnes exportées du champ, nous<br>
 perdre environ un tiers du carbone lorsque nous enlevons le grain du champ<br>
 biomasse la biomasse aérienne restante est d'environ cinq tonnes et<br>
 il y a des estimations que les matériaux la biomasse des racines et les exsudats qui vont<br>
 dans le sol sont d'environ 5,5 tonnes, nous devons donc comprendre qu'il y a<br>
 les carbones fixés tout au-dessus du sol en termes de photosynthèse mais certains d'entre eux<br>
 va au grain qui est exporté du champ, une partie va dans la biomasse et<br>
 puis certains vont dans les systèmes racine et nous essayons d'optimiser cela va dans<br>
 le système racinaire, donc tous ces processus en termes de rapport CN net<br>
 sont optimisés pour nous. Donc, j'utilisais à peu près un tiers de la<br>
 le carbone fixé entre et est exporté dans le vert un autre tiers du carbone est<br>
 dans la biomasse végétale au-dessus du sol et un autre tiers du carbone se trouve dans le<br>
 biomasse racinaire et les exsudats racinaires et dans un système naturel qui devrait tous être<br>
 en équilibre, nous devons donc trouver un moyen de remplacer le carbone qui est exporté<br>
 dans le grain que l'on mange ou que l'on donne aux animaux pour maintenir près d'un<br>
 système et c'est donc en partie la raison pour laquelle nous n'obtenons pas grand-chose<br>
 augmentations de carbone parce que nous ne maintenons pas les choses en équilibre et j'espère que je<br>
 avoir une diapositive ici plus tard pour montrer ce qui se passe lorsque nous faisons cela<br>
 avec un travail du sol intensif, ce n'est donc qu'une autre façon de voir les choses et<br>
 nous avons une meilleure compréhension de la façon dont il est divisé entre au-dessus du sol<br>
 sous terre et tout ce qui est important pour nous, alors quand nous jetons un coup d'œil<br>
 aux nutriments qui sont éliminés dans le grain, nous devons trouver un moyen de<br>
 essayer de les ramener dans ce système et donc quand nous regardons cela<br>
 dans le système d'agriculture conventionnelle de la quantité de carbone et d'azote<br>
 et p2o5 et k2o c'est déplacé dans ce grain est substantiel et puis si nous sommes<br>
 préoccupé par l'utilisation de la biomasse aérienne comme forme de<br>
 bioénergie et nous l'enlevons du champ cela devient un double négatif<br>
 parce que nous prenons une grande partie des éléments nutritifs et les exportons du<br>
 champ, alors j'ai cru entendre quelqu'un dire hier que les agriculteurs de France<br>
 ne veulent pas que l'agriculture soit responsable des énergies renouvelables ou<br>
 l'énergie renouvelable de la biomasse et j'espère que c'est parce qu'ils veulent que ce carbone entre dans<br>
 le sol pour maintenir la santé et la vigueur du système biologique plutôt<br>
 que d'aider en termes d'atténuation du changement climatique que nous devons faire en agriculture<br>
 ce que nous devons faire en matière d'atténuation du changement climatique, mais mon<br>
 les préjugés sont que nous devons d'abord nous nourrir afin que nous puissions penser à<br>
 des moyens créatifs d'aborder les problèmes de changement climatique qui peuvent être aidés par<br>
 production de bioénergie d'un point de vue agricole c'est un<br>
 vue et je ne sais pas où vous vous situez là-dessus, mais en ce qui me concerne, nous avons<br>
 pour essayer de maximiser l'apport de carbone à ce système de sol parce que le sol est le<br>
 fondement de tout ce qui se passe sur notre terre, donc certaines des choses que nous<br>
 peut faire pour augmenter la matière organique du sol est d'augmenter la production<br>
 de matériel végétal dans un cas par irrigation ou fertilisation pour augmenter<br>
 la biomasse ou nous pouvons utiliser des cultures de couverture améliorent les peuplements végétalisés et<br>
 introduire des plantes dans le système qui produisent plus de biomasse, nous pouvons également<br>
 augmenter l'approvisionnement en matières organiques en se protégeant du feu puis<br>
 en utilisant le fourrage en pâturant plutôt qu'en récoltant la biomasse et nous pouvons<br>
 faire des choses en termes de contrôle des insectes et des rongeurs<br>
 et il y a une opportunité de le faire mais quand nous le frôlons il y a<br>
 avantages synergiques naturels qui se manifestent lorsque la voiture passe du fumier<br>
 le champ, une partie de cet azote et de ce carbone est recyclée et non retirée de<br>
 le système il y a ce qui est enlevé c'est la viande dans la matière que l'animal<br>
 qui sort du terrain et et mais il renvoie une grande partie du carbone<br>
 et les nutriments à travers le fumier à ce système, nous pouvons diminuer la<br>
 décomposition en réduisant ou en éliminant le travail du sol et/ou nous pouvons le maintenir saturé<br>
 avec de l'eau et en termes de ne pas fournir de conditions aérobies pour oxyder leur<br>
 carbone et nous pouvons également garder le sol frais avec une couverture végétale, donc si<br>
 c'est cool ça ne va pas se décomposer aussi vite et ce sont quelques-unes des choses<br>
 que vous pouvez faire pour essayer de gérer le taux de décomposition des matières organiques du sol<br>
 matière pratique que cette diminution de la matière organique du sol est que nous avons fait cela<br>
 en termes de remplacement de la végétation pérenne par de courtes saisons annuelles<br>
 cultures et en utilisant la monoculture, nous n'avons pas la diversité en termes d'intrants<br>
 dans le système afin que nous puissions également diminuer l'approvisionnement en matières organiques en<br>
 brûle les forêts et les pluies et les résidus de récolte, mais tout ce qui fait est presque<br>
 restitue instantanément environ 90 % du carbone qui s'y trouvait et<br>
 libère du dioxyde de carbone dans l'atmosphère et pour moi c'est un gaspillage de<br>
 de carbone parce qu'il n'y a aucune chance pour la biologie de l'utiliser et<br>
 poursuivre leurs activités normales, nous pouvons diminuer la matière organique en<br>
 augmenter la décomposition par labourage par drainage<br>
 et la fertilisation parfois, lorsque vous mettez un excès d'azote, cela augmente la<br>
 taux de minéralisation pour que la matière organique se décompose plus rapidement et par conséquent<br>
 il y a une nette diminution de la matière organique attribuée aux grandes quantités de<br>
 engrais azotés qui sont ajoutés d'accord dans la question suivante, nous examinerons le<br>
 rôle du carbonate et physico-chimique et biologique pourquoi carbone carbone en quelque sorte<br>
 s'est inversé et je ne sais pas ce qui se passe là-dessus de toute façon la santé du sol<br>
 est censée rouler sur le carbone et l'équilibre entre la sécurité alimentaire et<br>
 les besoins de la population mondiale sont déséquilibrés par l'entretien des sols<br>
 santé qui dépend du carbone du sol, donc quand vous regardez les relations de<br>
 la matière organique du sol à la santé du sol les choses physiques comprennent des choses comme<br>
 densité apparente infiltration structure du sol macropores et capacité de rétention d'eau<br>
 et sur cette grande liste de facteurs là les attributs physiques<br>
 que cela doit être pris en compte, nous avons aussi des produits chimiques en termes de<br>
 conductivité électrique que la capacité d'échange cationique le nitrate et<br>
 les concentrations de nutriments et de phosphore et tous ces autres produits chimiques<br>
 composants qui sont importants pour nous dans le maintien de la fertilité du sol et maintenant le<br>
 l'un entre en jeu, c'est la partie biologique alors que nous commençons à<br>
 comprendre en mettant davantage l'accent sur la biologie dans laquelle nous obtenons de meilleurs résultats<br>
 termes de maintien d'une sorte d'équilibre avec le carbone maintenant un certain<br>
 protéger la production de la surface du sol avec des résidus de culture en surface et<br>
 tout le temps nourrissaient la biologie du sol avec ce carbone qui a été<br>
 capturé et disponible dans la biomasse végétale et<br>
 l'activité microbienne est à nouveau contrôlée par la nitration carbonatée<br>
 dont nous avons parlé dans cette biomasse car c'est la principale source d'énergie<br>
 la productivité du sol dépend donc de ces trois éléments physiques et chimiques<br>
 et les facteurs biologiques qui sont importants pour nous, donc l'importance de<br>
 la biologie du sol en bonne santé J'espère que cela commence à devenir évident en termes de ce que le<br>
 le carbone pour fournir de l'énergie et ce que fait la biomasse en termes de<br>
 fournir des éléments nutritifs disponibles les résidus de culture peuvent<br>
 augmenter l'infiltration d'eau et en diminuant le ruissellement afin d'obtenir plus<br>
 stockage de l'eau, il y a une décomposition de la biomasse qui fournit de l'énergie pour le<br>
 population actuelle de microbes, puis que le dioxyde de carbone est recyclé dans le<br>
 atmosphère si nous avons des légumineuses dans le système, nous obtenons une fixation d'azote, nous obtenons<br>
 une certaine suppression des agents pathogènes avec cela et nous pouvons améliorer la qualité de l'eau et<br>
 améliorent bien la croissance des plantes ce carbone et le cycle du carbone est le principal<br>
 forme pour former ces agrégats stables qui fournit la porosité nécessaire pour<br>
 l'infiltration d'eau c'est la porosité de l'habitat pour le<br>
 les microbes et les champignons et donc le carbone joue un rôle intime dans la rencontre des<br>
 besoins pour la biologie du sol pour toute cette liste de raisons, la question est<br>
 il y a un moment plus favorable pour amener le carbone dans le système à partir d'un<br>
 perspective biologique et il y a des moments où il vaut mieux l'apporter<br>
 lorsque la température du sol est fraîche car le taux de<br>
 la décomposition de l'activité microbienne diminue lorsque le sol se refroidit l'un des<br>
 les exemples que j'utilise si vous devez labourer le sol le labourer quand c'est soit très très<br>
 froid ou très très sec et que le système biologique a besoin d'eau pour<br>
 poursuivre toutes leurs activités et pour que le et pendant la période plus chaude<br>
 mois où vous obtenez une décomposition plus rapide c'est-à-dire lorsque vous avez une décomposition rapide<br>
 croissance et ainsi la plante est synchronisée pour prendre les nutriments qui<br>
 sont libérés lors de la décomposition et cela se produit pendant l'été<br>
 période où nous avons des températures optimales et des précipitations fréquentes pour maintenir<br>
 activité suffisante et donc c'est là c'est l'énergie des agriculteurs et le si<br>
 les bugs vont être là, ils vont l'utiliser pour recycler le<br>
 carbone et de libérer les nutriments pour qu'il soit contrôlé par de nombreux facteurs biologiques<br>
 facteurs température et eau les deux grands et si vous voulez conserver<br>
 le carbone trouve un moyen de garder le sol froid ou sec et si vous voulez que les insectes<br>
 allez utiliser tout ce carbone pour le garder humide, pas saturé mais un peu<br>
 plus chaud et donc l'une des raisons parfois d'avoir un paillis sur le sol<br>
 surface, il a tendance à rendre la couche de surface plus froide de quelques degrés et que<br>
 aide à protéger cela et préserve cela à cause de trois, quatre ou cinq degrés<br>
 Celsius cooler bonne température ou une bonne question d'accord donc j'utilise ceci<br>
 métaphore ici pour parler du carbone comme l'épine dorsale de la sécurité alimentaire<br>
 le carbone est capturé dans le processus de photosynthèse et comme je l'ai déjà dit, il est<br>
 une source d'énergie gratuite, il alimente la biologie du sol et le résidu protège contre<br>
 érosion du sol augmente l'infiltration de la structure du sol<br>
 capacité de rétention d'eau efficacité d'utilisation de l'eau<br>
 et améliore la santé des sols et la santé humaine et fournit donc tous ces<br>
 services écosystémiques, mais ce que je veux que vous compreniez, c'est que ce carbone est<br>
 connecté dans notre écosystème, tout comme chacune de ces vertèbres pourrait être un<br>
 atome de carbone individuel et ils sont connectés de haut en bas pour fournir un<br>
 une épine dorsale solide mais le même carbone circule également dans le système comme je vous l'ai montré<br>
 sur une diapositive précédente et nous devons donc essayer de comprendre cela et il y a donc un<br>
 beaucoup de liens, il y a beaucoup de connectivité dans le carbone au sein de notre système<br>
 et plus vite on comprendra que mieux on va pouvoir gérer<br>
 ce carbone pour optimiser la production et maintenir la sécurité alimentaire ainsi de mon<br>
 perspective le carbone est le capital C qui démarre la conservation et et c'est dans ce<br>
 façon dont le carbone améliore la sécurité alimentaire<br>
 donc le présent le carbone fournit également ces autres services écosystémiques que j'ai<br>
 déjà parlé d'augmenter la transpiration d'infiltration et la bio<br>
 pores, il augmente les exsudats racinaires à mesure qu'ils descendent à travers la plante et<br>
 il y a une longue liste d'avantages que le carbone peut augmenter, mais le carbone peut aussi<br>
 être utilisé pour diminuer l'évaporation si vous avez une couche de paillis sur le dessus qui<br>
 le carbone agit pour diminuer l'évaporation, il diminue le ruissellement et l'érosion et<br>
 sédimentation, il diminue une certaine pollution de l'air et peut fournir<br>
 résistance à la germination et à l'émergence des mauvaises herbes Le carbone peut également diminuer certains<br>
 compactage et comme je l'ai dit diminuer la température du sol au moins près de là<br>
 la couche de surface elle diminue la radio le rayonnement solaire et l'ultraviolet<br>
 effets sur le sol nu dans le peu d'effet qu'il a sur le sol<br>
 biologie, il peut diminuer le besoin de drainage par tuiles et avec le sol métallique<br>
 et vous obtenez avec une bonne teneur en carbone, cela peut réduire tout coût énergétique si<br>
 vous devez planter avec le semoir sans labour que vous pourriez économiser et ainsi de suite<br>
 mon point de vue, le carbone est notre meilleur outil de gestion de l'eau que nous puissions<br>
 utiliser ce carbone se présente sous la forme de carbone du sol qui améliore l'eau<br>
 capacité de rétention, mais il est également disponible dans ce résidu d'usine avant<br>
 il est décomposé dans la façon dont il agit comme une housse de protection ok pourquoi l'un des<br>
 les choses que les agriculteurs découvrent avec les cultures de couverture, il y a plus<br>
 biomasse et ils se retrouvent avec un tapis de qui protège la surface du sol et est<br>
 plus compétitif pour le désherbage et l'un de nos agriculteurs s'est mis à utiliser<br>
 10 % de la rafle qu'il a utilisée dans le système conventionnel et il espère<br>
 qu'il obtiendra un contrôle à 100% des mauvaises herbes, nous devons essayer d'obtenir et en utilisant les diverses<br>
 cultures de couverture et divers mélanges d'entre elles, nous obtenons un approvisionnement continu de cette chose sur<br>
 la surface essayant de le faire rester 365 jours par an<br>
 et c'est un peu un défi parce que traditionnellement les gens qui pratiquent le non-labour<br>
 c'est tout ce qu'ils ont fait, c'est du spray Roundup et du paraquad de la même manière que le<br>
 les gens biologiques comptent sur le travail du sol et sur ce que le travail du sol fait à cette couche de résidus<br>
 il ne fait que mélanger et maximiser son incorporation et il en résulte un<br>
 taux de décomposition plus rapide, il constitue donc une barrière poreuse sur place<br>
 ce n'est pas comme la matière plastique mais sa barrière et avec une barrière assez dense<br>
 il devient limitant il limite l'émergence des mauvaises herbes<br>
 tu dois juste le regarder un peu différemment c'est ce n'est pas la magie de<br>
 carbone sa magie de la biomasse végétale empêchant si les lumières et quoi que ce soit<br>
 du frappeur et frapper la surface donc il y a une question dans mon esprit à propos de<br>
 faut-il séquestrer le carbone ou mettre l'accent sur le cycle du carbone ?<br>
 maintenant en anglais séquestrer signifie enfermer pour contenir et isoler ce carbone<br>
 de tout type de facteur qui peut y jouer et donc séquestrer signifie verrouiller<br>
 ce n'est pas disponible pour les microbes et mais il est sorti du<br>
 l'atmosphère et peut contribuer à l'atténuation du changement climatique, donc la seule façon dont je vois cela<br>
 si nous allons séquestrer le carbone, nous allons stocker cette énergie et c'est<br>
 ça va être de l'énergie statique, ça ne va pas être disponible pour faire un travail utile<br>
 jusqu'à ce qu'il soit ramené et mis à la disposition d'une partie du milieu biologique<br>
 système alors que dans le cycle du carbone, il s'agit davantage d'une participation active et nous<br>
 en tirer de l'énergie utile grâce à la décomposition de cette matière organique<br>
 et le cycle du carbone est en quelque sorte le dans la transition d'alimenter ces<br>
 écosystémiques et je pense donc que nous devons faire des choses pour aider à atténuer les<br>
 climatique, mais mon attitude est que je préférerais que nous nous concentrions sur le recyclage du carbone dans<br>
 notre système de production agricole pour maintenir la sécurité alimentaire si nous avons plein<br>
 estomacs notre cerveau fonctionnera beaucoup mieux pour trouver des moyens de prendre le dioxyde de carbone<br>
 hors de l'atmosphère et jusqu'à ce que nous ayons cette sécurité, mes préjugés personnels sont<br>
 que nous devrions nous concentrer sur le recyclage du carbone<br>
 et je suis intéressé j'espère que vous comprenez cette explication et je suis intéressé par<br>
 votre réaction à cela parce que l'effort de Stephan the Falls pour capturer<br>
 ce carbone est et le séquestrer en principe est juste mais en pratique je<br>
 veulent s'assurer que nous avons suffisamment de cycle du carbone et de circulation d'énergie<br>
 par ce système pour garantir que je reçois trois repas par jour et j'espère que vous<br>
 veux trois repas par jour aussi je c'est un peu hors du champ gauche pour un<br>
 mec mangeur de glucides mais je vous donne ma vraie attitude à son égard et nous pouvons parler<br>
 plus à ce sujet pendant la pause si cela vous intéresse, alors que j'essayais de<br>
 expliquer l'importance des résidus de culture qu'il peut y avoir en tant que culture morte<br>
 résidu et fournissant toujours une couverture protectrice passive mais si nous avons une vie<br>
 culture de couverture, elle capte toujours du carbone et peut être un élément actif<br>
 couverture de protection et l'utiliser et donc les deux sont des sources de nourriture<br>
 pour la biologie du sol avec un chaume de blé sec à nouveau le carbone en azote<br>
 ratio va contrôler le taux de cette décomposition et dans cet exemple<br>
 avec les cultures de couverture avec un trèfle qui aura un rapport CN étroit et de sorte que<br>
 ça va se décomposer beaucoup plus vite et c'est donc là que le concept<br>
 de la diversité vous revient en tant que gestionnaires sur le terrain que vous devez trouver<br>
 un moyen d'optimiser les combinaisons de ces éléments pour fournir la gestion<br>
 résultats que vous voulez et dans notre partie du monde, je veux protéger ce sol<br>
 pendant l'hiver quand il n'y a rien qui pousse et rien biologiquement<br>
 peut arriver et certains de mes collègues essaient donc d'obtenir<br>
 plantes qui seraient cultivées à l'automne cultures oléagineuses qui entreraient en dormance<br>
 en hiver et à moins que ce ne soit un hiver très très froid, ils ne resteront pas<br>
 dormant, puis le printemps suivant recommence à pousser et ce serait<br>
 maximiser le temps tant que cela les températures biologiques sont dans<br>
 limites pour réfléchir à différentes manières de gérer la culture<br>
 résidu pour obtenir cela, donc je n'ai apparemment pas ma diapositive là-dedans mais il y a<br>
 nous J'aimerais voir la biomasse vivante croître en capturant le carbone aussi longtemps que<br>
 biologiquement possible quand nous n'avons pas cela, alors je veux avoir des cultures mortes<br>
 résidu protégeant la surface du sol et<br>
 la troisième option sur laquelle nous travaillons est d'avoir quelque chose qui pousserait dans<br>
 l'automne entre en dormance quand le gel est là mais cela protégerait toujours un<br>
 surface du sol pendant les mois d'hiver de l'érosion éolienne et de toute érosion hydrique<br>
 que nous pourrions avoir et commencer à grandir dès que les conditions sont réunies dans le<br>
 printemps et la quatrième option pour cela est des choses comme le compost et l'ajout<br>
 matière organique ou fumier qui peut continuer et être appliqué une forme appliquée de carbone<br>
 pour ça mais comme Conrad l'a dit hier le compostage alors que c'est bon ça accélère<br>
 le processus et nous perdons une quantité énorme de carbone avant qu'il n'atteigne le<br>
 terre quand il applique ce compost et donc de mon point de vue, je préférerais<br>
 voir cette matière première mise sur le sol plutôt que de la composter et de la retourner<br>
 et le faire rouler pour accélérer la décomposition car vous pouvez perdre environ<br>
 40 à 60 pour cent du carbone dans ce processus ce que vous faites c'est vous<br>
 obtenir certains de ces micronutriments plus facilement disponibles et si c'est votre<br>
 objectif, alors il peut être acceptable d'aller de l'avant et de composter le matériau, mais si<br>
 vous voulez maximiser les avantages du carbone, nous devons trouver un moyen de<br>
 ne pas remuer cela et augmenter le taux de décomposition avant qu'il ne soit réellement<br>
 appliqué à la surface du sol oh<br>
 là, ça va donc j'utilise ces mon capital saisons carbone entre guillemets et nous<br>
 parler de cocktails de culture de couverture et il y a des avantages synergiques qui<br>
 nous voyons lorsque nous utilisons ces mélanges multi-espèces et nous apportons donc<br>
 ensemble, la culture individuelle profite à une communauté de cultures dont<br>
 effets synergiques les cultures suivantes et il a plus que la somme des<br>
 contributions des cultures individuelles en termes d'impact et mon explication simple de<br>
 la synergie est que vous avez un plus un égale trois en termes d'avantages et le<br>
 diversité dans ces cocktails de cultures de couverture, il offre des avantages synergiques<br>
 si important pour nous et donc nous ne pouvons tout simplement pas regarder une culture de couverture et espérer<br>
 obtenir certains de ces carbones profite à la diversité et à leur combinaison dans<br>
 ces cocktails est important et il y a donc l'un des écologistes à<br>
 l'université du minnesota a montré que si vous tracez la biomasse produite comme un<br>
 fonction du nombre d'espèces dans ce mélange, puis il apparaît et commence à<br>
 plafonner à environ 15 espèces dans ce mélange et cela ne change pas vraiment parce que<br>
 vous avez le maximum de captation d'énergie solaire et si vous regardez les différents<br>
 fonctions fournies par les cultures de couverture qui tombent le même jour que vous connaissez en termes<br>
 de biomasse en fonction de cela, elle augmente et commence à plafonner à environ<br>
 quatre fonctions différentes la fonction qui serait comme gérer l'infiltration<br>
 ou gérer le compactage ou le contrôle de l'érosion ou de l'azote des légumineuses mis dans le<br>
 système et donc si vous avez quatre de ces fonctions combinées dans ce mélange de 15<br>
 espèce optimale pour la combinaison<br>
 de ces cocktails de culture de couverture et ce n'est pas une simple réponse en noir et blanc<br>
 et je serais heureux d'en parler davantage et de voir ce que nous pouvons<br>
 mon point de vue les avantages environnementaux de ces cocktails de culture de couverture<br>
 ils pointent tous vers le carbone et c'est une autre citation d'un agriculteur du Nord<br>
 Dakota donc en rappelant les processus physico-chimiques et biologiques que j'ai<br>
 essayé d'illustrer ici ce que fait le carbone à partir de la biomasse et celui par le<br>
 diversité au sein de cette biomasse et il y a juste beaucoup d'individus<br>
 avantages qui proviennent du carbone dans ces cultures de couverture, puis de la couverture<br>
 cultures elles-mêmes en termes de profondeur de parcours, de taux de décomposition et de<br>
 capture totale de carbone qui est importante pour nous et en termes d'azote fixé<br>
 c'est bien d'y penser dans de petites boîtes mais quand tu commences à<br>
 y penser c'est un système très complexe et on peut mieux le comprendre<br>
 en n'en démontant que de petites portions et en creusant dans les détails et ainsi<br>
 sur et et je le répète le diable est dans les détails donc je voudrais que vous<br>
 apprendre à considérer la plante comme du carbone car elle est d'environ 45 ou 46 pour cent<br>
 carbone et donc cela nous donne à la plante beaucoup d'énergie qu'elle a le pouvoir de capter<br>
 plus de carbone, il stocke du carbone dans la biomasse et dans un système racinaire, il<br>
 stocke l'énergie dans cette pluie qui est produite pour nous, elle devient une source de nourriture<br>
 pour nous mais alors une biomasse est une source de nourriture pour la biologie du sol et le<br>
 l'apport de carbone est évident et nous en parlions et il y a donc ces<br>
 avantages environnementaux qui s'additionnent pour nous donner une qualité de vie<br>
 et de mon point de vue, notre qualité de vie dépend de l'existence de ce<br>
 plante et le processus de la photosynthèse et nous devons comprendre comment gérer<br>
 ce carbone afin que nous puissions optimiser tous ces avantages que cette plante peut fournir<br>
 nous, alors quand vous comprenez que ce sont des organismes, ils sont comme vous, ils obtiennent<br>
 faim et nous pouvons les nourrir de matière organique du sol ou ou de carbone et le carbone<br>
 le cyclisme est la clé et que dans les microbes en font partie je veux dire<br>
 ils sont la cause de ce saké et si nous n'avions pas ça tu connais le carbone<br>
 s'accumulerait dans le sol et nous n'aurions aucun endroit où vivre mais<br>
 la décomposition due à l'activité microbienne leur permet de transporter<br>
 leurs fonctions nécessaires et nous fournissent toujours un nutriment raisonnable<br>
 base pour la nutrition des plantes qui dépendent tous de ce processus de<br>
 photosynthèse donc de mon point de vue c'est c'est ce n'est pas le stockage du<br>
 carbone c'est l'énergie utile qui sort du cycle de ce carbone le<br>
 le carbone l'eau et l'oxygène sont quelques-uns des grands connecteurs des deux<br>
 systèmes d'agriculture de conservation dans l'économie planifiée la monnaie là-bas<br>
 est du carbone et c'est important parce qu'il permet à ces biens et services de<br>
 échanger plus efficacement avec avec l'économie du sol la biologie du sol travaille dans<br>
 l'harmonie et la synchronie procurant ces avantages synergiques dont je viens de parler<br>
 à vous à ce sujet afin que la matière organique du sol génère et régule ces<br>
 les services écosystémiques qui soutiennent toute vie sur Terre comme une citation de Ratan Lau et ainsi de suite<br>
 c'est l'interaction de cette matière organique et de la biologie et l'un des<br>
 grands facteurs dans le contrôle c'est un rapport carbone azote de l'ensemble<br>
 système qui régule en quelque sorte la décomposition et la vitesse à laquelle les choses<br>
 se passe et dans nos efforts de gestion pour essayer d'améliorer la décomposition de<br>
 que nous ayons du chaume de maïs ou de blé, nous devrons parfois ajouter cet azote supplémentaire<br>
 pour accomplir cela afin que cela n'affecte pas le rendement du sol de la prochaine culture<br>
 la santé est au centre de cette approche intégrée et holistique de<br>
 la gestion des sols et j'ai mes préjugés sur les processus et les propriétés du carbone du sol<br>
 que ce sont des composants clés à part entière et sans ce carbone, il n'y a pas<br>
 va se passer beaucoup de choses mais ce n'est tout simplement pas le carbone et nous avons lutté avec<br>
 un peu le rapport azote carbone/azote mais nous devons comprendre<br>
 que ces deux interagissent et il y a une centaine d'autres facteurs qui<br>
 contrôler le taux de décomposition et et l'interaction de la biologie et<br>
 et leur source de nourriture, nous sommes sous pression en nous même si nous avons<br>
 certains semis directs si nous devons subir des années de sécheresse sévère, il y aura des gens qui iront<br>
 100 affamés et affamés aux États-Unis et il y a déjà des gens qui meurent de faim aux États-Unis<br>
 divers endroits dans le monde maintenant et j'ai un sentiment d'urgence à faire<br>
 sûr que nous produisons la nourriture de manière durable<br>
 que vous l'appeliez régénératrice ou organique ou autre et parce qu'il faut<br>
 de 700 à 1500 ans pour faire 2,5 centimètres de sol que nous ne pouvons pas nous permettre<br>
 de perdre toutes les photos que nous avons vues hier et certaines des présentations<br>
 vous les gens avez plus d'érosion que bien qu'ils montrent les exemples exagérés<br>
 et nous avons la même chose aux États-Unis, donc je suis heureux de voir que vous êtes<br>
 ici parce que j'espère pouvoir vous convaincre qu'il y a d'autres façons de regarder le système<br>
 et pensez un peu plus à la gestion du carbone parce qu'il y a des choses<br>
 que nous pouvons faire que nous avons pris pour acquis ou que nous n'avons pas compris avant<br>
 et nous devons profiter de chaque petit accroissement de connaissances que nous<br>
 l'obtenir et l'appliquer et donc moi de la philosophie de la tête de chou où deux têtes sont<br>
 mieux qu'un même si on est une tête de chou maintenant comprennent-ils<br>
 chou le légume qui est autour d'accord donc le point que je veux faire est dans<br>
 la philosophie de la tête de chou deux têtes valent mieux qu'une même si l'une est une<br>
 tête de chou donc je pourrais être un expert en carbone et vous pourriez être la tête de chou<br>
 mais vous pourriez être l'expert en politique et je suis la tête de chou mais quand vous<br>
 et je communique ou l'un d'entre nous communique dans les deux sens avec de vrais<br>
 interaction et nous obtenons cette relation synergique que un plus un égale<br>
 trois en termes d'impact et je suis donc honoré que vous soyez ici mais heureux de<br>
 voir que cette interaction que j'ai vue sur scène hier, ces réseaux étaient juste<br>
 produire des informations et des idées et cela m'a fait me sentir très bien, nous avons donc besoin<br>
 plus de cela et nous avons besoin de plus de ce genre de réunions pour répondre à vos besoins<br>
 pour ça et malheureusement aux états-unis les gens vont à l'épicerie et<br>
 ils sont très très éloignés des agriculteurs mais il y a un effort maintenant pour<br>
 rapprochez-les pour comprendre d'où vient leur nourriture parce que le<br>
 les dommages environnementaux arrivent avec l'agriculture intensive ne peuvent pas être tolérés<br>
 plus ouais tu as dit qu'il y a une compétition entre nourrir le monde<br>
 et quêtes et de séquestrer le carbone dans n'importe quel<br>
 niveau biologique ou quelque chose qui empêche d'augmenter la capacité de<br>
 âme à sécréter pour le commerce du sexe plus de carbone pendant que vous pouvez voir le monde<br>
 une excellente question et cela se résume à quelque chose qui peut être très très<br>
 simple en termes d'essayer de maximiser la capture de l'énergie solaire même dans<br>
 l'hiver ici en France, il y a de l'énergie qui est gaspillée et nous devons<br>
 nous forcer à maximiser cette option et nous avons une mère nature nous donne un<br>
 certaine capacité et en ce moment nous ne sommes pas à 100 % de capacité en termes de capture<br>
 capter l'énergie du carbone, mais nous devons apprendre à travailler dans le<br>
 limitations afin que nous puissions développer des plantes qui pousseront dans des conditions plus sèches<br>
 conditions ou des conditions plus fraîches ou quoi que ce soit une fois que nous devons maximiser le<br>
 capture de cette énergie carbonée qui est la réponse courte et comment nous faisons<br>
 que vous, jeunes esprits, allez devoir faire<br>
 une partie de la réflexion et prenez cela comme un défi le fait que vous soyez ici<br>
 vous avez fait le premier pas en montrant de l'intérêt pour au moins ce que je<br>
 penser que la partie la plus importante est de comprendre la gestion du carbone carbone<br>
 dans l'agriculture a été une sorte de cadeau et ce n'est que dans les 10 derniers<br>
 années où nous avons commencé à parler de la santé et à apprécier la biologie du sol<br>
 que le carbone arrive comme une chose nutritionnelle, vous comprenez tous la fertilité de n<br>
 P et K et ça existe depuis longtemps<br>
 et de mon point de vue en termes de compréhension d'un système biologique carbone<br>
 est beaucoup plus important que n P et K dans tout ce système c'est ce n'est pas tout<br>
 les avantages mais c'est quelque chose que nous devons apprendre et mieux comprendre<br>
 et nous le faisons et nous devons donc continuer à augmenter le taux de<br>
 la formation et l'éducation et je suis honoré d'en faire partie et<br>
 J'espère que vous emporterez une partie de ce message chez vous et que vous le partagerez avec vos amis<br>
 et vos amis politiciens et ainsi de suite, merci de m'avoir donné une opportunité<br>
 dire ce que je veux dire et vouloir croire et j'espère pouvoir vous convaincre<br>
 que vous développez tous la même attitude, donc d'accord, une partie de la raison pour laquelle je suis<br>
 voici j'ai fait un peu de recherche sur le travail du sol induisant une perte de dioxyde de carbone<br>
 et je voudrais vous dire que c'est parce que je suis un homme très intelligent que nous<br>
 trouvé cela, mais la seule chose que j'ai faite a été d'apprendre à mon technicien comment calibrer un<br>
 analyseurs très complexes pour mesurer la perte de dioxyde de carbone et c'est totalement par<br>
 accident, nous avons trouvé cela, mais lorsque vous labourez le sol, il y a un gros rot de carbone<br>
 dioxyde de carbone qui sort et cette quantité d'émissions de dioxyde de carbone est<br>
 proportionnel au volume de sol perturbé donc quand on a du semis direct avec<br>
 perturbation minimale du sol, il y a une très très petite quantité qui sort, mais si<br>
 vous avez supprimé les mauvaises formes de travail du sol de conservation et certaines avec<br>
 couvercle de résidus dessus, vous obtenez une quantité de plus en plus grande de dioxyde de carbone à venir<br>
 au maximum est avec la charrue à versoir d'environ 25 centimètres de profondeur et ainsi<br>
 nous en parlerons plus et et fondamentalement cette partie est ma seule revendication<br>
 à la gloire en tant que scientifique afin que nous puissions comprendre ce qui se passe dans notre être humain<br>
 le développement ou l'évolution humaine et il y a donc des gens qui ont fait des estimations<br>
 sur ce qu'était le carbone que nous avons perdu dans les sols, il s'agit de<br>
 500 Giga tonnes de co2 sur la base de celui-ci<br>
 estimer afin que cette matière organique diminue dans les sols auxquels nous sommes confrontés plus<br>
 les dommages causés par l'érosion, les vagues de chaleur et les sécheresses et d'autres extrêmes climatiques et<br>
 cela devient un cercle vicieux dans un dimère Caligari avait ce cercle vicieux<br>
 et c'est ce qui se passe et parfois dans un système naturel donc aux États-Unis a<br>
 a commencé dans les années 1930 avec le Dust Bowl et cela a commencé le<br>
 mouvement de conservation et nous essayons donc toujours de comprendre ce que nous pouvons faire pour<br>
 mieux gérer le sol et du point de vue de l'ingénierie bâtiment<br>
 structures a aidé la construction de terrasses a aidé mais c'est seulement maintenant avec le<br>
 les mouvements de santé du sol et la biologie du sol que nous maîtrisons mieux<br>
 travailler et collaborer avec mère nature pour que l'érosion et la dégradation des sols<br>
 un problème énorme et David Pimentel est un scientifique à l'université<br>
 Minnesota et a déclaré qu'en raison de l'érosion au cours des 40 dernières années, 30 % des<br>
 les terres arables du monde sont devenues improductives et avec une expansion<br>
 population, nous ne pouvons pas nous permettre de perdre une partie de cette ressource parce que nous n'allons pas<br>
 avoir suffisamment de terres suffisamment de ressources pour produire de la nourriture de manière durable<br>
 lorsque nous atteignons une population d'environ 9,5 milliards d'habitants et que le premier symptôme visible<br>
 de la dégradation c'est l'érosion que tu veux dire si tu ne te regardes pas<br>
 ne le verra pas mais c'est là et mais ce n'est qu'une partie des dommages qui sont<br>
 fait quand vous comprenez que la biologie invisible est perturbée et<br>
 avoir du mal à essayer de faire ce qu'ils sont censés faire pour maintenir<br>
 notre système, ce sont donc quelques-unes des conséquences de la perte de la matière organique du sol<br>
 matière qui sont répétées résultat du travail répété du sol lorsque vous labourez le<br>
 beaucoup de sol laissez-le à nu vous avez plus de chances que l'eau ruisselle les sédiments<br>
 perte et l'énergie d'entrée et la forme de combustible fossile ou d'engrais ou de pesticides<br>
 augmente donc avec le travail du sol intensif, il y a d'autres choses que vous pouvez faire pour<br>
 compenser certains des effets négatifs du travail du sol, mais les coûts des intrants disparaissent<br>
 continuellement en hausse et cela s'éloigne de la façon dont mère nature le ferait, nous pouvons<br>
 diminuer la capacité de capture et de libération du carbone et de la plante<br>
 nutriments dans le sol trouver un moyen de le maintenir en ce sens que nous pouvons<br>
 diminuer la qualité du sol et les pores biologiques qui sont la conséquence de la<br>
 travail du sol et cela modifie l'environnement d'enracinement si l'on<br>
 perdre cette matière organique, nous allons obtenir des rendements décroissants comme nous l'avons été<br>
 parlant toute la matinée on diminue l'activité et la diversité du sol<br>
 organismes et les résines que nous obtenons une dépendance réduite à l'égard de la plante du sol<br>
 système d'atmosphère pour aider à fournir la résilience dont nous avons besoin pour certains des<br>
 extrêmes climatiques que nous connaissons, nous devons donc commencer<br>
 réfléchir à la façon de modifier les ratios d'entrée-sortie de nos systèmes qui indiquent<br>
 ces efficacités réduites et et utiliser les et l'utilisation des intrants et afin que nous puissions<br>
 minimiser toute pollution ultérieure, nous obtenons ce risque accru de<br>
 la durabilité et la sécurité alimentaire de l'agriculture conventionnelle du sol et de la<br>
 dégradation de l'environnement associée, c'est une longue liste de choses qui<br>
 vous dire que nous ne devrions pas labourer le sol de manière intensive, un exemple en est<br>
 montré sur cette diapositive suivante et Apple n'aime pas mes diapositives mais c'est une<br>
 données à long terme de deux stations d'expérimentation aux États-Unis les meilleurs avions avec<br>
 les cercles ouverts proviennent de l'Université de l'Illinois dans le centre de l'Illinois à<br>
 le milieu de la Corn Belt et l'autre ensemble vient du champ de Sanborn<br>
 place dans le centre du Missouri sur l'axe des y est le pourcentage de carbone dans le sol<br>
 et sur l'axe des abscisses est le temps à partir de 1880 ici et allant jusqu'à 2000 sur le<br>
 autre extrémité et de sorte que le point que je veux faire est que l'ouvert<br>
 les cercles sont une rotation maïs avoine et foin et pendant la rotation foin<br>
 il n'y a pas de travail du sol parce que c'était une culture pérenne et donc nous obtenons le moins<br>
 baisse et la moindre perte à la fin de la période où ils effectuaient la<br>
 les mesures par contre les triangles ouverts sont un maïs labouré continu<br>
 en disques chaque année et vous pouvez voir que vous avez le déclin le plus rapide et cela se termine<br>
 avec la valeur la plus basse à la fin de la période de mesure sur environ 2000 donc<br>
 qui nous dit quelque chose sur le système dans le système de culture que nous sommes<br>
 l'examen d'une relation similaire est valable pour les données du Missouri, les traitements sont<br>
 juste légèrement différent mais cela se résume à<br>
 de mon point de vue pour être lié à eux, la quantité de travail du sol a lieu<br>
 et je termine donc avec ce résumé de ce que l'agriculture intensive a fait dans<br>
 termes de la matière organique du sol diminuent sur le long terme et la chose<br>
 que j'ai appris de la diapositive précédente, c'est que les systèmes de recadrage<br>
 peut faire une différence alors nous regardons les explications possibles pour le sol<br>
 déclin du carbone et le premier est que nous avons du carbone éliminé du carbone exporté<br>
 du champ à la suite de l'enlèvement du grain et que nous le mangions ou le nourrissions<br>
 pour les animaux c'est environ un tiers du carbone fixé dans celui dans ce système<br>
 la deuxième explication possible est le labour intensif de la charrue à versoirs<br>
 Addis Carol qui a été utilisé jusqu'à environ 30 ou 40 dernières années aux États-Unis un tiers<br>
 L'explication possible est que nous avons changé d'espèces vivaces dans le<br>
 les sols vierges avec des graminées vivaces qui mettent 60 à 90 pour cent de leur<br>
 biomasse souterraine par rapport à nos parcelles agronomiques annuelles chaque espèce<br>
 qui ne mettent que 15 à 20 pour cent de leur biomasse sous terre, donc nous mettons<br>
 moins de carbone avec nos espèces agronomiques le quatrième facteur est la<br>
 augmentation de la minéralisation de la matière organique résultant d'une<br>
 de plus grandes quantités d'engrais azotés inorganiques qui améliorent cette<br>
 la minéralisation et trop d'azote sur ce système accélèrent ce processus et<br>
 la population de microbes se prépare et se développe et finalement la ressource<br>
 devient limité et ensuite ils descendront, mais pendant qu'ils font cela, ils<br>
 prennent et utilisent plus de carbone qu'ils n'en ont vraiment besoin parce que l'azote supplémentaire<br>
 c'est là que le cinquième facteur possible au moins dans le Midwest américain est la tuile<br>
 drainage à la suite d'une aération accrue du sol qui pourrait réduire le carbone a<br>
 un peu donc il y a cinq facteurs possibles et je serais intéressé par<br>
 votre réponse quant à celui qui, selon vous, est le plus grand contributeur à la<br>
 diminution du carbone dans le sol mes biais et mes recherches montrent que<br>
 labour intensif avec la charrue à versoir je n'ai pas de données pour ce que le changement<br>
 dans les espèces vivaces sont autres que ce que d'autres personnes m'ont dit, mais les deux<br>
 ces choses que je pense sont les principaux contributeurs à la diminution du carbone<br>
 dans tous nos sols agricoles, les engrais synthétiques font un<br>
 contribution mais je pense que c'est petit et si si le drainage a un effet, il<br>
 serait petit et l'autre partie avec laquelle je me bats encore, c'est que dans un<br>
 système naturel Mère Nature n'exporte pas de carbone et nous avons ici<br>
 le besoin humain de nourriture, de fibres et d'énergie et nous développons une technique utilisant<br>
 l'agriculture pour faire pousser cette plante et éliminer une partie du carbone de la<br>
 l'écosystème dans lequel il a été cultivé et l'une des choses qui, je pense, se passe<br>
 est maintenant que l'avènement des cultures de couverture va un long chemin à remplacer<br>
 ce carbone que nous exportons lorsque nous prélevons le rendement en grains et que nous alimentons<br>
 au bétail ou aux poulets ou aux porcs ou à nous-mêmes et nous devons donc en trouver<br>
 façon et Claire shinnou l'a mentionné dans sa présentation et elle dit que nous avons besoin<br>
 45 % de carbone en plus dans le système que nous ne le faisons actuellement pour compenser cela à venir<br>
 retour plus près d'un système naturel bien je trouve cette valeur d'un tiers et je<br>
 ne veux pas discuter de la différence entre un tiers et 45% c'est le<br>
 principe et nous devons trouver un moyen de quantifier cela afin que nous puissions faire<br>
 une déclaration définitive si le travail du sol intensif et le changement d'espèces je pense<br>
 sont quelques-uns des facteurs les plus importants, de sorte que le travail du sol intensif conduit à toutes les formes de<br>
 la perte de carbone du sol et le défi avec le travail du sol et le dioxyde de carbone est le<br>
 le dioxyde de carbone est incolore est inodore il est insipide<br>
 vous ne pouvez pas le voir le sentir ou le toucher donc vous ne pouvez pas percevoir qu'il y a un<br>
 problème, mais si vous regardez ce nuage de poussière derrière l'outil, vous pouvez voir<br>
 cette poussière tu peux sentir cette poussière tu peux goûter cette poussière tu peux percevoir<br>
 type d'érosion éolienne et j'utilise cette analogie pour essayer de vous faire comprendre<br>
 pour mesurer la concentration de co2 et de vapeur d'eau il faut un coût très élevé<br>
 analyseur de gaz infrarouge qui mesure l'extrémité inférieure des dixièmes de parties par million<br>
 et le défi pour les gens de comprendre c'est qu'il n'y a pas de visible<br>
 preuve que cela se passe bien vous savez quand le quand vous labourez le sol et<br>
 vous y voyez de l'humidité et six heures plus tard, elle commencera à vous sécher<br>
 peut voir des preuves visibles de cela, mais pendant ce même temps, il y a ce<br>
 grand rot de dioxyde de carbone qui sort du sol à la suite d'une<br>
 un travail du sol si intensif libère cette grande quantité invisible d'invisible<br>
 co2 qui est analogue à ce nuage de poussière et j'espère que vous prendrez le<br>
 mesures que je vous montre et je comprends qu'il y a quelque chose<br>
 qui se passe là-bas et c'est pourquoi ça se passe donc il y a un est<br>
 difficile de parler de non-labour encore à un faible niveau personnes<br>
 comme sentiment en fait le travail du sol est une naissance de l'Agriculture et quand on dit non<br>
 le travail du sol est une contradiction complètement forte forte corrélation avec le passé<br>
 d'abord et très encore des gens qui argumentent sur le fait qu'il faut faire exploser<br>
 dans certains pays nordiques pour eux est important de souffler et d'améliorer la<br>
 structure du sel II ont été confrontés à cette question avec à travers 40<br>
 années de ma carrière et si vous avez l'attitude que c'est<br>
 ne va pas travailler et il ne se passe rien rien ne se passera mais je sais<br>
 il y a des gens à 62 degrés de latitude nord en Finlande un ou deux agriculteurs<br>
 qui font le travail sans labour et je comprends que les gens de l'Université ont des données à<br>
 montrer que le semis direct ne fonctionne pas et que je suis censé rendre visite à certains<br>
 concessionnaire d'équipement qui vient ici à cette réunion et il veut comprendre pourquoi<br>
 les gens de l'université ne peuvent pas bien montrer de différence, je pense qu'une partie du<br>
 l'explication est et je veux vous en parler davantage, c'est qu'avec le non-labour et<br>
 aucune autre forme d'apport de carbone en termes de maïs, de soja ou de blé n'est<br>
 pas assez pour augmenter la teneur en carbone et je pense que s'ils en trouvent<br>
 moyen d'y glisser une culture de couverture pendant deux ou trois semaines ou un mois au printemps<br>
 et le chef du flic agronome et à l'automne ils vont commencer à voir des<br>
 différences aucune histoire en soi plusieurs fois n'entraîne pas une augmentation du carbone<br>
 car comme je l'ai indiqué la racine la biomasse de maïs et de soja qui<br>
 point environ 15% de leur biomasse sous terre et par rapport à la pérenne<br>
 système, mais nous avons consacré 60 à 90 pour cent du programme de biomasse, nous avons donc lutté avec<br>
 cela et il y a beaucoup de débats en cours et cela me dérange en tant que scientifique quand<br>
 les gens prennent et utilisent cet outil puissant appelé méta-analyse et ils<br>
 et dire qu'ils ont obtenu 6 000 échantillons de données et ont dit bien que cela ne montre aucune augmentation de<br>
 du carbone dans le puits sans labour, je pourrais continuer pendant une demi-heure sur les problèmes là-bas, mais je<br>
 si nous pouvons attendre jusqu'à ce que nous ayons terminé, ils s'en sortiront et ensuite<br>
 nous en parlerons parce que c'est un problème social plutôt qu'un<br>
 problème technique et le problème social est la matière grise entre les oreilles de quelqu'un a<br>
 tourné au béton gris en termes de ce qu'ils pensent qui se passe et et je vais<br>
 vous donner mes préjugés pour que j'apprécie la question que je pourrais en parler pour<br>
 deux heures c'est bon avec Antonia Puzo faire des uniformes L'école de Lodi a dit oh mon cher<br>
 allez van NuWave a la population sur le segment médian un module e mais en raison de<br>
 encore la présentation dis-moi défait chanté comte omoi devine Kyra Stockholm sole<br>
 bonne nuit sur une planète Asie moment sur John Doe chaussure espace couvent manteau coton<br>
 voila Naomi je suis une adulte présente a dit au<br>
 la continuation de l'exécuteur testamentaire continue à un pas de la santé para su voir un énorme<br>
 catastrophique Chabot huija BG Nvidia la suite MIDI sur un pont ouzo ash sit a todo<br>
 module est toutes les bactéries dans un tel qui est un continuum et nous manquons tous<br>
 comptable bien, je commente d'où vient un mélangeur, c'est un problème très important<br>
 et j'apprécie le point que vous faites, vous devez avoir une certaine science de la contrainte du sol<br>
 formation quelque part le long d'une ligne parce que nous devons comprendre qu'il faut<br>
 entre 700 et 1500 ans pour faire 2,5 centimètres de sol et nous sommes<br>
 perdre du sol plus vite que Mère Nature le fait dans tous nos<br>
 systèmes agricoles labourés et il est perdu par l'érosion dans notre cas, il<br>
 descend le Mississippi au milieu de notre pays et est<br>
 déposés dans le golfe du Mexique et tous les nitrates et les<br>
 le phosphate et les algues qui s'y trouvent en raison de l'application excessive d'engrais<br>
 contribue à la dégradation de cette source de poisson pour førde pour<br>
 fruits de mer, donc si nous ne protégeons pas le sol, nous<br>
 n'aura pas de sécurité alimentaire, c'est aussi simple que cela parce que nous avons fini<br>
 quantité de sol et conditions environnementales où nous pouvons produire la nourriture<br>
 dont nous avons besoin et avec les extrêmes climatiques que nous vivons, nous avons<br>
 devons trouver un moyen de renforcer la résilience de ce système parce que nous<br>
 avons des averses de 300 millimètres en dix heures et nous avons des inondations importantes et<br>
 Je pense qu'en pouces, nous avons eu une tempête et un ouragan<br>
 Houston Texas en trois jours a largué 50 pouces, c'est ce qu'il y a à cent cinquante<br>
 quinze cents millimètres d'accord merci pour la conversion j'apprécie ça<br>
 et cela se produit avec plus de fréquence et une intensité plus élevée, donc de toute façon, n'obtenez pas<br>
 J'ai commencé là-dessus parce que c'est que nous avons des négationnistes climatiques aux États-Unis et je<br>
 supposez que vous en avez ici avec eux sans le climat auquel nous n'allons pas<br>
 produire la nourriture sans terre, nous n'allons pas produire la nourriture et nous avons donc<br>
 apprendre à assembler l'ensemble du système pour renforcer la résilience là-dessus afin<br>
 si nous pouvons revenir un peu sur la bonne voie et nous pouvons parler de ce que fait le travail du sol<br>
 pour diminuer l'efficacité de l'utilisation de l'eau et encore une fois j'ai cette liste de courses de<br>
 ce qui diminue l'efficacité de l'utilisation de l'eau et une liste de courses de ce qui diminue le sol<br>
 santé et je pourrais probablement parcourir cette liste et vous les dire, mais je<br>
 fourni une copie de la présentation PowerPoint et<br>
 il faudrait aider quelqu'un à t'aider à le traduire mais il y en a beaucoup beaucoup<br>
 les choses que le travail du sol fait pour diminuer l'efficacité de l'utilisation de l'eau en termes de<br>
 perturbation du sol nous avons des systèmes de monoculture nous avons une diversité minimale et<br>
 bon nombre de nos systèmes de travail du sol entraînent une diminution de l'infiltration et une augmentation<br>
 ruissellement il diminue tout stockage de nutriments il plante l'eau disponible est parce qu'il<br>
 s'enfuit il n'entre pas et dans n'importe quel stockage que nous descendons là-bas c'est<br>
 limité car leurs bacs de travail du sol dans le profil qui ne permettent pas aux racines<br>
 pénétrer plus profondément dans ce sol nu augmente l'évaporation le travail du sol<br>
 diminue les pores biologiques et diminue la porosité du sol et et en effet<br>
 diminue la profondeur d'enracinement donc j'espère juste pouvoir vous convaincre que le travail du sol est<br>
 pas très bon pour augmenter l'efficacité de l'utilisation de l'eau et je serai heureux de parler à<br>
 vous en parler plutôt que d'approfondir cette question, je vais donc parler d'un<br>
 un peu plus sur le travail du sol et j'ai l'impression de manquer de temps, donc si<br>
 Je peux sauter les questions sur celui-ci et j'espère que nous en aurons plus sur<br>
 le prochain ceci de mon point de vue et de mes préjugés<br>
 l'ennemi numéro un de l'environnement dans l'agriculture de production est cette conviction<br>
 est un travail du sol conventionnel qui favorise l'oxydation de la matière organique du sol et<br>
 dégradation du sol et j'ai donc ces flammes qui sont censées être<br>
 scintillement représentant une oxydation lente une combustion lente du carbone le prenant<br>
 à partir de carbone l'élément et en ajoutant à l'oxygène pour faire du co2 qui sort et<br>
 c'est invisible pour nous, donc le travail du sol modifie la concentration en oxygène de<br>
 de 14 à 15 pour cent sous sol consolidé à 21 pour cent et que<br>
 21% de l'oxygène entrant dans le système, c'est un peu comme verser<br>
 l'essence sur le feu ça accélère l'oxydation<br>
 processus et ces flammes deviennent un peu plus grandes et leur scintillement<br>
 et de mon point de vue, le carbone sortant du sol est comme de l'argent<br>
 sortir du sol parce qu'il en coûte quelque chose pour faire entrer ce carbone et<br>
 les autres la photo similaire que j'avais avant donc j'ai découvert ça<br>
 la perte de carbone induite par le travail du sol et nous allons essayer de vous convaincre que c'est<br>
 quelque chose de réel dont nous devons nous préoccuper<br>
 et donc mes bouffées de dioxyde de carbone s'en vont et j'ai énuméré tous les<br>
 choses que ce travail du sol fait au système et le principal que je veux<br>
 parler est la perte de carbone et la perte de biodiversité et ces autres choses<br>
 Je pense que vous pouvez attraper le hors des diapositives lorsque vous avez l'occasion de<br>
 regardez-le en détail alors je fais ceci pour essayer de vous donner une idée de la façon dont ces panaches<br>
 de dioxyde de carbone que vous ne pouvez pas voir s'échappent réellement et qu'est-ce qui est<br>
 provoquant la diminution du carbone du sol look Casca pour la politique américaine sur<br>
 kavagi ressemble à un météore poly laissant une voie au carbone lors d'un quasi ou d'un blocage -<br>
 tu veux un carbone ma mère était très importante dans ma vie et elle l'a fait<br>
 clair pour moi en grandissant et en tant que scientifique dont je ne parle pas<br>
 religion et politique, mais ma réponse courte est la situation politique dans le<br>
 nous avons un besoin urgent de changement et ce n'est pas très bon<br>
 et je suis ici pour apprendre quel est le plaisir que l'automne a fait pour poursuivre ses efforts dans<br>
 aider les agriculteurs à obtenir du carbone dans le sol parce que c'est l'un des plus longs<br>
 initiatives dont je suis au courant et j'espère qu'elles continuent de progresser et<br>
 mais aux états-unis je suis je suis considéré comme un hors-la-loi ou quelque chose à<br>
 cet effet parce que beaucoup d'agriculteurs n'y croient pas et disent<br>
 eh bien ce ne sont que les changements normaux que nous traversons bien les données en montrent plus<br>
 variabilité plus extrêmes et plus de dégâts et avec les incendies de forêt que nous avons<br>
 en Californie suivi de fortes précipitations, nous avons eu un événement ou vingt<br>
 deux personnes ont été tuées parce que les sols qui descendaient des canyons étaient tout simplement parfaits<br>
 sur leur maison et a entraîné leur mort et nous avons vu des gens mourir dans notre<br>
 ouragans et c'est bon ben je ne sais pas si on peut faire quoi que ce soit tout de suite<br>
 mais nous devons commencer à faire un peu maintenant et un peu plus plus tard et encore<br>
 et ensuite pour résoudre certains de ces problèmes<br>
 Je suis désolé de dire que notre situation politique n'est pas très bonne et puis-je<br>
 laissez-le comme ça d'accord pouvons-nous revenir à la science qui est un<br>
 problème et c'est et c'est un problème sérieux et donc je ne veux pas le minimiser mais<br>
 J'ai combattu ça pendant 35 ans et j'ai la peau épaisse et la tête dure et c'est donc<br>
 euh, je deviens aussi émotionnellement sage, alors d'accord, alors revenons à la science, nous avons développé cela<br>
 système de chambre portable auquel nous avons donné le nom mr. Jim qui en anglais se tient<br>
 pour la machine d'échange de gaz de recherche mobile, ce n'est rien d'autre qu'un jeu élevé<br>
 chariot élévateur que nous avons monté cette boîte à l'avant la boîte en plastique transparent principalement<br>
 pour mesurer la photosynthèse et nous mesurions la photosynthèse et essayions de<br>
 caractériser à quelle vitesse un plant de maïs meurt dans le gel meurtrier et mon<br>
 technicien a appris à calibrer de nombreux démarrages et calibrer à la fin bien dans<br>
 l'étalonnage final si la concentration de l'atmosphère était d'environ 350 parties<br>
 par million alors c'était probablement bien<br>
 eh bien ce jour-là qu'il faisait que c'était 410 parties par million et donc il<br>
 amené le tracteur au labo et je suis sorti et je l'ai calibré et là<br>
 le co2 ambiant était de 355 parties par million alors j'ai pensé bien bien bien<br>
 peut-être a-t-il fait quelque chose de mal le lendemain, il est descendu pour faire le<br>
 mesures à nouveau et quand il y est arrivé, la concentration de co2 était un peu<br>
 élevé mais pas trop mal quand même il a fait les mesures et quand il a terminé<br>
 les mesures du jour où la concentration de co2 atteignait 420 parties par<br>
 millions alors je suis descendu sur le terrain et j'ai fait des mesures sur une parcelle d'ours où<br>
 nous avions une référence pour savoir ce qui sort d'un sol d'ours nous le gardons lu gratuitement<br>
 et ainsi de suite et ces mesures étaient bonnes, les mesures que nous avons obtenues étaient en train de mourir<br>
 plante était ce à quoi nous nous attendions et quand je l'ai calibré<br>
 J'ai eu 420 parties par million et bien je ne me trompe jamais donc je ne savais pas ce que c'était<br>
 se passe donc nous sommes là à essayer de comprendre pourquoi l'analyseur a été<br>
 donnant cette valeur élevée de dioxyde de carbone et je tournais et retournais dans les champs<br>
 venant de la portion au vent était un gars allé au tracteur labourant et ils<br>
 y labouraient la veille alors nous sommes allés mesurer avec cette chambre<br>
 où il a été labouré il y a 24 heures et normalement quand on mesure la plante<br>
 photosynthèse, l'aiguille ira en quelque sorte très très lentement et le<br>
 ordinateurs collectant ces données pour effectuer des calculs une fois par seconde, nous sommes donc allés<br>
 sur ce sol il a été labouré il y a 24 heures<br>
 et l'aiguille sur les choses on l'a lu dix fois et puis j'ai dit bon allons<br>
 aller là où la terre fraîchement labourée et donc nous savons que nous devons faire attention avec<br>
 avec de l'équipement et des personnes parce que nous pouvons dire s'il y a une personne qui expire<br>
 là et si c'est au vent de la chambre donc on sait déjà ça et et donc on<br>
 devons le faire, alors nous sommes allés là-bas et après le passage du tracteur, nous sommes entrés<br>
 et laissez tomber la chambre, il est allé aussi vite répété dix fois, puis la lumière<br>
 s'est énervé à propos de ce dioxyde de carbone invisible sortant du sol alors<br>
 totalement par accident, mais cela explique au moins dans mon esprit une grande partie de ce qui est<br>
 se passe donc j'utilise ces panaches de notre usine d'éthanol pour vous donner une idée de la<br>
 genre d'échange de gaz a eu lieu parce que je vous ai dit que vous ne pouvez pas voir<br>
 le le dioxyde de carbone parfois quand il fait froid, vous pouvez voir la vapeur d'eau comme un<br>
 un peu de brouillard mais pour vous donner une idée le processus d'échange de gaz prend<br>
 place donc l'une des premières expériences que nous avons faites, nous avons continué et nous avons eu un non-labour<br>
 traitement où nous avons fait passer cet équipement là-bas pour obtenir la même quantité de<br>
 compactage puis nous en avons eu un avec ce qui avait une culture cannelée pour ameublir le sol<br>
 environ soixante-seize millimètres de profondeur alors nous en avons eu un avec un couteau à engrais qui<br>
 a donné une forme de sol en forme de V qui s'améliore, puis nous en avons eu un qui n'était pas ce qu'il<br>
 appelé le couteau de taupe qui avait un volume plus en forme de U, puis nous avions un faible<br>
 sous-sol juste un peu de terre Shang puis descendit de trois cent cinquante millimètres et<br>
 nous avons comparé cela avec la charrue à versoir afin que l'outil de travail du sol soit tiré<br>
 par un tracteur à travers la parcelle, nous entrerions immédiatement après la chute du<br>
 chambre et faire trois mesures répétitives pour obtenir cela, puis nous<br>
 irait à un autre endroit pour répéter le travail du sol pour nous donner quatre<br>
 réplications, mais nous l'avons fait avec chacun de ces types de<br>
 travail du sol et j'espère que vous aurez une idée à quoi ils ressemblent<br>
 donc quand nous examinons cela et mesurons sur l'axe des y qui est le<br>
 perte cumulée de dioxyde de carbone sur le côté gauche, il est censé être<br>
 dans les cinq heures après le travail du sol et à droite c'est 24 heures donc notre<br>
 les nombres sont différents en raison de l'intervalle de temps plus long, donc je suis vraiment désolé<br>
 que ça ne passe pas par là mais euh tu peux voir que c'est le<br>
 charrue à versoir c'est le sous-sol Chang c'est le couteau à engrais Athene avec<br>
 la vie de moule le truc d'engrais la bande tue qui est le disque et voici<br>
 sans labour et donc il y a un peu de co2 qui est émis par le no tail<br>
 car il y a des résidus à la surface et certains d'entre eux sortent juste du<br>
 sol très lentement et donc quand vous jetez un oeil<br>
 à cette relation pour un intervalle de cinq heures après le travail du sol, nous obtenons le même<br>
 relation avec 24 heures après le labour et vous pouvez voir que oui nous obtenons du co2<br>
 hors de l'hôtel quand nous avons commencé à y penser et à tracer certaines des<br>
 données, vous pouvez voir qu'il y a une quantité substantielle qui sort avec<br>
 la charrue à versoir et je suis désolé que vous ne puissiez pas voir les chiffres mais si vous le faites<br>
 ça sur un PC à la maison j'espère que ça sortira bien et clair<br>
 de toute façon si vous jetez un oeil à cette diapositive où nous avons tracé la perte cumulée<br>
 de co2 sur l'axe des y en fonction du volume de sol perturbé dans le travail du sol<br>
 opération ce que nous avons fait a été d'entrer et de mesurer le profil afin que nous puissions obtenir le<br>
 section transversale de la perturbation du sol et si nous supposons une unité<br>
 la longueur de la ligne, nous pouvons le convertir en un volume et donc ce que cela montre<br>
 est que le semis direct est ici la bande jusqu'à deux types d'engrais le<br>
 tige de sous-sol puis tout en haut il y a une charrue à versoir<br>
 et une valeur de 0,97 pour un r au carré est assez bonne en termes d'argent donc<br>
 en gros, cela nous dit que les émissions de gaz cumulées provenant du travail du sol<br>
 isman est proportionnel au volume de sol perturbé et c'est donc vous qui conduisez<br>
 ce gros tracteur comprend aussi que la consommation de diesel est proportionnelle<br>
 à cette énergie et et requis pour le faire<br>
 ce travail du sol et donc cela devient un double négatif de mon point de vue carbone<br>
 perdu du sol carbone perdu du carburant diesel consommé pour remplir le sol<br>
 ouais escuse j'aurai une prédiction de cola d'accord pourrait être récent si c'est le court<br>
 la réponse est non nous faisions juste les mesures pour caractériser le co2<br>
 de la perte de CO2 du sol et pour obtenir les différences, je pense que vous êtes<br>
 faisant allusion à nous aurions à certains de ces sols ont été labourés pendant un<br>
 cent trente vingt cent trente ans et nous obtenons toujours<br>
 bons rendements parce que nous mettons de l'engrais mais je vous ai montré quelques<br>
 la baisse de la matière organique du sol et si nous ne mettions pas plus d'engrais nous<br>
 n'avons pas utilisé de pesticides sur ceux que nous n'obtiendrions pas les rendements que nous<br>
 sont et il n'y a donc aucun moyen que je puisse relier cela à des rendements autres qu'à<br>
 dire que c'est une perte et et si quelqu'un d'autre fait une mesure sur eux sur le<br>
 rendement lié à la teneur en matière organique qui est un vrai défi car<br>
 dans les 20 ou 30 centimètres supérieurs et beaucoup de nos sols ont une teneur élevée en carbone<br>
 contenu mais à partir d'un mètre inférieur du profil, il n'y a qu'une petite quantité de<br>
 carbone mais nous avons encore des racines qui sont là-bas qui pénètrent<br>
 l'eau et les nutriments et je ne sais donc pas comment nous pourrions faire une expérience pour répondre<br>
 votre question particulière à savoir si les choses vont à UM<br>
 être proportionnel au rendement si le rendement serait inversement proportionnel à<br>
 le à la perte de carbone mon sentiment intuitif est que si nous le faisions assez longtemps<br>
 on verrait à terme la baisse de la matière organique qui serait aussi<br>
 liés aux rendements seraient liés à la baisse de la matière organique que nous avons<br>
 des problèmes similaires aux États-Unis avec le non-labour mais certains des mêmes<br>
 les agriculteurs qui ont une teneur en matière organique de deux ou deux pour cent<br>
 carbone ils peuvent obtenir des rendements très élevés comme le même ceux similaires qui ont quatre<br>
 à cinq pour cent de carbone et il est donc difficile d'attribuer ce qui diffère<br>
 différences de rendement uniquement par rapport à la teneur en carbone car le carbone n'est qu'une partie<br>
 de celui-ci et quand vous regardez le cyclisme et les nutriments et la biologie et<br>
 la température et le timing de tout ça c'est très complexe d'accord donc j'ai mentionné<br>
 sur l'importance du carburant diesel, mon collègue Dave Archer a fait un petit<br>
 de travail aboutissant à des calculs pour montrer que le carburant diesel est<br>
 proportionnel au volume de perturbation du sol et nous appelons cela le travail du sol par les chauves-souris<br>
 l'intensité donc cela devient un double négatif et nous devons donc commencer<br>
 comprendre ce qui se passe dans notre système, nous avons donc fait plusieurs expériences et<br>
 et obtenu fondamentalement les mêmes résultats en termes de mesures quantitatives<br>
 et nous avons donc eu l'occasion de sortir et de mesurer les émissions de co2 à la suite<br>
 deux exercices de semis direct différents et nous en avons eu un à ce que j'appelle une faible perturbation<br>
 ouvreur avec un ouvreur à disque simple ou double et un qui a un ouvreur à dents<br>
 que j'appelle haute perturbation, ils s'appellent tous les deux des exercices sans labour et le<br>
 vous pouvez voir la différence dans l'image de la surface<br>
 le semoir à faible perturbation a un peu plus de résidus de récolte en surface mais le<br>
 fille très perturbée a incorporé une partie de cela dans le cadre du travail du sol qui<br>
 a lieu avec ce type d'exercice à haute perturbation si vous jetez un œil à<br>
 la perspective sur le terrain de celui-ci sur le côté gauche complet, vous pouvez voir ce que le<br>
 zone non perturbée est et vous pouvez voir que la ligne pour le bas<br>
 perturbation et voici la perturbation élevée il y a une flèche de disque et sur<br>
 l'extrême droite est la charrue à versoir bien la différence entre une faible perturbation<br>
 et la perturbation élevée entraîne une quantité substantielle de dioxyde de carbone<br>
 perte qui est montrée ici les deux premières lignes Apple et moi n'allons pas<br>
 s'entendent très bien c'est la non perturbation d'un système natif cela<br>
 est le forage de perturbation de charge et c'est le forage à haute perturbation de l'eau<br>
 n'était pas autant que ce que nous pensions, mais à cause du faible<br>
 la perturbation n'a peut-être pas atteint cela, mais avec la perturbation élevée<br>
 céréales, nous avons libéré des quantités substantielles d'eau et de dioxyde de carbone, même<br>
 bien qu'ils s'appellent des exercices sans labour et que la seule raison que je présente est de laisser<br>
 vous connaissez la satisfaction que la science tire de la découverte de petites différences<br>
 m'a donné une certaine satisfaction que la technique fonctionnait parce que nous pouvions<br>
 mesurer ces petites différences lorsque les deux étaient des semoirs sans labour afin que le<br>
 les gens qui parlent d'un travail du sol superficiel qui est bien meilleur qu'un travail en profondeur<br>
 travail du sol mais il faut comprendre qu'il y a des champignons là-bas<br>
 couche il y a beaucoup de microbes qui sont là et chaque fois que vous jusqu'à ce que même<br>
 si c'est superficiel, vous brisez le réseau fongique qui est important pour nous en termes<br>
 aider la plante à obtenir du phosphore aider la plante à obtenir de l'eau lorsqu'elle est<br>
 lorsqu'elles sont soumises à des contraintes, la forme du volume est donc perturbée<br>
 apparemment ce n'est pas si critique mais c'est plus directement lié au<br>
 volume de sol perturber et si vous voulez minimiser la perte de carbone il vous suffit<br>
 doivent minimiser le volume de sol perturbé donc en plus de ce carbone<br>
 labour intensif à perte qui est la biologie dans le sol qu'il coupe en tranches<br>
 et dés de sol et mélanges et mélange et inverse le sol créant des ravages pour le<br>
 biologie du sol on passe de ce genre de situation fantasmée qui est plus naturelle<br>
 mais c'est c'est un peu hypothétique mais après un premier labour<br>
 nous obtenons une cassure et des mottes plus grosses dans le sol, puis avec un secondaire<br>
 travail du sol, nous obtenons une petite quantité initiale de co2 au fur et à mesure que nous décomposons le<br>
 mottes mais la petite quantité avec le système non perturbé est juste là et<br>
 c'est juste un rythme naturel, mais après un travail du sol primaire, nous obtenons un<br>
 grande quantité et puis c'était le travail du sol secondaire il diminue un peu comme un<br>
 résultat de ce que le travail du sol est fait à la biologie du sol et comment son re<br>
 compacté le sol et l'a laissé fracturé donc je suis sûr que vous avez probablement vu<br>
 les mouettes qui viennent après le travail du sol mettent en œuvre l'image du haut<br>
 m'a été fourni par Soren ill donc du Danemark et les mouettes sont là pour un<br>
 raison pour laquelle ils ramassent les vers, les larves et les insectes qui sont<br>
 mis au courant de la chose et je voudrais fournir l'analogie que cette intense<br>
 le travail du sol ouvre le buffet à volonté pour les oiseaux et le micro cet extra<br>
 l'oxygène qui entre dans le système agit sur le carbone en l'oxydant<br>
 et pas seulement et perturbe l'activité biologique des vers et<br>
 il y a une photo que j'ai récupérée dans le Minnesota alors quelque chose est arrivé au<br>
 la biologie du sol ou ces oiseaux ne seraient pas là, donc nous avons ce double problème dans<br>
 termes d'excel à la dégradation accélérée qui est indiquée par le<br>
 oiseaux, ils mangent toute la biologie, mais cela ouvre également le sol à plus<br>
 l'érosion et nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre de perdre ce sol, donc de mon point de vue, le<br>
 le travail du sol crée un champ de bataille pour la biologie du sol qui est censée être<br>
 travailler pour nous en essayant de nous aider à produire de la nourriture et des fibres pour nous-mêmes et pour<br>
 génération future et donc Marv vous avez un ami du Brésil qui avait cette citation<br>
 que le travail du sol intensif est un mauvais cas de toxicité ferreuse et parce qu'il conduit à<br>
 plus l'érosion change la perméabilité à l'air elle change d'une puce de diffusion<br>
 système contrôlé à un système d'écoulement convectif l'échange rapide de gaz prend<br>
 lieu à cause de la destruction de la structure du sol et ainsi de là le fond<br>
 ligne est le travail intensif du sol conduit à toutes les formes de perte de carbone du sol et<br>
 malheureusement vous ne pouvez pas le voir mais avec des mesures et un équipement sophistiqués<br>
 vous pouvez mesurer la quantification, donc dans nos systèmes naturels, la nature n'est que<br>
 met rarement une terre à l'envers et le courant varie pendant les catastrophes actuelles<br>
 et tout l'intérêt du labour est de tuer tout ce qui se passe dans le vivant<br>
 système dans le sol donc dans le coin supérieur gauche la charrue 10 du bas prend<br>
 à propos de je ne sais pas comment vous exprimez la puissance mais 550 chevaux à tirer<br>
 qui labourent le sol et entraînent toutes ces choses négatives en termes de<br>
 tuant les plantes et nous avons une célébration dans notre région où elles<br>
 a sorti trois de ces tracteurs diesel à mazout<br>
 de tirer 50 charrues à travers le champ et tout le monde était excité et cela et<br>
 tout ce que je pouvais voir, c'était du carbone sortant du sol et et et je ne pouvais pas parler à<br>
 lui parce que l'aspect culturel de la séparation de la Prairie était encore très<br>
 frais dans leur esprit et c'était plus important il y a l'un des agriculteurs<br>
 que nous avons travaillé avec l'image et la droite et c'est pour moi un meilleur<br>
 place pour les charrues dans ce mémorial, nous avons un agriculteur de conservation<br>
 que ce que la charrue fonctionne doit être en termes de mémorial donc de toute façon je<br>
 rechercher des preuves pour montrer la préoccupation sociale ou le manque de préoccupation sociale<br>
 et que se passe-t-il dans ce système, donc de mon point de vue, le travail du sol est et<br>
 perturbation biotique et j'aime parler de la tourmente du travail du sol si vous regardez<br>
 au sol est un système vivant naturel qui contient beaucoup de vie quand il est<br>
 labouré intensément, il a radicalement changé et il peut être considéré<br>
 analogue à une réaction humaine à un tremblement de terre un feu de forêt un ouragan un<br>
 l'impact d'un astéroïde, un tsunami et une tornade ont tous entraîné un événement de perturbation<br>
 si cela vous arrivait à vous et à votre domicile une ou deux ou trois fois par an, vous<br>
 ne serais pas très heureux que vous vouliez passer à autre chose et trouver un meilleur endroit pour<br>
 remplir la fonction de votre vie et comprendre ainsi que nous travaillons avec un<br>
 système biologique le travail du sol fait tout pour détruire cette biologie<br>
 ne le détruit pas complètement parce que nous sommes toujours nous avons été vous savez le faire<br>
 depuis plusieurs années mais il en résulte encore une certaine dégradation que nous sommes encore<br>
 essayer de comprendre que le travail du sol est un phénomène physico-chimique et biologique<br>
 apocalypse il détruit la structure l'infrastructure les organismes et il va<br>
 à terme détruire notre sécurité alimentaire le travail du sol intensif est un<br>
 Armageddon pour tous les organismes du sol donc<br>
 l'une des choses qui me préoccupent est le terme labour de conservation<br>
 et je ne suis pas sûr de la terminologie utilisée ici, mais le travail du sol de conservation représente<br>
 toutes les formes de travail du sol qui laissent un peu de résidus en surface et<br>
 donc ça va de n'importe quoi d'ici en termes de rivière profonde parce qu'il y a<br>
 résidus de sol nos résidus sur le sol jusqu'ici pour insérer le travail du sol et<br>
 sans labour avec une perturbation élevée et une perturbation faible et tout dans<br>
 entre le travail du sol de conservation et certains l'appellent le non-labour parce que<br>
 ils pensent que la conservation signifie non-jusqu'à ce que ce soit aux états-unis de toute façon je n'aime pas<br>
 le terme de labour de conservation parce que je pense que c'est un oxymore en ce sens qu'il<br>
 a des sens contrastés ou opposés quand vous dites conservation et travail du sol<br>
 car à mon avis il n'y a pas de conservation avec quelque type de travail du sol que ce soit<br>
 tuez Sonia Papas vous avez un trouble vers plus de thêta d'accord la quantité de<br>
 acres d'agriculture sans labour ou de conservation et nous conventionnels sur un<br>
 en moyenne pour le centre du pays, environ 37% des terres sont en<br>
 sans labour et le reste est toujours en conventionnel mais le conventionnel ne le fait pas<br>
 signifie nécessairement charrue mobile que de nombreuses personnes utilisent le Deep Ripper comme une forme de<br>
 travail du sol conventionnel car ils peuvent aller plus vite et tourner plus net sans avoir<br>
 que 37% est dans environ 30% ami est dans le non-tasse oui nous avons beaucoup de<br>
 agriculteurs qui me donnent les cheveux blancs à cause du travail du sol et mon attitude est<br>
 c'est une chose culturelle et c'est une habitude mon grand-père l'a fait et il était<br>
 réussi mon père l'a fait il a réussi je le ferai et je serai<br>
 réussi et cette logique fonctionne en raison de la résilience du sol que nous<br>
 ont déjà mais le sol a des limites et nous approchons rapidement quand j'ai montré<br>
 cette eau cette teneur en carbone dont nous approchons les limites d'avant la<br>
 tout le système va commencer à se dégrader et à fournir de véritables<br>
 défis dans le maintien d'une production appropriée ok merci pour cela tellement tellement<br>
 pour vous qui savez jusqu'à mon point de vue, le non-labour n'est pas le<br>
 miracle géré et parce que le non-labour minimise la perte de carbone et lorsque nous<br>
 parler des systèmes d'agriculture de conservation, ce système est efficace parce que<br>
 elle requiert un fonctionnement simultané de ces trois principes et la<br>
 principes de la diversité et de la rotation et des cultures de couverture et de la comp<br>
 les résidus à la surface contribuent tous à un meilleur environnement du sol<br>
 biologie, donc quand vous regardez ce continuum de perturbations allant du maximum<br>
 perturbation à gauche avec le travail du sol conventionnel on obtient zéro<br>
 conservation et beaucoup de travail du sol avec le travail de conservation, nous obtenons<br>
 conservation et un peu de travail du sol mais avec le semis direct ou pas jusqu'à ce que nous obtenions un<br>
 beaucoup de conservation et de labour zéro et c'est pourquoi nous devons travailler dans<br>
 cette direction dans tous nos systèmes de production publics, de sorte que les deux<br>
 les facteurs connexes communs sont leur colophane et l'épuisement de la matière organique et<br>
 donc pour moi, c'est une menace importante pour les sols mondiaux et nous sommes tous dans ce bateau<br>
 ensemble et ainsi nous avons développé une perspective globale<br>
 et encore une fois, j'espère que votre initiative quatre pour 1000 est l'une des premières<br>
 étapes pour générer ce réseau mondial et je comprends qu'il va y avoir un<br>
 réunion à Boston cet automne où ils essaient d'élargir le<br>
 réseau mondial basé sur l'initiative quatre quatre mille nous avons obtenu l'utilisation des terres<br>
 des changements ont lieu et il y a beaucoup de choses négatives avec ça<br>
 parce que nous avons bouleversé le panier de pommes d'une autre nature que mère Nature n'aime pas<br>
 être perturbé et dans nos systèmes de production agricole nous faisons tout pour<br>
 arracher le sol et une grande mère nature donc avec notre conservation<br>
 système agricole, nous essayons d'imiter mère nature et nous pouvons examiner<br>
 avantages pour la santé du sol de la charrue de la nature qui est la racine pivotante et et le<br>
 vers de terre par opposition à la dégradation des sols avec la charrue de l'homme nous sommes<br>
 mieux comprendre ce qui a causé cela, mais nous avons encore des agriculteurs qui<br>
 aime vraiment ce que nous appelons le travail du sol récréatif le gars qui a le plus gros<br>
 la pile de fumée de diesel qui s'éteint alors qu'il traverse le champ a le plus<br>
 fierté de faire le plus de destruction même s'il ne se rend pas compte que ce qui est<br>
 arrive à cela donc il y a ces choses culturelles que nous devons considérer<br>
 donc nous avons plein d'exemples d'érosion dans notre partie du monde et ce que je veux<br>
 vous montrer ici dans ce coin que nous avons la terre noire au-dessus de<br>
 neige blanche et lorsque le sol est nu sans aucun résidu en surface, il<br>
 lyophilise à l'automne et un peu de vent provoque l'érosion éolienne et ainsi<br>
 ils ont une expression d'argot que cet acronyme qui décrit qui s'appelle<br>
 renifler c'est de la neige et de la terre bien en tant que pédologue c'est un mot de quatre lettres qui<br>
 Je-je n'aime pas et donc je vais au café avec un groupe qu'on appelle les fermetures à glissière rouillées<br>
 et ils ont ce nom parce qu'ils boivent beaucoup de café et parlent et<br>
 parler un homme avait 80 88 ans et j'ai dit<br>
 lui ce dilemme et il dit pourquoi tu ne l'appelles pas sourire et alors je lui donne<br>
 crédit d'avoir inventé un nouveau mot la combinaison de neige et de sol et c'est<br>
 a un sens scientifique plutôt qu'une expression d'argot d'importance snort<br>
 Danny a dit que je possédais une photo Vaska dit que Cody tue le comté du Nevada Scotch est abordable<br>
 a yahren sotl Killa ouais pas besoin de Xiang Zi Chozen si c'est gelé quand c'est<br>
 solide avec de la glace dessus mais ça ne le fera pas mais dans notre cas nous avons des humidités si basses<br>
 qu'il lyophilise et par le processus de sublimation que l'eau passe<br>
 et quand cette eau sort, la structure tombe en panne et le vent<br>
 commence à pousser ces particules de sol à travers et à se pulvériser et nous avons<br>
 les moments où la visibilité est réduite à cause de la neige ou du sol qui s'écoule<br>
 de l'autre côté de la route c'est comme ça et ça n'arrive pas très souvent<br>
 il y a des moments peut-être deux ou trois fois par an<br>
 ouais il y a un peu de perte de sol mais chaque petit peu que nous perdons c'est<br>
 ça va prendre 700 à 1500 ans pour le remplacer ok champignons bactéries ratio je vais<br>
 continuer à travers ce sol santé j'en ai déjà parlé que le sol<br>
 la biologie est si importante qu'ils jouent un rôle dans la transformation de la<br>
 matière organique dans les nutriments et ils sont responsables de 85 à<br>
 90 pour cent du métabolisme total du sol dû à l'activité microbienne et c'est un<br>
 raison pour laquelle protéger et maintenir la biologie du sol<br>
 activité les champignons du sol sont nos amis et il y en a environ 3000 différents<br>
 espèces autour de la place et mais il y a toutes sortes de caractérisation qui va<br>
 avec eux mais les champignons sont les plus sensibles à tout type de travail du sol et si<br>
 tu comprends le fragile réseau de ces filaments tu comprendras pourquoi<br>
 ils sont cassés et notre fonction est en retrait donc les fonds sont importants<br>
 car ils décomposent la forme complexe des composés carbonés et certains des<br>
 des matériaux plus récalcitrants et ils fournissent également cette chose appelée flux<br>
 Mahlon qui est important dans la fabrication de la colle pour maintenir les agrégats<br>
 ensemble donc une fois que vous comprenez que le travail du sol crée cet effet d'amorçage pour<br>
 quelques microbes mais cela détruit complètement les hyphes fongiques<br>
 réseau sur cela, nous aimerions donc avoir un grand rapport champignons / bactéries parce que<br>
 il a été documenté qu'il obtiendrait plus de stockage de carbone et d'azote et c'est<br>
 l'une des choses qui peuvent contribuer à ce rapport carbone/azote pour nous, donc<br>
 si nous voulons stocker plus de carbone et d'azote dans le sol pour<br>
 il faut essayer de maximiser ce carbone il y a un ratio champignons/bactéries<br>
 ce qui signifie pratiquement aucune perturbation du sol dans la façon dont le travail du sol<br>
 le détruit et il y a quelques citations de littérature que là pour sauvegarder<br>
 cette déclaration qui brille Mahlon si vous la regardez sur l'axe des y c'est le bas<br>
 diffusion du contenu du sol en fonction du temps en termes de non-labour et cela a été fait<br>
 par une collègue de Sarah Wright alors quand il y a le démarrage du travail du sol<br>
 la valeur de 0,7 quand il a été labouré chaque année et dans la première année de<br>
 non jusqu'à ce qu'il augmente à 1,3 dans la troisième année, il est jusqu'à 1,7 et jusqu'à 15 ans<br>
 avec le semis direct, il vaut jusqu'à 2,7 et c'est donc une chose que nous devons<br>
 prendre en considération parce que ça va Malin est une colle numéro un et tient<br>
 les particules de sol ensemble pour former des agrégats la biologie du sol d'accord donc le<br>
 les avantages potentiels des cultures de couverture sont que le carbone des cultures de couverture est introduit et<br>
 Je ne peux pas le dire assez parce que cela semble être l'un des meilleurs moyens<br>
 que certains de nos agriculteurs pionniers montrent maintenant pour obtenir cette augmentation et nous<br>
 juste besoin de comprendre cela donc nous regardons cette matière organique et c'est<br>
 fonctionne lorsqu'il est pourri et détruit, libérant une partie des<br>
 nutriments et ceci est une citation de William Albrecht il y a quelques années<br>
 mais nous prenons cette biomasse végétale qui contient environ quarante cinq pour cent de carbone<br>
 il est décomposé en libérant du co2 dans l'atmosphère et des nutriments dans le sol pendant<br>
 les plantes suivantes et on se retrouve avec de la matière organique du sol d'environ cinquante huit<br>
 pour cent de carbone et donc quand nous regardons I<br>
 Je ne sais pas ce que je faisais à mon truc, mais euh, nous obtenons cette version de<br>
 ces nutriments et la différence entre 45 pour cent de carbone et 58 pour cent<br>
 le carbone est d'environ 13 pour cent dans ce cas de masse cette masse est composée de plusieurs de<br>
 ces macro et micro nutriments qui deviennent disponibles dans la biomasse<br>
 maintenant il y a du carbone et de l'oxygène à cela, mais il y a tous ces<br>
 macro et micro nutriments qui deviennent disponibles dans le cadre de cette<br>
 système de fertilité rejoindre cuisine pop une lampe de retour au carbone solaire P Ashford donc<br>
 laissons DT le faire la plupart du temps, le carbone agira comme un tampon à dramatique<br>
 Le pH change la chose la plus importante qui contribue aux changements de pH dans notre cas est<br>
 nous avons une voiture de [[calcium]] dans le sous-sol très près de la surface<br>
 et lorsque vous obtenez un pH de 8,2 trop élevé pour la plupart des plantes agronomiques, le<br>
 le carbone peut amortir une partie de cet effet, mais ce n'est pas l'un des effets directs<br>
 contrôles du pH vous pouvez le tamponner un peu mais ce n'est pas eux qui ne le feront pas<br>
 être le facteur déterminant de l'amplitude du pH et me voici de retour<br>
 pour parler un peu du rapport carbone/azote et nous l'avons battu autour d'un<br>
 un peu plus tôt donc je ne vais pas trop en dire pour le moment<br>
 est un exemple de la large gamme du rapport carbone/azote que vous<br>
 mentionné et ce que nous avons, c'est la diversité qu'ils vont des copeaux de bois bien je<br>
 ne sais pas bien c'est pratique ou journal mais de toute façon de 82 à 11 à 1<br>
 qui est une valeur d'équilibre du sol, nous devons apprendre à combiner celles-ci pour<br>
 donnez-nous la bonne option pour que le ratio CN libère le plus de nutriments pour<br>
 nous ou pour nous donner la meilleure structure ou améliorer la croissance des champignons ou quoi que ce soit<br>
 l'objectif spécifique est et c'est donc l'une des choses que j'ai apprises<br>
 après environ 50 ans, c'est le mot diversité signifie regarder le grand<br>
 photo et essayer de rassembler des morceaux de la flaque d'eau pour accomplir un<br>
 objectif plus spécifique, certains d'entre eux doivent être des essais et des erreurs et il y a<br>
 probablement des risques et des problèmes à en tirer donc le carbone en azote<br>
 ratio nous en avons déjà parlé mais la conservation commence par le C et<br>
 se termine par une fin, c'est pourquoi la conservation est importante dans<br>
 termes de certaines de ces stratégies de cycle des nutriments que nous essayons de développer<br>
 il s'agit essentiellement d'une répétition de ce que j'ai fait dans l'une des diapositives précédentes d'où nous venons<br>
 46% de carbone à 58% de carbone dans ce cas 12% de différence que<br>
 la différence réside dans ces nutriments naturels que vous recyclez pour la prochaine<br>
 génération de plantes<br>
 ce sont quelques-uns des éléments critiques qui sont importants pour nous pour macro et<br>
 les micronutriments et vous le savez probablement mieux que moi, mais un<br>
 des choses que la matière organique et la gestion du carbone font est d'aider à<br>
 la disponibilité de ces micronutriments que vous connaissez, nous ne les mettons pas en grande quantité<br>
 quantités, mais le fait que lorsque le système fonctionne et que le carbone est<br>
 cyclisme, nous avons plus d'opportunités pour certains de ces micronutriments que nous<br>
 toujours pas de bonnes réponses sur la limite en termes de ce qui est requis pour<br>
 production optimale mentionnait la biodiversité quelqu'un d'autre avait un<br>
 slide hier, je suis étonné de ce que ça fait et c'est juste<br>
 illustre ce qui peut être en termes de taille de graine et de fonction de ceux l'un des<br>
 choses avec les cultures de couverture est cette diversité au sein du système et c'est<br>
 quelques données d'un dimère Caligari qui est sur pour cet après-midi et pour le<br>
 teneur en protéines pour l'implantation de 17 ou 18 cultures de couverture, vous pouvez voir qu'il serait<br>
 passer d'un maximum de 23,9 à un minimum de 4,8 il y a une variation de pli tiré<br>
 selon la culture de couverture que vous voulez et quel type de teneur en protéines<br>
 vous êtes intéressé à la fin donc nous avons cette diversité dans les espèces de cultures de couverture<br>
 en ce qui concerne la production de protéines, si vous regardez le carbone, c'est assez<br>
 stable et je ne suis pas sûr pour le 1559 là-bas mais c'est là de quoi 37<br>
 à 40 pour cent avec cette valeur aberrante à 59, je n'ai pas de damira à expliquer<br>
 ça pour moi mais si vous jetez un oeil à l'azote et vous savez tous la différence<br>
 entre l'azote et les légumineuses et l'azote et la paille paille de blé nous avons un<br>
 variation de 3,8 à à quoi 0,77 ou une variation quintuple et l'azote donc si<br>
 vous voulez mettre beaucoup d'azote dans le système que voulez-vous<br>
 ceux qui ont le plus haut si vous n'êtes pas trop préoccupé par le<br>
 azote, vous pouvez choisir l'une des autres combinaisons pour cela<br>
 de même pour le phosphore maximum 0,3 en termes de pourcentage de teneur coupée à 0,05 a<br>
 variation sextuple, nous devons comprendre ce que cela signifie et ensuite utiliser<br>
 quelles que soient les compétences dont nous disposons pour mettre la combinaison de ces divers composants<br>
 ensemble pour atteindre l'objectif spécifique que vous voulez le zinc est un autre exemple<br>
 de 66 à 8 pour celui nous avons une variation octuple en zinc et si vous<br>
 avez des carences dans votre système avec du zinc vous voudriez en mettre un sur deux<br>
 et être capable d'extraire davantage du sol et d'obtenir une teneur plus élevée en<br>
 ce matériel végétal s'en vante un peu<br>
 énigme du changement climatique, nous avons des défis à relever, mais nous devons<br>
 exploiter le pouvoir de la nature pour aider à stabiliser certains de ces extrêmes climatiques<br>
 donc de mon point de vue, nous devons maximiser la capture de carbone que nous devons<br>
 avoir une couverture vivante continue sur le sol délivrant des exsudats racinaires au<br>
 biologie du sol nous avons besoin d'une couverture vivante continue pour protéger nos agrégats de sol<br>
 cultures à racines profondes pour un stockage maximal de l'eau et ainsi de suite avec tous les<br>
 avantages que nous comprenons avec les cultures de couverture et nous avons donc ce sol<br>
 système d'atmosphère végétale et nous devons apprendre à gérer le carbone de tous<br>
 aspects de cela et le but ultime de mon point de vue est la fibre alimentaire et<br>
 carburant pour la population mondiale et avec cela si nous le faisons avec une conservation<br>
 système agricole, nous nous retrouvons avec tous ces autres avantages que j'ai<br>
 déjà parlé un peu de l'augmentation de l'efficacité de l'utilisation de l'eau et<br>
 ton devoir sera d'y revenir et j'en ai discuté un peu<br>
 un peu plus tôt dans la présentation de l'autre jour, une chose que je voudrais<br>
 l'accent est mis sur la relation synergique entre les racines des plantes<br>
 et le ver de terre sur la photo de droite est un ami<br>
 Frederick Thomas montre que cette racine pivotante de la betterave sucrière s'est équilibrée<br>
 à deux mètres et nous avons également examiné d'autres cultures où le ver de terre<br>
 suivez le tunnel de cette racine et cela devient un tunnel alimentaire pour la terre<br>
 façon qu'il descende et nettoie qui obtient une bonne énergie enduit le mur avec<br>
 goo microbien pour les bactéries dans cela et puis l'année suivante si pauvre si<br>
 il n'y a plus de travail du sol là-bas et les racines tireraient juste jusqu'à<br>
 cette profondeur exerce à nouveau une certaine énergie pour s'étendre et aller plus loin et vous vous retrouvez avec<br>
 doubler le système racinaire pour doubler le volume de nutriments à extraire et<br>
 l'eau qui est disponible et donc juste en allant à 90 centimètres de profondeur, vous pouvez<br>
 accumuler ou mettre à disposition environ soixante-seize millimètres d'eau supplémentaires<br>
 stocké dans ce système et nous utilisons donc le profil complet plutôt que simplement<br>
 le premier avec lequel nous nous retrouvons lorsque nous effectuons un travail important du sol quelques exemples de certains<br>
 les données sur l'eau ont servi à mesurer l'effet du paillis et j'ai<br>
 citations de la littérature pour ces économies d'environ 76 millimètres, puis vous êtes dans<br>
 une saison de croissance de six mois, ils peuvent augmenter l'infiltration de soixante-seize<br>
 millimètres la matière organique du sol était une augmentation de 1 pour cent de carbone peut vous donner<br>
 une accumulation de 51 millimètres et avec l'accès aux cultures de couverture peut vous donner<br>
 76 millimètres de plus, chacun de ces montants n'est pas grave en<br>
 eux-mêmes mais quand on additionne le total ses 279 millimètres d'eau et que<br>
 pourrait être utile à un moment donné en cas de sécheresse, nous devons donc examiner les<br>
 petites choses qui se produisent et commencent à s'accumuler afin que nous puissions obtenir de grandes<br>
 effets, il y a un joli terme éco hydrologie et donc je pense que s'il y en avait<br>
 ici pour parler l'autre jour j'ai utilisé celui-ci donc je vais sauter ça<br>
 J'ai déjà parlé du cycle du carbone et de la gestion du carbone je l'ai mis dedans<br>
 deux fois pour que nous ayons l'occasion d'en parler et c'est souvent un<br>
 débat confus et controversé en partie à cause de l'utilisation incohérente et<br>
 l'usage abusif du mot séquestration qui fait partie de mes<br>
 biais, nous devons à nouveau comprendre la citation sur la dynamique du carbone d'un collègue<br>
 l'initiative 4% ou 1 000, vous en savez plus à ce sujet et je le fais et je soutiens<br>
 c'est 120% donc c'est quelques-unes des choses qui sont accomplies<br>
 grâce à cette initiative et je pense qu'il est important que nous continuions à promouvoir<br>
 cela et vendre les avantages, certaines de ces choses n'ont pas de très gros impacts, mais quand<br>
 vous commencez à ajouter 10 petits petits avantages, cela devient un impact majeur et<br>
 nous dans l'agriculture, je dois commencer à apprendre à utiliser le petit incrément<br>
 avantages et les mettre ensemble dans un système global afin que nous puissions faire ces<br>
 des changements majeurs dans nos systèmes de production et d'agriculture de conservation<br>
 sur la ligne je dois vous montrer cette diapositive l'agriculture de conservation est basée<br>
 sur trois principes pouvez-vous simplement vous inscrire pour couvrir diverses rotations et<br>
 cultures de couverture et perturbation minimale continue du sol ces trois principes<br>
 exploiter et envelopper le cycle du carbone mes préjugés nous permettons également aux locaux<br>
 pratiques agricoles complémentaires parce qu'il n'y a pas deux agriculteurs qui<br>
 idem, il n'y a pas deux fermes identiques et donc, bien que nous permettions au bétail de<br>
 paître et d'autres options afin qu'il y ait des choses spécifiques au site qui peuvent être<br>
 affiné, mais les trois principes sont toujours la partie importante de la<br>
 système d'agriculture de conservation les pratiques spécifiques qui sont choisies<br>
 pour mettre en œuvre les principes, il doit être adapté dans chaque système de production et<br>
 le climat du sol et l'écosystème et l'emplacement géographique et ainsi de suite le<br>
 les principes fonctionnent partout dans le monde, mais les applications et les avantages directs ont<br>
 venir de l'adéquation aux besoins spécifiques du site la synchronisation<br>
 est important de tirer les bénéfices de l'intégration de ces trois<br>
 principes et le cycle du carbone qui l'entoure se développe dans ces synergies<br>
 avantages, mais nous devons à la fois synchroniser ces trois principes et les<br>
 avantages synergiques pour obtenir quelque chose qui sera une véritable conservation<br>
 l'agriculture et être la base de notre sécurité alimentaire j'en ai parlé l'autre<br>
 jour désolé que nous manquons de temps mais euh j'en ai parlé avant et donc<br>
 Je pense que je m'approche de la fin nos sols contiennent beaucoup de vie<br>
 partenaires biologiques et permettent des synergies de cycle des nutriments carbonatés<br>
 auquel nous n'avions pas pensé auparavant et donc, de mon point de vue, la dégradation des sols<br>
 est causé par un mot travail du sol la récupération du sol est accomplie par un mot<br>
 carbone et le maintien de la santé du sol est accompli par un mot carbone et je<br>
 finir avec mon dessin animé carbone carbone carbone le texte ne s'affiche pas sur le<br>
 Machine Apple mais Harvey Carbon dit de garder votre empreinte carbone faible et<br>
 gérer pour les services écosystémiques et être une méga voix pour la gestion du carbone<br>
</div></div>[[Category:Evénement : Rencontres Internationales de l'Agriculture du Vivant 2019]][[Category:Thématique : Biologie/Agronomie]]